11/05/2017
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[DEFENSE] Les unités de l'Armée de l'Air de la République faravanienne

Les unités de l'Armée de l'Air de la République faravanienne

Les grands commandements de l’Armée de l’Air faravanienne




Insigne de l’Armée de l’Air faravanienne, composée d’une couronne de lauriers symbolisant l’excellence, d’une étoile pour guider les aviateurs et des ailes qui incarnent l'essence de l’Armée de l’	Air.
Insigne de l’Armée de l’Air faravanienne, composée d’une couronne de lauriers symbolisant l’excellence, d’une étoile pour guider les aviateurs et des ailes qui incarnent l'essence de l’Armée de l’ Air.

La structuration de l’Armée de l’Air faravanienne en grands commandements doit permettre de rationaliser l’emploi des moyens en partant du principe que l’éloignement de la menace et la nature inhéremment projetable de la force aérienne ne permet pas structurellement de préassigner des forces à d'éventuels grands commandements territoriaux dès le temps de paix. L’Armée de l’Air faravanienne se divise ainsi en commandements organiques, responsables de la mise en condition des forces, ainsi que les commandements opérationnels qui assurent la conduite des opérations.

Les commandements organiques sont chargés de la mise en condition des moyens qui leur sont attribués et du soutien logistique de ceux qui sont engagés dans les opérations : le Commandement des Systèmes d’Information (CSI) ; le Commandement des Fusiliers de l’Air (CFA) ; et le Commandement des Ecoles de l’Air (CEA).

En plus de ces commandements organisques et sous l’autorité du chef d'état-major de l'Armée de l'air (CEMAA), du Chef d'État-Major des Armées (CEMA) et du Ministre des Armées, les forces de l’Armée de l’air faravanienne sont organisées autour de trois grands commandements opérationnels par nature de forces comme suit :
  • Le Commandement de la force de combat (CFC) ;
  • Le Commandement aérien stratégique (CAS) ;
  • Le Commandement du transport aérien (CTA).

Plus récemment, un Commandement des Forces Spatiales (CFS) a également été créé devant la prise de conscience du rôle des moyens spatiaux dans la conduite des opérations militaires.

Ces commandements sont le plus souvent sous-divisés en escadres, regroupant des appareils d'un même type ou accomplissant une même mission. Ces escadres sont quand à elle également sous-divisées en escadron puis en escadrilles, des unités généralement composées d'un même modèle de matériel existant dans le but de disposer d'une chaine de commandement claire lors de l'engagement des moyens de l'Armée de l'Air. Le nombre d'escadres, escadrons et escadrilles dans un commandement dépend de la mission et du matériel employé.

Le Commandement de la force de combat (CFC)




Deux chasseurs et deux bombardiers de la force de combat de l’Armée de l’Air faravanienneInsigne de l’Armée de l’Air faravanienne, composée d’une couronne de lauriers symbolisant l’excellence, d’une étoile pour guider les aviateurs et des ailes qui incarnent l'essence de l’Armée de l’	Air.
Deux chasseurs et deux bombardiers de la force de combat de l’Armée de l’Air faravanienne.

Le Commandement de la force de combat (CFC) constitue l'un des grands commandements opérationnels les plus importants. Il est organisé en commandement spécialisé, c'est a dire qu'il suit une logique de réunion des moyens propres à une grande mission de l'Armée de l'air. Le CFC a pour mission la mise en œuvre de l'ensemble des appareils dédiés à une mission offensive. A cet effet, on considère comme remplissant ces critères les appareils dédiés aux missions de chasse, d'attaque et de bombardement. Le CFC a sous ses ordres des unités qui peuvent être engagées en permanence dans n'importe quelle région du monde. D’une part, elles garantissent sans interruption la souveraineté de l’espace aérien faravanien et la police du ciel sur le territoire national. D’autre part, dans le domaine de l’intervention immédiate, les unités de combat du CFC apportent d'importantes capacités d'intervention à la Défense nationale faravanienne. Elles permettent ainsi des frappes aériennes, elles assurent la protection des forces déployées au sol et la maîtrise du ciel en opérations extérieures (feu aérien en appui des forces lors des combats terrestres). Du côté de la formation et de l’entraînement, le CFC procède à la spécialisation « chasse » des navigants. Il est également chargé de la formation opérationnelle des équipages et des contrôleurs aériens avancés. Certaines de ces formations sont également dispensées au personnel des autres armées (notamment l'aviation de la marine nationale) et de nations alliées. En conséquence, le CFC s'organise autour de trois types d'escadres suivant ce principe de missions :
  • escadre de chasse ;
  • escadre d'attaque ;
  • escadre de bombardement.

