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Institut de Géographie

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Histoire

... Géographie sous l'empire islamique ...

portulan

Lorsqu'ils parachèvent la conquête du Mirobansar et mettent fin à deux siècles d'émirat indépendant à Mysore, les Altaïs, nouveaux maîtres de l'Azur, accèdent pour la première fois à la côte. Bien que le coeur de leur puissance se trouve sur le Plateau Azuréen, autour de l'Heureuse Vallée de Syr, du lac Shediz et des opulentes cités caravanières de leur nouveau domaine, ils prennent également conscience de l'importance de la mer dans la vie des Etats. Désireux de connaître l'origine des nombreux produits qui transitent le long des routes commerciales dont ils détiennent les clefs, les Sultans d'Azur financent dès le XIVème siècle de véritables expéditions, des voyages visant à cartographier, renseigner et computer les terres éloignées. En 1503, le sultan Cagatay crée le Bureau du Répertoire du monde connu, premier institut dédié à la collection et à l'édition de cartes et de données géographiques, visant à coordonner les efforts de connaissance et à centraliser les savoirs étrangers. L'embryon de l'Institut de Géographie est né.

L'Institut proprement dit sera créé par un firman royal en 1786, à la demande d'ambassadeurs étrangers, notamment Jean-René de Villesausanes, qui proposait ses services au sultan pour lui fabriquer un formidable globe terrestre de dimensions et de précisions jusque là inédites. Les crédits accordés à cette entreprise seront très importants, et de grandes expéditions sont préparées. Malheureusement, Villesausanes disparaît avec sa fortune peu avant l'invasion eurysienne de 1799, sans avoir pu concrétiser le projet d'Institut de Géographie, qui est alors remis à l'index.

Il faut attendre 1852 pour qu'Agatharchidès reprenne les travaux initiés dans le passé ; des spécialistes étrangers compilent le premier Atlas géographique des Terres & Domaines de S.M.I. le Sultan, incluant de remarquables descriptions du climat azuréen. Ils refondent l'Institut, sous la forme d'une association indépendante alimentée par des fonds privés, notamment en provenance d'Eurysie. La carte des routes est éditée pour la première fois. Pendant plusieurs années, l'Institut de Géographie s'emploie à former des scientifiques locaux, en même temps qu'il produit une importante littérature sur les richesses agricoles et géologiques de l'Azur. De nombreux gisements sont ainsi identifiés.

En 1885, l'Institut est réformé et annexé à l'Université Ibn Sina. Il perd son indépendance et doit se conformer au nouveau pouvoir politique de la Nahda et du Calife Abd-al-Qadir. Doté de nouveaux moyens, il cherche à produire une science essentiellement nationale. De concert avec les autres institutions scientifiques, il participe à des missions archéologiques, météorologiques et maritimes. Il se structure petit à petit. En 1924, l'Institut Polaire est fondé ; c'est une petite aile supplémentaire, dédiée à l'étude spécifique des antipodes glacés. Une mission polaire vers le Pôle Sud est réalisée en 1933, à la fois par les airs et par la mer ; elle doit néanmoins rebrousser chemin du fait des conditions météorologiques locales. Une deuxième mission touche le Pôle Nord en 1968. L'apparition des satellites, lancés par d'autres Etats, rend progressivement caducs un bon nombre d'activités de cartographie ; l'Institut, là encore, s'adapte en se concentrant sur la météorologie et l'océanographie.

En 2008, l'Institut forme des étudiants sur les thèmes variés touchant à la géographie. Il forme notamment les cadres des services météorologiques nationaux. Il abrite également des activités de recherche qui s'orientent de plus en plus vers l'océanographie et la prospection de nouvelles ressources minières.

Sites

...l'Institut possède plusieurs sites d'activités...

