11/05/2017
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Rencontre Alguarena - Hotsaline à Troïtsiv

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RENCONTRE ALGUARENA - HOTSALINE À TROÏTSIV


Troïtsiv, capitale de la République d'Hotsaline


Attendant patiemment dans son bureau, la Ministre des Relations Extra-Confédérales s'apprêtait à recevoir la délégation de la première puissance mondiale. Les intentions de la diplomatie hotsalienne au cours de cette rencontre avait déjà été assez clairement énoncées dans la missive adressée au département fédéral des affaires étrangères alguarenan quelques jours plus tôt, s'agissant d'endiguer autant que possible la diffusion du communalisme kahtanais en Eurysie centrale, et surtout assurer la sécurité de la République d'Hotsaline et de la Confédération de Kresetchnie contre les menaces d'invasion répétées que proférait l'exécutif mährenien depuis la prise de fonction du chancelier Rossmann. Pour ce faire, le gouvernement hotsalien espérait obtenir des garanties similaires à celles qu'avait déjà pu formuler le Royaume de Teyla à son égard, à savoir l'assurance d'être défendu contre les agressions extérieures en provenance de la Mährenie, de la Kaulthie communaliste, ou de tout autre membre du Libertalintern, ainsi que la présence permanente d'un contingent alguarenan sur le territoire hotsalien, selon une formule similaire à celle adoptée concernant les bases militaires teylaises installées en Kresetchnie, de manière à dissuader toute initiative hostile.

L'objectif pouvait sembler ambitieux, mais il était à la hauteur de la menace. Jour après jour, l'idéologie communaliste gagnait du terrain en Eurysie centrale, poussée à bout de bras directement depuis Axis Mundi, qui était parvenu à prendre pied dans la région quelques années auparavant en prenant militairement le contrôle de la Mährenie. Depuis lors, le Kah était parvenu à diffuser son modèle en Kaulthie, et commençait à prendre pied en Kresetchnie à travers la Principauté de Kaulthie des Altars, où le communalisme kahtanais prenait peu à peu ses quartiers. Alors qu'elle assistait à la chute de l'ensemble de son voisinage, l'Hotsaline se savait la prochaine sur la liste, ce qui représentait une perspective inacceptable pour les membres du Conseil, qui venaient à peine de libérer le pays de l'autocratie kravchukienne pour y permettre l'avènement d'un régime véritablement démocratique et représentatif. En tant que puissance montante de la région, la chute de l'Hotsaline signifierait de laisser au Grand Kah la mainmise totale sur l'Eurysie centrale, entérinant l'établissement de sa tête de pont vers le reste du continent, déjà en proie aux excès belliqueux et eschatologiques du loduarisme.

Ayant déjà eu affaire à l'expansionnisme kahtanais par le passé, il était évident que l'intérêt des Îles Fédérées d'Alguarena ne résidait pas dans une prise de contrôle du continent eurysien par les marxistes et les communalistes paltoterrans. Or, en tant que première puissance mondiale, Aserjuco était la seule capable de représenter un pouvoir de dissuasion suffisant pour prévenir l'escalade que constituerait une intervention directe des forces armées du Grand Kah dans la région. Restaient maintenant à déterminer les conditions de la coopération qui s'imposait entre les deux États pour préserver la frange eurysienne du monde libre de la marche insidieuse des pions placés par Axis Mundi.


Yuliya Yavshko, Ministre des Relations Extra-Confédérales de l'État de Réclamation Nationale d'Hotsaline
Yuliya Yavshko
Ministre des Relations Extra-Confédérales de la République d'Hotsaline


« Soyez bienvenu à Troïtsiv, Excellence. J'espère que votre voyage n'aura pas été trop pénible, au vu de la distance qui sépare nos deux capitales.