Les escadres de chasse, présentement au nombre de deux dans l'Armée de l'Air faravanienne, sont des unités de combat dédiées à assurer la maitrise du ciel en tout temps et en tout lieux. Dans l'espace aérien faravanien, elles garantissent sa souveraineté en maintenant une permanence opérationnelle visant à intercepter et, si nécessaire neutraliser, toutes les menaces aériennes qui viendraient à se présenter. En opérations, elles sont déployées en première ligne pour obtenir la supériorité aérienne et ainsi permettre aux forces alliées d'évoluer sans être soumis à la menace des aéronefs ennemis. La modernisation des chasseurs de supériorité aérienne permet aujourd'hui aux escadres de chasse de se détacher du rôle unique de combattant aérien pour pouvoir mener des missions plus variées, dont l'attaque au sol. La maitrise du ciel reste néanmoins la première mission de ces escadres et leur matériel, bien que polyvalent, est néanmoins spécialisé à cet effet. L'entrainement permanent que reçoivent les aviateurs de ces unités en font les experts du combat aérien, prêts a assurer leur mission dans toutes les conditions. Les escadres de chasse s'organisent autour de 4 escadrons, eux même composés de 4 escadrilles, chacune composées de 5 aéronefs en moyenne, soit d'environ 20 chasseurs par escadron et 80 par escadre :

La 1ère escadre de chasse, elle met en œuvre les chasseurs de supériorité aérienne IAF « Shafaq » (Aube) standard 10 qui viennent remplacer les anciens chasseurs IAF « Azarakhsh » (Foudre) standard 5, en cours de remplacement :
  • 1er escadron de chasse, composé de la 11, 12, 13 et 14ème escadrille de chasse ;
  • 2ème escadron de chasse, composé de la 21, 22, 23 et 24ème escadrille de chasse ;
  • 3ème escadron de chasse, composé de la 31, 32, 33 et 34ème escadrille de chasse ;
  • 4ème escadron de chasse, composé de la 41, 42, 43 et 44ème escadrille de chasse.

La 2ème escadre de chasse est en pleine montée en puissance, elle viendra compléter la 1ère escadre en mettant en œuvre le standard 8 du chasseurs Azarakhsh.
  • 5ème escadron de chasse, composé de la 51, 52, 53 et 54ème escadrille de chasse ;
  • 6ème escadron de chasse, composé de la 61, 62, 63 et 64ème escadrille de chasse ;
  • 7ème escadron de chasse, composé de la 71, 72, 73 et 74ème escadrille de chasse ;
  • 8ème escadron de chasse, composé de la 71, 72, 73 et 74ème escadrille de chasse.

Les escadres d'attaque, présentement au nombre de deux dans l'Armée de l'Air faravanienne, sont des unités de combat regroupant les systèmes d'armes destinés à attaquer les forces de l'adversaire au plus prés des lignes de front. La capacité offensive de ces escadres peut ainsi être utilisée de façon autonome ou en étroite collaboration avec les forces terrestres faravaniennes engagées dans un cadre national ou aux cotes de nos alliés. Ses missions, conçues et exécutées au sein d'une manœuvre combinée aéroterrestre, sont l'attaque et la destruction au sol du potentiel aérien adverse ainsi que l'appui et la couverture de la manœuvre des forces terrestres. Ces unités sont en mesure de frapper vite et fort, là où la situation l'exige. La puissance de feu et la souplesse d'emploi des escadres d'attaque permettent, dans des délais extrêmement brefs, d'exercer une action de combat efficace et adaptée. Leur emploi est massif, sous la forme de raids composés d'un nombre important d'avions offensifs, accompagnés de moyens électroniques et défensifs importants destinés à détruire ou à saturer les défenses anti-aériennes adverses avant d'attaquer les forces fixes ou mobiles de l'ennemi sur toute la profondeur de son dispositif. Sa capacité opérationnelle en armement repose sur une large panoplie d'armements air-sol et air-air d'usage général ou très spécialisé comme les missiles antiradar, les armes guidées laser, les bombes anti-pistes, etc. Les technologies modernes permettent à ces unités d'être les plus polyvalentes de la force de combat, capable d'accomplir toutes les missions dans le spectre du combat aérien. D'une manière similaire aux unités de chasse, les escadres d'attaque s'organisent autour de 4 escadrons, eux même composés de 4 escadrilles, chacune composées de 5 aéronefs en moyenne, soit d'environ 20 chasseurs par escadron et 80 par escadre :

La 1ère escadre d'attaque, elle met uniquement en œuvre les chasseurs-bombardiers multi-rôles IAF « Saeqeh » (Tonnerre) standard 3 :
  • 1er escadron d'attaque, composé de la 11, 12, 13 et 14ème escadrille d'attaque ;
  • 2ème escadron d'attaque, composé de la 21, 22, 23 et 24ème escadrille d'attaque ;
  • 3ème escadron d'attaque, composé de la 31, 32, 33 et 34ème escadrille d'attaque ;
  • 4ème escadron d'attaque, composé de la 41, 42, 43 et 44ème escadrille d'attaque.