Recherches et expéditions en cours

  • Mission océanographique (01.05.2015 - en cours)
  • Mise à jour des cartes bathymétriques du Golfe du Diambée et cartographie des fonds marins
    Etude sismique et géologique dans la zone maritime réputée souveraine
    Observation halieutique et production de données sur les stocks en ressources marines sur la côte afaréenne
    Visite officielle en Anna et présentation des travaux de l'Institut de Géographie
    Identification des risques liés à la présence de mines sous-marines dans l'ensemble de la zone
    Etude écologique des récifs coralliens
    Mission polaire : traversée de la banquise et prélèvements dans la calotte glaciaire du Pôle Sud, production de données cartographiques sur le continent nivéréen.

Publications

Mission Océanographique de l'Albiréo - Carnet de Bord (2015)

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Mission Océanographique du navire scientifique Albiréo - Carnet de Bord

05.05.2015 - Premier départ vers les Coscades
Par Amsa Jelal, marin à bord de l'Albiréo

L'aube point à peine quand les moteurs démarrent. En quelques embrassades définitives, voeu de bonne chance, et sonnerie du cor de la capitainerie du port militaire d'Anaxandre, nous voilà sur le départ. Déjà on s'habitue au lent roulis sous nos pieds, qui va accompagner nos jours et nos nuits pour les huit mois à venir. Huit mois qui s'annoncent déjà intenses, et riches en expériences. Au mégaphone, le capitaine Bashtu annonce que le cap est mis sur la Grande Coscade, à cent vingt mille nautiques de là. Nous y serons demain matin. Déjà la journée s'annonce alors que la côte azuréenne s'éloigne de nous ; il y a du pain sur la planche. Les scientifiques préparent leurs instruments, et les plongeurs se concertent sur la marche à suivre. Dans la salle de réunion, juste à côté du poste de pilotage, le Professeur Yilmaz présente les grands enjeux de notre expédition à la quarantaine de chercheurs qui sont à bord. Ils viennent tous des grands centres de recherche azuréens. Ils savent quels espoirs reposent sur leurs épaules. En ce qui me concerne, je visite le navire.

Livré par les arsenaux Guandi, il est équipé de la meilleure technologie. Radio, satellite, sonar fonctionnent parfaitement. Les dernières inspections ont donné content de soi au Ministère de la Recherche Scientifique, qui a acquis ce bijou d'océanographie auprès des constructeurs jashuriens. Tout est prêt pour une expédition : vivres de croisière et de secours, boîtes noires, fusées de détresse ; et même quelques armes, dont des lance-roquettes pour éloigner d'éventuels importuns, qui sont cachées à un endroit que seuls connaissent le capitaine, le second et les deux fusiliers-marins des forces spéciales qui nous accompagne.

Certains des membres de l'équipage sont un peu anxieux. En effet, nous allons nous aventurer en haute mer, où règnent des dangers qui peuvent aussi bien venir de tempêtes que d'acteurs mal intentionnés. Néanmoins le Professeur Yilmaz se veut rassurante. Cette docteure en océanographie, âgée de 41 ans, parle couramment 4 langues et a une personnalité trempée dans l'acier. Sa voix n'accuse aucun stress. Elle explique simplement que ce sont des précautions normales pour tout bateau qui s'apprête à quitter les rivages familiers pour une longue période. D'ailleurs, il n'y a même pas raison de s'inquiéter, car les pays visités seront essentiellement des amis.

Le cap est donc mis sur les îles Coscades, qui appartiennent au territoire azuréen. Nos premiers objectifs sont d'y réaliser un diagnostic bathymétrique afin d'établir des cartes des fonds marins. Nous y ferons également de la prospection et des relevés pour contrôler le niveau des stocks de poisson, et pour assurer que les voies de passage des navires sont bien dégagées d'obstacle - dans le temps, quelques mines marines ont été déployées à l'époque de guerres antérieures. Si la plupart ont été retirées, les nouveaux moyens acoustiques nous permettront de débusquer d'éventuels résidus. Enfin, nous embarquons un anthropologue et un archéologue, qui prévoient d'effectuer quelques plongées avec leurs stagiaires dans une crique où, le suspectent-ils, aurait fait naufrage un navire il y a des siècles. Bref, nous avons du pain sur la planche !