J'ai cru comprendre à la lecture de votre missive que vous partagez nos inquiétudes et nos préoccupations quant à la diffusion de l'idéologie communaliste dans les nations d'Eurysie centrale, pilotée en sous-main à travers les actions insidieuses du Grand Kah, qui peu à peu cherche à s'emparer de la région. Vous comprendrez que la menace ainsi constituée contre notre sécurité soit au cœur de nos préoccupations. À l'heure actuelle, la Confédération de Kresetchnie voit sa défense garantie par le Royaume de Teyla, qui possède deux bases militaires opérationnelles sur notre territoire. Toutefois, je crains hélas que l'aviation teylaise, aussi prestigieuse soit-elle, ne suffise guère à dissuader une éventuelle intervention directe des forces kahtanaises contre notre pays, étant donné les moyens massifs déployés par Axis Mundi pour armer ses pantins dans la région.

En conséquence, nous espérons qu'un accord similaire à celui qui a déjà pu être signé avec nos partenaires teylais puisse également être mis en œuvre avec les Îles Fédérées d'Alguarena, selon des conditions qui restent à définir au cours de cette rencontre. Si vous avez accepté cette entrevue, je suppose en tout cas que vous n'êtes pas totalement fermé à cette idée. »

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TROÏTSIV le 11 mai 2015


Le conseiller fédéral aux affaires étrangères d'Alguarena, Simón Velázquez, à sa descente d'avion
Le conseiller fédéral aux affaires étrangères d'Alguarena, Simón Velázquez, à sa descente d'avion.


Le soleil se lève à l'Est et se couche à l'Ouest nous racontons nous depuis que le monde est monde, ce dicton avait aujourd'hui une définition plus véritable encore, après les tractations Hotsalienne qui faisaient l'écho de la situation politique incertaine de l'Eurysie centrale. Le monde de demain se jouait-il aux frontières de l'Hostaline? Très peu parmi la sphère journaliste et politique voudraient le croire, et possiblement pas même l’exécutif de la Fédération d'Alguarena. Mais le délitement de l'autorité étatique constaté en Kresetchnie, région morcelée au gré de sa topographie et sur lequel aucune institution unique n'a su créer d'ensemble cohérent rangé derrière une seule identité nationale, renforcé par la bordelisation amorcée par les mouvances révolutionnaires d'obédience communaliste qui ont orchestré un coup d'état militaire en Mahrénie, soulève des inquiétudes légitimes dans la sphère politique alguarena. Quels appuis libéraux solides et concrets en Eurysie pour l'Alguarena, après la chute du Prodnov?

La chute du Pharois Syndikaali, région désinstitutionnalisée et perçue par la gouvernance alguarena sur la scène mondiale comme les traces d'un moignon gangréneux arboré sur un corps humain, était une opportunité de définitivement rouvrir la Manche Blanche, aux intérêts macroéconomiques de la Fédération d'Alguarena. La place laissée vide par cet agrégat de villes souillées par le banditisme, ne doit alors raisonnablement pas se trouver combler par des révolutionnaires désinhibés affiliés aux mouvances armées d'un communisme meurtrier, comme la région n'a que trop connu, au Prodnov.

Mais sur la question de la Manche-Blanche, le gouvernement fédéral alguareno avait déjà tranché, à la faveur de... Rasken, qui par sa géographie et son relatif isolement régional, était à même de constituer un contact affable, pour débuter des négociations franches autour de l'investissement militaire alguareno en Manche-Blanche. Seulement, les tensions naissantes entre le Rasken et l'Hotslaline pouvaient raisonnablement faire partie de l'équation débutée avec les communalistes de la région, traçant en quelques sortes, une troisième voie, pour cette zone d'intérêt stratégique. C'est donc sur un pied mal assuré, un cap pas si clair que cela, que la Fédération d'Alguarena escomptait appréhender ce triangle amoureux, entre raskenois, hotsaliens et communalistes.

Ce jour là, le soleil se voulait plus perçant que les idées, pour aider Simón Velázquez à appréhender l'étendue des options mises sur la table. Un point qui avait fortement conditionné la présence d'une délégation diplomatique réduite, cantonnée à son correspondant usuel qu'était le conseiller fédéral aux affaires étrangères, pour ne pas gager de discussions relevant d'un domaine régalien précis ni fermer de porte à l'un d'eux.