La 2ème escadre d'attaque elle complète la 1ère escadre en mettant en œuvre le standard 5 du chasseurs Saeqeh.
  • 5ème escadron d'attaque, composé de la 51, 52, 53 et 54ème escadrille d'attaque ;
  • 6ème escadron d'attaque, composé de la 61, 62, 63 et 64ème escadrille d'attaque ;
  • 7ème escadron d'attaque, composé de la 71, 72, 73 et 74ème escadrille d'attaque ;
  • 8ème escadron d'attaque, composé de la 81, 82, 83 et 84ème escadrille d'attaque.

La 3ème escadre d'attaque finalise sa montée en puissance, elle met en œuvre la chasseur-bombardier de dernière génération des Industries Aéronautiques du Faravan.
  • 9ème escadron d'attaque, composé de la 91, 92, 93 et 94ème escadrille d'attaque ;
  • 10ème escadron d'attaque, composé de la 101, 102, 103 et 104ème escadrille d'attaque ;
  • 11ème escadron d'attaque, composé de la 111, 112, 113 et 114ème escadrille d'attaque ;
  • 12ème escadron d'attaque, composé de la 121, 122, 123 et 124ème escadrille d'attaque.

Les escadres de bombardement sont en cours de création dans l'ordre de bataille de l'Armée de l'Air faravanienne. La montée en puissance de ces unités est prévue avec l'acquisition d'aéronefs spécialisés dans les missions de bombardement. Contrairement aux unités d'attaque, le bombardement se concentre dans l'exécution des opérations de frappe aériennes dites tactiques ou stratégiques. Ces dernières ont généralement pour objectifs la destruction ou la paralysie des sites stratégiques de l'adversaire tels que les sites industriels, les cibles renforcées (bunker, etc.) et autres centres névralgiques pour l'effort de guerre adverse. Elles ont parfois aussi des objectifs psychologiques afin d'influencer le moral de l'ennemi ou de l'amener à cesser le combat. Si les unités d'attaque sont amenées a opérer sur toute la profondeur du dispositif ennemie, le bombardement est a même de frapper de l'autre coté du front, au delà de l'arrière de l'adversaire. Les bombardiers sont appelés à mettre en œuvre des grandes quantités d'armement simultanément, tels que des missiles de croisière, grâce à leurs importantes capacités d'emport. En raison de la mission particulière qu'est le bombardement, du cout que représente l'acquisition des bombardiers et de leurs caractéristiques singulières, une unité de bombardement est typiquement plus petite que son homologue de chasse ou d'attaque. Quelques points de leur organisation différent ainsi avec les escadres de chasse et d'attaque, si les escadres de bombardement s'organisent également autour de 4 escadrons, ces derniers ne disposent que de 2 escadrilles chacune composées de 5 aéronefs en moyenne, soit d'environ 10 bombardiers par escadron et 40 par escadre.

La 1ère escadre de bombardement, elle met en œuvre les bombardiers lourds :
  • 1er escadron de bombardement, composé de la 11 et 12ème escadrille de bombardement;
  • 2ème escadron de bombardement, composé de la 21 et 22ème escadrille de bombardement;
  • 3ème escadron de bombardement, composé de la 31 et 32ème escadrille de bombardement;
  • 4ème escadron de bombardement, composé de la 41 et 42ème escadrille de bombardement.

La 2ème escadre de bombardement elle complète la 1ère escadre en mettant en œuvre les bombardiers de théatre.
  • 5ème escadron de bombardement, composé de la 51 et 52ème escadrille de bombardement;
  • 6ème escadron de bombardement, composé de la 61 et 62ème escadrille de bombardement;
  • 7ème escadron de bombardement, composé de la 71 et 72ème escadrille de bombardement;
  • 8ème escadron de bombardement, composé de la 81 et 82ème escadrille de bombardement.