23.05.2015 - Prélèvements halieutiques et collecte de données
Par Nefer Yilmaz, docteure en océanographie, chef de l'expédition scientifique de l'Albiréo

En cabotage le long de la côte azuréenne, l'Albiréo déploie ses premières missions océanographiques. Le temps est bon sur le Golfe du Diambée ; un vent de sud nous souffle continuellement au-dessus de la tête, écrêtant les vagues, poussant le navire qui ne dévie pas de sa trajectoire. Les équipes, elles, sont au travail.

Dans un premier temps, en application des directives du Ministère de la Recherche Scientifique coordonné avec le Ministère de la Mer, la collecte de données liées à l'évaluation de l'état écologique des ressources halieutiques a été réalisée. Cette collecte consiste à alimenter deux projets qui seront menés de front par notre expédition ; d'abord, réaliser des prélèvement halieutiques et collecter des échantillons sur un volet d'espèces d'intérêt, en recueillant les informations sur des critères de taille, d'âge, d'abondance à la profondeur du filet ; des individus sont prélevés, pour que leur teneur en éléments polluants soit également analysée. Par ailleurs, l'Albiréo s'est porté à la rencontre de pêcheurs pour estimer avec eux la qualité des prélèvements et des populations de poissons dans la zone. Dans l'ensemble, le contact avec les pêcheurs a été bon. Environ quatre sur neuf étaient assignés au port d'Anaxandre, et revenaient d'une collecte en haute mer, ou bien dans les eaux côtières des Coscades. Le reste étaient des navires étrangers, principalement faravaniens, transks et fortunéens, qui s'alimentaient en poisson à moins de sept cent kilomètres des côtes nationales.

L'ensemble des données ont été transmises à l'Institut d'Océanographie par le biais de l'équipement satellite inclus dans la technologie des Arsenaux Guandi. Les instruments de haute performance de l'Albiréo ont également permis la collecte de données cartographiques sur les fonds marins, dont l'usage est de deux ordres ; premièrement, cartographier l'altitude du plancher océanique et réaliser un mapping bathymétrique des eaux nationales, comportant une analyse géologique et la collecte de données prospectives ; deuxièmement, la réalisation de relevés photogrammétriques pour l'étude des habitats écologiques sous-marins. Ces deux missions ont pu être réalisées grâce au sondeur multifaisceau BO-SUN 21 de confection jashurienne, pour les relevés bathymétriques ; et grâce à l'appareil de photographie sous-marine intégré au navire, également conçu par les Arsenaux Guandi. Ces deux outils nous ont permis de collecter des données très précises sur la profondeur et la conformation des fonds marins sur une zone qui s'étend entre 200 et 300 kilomètres à l'écart des côtes nationales. L'ensemble de ces données permettra autant d'étudier la géomorphologie du plancher continental que de faire l'évaluation écologique des ressources halieutiques.

En d'autres termes, les données que nous avons récolté dans ces premiers jours de l'expédition permettront de construire les cartes sous-marines, d'identifier les dynamiques de population des différentes espèces marines exploitées au large de nos côtes, et de dresser une analyse des artefacts éventuels (présence d'épaves, de mines, d'obstacles naturels au passage des navires, etc.). L'ensemble de ces analyses permettra à l'Institut de Géographie de remplir sa mission d'information à l'égard du grand public et des services de l'Etat. En dernière étape, ce sera au Ministère de la Mer et aux autorités de déterminer si, au regard de la situation monitorée par notre expédition, des mesures conservatoires s'imposent pour, par exemple, autoriser l'émission de nouvelles licences de pêche, conduire des travaux de prospection minière plus approfondis, ou légiférer sur l'usage des ressources maritimes.