Ajustant sa cravate et possiblement sa pensée, le diplomate quinquagénaire finit par apparaître à la porte de l'avion, saluant chaleureusement un correspondant hostalien, persuadé qu'il devait être quelqu'un de suffisamment important pour nécessiter qu'on lui fasse réceptionner une délégation étrangère. En l'absence d'un grand protocole, Simón Velázquez salua quelques journalistes de chaînes informées et autorisées à se trouver ici, avant d'être davantage gagné par la tiédeur, lorsqu'il fallut gagner le véhicule et partir en direction des bâtiments institutionnels. Traversant une partie de la ville en voiture, pour faire la jonction entre l'aéroport et le lieu de réception officiel, le diplomate alguareno fut marqué par le caractère illustre et pompeux donné à certains bâtiments et monuments, eux qui ne sont que la devanture d'une micronation architecturée sur un espace territorial complexe et dont les tensions régionales aux frontières devaient générer des difficultés d'approvisionnements à moindre frais.

Mais de brèves recherches effectuées en amont de la rencontre avaient su démontrer les tractations intensives du gouvernement local, pour capter des fournisseurs stratégiques sur les principales ressources naturelles attendus dans le pays. Une galipette diplomatique qui témoignait de la capacité hotsalienne à construire partout où cela était nécessaire, ce qui faisait défaut à ses frontières.


Conseiller fédéral aux affaires étrangères Simón Velázquez
Simón Velázquez
Conseiller fédéral aux affaires étrangères de la Fédération d’Alguarena.


« Je vous remercie pour votre chaleureux accueil. Le voyage était à ma guise et à ce propos, je vous prierai même de croire qu'il m'est en cette saison, plus agréable de me trouver de ce côté du globe...

Les manoeuvres kah-tanaises, au Pontarbello, au Communaterra, au Kodeda listonien, au Vinheimur, en Mahrénie, constituent des faits inquiétants et condamnables, comme le serait toute personne qui se refuserait à se les représenter. La Fédération d'Alguarena caresse l'espoir de ne pas transparaître dans cette catégorie et travaille ardemment à stabiliser des points de tension ainsi qu'à saisir des opportunités géopolitiques mondiales, pour transformer la désinstitutionnalisation pharoise en alliances régionales notables, notamment auprès de ses voisins régionaux telle que l'Hotsaline.

Seulement voilà, si les pays communalistes jouissent d'une adhésion populaire acquise de facto sur un certain lot de sujets, épargnant à leurs gouvernances toutes les tempérances, force est de constater que l'Hotsaline est un théâtre encore assez méconnu de la société civile alguarena.

Un fait que nous pourrions facilement remédier, notamment en recourant à des conférences de presse communes ensuite relayées par voie de presse internationale, pour partager une photographie politique de la région, les revendications hotsaliennes, la position alguarena autour de celle-ci. Autant de choses qu'il conviendra de mettre à plat, pour savoir jusqu'où peut se faire l'engagement alguareno, considérant la possibilité d'un nouvel affrontement armé pour les forces alguarenas sur ce théâtre déjà endeuillées au Prodnov. Un nouvel affrontement armé avec les forces kah-tanaises, n'est ni craint, ni pourchassé, mais aujourd'hui considéré comme une probabilité croissante sur laquelle un investissement militaire en Hotsaline est clairement à considérer.

Aussi, pour identifier la République d'Hotsaline comme un partenaire stratégique régional, il serait de bon aloi que nous travaillons à l'établissement de certaines lignes d'approvisionnement, pour justifier un abaissement du prix de certains produits importés ainsi que notre intérêt pour la région. En second lieu, il serait également pour nous nécessaire de toucher l'agenda d'autres acteurs politiques régionaux pour lesquels vous pourriez nous mettre en relation, en vue de permettre le mouillage de navires militaires en Manche-Blanche, pour y réintroduire les dynamiques commerciales t économiques auxquelles nous aspirons.