Le Commandement aérien stratégique (CAS)





Un avion radar de guet aérien Rokh et des drones de combat du commandement aérien stratégique de l’Armée de l’Air faravanienneDeux chasseurs et deux bombardiers de la force de combat de l’Armée de l’Air faravanienneInsigne de l’Armée de l’Air faravanienne, composée d’une couronne de lauriers symbolisant l’excellence, d’une étoile pour guider les aviateurs et des ailes qui incarnent l'essence de l’Armée de l’	Air.
Un avion radar de guet aérien Rokh et des drones de reconnaissance du commandement aérien stratégique de l’Armée de l’Air faravanienne.

Le Commandement aérien stratégique (CAS) constitue avec le CFC l'autre grand commandement opérationnel majeur en charge de la conduite des missions de combat. A l'instar du CFC, il est organisé en commandement spécialisé, il suit également une logique de réunion des moyens propres à une grande mission de l'Armée de l'air. Le CAS a pour mission la mise en œuvre de l'ensemble des appareils dédiés au soutien opérationnel durant le combat, critiques pour l’acquisition de la supériorité aérienne. A cet effet, on considère comme remplissant ces critères les appareils dédiés aux missions de détection et de contrôle aérien, de reconnaissance et de guerre électronique, les drones d'observation haut de gamme ainsi que les moyens terrestres de défense aérienne stratégique. Ces unités, indispensables au bon déroulement de l'ensemble du spectre des missions aériennes, agissent en véritable démultiplicateur de forces pour les aéronefs du CFC. Par le renseignement, le commandement et la protection, le CAS permet une articulation coordonnée et efficace des moyens de l'Armée de l'Air faravanienne sur l'ensemble des théâtres sur lesquels elle est amenée à s'engager. En conséquence, le CAS s'organise autour de quatre types d'escadres suivant le principe de regroupement des moyens suivant la mission :
  • escadre de détection et de commandement aéroporté ;
  • escadre de guerre électronique ;
  • escadre de reconnaissance ;
  • escadre de défense sol-air.

L'escadre de détection et de commandement aéroporté, unique dans l'Armée de l'Air faravanienne, assure les missions de type surveillance ou commandement et conduite des opérations aériennes sur, à partir ou hors du territoire faravanien. Cette unité permet la détection permanente en basse altitude sur le territoire national, en cas de crise dans la durée, ainsi que la capacité à projeter rapidement une capacité permanente de détection et de contrôle sur un théâtre d’opérations. L'escadre de détection et de commandement aéroporté s'organise de la même façon que toute autre escadre de l'Armée de l'Air faravanienne, à l'exception qu'un escadron n'est composé que de deux escadrilles de 5 aéronefs. Cette différence s'explique par la rareté du nombre d'aéronefs mis en œuvre par cette unité, en effet, l'escadre ne comporte qu'un seul escadron :

La 1ère escadre de détection et de commandement aéroporté met en œuvre les avions radar de guet et de contrôle aérien IAF « Rokh » :
  • 1er escadron de détection et de commandement aéroporté, composé de la 11 et 12ème escadrille de détection.

L'escadre de guerre électronique est également une unité unique au sein de l'Armée de l'Air faravanienne qui permet d'acquérir la maîtrise du spectre électromagnétique. Par ses avions spécialisés, cette escadre cherche à exploiter les émissions radioélectriques de l’adversaire tout en l'empêchant d’en faire autant afin d’accompagner les forces au combat lors de leurs opérations. Les efforts de cette escadre se concentrent sur deux domaines, l’attaque électronique et le soutien électronique. L’attaque électronique consiste en mesures de brouillage des émissions électromagnétiques et de mesures de leurrage afin de rendre inexploitables les émissions de l'adversaire. Le soutien électronique ou renseignement électronique rassemble quant à lui tous les moyens passifs de la guerre électronique en utilisant les émissions de l’adversaire pour détecter sa présence, le localiser et si possible identifier ses unités, obtenir des informations sur les systèmes qu'il utilise et écouter ses communications. D'une manière similaire à l'escadre de détection et de commandement aéroporté, l'escadre de guerre électronique ne comporte qu'un seul escadron, lui aussi composé de deux escadrilles pouvant opérer jusqu'à 5 aéronefs :

La 1ère escadre de guerre électronique met en œuvre les avions de guerre électronique IAF « Simorgh » :
  • 1er escadron de guerre électronique, composé de la 11 et 12ème escadrille de guerre électronique.