Bientôt vingt jours déjà, et tant a été accompli pour l'intérêt général !


07.01.2015 - Une saison de recherche dans les Cocsades
Par Nefer Yilmaz, docteure en océanographie, chef de l'expédition scientifique de l'Albiréo

Le soleil de janvier baigne l'horizon. La mer est une nappe d'argent, aussi tiède et salée que la saison le permet ; nos météorologistes et climatologues analysent, en ce moment, le lien entre la température de la mer dans ce beau Golfe du Diambée et les prévisions à attendre en terme de mousson tardive. Les pluies, qui ont démarré sur le continent depuis septembre, peuvent se prolonger jusque tard dans la saison estivale quand l'eau de la mer ne se rafraîchit pas. Dans ces eaux tropicales, c'est un flux quasi-continu d'humidité qui arrose les côtes du Mirobansar et de Saaidi ; mais le réchauffement climatique en cours pourrait-il aggraver le processus ? C'est le travail de la modélisation climatique de le prédire, et notre mission y sert aussi, en ajoutant de nouvelles données, plus précises et qualitatives, aux connaissances actuelles sur les patterns de réchauffement des eaux locales de surface dans cette région maritime.

Mais je m'égare ; le moment n'est pas de parler de nos recherches en cours, mais de celles qui viennent de se conclure. La saison hivernale est terminée ! Depuis mai, l'Albiréo dont je commande la mission océanographique croise dans l'archipel des Cocsades, et nos équipes ont fait un travail merveilleux. Je ne pourrais tous les citer, mais je pense au Pr Ben Akri, en matière de socio-linguistique notamment ; lui a passé l'essentiel de son temps sur les îles, à interroger les rares pêcheurs qui y vivent (ces îles, dépourvues de source d'eau douce, n'hébergent qu'entre 500 et 1000 habitants permanents selon notre recensement). Ses travaux sur le dialecte local seront des sources d'enseignement précieux pour comprendre la dynamique sociale et historique du peuplement dans le Golfe du Diambée. Je pense aussi aux équipes du Dr Cemla Ahmadi, et de ses doctorants et plongeurs commandés par le sergent Bassur Lekhto de la Marine nationale azuréenne, qui ont fait un travail d'une très grande qualité sur la description des écosystèmes coralliens de la façade sud-ouest de l'archipel, avec notamment une identification de 6 nouvelles espèces de cnidaires, endémiques de ce biotope particulièrement riche. Leurs analyses sur les dégâts historiques provoqués aux coraux par la pêche de fond apportent des éclairages majeurs sur la dynamique générale des populations halieutiques. Ces résultats seront présentés dans une publication officielle en lien direct avec les autorités gouvernementales. Quand la science et la politique travaillent ensemble, il y a vraiment de quoi se féliciter !

Mission azuréenne dans les Cocsades, mai à novembre 2015.
Mission azuréenne dans les Cocsades, mai à novembre 2015.


La carte ci-dessus détaille l'ensemble des recherches que nous avons effectué sur la saison hivernale, et l'emplacement géographique des collectes de données. En ce qui concerne l'évaluation des écosystèmes, des plongées, des prélèvements, ainsi que de l'analyse satellitaire ont été généralisés à l'ensemble de l'archipel avec deux études de cas au large de l'îlot d'al-Hadu, caractérisé par un fort courant sud, et à l'intérieur du collier archipélagique au niveau de la Petite-Cocsade. Sur Grande-Cocsade, des travaux de sciences humaines ont eu lieu, comme je l'ai décrit précédemment. Des fouilles archéologiques, dirigée par l'Institut d'Archéologie de Mysore, ont permis également d'étudier plusieurs sites historiques le long de la côte de l'île exposée au continent, et de révéler la présence d'activités humaines qu'une publication ultérieure décrira. Ces fouilles se sont également accompagnées de plongée côtière, permettant de rapporter un certain nombre d'objets issus de naufrages anciens, éclairant mieux les dynamiques commerciales historiques de la région.