De notre côté, il est évident que la Fédération d'Alguarena dispose de quelques atouts pour asseoir légitimité et souveraineté hotsalienne dans la région :
  • la première d'entre elles et vous l'appelez de vos voeux, serait l'établissement d'une force aérienne impactante en Hotsaline, pour permettre en premier lieu un acte de dissuasion dans la région et si nécessaire permettre une réaction rapide ainsi qu'immédiate,
  • la République d'Hotsaline peut, en période hivernale, être un théâtre assez défavorable pour un déploiement de forces au sol en situation opérationnelle, qu'il soit question d'alguarenos ou de kah-tanais, l'intérêt pour nous serait donc davantage de solliciter une société militaire privée de premier plan en Paltoterra, telle que le Jaguar Paltoterran. Nous pourrions raisonnablement vous mettre en relation lorsque le moment sera opportun, ils pourraient alors recruter des personnes de tout horizon, hotsaline comprise, pour les déployer au sol chez vous et présenter à une force invasive ennemie une résistance farouche que les troupes alguarenas viendraient compléter en théâtre urbain, coutumière des stratégies associées,
  • nous pourrions également travailler, sous la dynamique de nos instructeurs ou de ceux du Jaguar Paltoterran, à la professionnalisation de votre armée, par l'identification d'une articulation claire, la formation et l'équipement d'unités militaires organiques, voire la création d'une doctrine militaire tournée vers la défense du territoire.

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Yuliya Yavshko, Ministre des Relations Extra-Confédérales de l'État de Réclamation Nationale d'Hotsaline
Yuliya Yavshko
Ministre des Relations Extra-Confédérales de la République d'Hotsaline


« Soyez assuré que nous comprenons les préoccupations qui sont les vôtres, et que nous mettrons en œuvre tout ce qu'il est possible de faire de notre côté pour légitimer une telle perspective auprès de la société civile et de l'opinion publique alguarenanes. Sur le sujet de la communication à mettre à place, nous nous mettons à disposition de vos services pour organiser au mieux les campagnes d'information selon les modalités spécifiques aux habitudes et aux coutumes de votre pays. Par ailleurs, nous tâcherons prochainement de travailler à une plus ample diffusion de nos organes de presse afin de mieux sensibiliser l'opinion alguarenane aux problématiques de notre pays et de sa région, et ce faisant créer susciter une plus grande implication vis-à-vis des préoccupations que nous semblons par ailleurs déjà partager.

Sur un volet plus pratique, nous bénéficions assez largement d'une influence suffisante au sein de la Confédération pour infléchir la politique du gouvernement confédéral en faveur d'un resserrement des liens économiques et commerciaux entre la Kresetchnie et les Îles Fédérées. Un abaissement des barrières douanières me parait, dans un premier temps, le moyen le plus efficace et direct de favoriser les échanges et maintenir l'intérêt des acteurs économiques de l'ONC pour notre région du monde. Sur un plan plus logistique, les moyens d'approvisionnement demeurent, pour le moment, limités par la configuration géographique régionale. Toutefois, nous espérons que la conférence de paix proposée par nos services à l'Empire Raskenois, qui se tiendra prochainement sur le territoire de l'Administration Militaire de Gradenbourg, permettra une réouverture progressive des frontières entre notre confédération et ses voisins, et donc une intensification du commerce qui s'en trouvera grandement facilitée.

Par ailleurs, puisque vous avez évoqué la question du mouillage de votre flotte en Manche Blanche, nous pouvons confirmer que l'Empire Raskenois a exprimé des préoccupations et des inquiétudes similaires aux nôtres concernant l'expansion du communalisme et de l'influence kahtanaise en Eurysie centrale. Si la conférence de paix à venir est un succès, la formation d'un dispositif défensif élargi, incluant notamment Rasken ainsi que d'autres puissances régionales menacées par la montée en puissance des communalistes, pourrait être envisagée. Je ne doute pas qu'un accord pourrait alors être trouvé concernant les conditions sous lesquelles la flotte alguarenane serait autorisée à stationner durablement dans les ports raskenois qui donnent sur la Manche Blanche.

Pour en revenir à l'Hotsaline à proprement parler, la perspective qui nous rassurerait le mieux serait évidemment celle d'un déploiement aérien susceptible de constituer un contrepoids efficace à une éventuelle intervention directe de l'armée de l'air kahtanaise, qui constitue l'un des points des forts de l'appareil militaire de nos ennemis, en plus d'être celui que le Grand Kah serait le plus susceptible de déployer en Mährenie si la situation venait à s'envenimer, principalement pour des raisons de flexibilité. L'Hotsaline a l'avantage, contrairement à nombre d'autres États membres de la Confédération de Kresetchnie, de bénéficier d'une topographie assez plane grâce aux larges plaines de Posiv, lesquelles sont non seulement la clé de l'avancée considérable de notre pays sur ses voisins en terme de développement économique, mais offrent également de plus vastes possibilités stratégiques. Notre territoire accueille ainsi une base aérienne teylaise depuis près de deux ans, laquelle peut opérer son rôle défensif dans des conditions optimales.