Les escadres de reconnaissance, présentement au nombre de deux dans l'Armée de l'Air faravanienne, sont les unités chargées de la mise en œuvre des systèmes de reconnaissance sans pilotes des forces aériennes faravaniennes. Ces unités, héritières des unités de bombardement occupant jadis la mission de reconnaissance photographique, reprennent la mission ISR (Intelligence, Surveillance and Reconnaissance, ou Renseignement, Surveillance et Reconnaissance) au profit des forces faravaniennes. Grâce à l’émergence des drones à longue endurance, ces escadres sont en mesure d’effectuer leur mission dans les théâtres les plus dangereux sans mettre en jeu la vie de leur équipage. Le domaine des drones est en pleine expansion au sein des forces armées faravaniennes et cette escadre doit recevoir à l’avenir de nombreux nouveaux systèmes sans pilotes. Les escadres de reconnaissance sont organisées similairement aux escadres de bombardement, reflétant leur héritage. Ainsi, une escadre s’organise autour de 4 escadrons disposant de 2 escadrilles chacune composées de 5 aéronefs en moyenne, soit d'environ 10 drones de reconnaissance par escadron et 40 par escadre. :

La 1ère escadre de reconnaissance, elle met uniquement en œuvre les drones de reconnaissance IAF « Shahed C » (Témoin) :
  • 1er escadron de reconnaissance, composé de la 11ème et 12ème escadrille de reconnaissance ;
  • 2ème escadron de reconnaissance, composé de la 21ème et 22ème escadrille de reconnaissance ;
  • 3ème escadron de reconnaissance, composé de la 31ème et 32ème escadrille de reconnaissance ;
  • 4ème escadron de reconnaissance, composé de la 41ème et 42ème escadrille de reconnaissance.

La 2ème escadre de reconnaissance ; est en pleine montée en puissance, elle viendra compléter la 1ère escadre en mettant en œuvre les futures versions du drone de reconnaissance Shahed.

La 3ème escadre de reconnaissance ; est en pleine montée en puissance, elle viendra compléter la 1ère escadre en mettant en œuvre les futures versions du drone de reconnaissance Shahed.

L’escadre de défense sol-air est une formation particulière au sein du commandement aérien stratégique puisqu’il ne met en œuvre aucun aéronefs. Cette escadre opère plutôt les systèmes de détection et de défense terrestre contre les menaces aériennes. Les aviateurs de cette escadre ont pour mission de défendre des sites stratégiques sur lesquels leurs batteries sont déployées. La protection des bases aériennes et des centres de décision relève notamment des compétences de l’escadre de défense sol-air et de ses systèmes longue portée. En raison de la mission particulière que remplit cette escadre, son articulation est différente des autres escadres de l’Armée de l’Air faravanienne. En effet, la défense aérienne étant héritière des traditions de l’artillerie de l’Armée de Terre, ce sont des batteries qui composent les escadrons, au lieu d’escadrilles. De même, les escadrons sont organisés selon leur répartition en garnisons sur le territoire. Il n’existe donc pas d’organisation type pour ces unités dans la mesure ou leur composition en batteries varie selon les sites qu’ils défendent. Une batterie est néanmoins considérée comme comprenant un radar, une unité de commandement et de communication (radio) ainsi que plusieurs lance-missile antiaérien longue portée mobiles.

L’escadre de défense aérienne ; est en pleine montée en puissance, elle sera prochainement déployée avec les systèmes de défense les plus modernes.

Le Commandement du transport aérien (CTA)





Deux avions de transport tactique Rakhsh du commandement du transport aérien de l’Armée de l’Air faravanienneUn avion radar de guet aérien Rokh et des drones de combat du commandement aérien stratégique de l’Armée de l’Air faravanienneDeux chasseurs et deux bombardiers de la force de combat de l’Armée de l’Air faravanienneInsigne de l’Armée de l’Air faravanienne, composée d’une couronne de lauriers symbolisant l’excellence, d’une étoile pour guider les aviateurs et des ailes qui incarnent l'essence de l’Armée de l’	Air.
Deux avions de transport tactique Rakhsh du commandement du transport aérien de l’Armée de l’Air faravanienne.


