09/02/2018
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Un paysage perdu au Nouveau-Saptär...

Activités Intérieures

Il est prié de ne pas écrire en dessous de ce post, qui servira à décrire des histoires se produisant au sein de l'état de Nouveau-Saptär
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contrebande en sous-sol

Contrebande et projets

Dans les tunnels tous-terrains qui couvrent Nova-Aphalstèma, la capitale de l'état Yukanaslave du Nouveau-Saptär, deux groupes d'hommes se tenaient, face à face. Leurs tenues, chics, permettaient de clairement savoir à quelle classe ils appartenaient. Ils étaient ce qu'on appelait des membres des "grandes familles", en bref, des contrebandiers. Ces individus n'étaient pas chassés, ni recherchés, dans l'état de Volodimir Pervetcha. A vrai, dire, ils participaient à l'économie de l'état, à travers leurs casinos et leurs marchandages, certes illégales, mais très fructueuses. De ce fait, les président du Nouveau-Saptär n'ont jamais cherché à éradiquer ces groupuscules, et se contentaient juste de cacher cette information au régime fédéral et aux autres états. Cette situation, inédite, avait cependant permis à Nova-Aphalstèma de devenir l'épicentre des trafiquants et des contrebandiers, et de devenir l'un des états les plus riches et les plus développés de la Fédération.

C'est alors, dans la pénombre, qu'un homme commença à parler :

"Je suis Bondipo de la famille des Lomioka, enchanté !"

Aussitôt, dans le groupe d'en face, un autre homme approcha :

"Mes salutations, je suis Alexander, de la famille Pervetcha. Vous m'avez quémander, je peux savoir pourquoi ? Tergiversez pas, j'ai des commandes qui m'attendent..."

"Eh bien, pour être tout à fait honnête...", commença Bondipo, "je crois que j'ai trouvé un nouveau marché pour nos affaires. Vous connaissez la Costa Sueñoleja ?"

"Notre voisin ? Le pays corrompu à l'os ? J'en ai entendu quelque petites rumeurs...", répondit Alexander. "Ils veulent qu'on les finance ?"

"Pas encore, il faudrait qu'on les contacte. Mais repensez à ce que vous avez vous-même dit... C'est un pays corrompu ! c'est le lieu idéal pour faire nos petites affaires sans être inquiétés ! Imaginez : des casinos, financés par nous, d'ont nous tirerions quelque avantages, comme un pourcentage sur la monnaie obtenue par les jeux de hasards et d'argents ! Et de plus, quelque spécialités de là-bas que nous pourrions prendre ! Ne serait-ce pas là le début d'une fortune nouvelle ? Je pense que nous devrions vite investir là bas, sinon les autres familles le feront à notre place !

Sieur Alexander Pervetcha, nous nous connaissons depuis plusieurs années. Vous ai-je trompé une seule fois ? Vous ai-je fait perdre de l'argent dans une de mes entreprises ? La Costa Sueñoleja, je vous l'affirme, est l'avenir de notre commerce, croyez moi !"


Alexander Pervetcha réfléchit quelque minutes, avant de demander :

"L'état ne fait rien contre les contrebandiers ?"

"Manolo Solera est en accord avec les gangs et les trafiquants de là bas. Il est corrompu, comme le reste du gouvernement. Je vous le dis, c'est un paradis pour les affaires !", répondit Bondipo.

"Je vous fait confiance, envoyez une missive là bas, mais attention, que je ne perde rien, sinon il en sera fini de notre collaboration, me suis-je bien fais comprendre ?", termina Alexander.

"Ne vous inquiétez pas...

la Costa Sueñoleja deviendra notre paradis

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"Mon cher ami, il me faudrait des armes pour une de mes cargaisons, saurais tu où en trouver ? J'en aurais besoin au plus vite, pour soutenir un projet... spécial..."
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Bondipo a écrit :"Mon cher ami, il me faudrait des armes pour une de mes cargaisons, saurais tu où en trouver ? J'en aurais besoin au plus vite, pour soutenir un projet...

"Mon ami, je reviens vers vous pour vous annoncez une bonne nouvelle. Les armes seront disponibles, il me faut seulement savoir le nombre désiré, et nous pourrons négocier les prix pour la suite...
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Gusta... fen ?

un homme vient d'arriver, la mine sombre. Quel diable l'a donc amené à fouler ces lieux ?

Pourquoi est il là ?
Mais comment ?
Tout cela est fort étrange...
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Transmission précédente...


"Cher ami Bondipo, tout est préparé. Vous pouvez enfin répondre à vos clients que les armes arriveront avec le pactole. En espérant que ce petit marchandage aura été bénéfique pour nos deux camps..."
Quelque Armes Légères d'Infanterie de dernière génération...
2507
ATTENTION : INUTILISABLE EN RP

Un marché productif
Le premier homme et le second


//appel téléphonique//

Le premier homme - "Tiens donc, cela faisait longtemps, que me veux tu P'tit boche ?"