L'envie ne m'en manque pas, mais je ne peux dévoiler ici le contenu des résultats de cette saison passée dans les Cocsades. Je ne peux que vous retransmettre les impressions que nous laissent les expériences et le temps d'ici. Les Cocsades sont un environnement unique au monde, très peu peuplé en comparaison de la côte continentale. La biodiversité, essentiellement marine, est incroyablement riche ; nul doute que ces eaux ont été longtemps un havre de pêche particulièrement apprécié par les populations locales ! Si des questions de durabilité se posent, je suis néanmoins sûre que les autorités azuréennes sauront prendre en compte les résultats scientifiques produits par nos recherches pour mieux préserver cet écrin de beauté.

Al-Huda

L'Albiréo continue sa mission. Après nous être sustentés quelques jours, nous avons mis le cap sur l'archipel de Qusanbar, plus à l'est au large dans l'Océan des Perles. Cet atoll volcanique sera l'occasion d'étudier à nouveau la flore et la faune marine, et de nous livrer à des études halieutiques complètes, ainsi que le ministère le demande. L'équipage, comme moi, a hâte d'en apercevoir la silhouette à l'horizon !


13.02.2016 - Escale dans l'archipel de Qusanbar
Par Nefer Yilmaz, docteure en océanographie, chef de l'expédition scientifique de l'Albiréo

La mer est d'huile et le temps est bon. L'escale prévue dans l'ordre de mission a eu lieu à Al-Djezaïr, la base permanente installée dans les atolls de Qusanbar, à deux cent kilomètres de la côte afaréenne. Notre objectif ; récolter de nouvelles données géopétrologiques, en particulier pour mieux comprendre la formation de ces îlots dispersés en collier, dont la structure superficielle est construite sur une accrétion de corail. L'hypothèse d'une origine volcanique de ces formations en anneaux demande à être critiquée, et c'est ce que notre équipe de spécialistes en géologie marine va faire. Une plongée en grande profondeur avec notre gymnote, petit-sous-marin spécialisé pour la recherche scientifique, va permettre également d'enrichir les données bathymétriques pour comprendre l'emplacement et le développement des fonds marins. Comme précédemment, nous ferons également un travail de collecte de données écologiques, dans le cadre du programme national de protection des coraux. Les récifs coralliens, à l'origine de ces précieuses îles perdues dans l'océan, sont en danger en raison de l'acidification et du réchauffement des océans, lié au changement climatique induit par l'accumulation du carbone dans l'atmosphère.

Archipel de Qusanbar : 17 atolls et îlots

Notre équipe d'archéologues nous accompagne encore pour réaliser des plongées et des fouilles sur la partie émergée de l'archipel. L'objectif est d'approfondir les connaissances sur l'occupation humaine de l'archipel dans les périodes précédentes, et notamment avant le dix-neuvième siècle, période à laquelle aucun habitant permanent n'était recensé, à l'exception de quelques postes liés au ravitaillement des navires de commerce qui parcouraient le Golfe du Diambée. De ce fait, ces recherches permettront de mettre en lumière les différentes façons de vivre en mer, et d'éclairer notre propre rapport à ces îles.

Enfin, les experts géologues feront usage du sonar acoustique et des appareils de télédétéction pour réaliser un nouveau travail de cartographie des fonds marins, dans l'objectif de recenser les formations lithographiques et d'identifier le potentiel économique de la région. Pendant ce temps, je me chargerais d'organiser ce qui représente l'essentiel de notre mission ; le recensement halieutique et l'estimation des dynamiques et des cycles de renouvellement des ressources en poisson, pour appuyer la politique nationale visant à réglementer la pêche durable dans les eaux territoriales azuréennes.

Notre présence à Qusanbar durera vraisemblablement encore un mois, après quoi nous mettrons le cap vers notre prochain objectif ; Naccra, l'île volcanique au large de la péninsule du Mandrarika.
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