Le Commandement du transport aérien(CTA) constitue le principal commandement de l’armée de l’air faravanienne en charge du soutien des opérations. Grâce à ses moyens, il permet le transport ainsi que la projection des forces au profit des forces armées faravaniennes et alliées. La projection de forces par voie aérienne est une capacité constitutive de l’armée de l’air nécessaire au succès des opérations militaires. Les unités navigantes du CTA sont stationnées sur le territoire national et prépositionnées à l’étranger à cette fin, elles sont spécialisées dans ce domaine et peuvent ainsi être engagées en opérations à tout moment. Ainsi, elles assurent l’acheminement, l’engagement, l’appui ainsi que le soutien des forces armées faravaniennes et alliées. Elles participent à la manœuvre tactique en mettant en œuvre une flotte diversifiée d’avions stratégiques, tactiques, de ravitailleurs et d’hélicoptères. Par ailleurs, ses unités de transit et escales aériennes militaires contribuent à l'organisation logistique militaire par le traitement du fret, la gestion des passagers et l’accueil des aéronefs et de leurs équipages. Les forces du CTA peuvent également être engagées au profit des forces spéciales, des services spécialisés et sur tous les théâtres d’opérations, les unités du CTA réalisent également des missions particulières dont la recherche et le sauvetage au combat, les évacuations aéro sanitaires, l’appui feu de troupes au sol, les mesures actives de sûreté aérienne dans le cadre de la posture permanente de sûreté aérienne, le transport des hautes autorités gouvernementales ainsi que des missions de service public au profit des populations. En conséquence, le CAS s'organise autour de quatre types d'escadres suivant le principe de regroupement des moyens suivant la mission :
  • escadre de transport stratégique ;
  • escadre de transport tactique ;
  • escadre d'hélicoptères ;
  • escadre de ravitaillement en vol.
L'escadre de transport stratégique concentre les moyens de projection très longue portée de l’armée de l’air faravanienne. En mettant en œuvre des transporteurs stratégiques, l’escadre est capable de transporter des passagers et du fret partout dans le monde. Ses missions principales sont la liaison ainsi que le prépositionnement des forces. L'escadre de transport stratégique s'organise de la même façon que les escadres de commandement et de détection aéroportée ainsi que celles de guerre électronique, elle est composée de deux escadrilles de 5 aéronefs. Cette similitude permet une plus grande flexibilité des moyens de l’escadre et s'explique par le nombre et la taille des aéronefs mis en œuvre par cette unité :

La 1ère escadre de transport stratégique met en œuvre les avions de ligne IAF « Stratoliner », convertis selon les besoins de l’armée de l’air pour favoriser le transport militaire :
  • 1er escadron de transport stratégique, composé de la 11 et 12ème escadrille de transport stratégique.

Les escadres de transport tactique concentrent quant à elles les avions dont la vocation est d’effectuer des vols logistiques dit intra-théâtres (à l’intérieur d’un même théâtre d’opérations). De ce fait, ses appareils sont spécialisés mais disposent généralement d’une autonomie moindre comparée à des appareils de transport stratégique, on parle alors d’avions de transport tactique. Les missions de ces escadres consistent à transporter les troupes, la nourriture, l'équipement, les munitions, etc, entre les bases logistiques et les bases avancées. Il peut aussi prendre un aspect offensif, comme avec le largage de parachutistes. Les escadres prennent également part aux opérations spéciales en mettant à disposition des appareils modifiés pour les missions spéciales. D'une manière similaire à l'escadre de transport stratégique, les escadres de transport tactique sont sous-divisées en escadrilles de 5 aéronefs, 4 escadrilles formant un escadron. Un escadron de transport spécial existe également, reprenant les bases de l’organisation de l’escadron de transport tactique mais adaptée aux besoin des forces spéciales :

La 1ère escadre de transport tactique met en œuvre les avions de transport tactique IAF « Rakhsh » :
  • 1er escadron de transport tactique, composé de la 11, 12, 13 et 14ème escadrille de transport tactique.

La 2ème escadre de transport tactique est en pleine montée en puissance et met en œuvre les avions de transport tactique IAF « Rakhsh » :
  • 1er escadron de transport spécial, composé de la 11ème et 12ème escadrille de transport spécial.

L’escadre d'hélicoptères regroupe l’ensemble des aéronefs à voilure tournante de l'Armée de l'Air faravanienne. Cette unité se spécialise dans les missions d’évacuation sanitaire (EVASAN), de secourisme, de recherche et sauvetage (SAR) et de SAR au combat (RESCO), de protection de base, de transport de troupes mais également de missions de mesures actives de sûreté aérienne (MASA). Ce large éventail de missions est conduit grâce à un parc d'hélicoptères multi-types et spécialisés. L’escadre dispose également d’unités dédiées au soutien aux opérations spéciales, là encore grâce à des appareils fortement modifiés. L’escadre d’hélicoptères s’organise en escadrons normaux et de forces spéciales. Ces escadrons sont ensuite divisés en escadrilles de 5 hélicoptères. Plus petites que leurs équivalents de l’armée de terre, la taille de ces unités souligne le caractère spécialisé de leurs missions. L’escadre d'hélicoptère sera bientôt activée et pleinement dotée de ses hélicoptères :

La 1ère escadre d'hélicoptères, est en pleine montée en puissance, elle sera équipée de plusieurs types d'hélicoptères, produits par les Industries Aéronautiques du Faravan, en versions normales et forces spéciales.