Le second - "Pourrais tu me rendre un service Dany ?"

Le premier homme - "Fais donc comme chez toi, je t'en prie, qu'est ce donc ?"

Le second - "N'oublie pas que tu me dois une faveur pour t'avoir sauvé de ta querelle avec Broarzon, alors je te prie de bien vouloir me prendre au sérieux"

Le premier homme - "Je n'ai qu'une parole, tu le sais bien. Allez, je t'écoute donc plus sérieusement. J'ai cru comprendre que les choses se gâtent par chez toi ?"

Le second - "Oui... C'est... assez compliqué. Disons... que les choses ne s'arrangent pas beaucoup. Et c'est bien pour cela qu'il me faut ton aide. Tu as un réseau important, tu le sais très bien, et j'ai besoin de quelques petits investissements vois-tu. Tu pourrais, par exemple, pouvoir disposer de quelques milliers de vos armes les plus performantes ?"

Le premier - "Oh ooohhhh... Mais cette affaire m'a tout l'air de m'intéresser. Et pour quelles petites raisons me demande tu cela ? Quel est donc ce projet ?"

Le second - "C'est pas ton problème Dany. Répond plutôt à ma question. Je suis prêt à mettre le prix s'il le faut"

Le premier - "Ecoute, si tu es en capacité de me donner 10 000 Imas, je suis prêt à accepter ta proposition. Néanmoins, comment tu comptes acheminer ces petits bijoux en Kaulthie alors que ton pays est en théorie opposé au miens ?"

Le second - "Ne t'inquiète pas pour cela, je trouverais. Dans le pire des cas, j'irais voir vers les gens de Qadisha, ou bien de Théodosine. Ces derniers sont suffisamment corrompus pour pouvoir passer sans se faire remarquer"

Le premier - "Je te conseil de faire attention, P'tit boche. Les gens par là bas n'aime pas les navires étrangers"

Le second - "Tu penses que des navires sous drapeaux yukanaslaves passeraient mieux ?"

Le premier - "C'est tout con, mais oui. La Yukanaslavie est neutre dans les conflits de Leucytalée et de la Blême, donc toute attaque contre leur drapeau pourra être vue comme une agression contre la Fédération. Et j'ai mes contacts pour arranger la situation. Je peux même disposer d'une petite flottille aérienne pour transporter le matos si tu y mets le prix"

Le second - "Et tu le vends à combien ce service ?"

Le premier - "1 000 000 d'Imas supplémentaires. On ne fait pas des omelettes sans casser des oeufs."

Le second - "Tu n'es pas le moins cher du marché, mais je sais bien que tu es fiable contrairement à certains... Va sur ça. Je me note de te transférer les 1 001 000 Imas durant les semaines qui viendront. Pendant ce temps, je vais essayer d'avoir un laisser-passer à Théodosine. Ce sera certainement plus sécurisé. Et au pire, on fera marcher d'autres pays pour transférer ces armes. Merci de ton service, Dany, je te dois bien des services"

Le premier - "Pour vous servir, P'tit boche ! Ne crève pas avant la prochaine fois ! Que Dieu te garde !"

//coupure téléphonique//
1300
ATTENTION : INUTILISABLE EN RP

Un marché productif
Le premier homme et le second


//appel téléphonique//

Le premier homme - "Allo ? Tu me reçois Bondi ? J'ai besoin de toi"

Le second - "Oh tiens donc, mon cher ami ! Qu'est ce qui t'amène à me contacter aujourd'hui ?"

Le premier homme - "J'ai un contrat très juteux à te proposer. Un client souhaite avoir 1 000 Armes le plus rapidement possible, tu penses que cela serait dans tes cordes ? Je lui ai proposé 1 000 Imas en échange, qu'en penses tu ?"

Le second - "J'ai une impression de mensonge... Ta voix te trahit mon ami... Il t'a demandé autre chose, non ?"

Le premier homme - "C'est pas tes affaires. Je te propose de faire 50/50 avec les bénéfices de cette affaire. Cela te convient ?"

Le second - "Tu es fort peu négociateur. Tu me demandes de t'acheminer 1 000 Armes, et toi tu prends la moitié en ayant rien fait ? je te propose plutôt 70% de la somme pour mon travail difficile, et 30% pour toi"

Le premier - "Bondi. Je ne peux me permettre de baisser aussi bas. Je te propose autrement 60% de la somme pour toi, et 40% pour moi"

Le second - "mmh... Est ce que j'accepte cela ? Bon allez, ce n'est de toute manière pas cette affaire qui va me rendre plus riche que je ne le suis déjà ! HA HA HA HA HA !"

Le premier - "Parfait. Dans ce cas, amène ces armes à la capitale, je me chargerais du reste"

Le second - "Mais dit moi, qui est ce client ?"

Le premier - "Un eurysien. Je ne peux pas t'en dire plus"

Le second - "Entendu ! A la prochaine mon bon ami !"

Le premier - "C'est ça oui, que Dieu te garde"

//coupure téléphonique//
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