Toutefois, si les conditions locales écartent pour le moment l'éventualité d'un déploiement de troupes alguarenanes sur notre sol, il conviendrait de réfléchir à d'autres garanties de sécurité qui pourraient être mises en place vis-à-vis de notre pays. Vous comprenez sans doute que tout l'intérêt de ce partenariat réside pour nous dans le caractère dissuasif qu'il pourrait représenter face à la perspective d'une intervention directe des forces kahtanaises contre notre l'Hotsaline et la Kresetchnie. Si une présence directe des troupes des Îles Fédérées sur notre sol devait pour l'heure être écartée, nous n'avons pas moins besoin d'un moyen d'envoyer aux autorités kahtanaises le message que, là où elles chercheront à étendre leur influence plus avant en Eurysie centrale, elles viendront se confronter à la résistance de l'Alguarena. »

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TROÏTSIV le 11 mai 2015


Conseiller fédéral aux affaires étrangères Simón Velázquez
Simón Velázquez
Conseiller fédéral aux affaires étrangères de la Fédération d’Alguarena.


« Le choix d'installer une base militaire et avec elle une partie conséquente de nos escadrilles aériennes en Hotsaline, appelle à une consultation de mes pairs et de la présidence fédérale. En effet, outre les considérations politiques, ce sont également des considérations logistiques qu'il conviendrait d'examiner d'un même oeil, avec le département à la défense.

Toutefois, indépendamment de l'arbitrage fait à cette demande, il est acquis que la lutte contre l’impérialisme rouge est une des priorités inscrites dans la politique étrangère de la présidente Mazeri Abrogara, et que l'effondrement du Pharois Syndikaali et du Prodnov communiste doivent ouvrir un lot d'opportunités que la présidence fédérale est prête à saisir.

Aussi et concrètement, dans l'attente d'étudier la possibilité d'installer une base militaire alguarena au coeur de l'Eurysie, de sorte à porter plus au nord nos coopérations militaires locales déjà débutées avec le Novigrad et le Fortuna, il est permis d'envisager dès à présent:
Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées
Bien entendu vous l'avez compris, ces garanties alguarenas implique la formation d'intérêts croissants pour la région. Sans ça, il me serait impossible de formaliser ces moyens à la hauteur de ce qu'ils représentent pour mon pays, sur un plan politique, stratégique et logistique. La contrepartie nécessaire reposerait sur:
Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées
Nous communiquerons sur la mise en place d'une conférence de presse en sortie de visite diplomatique sur le sol alguareno, cette action sera le meilleur moyen de vulgariser à nos citoyens la situation en Krésetchnie et de tisser auprès de la société civile, les engagements inhérents aux intérêts économiques et politiques, de notre collaboration.

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Yuliya Yavshko, Ministre des Relations Extra-Confédérales de l'État de Réclamation Nationale d'Hotsaline
Yuliya Yavshko
Ministre des Relations Extra-Confédérales de la République d'Hotsaline


« Je comprends tout à fait les réserves que peut susciter la perspective d'un déploiement militaire direct sur notre territoire, au vu du risque que celui-ci ferait prendre à vos forces et à vos soldats. Quoi qu'il en soit, nous sommes suffisamment patients pour attendre les délibérations de vos services qui auront la sagesse d'attendre, je m'en doute, d'avoir connaissance des premières perspectives économiques que ce premier partenariat sécuritaire et commercial aura ouvertes pour les acteurs alguarenans. De notre côté, soyez assuré que nous ferons notre part en vous communiquant les informations nécessaires à une introduction efficace de vos acteurs économiques au contexte politique et géographique régional propre à la Kresetchnie, ainsi qu'en œuvrant autant que faire se peut au désenclavement de notre pays en vue de faciliter l'acheminement des biens et des services vers notre territoire. »
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