L’escadre de ravitaillement en vol est dédiée à la mise en œuvre des avions ravitailleurs de l’armée de l’air faravanienne. En tant que tel, leur mission consiste à fournir aux avions ravitaillés le carburant qui leur permettra de s’affranchir des limites de leurs appareils et ainsi d’étendre leur autonomie en mission. Cette escadre et sa mission est cruciale à la capacité de projection de puissance de l’armée de l’air. Cette unité fournit une allonge globale aux avions faravaniens et leur permet de pouvoir intervenir et réagir partout dans le monde en toute autonomie et sans besoin d’escales au sol. L’organisation de l’escadre de ravitaillement en vol suit les principes également adoptés par les escadres de transport stratégique et tactique. Ainsi, l'escadre de ravitaillement en vol est sous-divisée en escadrilles de 5 aéronefs, 4 escadrilles formant un escadron :

La 1ère escadre de ravitaillement en vol met en œuvre les avions ravitailleurs IAF « Swingliner », convertis d’un usage civil vers leur mission de ravitaillement en vol :
  • 1er escadron de ravitaillement en vol, composé de la 11, 12, 13 et 14ème escadrille de ravitaillement en vol.
Ce qui va suivre est un pavé de bullshit pour que la création de la carte me rapporte quelques points. Cette carte militaire présente une répartition détaillée et stratégique des forces aériennes du Faravan, en AfaréeLes grands commandements de l’Armée de l’Air faravanienneInsigne de l’Armée de l’Air faravanienne, composée d’une couronne de lauriers symbolisant l’excellence, d’une étoile pour guider les aviateurs et des ailes qui incarnent l'essence de l’Armée de l’	Air.Insigne de l’Armée de l’Air faravanienne, composée d’une couronne de lauriers symbolisant l’excellence, d’une étoile pour guider les aviateurs et des ailes qui incarnent l'essence de l’Armée de l’	Air.<br>La structuration de l’Armée de l’Air faravanienne en grands commandements doit permettre de rationaliser l’emploi des moyens en partant du principe que l’éloignement de la menace et la nature inhéremment projetable de la force aérienne ne permet pas structurellement de préassigner des forces à d'éventuels grands commandements territoriaux dès le temps de paix. L’Armée de l’Air faravanienne se divise ainsi en commandements organiques, responsables de la mise en condition des forces, ainsi que les commandements opérationnels qui assurent la conduite des opérations.Les commandements organiques sont chargés de la mise en condition des moyens qui leur sont attribués et du soutien logistique de ceux qui sont engagés dans les opérations : le Commandement des Systèmes d’Information (CSI) ; le Commandement des Fusiliers de l’Air (CFA) ; et le Commandement des Ecoles de l’Air (CEA).En plus de ces commandements organisques et sous l’autorité du chef d'état-major de l'Armée de l'air (CEMAA), du Chef d'État-Major des Armées (CEMA) et du Ministre des Armées, les forces de l’Armée de l’air faravanienne sont organisées autour de trois grands commandements opérationnels par nature de forces comme suit : Le Commandement de la force de combat (CFC) ;Le Commandement aérien stratégique (CAS) ;Le Commandement du transport aérien (CTA).Plus récemment, un Commandement des Forces Spatiales (CFS) a également été créé devant la prise de conscience du rôle des moyens spatiaux dans la conduite des opérations militaires.Ces commandements sont le plus souvent sous-divisés en escadres, regroupant des appareils d'un même type ou accomplissant une même mission. Ces escadres sont quand à elle également sous-divisées en escadron puis en escadrilles, des unités généralement composées d'un même modèle de matériel existant dans le but de disposer d'une chaine de commandement claire lors de l'engagement des moyens de l'Armée de l'Air. Le nombre d'escadres, escadrons et escadrilles dans un commandement dépend de la mission et du matériel employé.<br>
Carte illustrant la répartition de l'Armée de l'Air faravanienne sur le territoire national. Les bases aériennes, les escadrilles qui les occupent ainsi qu'une visualisation du type d'appareil opéré y sont représentées.

Le Commandement de la force des missiles (CFM)




Deux chasseurs et deux bombardiers de la force de combat de l’Armée de l’Air faravanienneInsigne de l’Armée de l’Air faravanienne, composée d’une couronne de lauriers symbolisant l’excellence, d’une étoile pour guider les aviateurs et des ailes qui incarnent l'essence de l’Armée de l’	Air.
Lancement simultané de plusieurs engins du Commandement de la force des missiles de l’Armée de l’Air faravanienne.

Le Commandement de la force des missiles (CFM) représente la principale force de dissuasion de la république faravanienne. Ce commandement a été crée en réponse à l'holocauste provoqué par la Principauté de Carnavale sur Estham, la capitale de l'Empire du Nord. Le CFM résulte de la volonté de disposer d'une force capable d'infliger des dégâts dévastateurs a quiconque attaquerait le Faravan. De cette façon, les unités de missiles s'assurent qu'aucun agresseur ne puisse jamais espérer sortir vainqueur d'une attaque contre le pays. A ce titre, le CFM est autorisé à mettre en œuvre des armes de destruction massive, et notamment des armes chimiques, pour décupler les dégâts de ses missiles. Pour s'assurer de pouvoir frapper loin et tout azimuts, le CFM met en œuvre des missiles balistiques intercontinentaux portés par des tracteurs-érecteurs-lanceurs (TEL) mobiles. Cette mobilité combinée au réseau de territoires alliés conférés par l'Organisation des Nations Démocratiques offre, si nécessaire, une portée globale à la force des missiles. Comme les autres grandes unités de l'Armée de l'Air faravanienne, le CFM est organisé en commandement spécialisé, c'est a dire qu'il suit une logique de réunion des moyens propres à une grande mission de l'Armée de l'air. Les unités de ce commandement sont réparties sur le territoire national dans des garnisons dispersées. Leurs lieux de déploiements sont tenus secrets et utilisent les massifs montagneux et la géographie locale pour dissimuler leur position des yeux extérieurs et intérieurs. Le CFM se base sur un réseau de positions sous-terraines fortifiées pour stocker, maintenir et déployer les TEL, leurs missiles et leur charge utile. En cas d'alerte, la mobilité des TEL leur permet de rejoindre des positions prédéterminées pour se préparer a un éventuel lancement. Contrairement aux autres grandes formations de l'Armée de l'Air faravanienne, le CFM ne se compose que d'une unique escadre, la première escadre des missiles.


Cette escadre est singulière des autres unités de l'Armée de l'Air dans la mesure ou elle met uniquement en ouvre du matériel terrestre et qu'elle est organisée différemment des autres escadres. De même, ses unités sont dispersées dans le territoire national au lieu d'être concentré sur une unique base comme cela pourrait être le cas pour une escadre classique. Il s'agit de la seule unité autorisée a manipuler et employer des armes de destruction massive au sein des forces faravaniennes. Leur posture de dissuasion est permanente et l'escadre se retrouve donc en alerte constante avec un système de permanences de dissuasion. Pour garantir la survie des unités, l'escadre pratique la dispersion de ses escadrons dans l'immensité du territoire faravanien en prenant avantage de la géographie escarpée et de certaines localités isolées. Pour entrainer l'escadre et ses escadrons à l'alerte de dissuasion, des exercices sont régulièrement menés afin d'entrainer les unités à se déployer vers leurs positions de tir le plus rapidement possible. En fonction de la menace, plusieurs postures d'alerte existe dans lesquelles les escadrons peuvent être stationnés dans leurs garnisons, soit déployés dans leurs régions de tir, ou bien encore redéployés a proximité de leurs positions de tir. Le CFM se repose sur la sécurité du territoire national ou des nations alliées pour opérer en toute impunité et mener a bien leurs missions sans être menacés. Du fait de la nature sensible de leurs activités, leurs déplacement au sol et leurs garnisons font également l'objet d'un important dispositif de sécurisation. L'escadre des missiles s'organise autour de 10 escadrons chacun équipés de 10 systèmes de missiles, pour un total de 100 systèmes à l'échelle de l'escadre. L'échelon des escadrilles n'a pas été pris en compte dans ce format au vu des particularités de l'escadre.

La 1ère escadre des missiles met en œuvre les tracteurs-érecteurs-lanceurs, leurs missiles intercontinentaux ainsi que leurs charges chimiques :
  • 1er escadron des missiles ;
  • 2ème escadron des missiles;
  • 3ème escadron des missiles;
  • 4ème escadron des missiles;
  • 5ème escadron des missiles;
  • 6ème escadron des missiles;
  • 7ème escadron des missiles;
  • 8ème escadron des missiles;
  • 9ème escadron des missiles;
  • 10ème escadron des missiles.
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