02/07/2017
19:01:24
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[Quotidien] La vie civile et politique en Lermandie

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La vie civile et politique en Lermandie


Ce topic est dédié aux discutions et aux anecdotes des citoyens lermandiens dans leurs territoires (ou dans des situations bien spécifique).

Note:
Ces discutions (concerne principalement les discutions politique officieux) ne pourront être repris que dans le cadre d'un espionnage rp et/ou avec l'accord du propriétaire de la discutions. Je vous en remercie
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La frustration du Président Duval


Attention! Discutions entre deux hommes politique officieux

Le Président Michel Duval sortit de son bureau, souriant, car il vient de rédiger une lettre diplomatique personnel de soutien envers un dirigeant aleucien, mais aussi car c'est le jour de l'anniversaire de mariage avec sa femme. Mais soudain, son secrétaire, M. Hugo Primevert, intercepta le président qui chercha à remettre la lettre au Bureau du Courrier Gouvernementale dans le couloir.

Hugo Primevert: "Monsieur le Président, est ce que vous avez lu l'article de presse stérusienne publié il y a quelques heures ?"

Le Président Duval, d'abord circonspect, répondit avec humour :

Michel Duval: "Non Hugo, je ne l'ai pas encore lu. Et ne me dites pas que le Consul Pandoro a envoyé des tanks sur la foule?"

Hugo Primevert: " Non Monsieur le Président. Tenez."

Le Président Duval saisissait le journal sterusien et le lisa. Puis un semblant de frustration apparue sur son visage. Il invita son secrétaire dans son bureau pour en parler.

Michel Duval: "Mais il est complètement [...]! Ça me paraît évident qu'un Etat digne de ce nom, tel que la Fédération de Sterus, un des plus puissant pays d'Aleucie, ne devrait pas se replier facilement d'une organisation internationale, surtout si ce dernier n'a pas usé tous les outils nécessaires pour dénoncer un acte d'un partenaire qu'il juge non conforme au traité de Barba. Et on nous reproche de leur faire la leçon.
Ah bah à ce point-là, bonjour les discussions diplomatique aseptisée.
Et en plus, ce n'est pas de notre faute si l'administration sterusienne n'était pas capable de gérer les ingérences étrangères, surtout dans le cadre d'une rivalité. Et pourtant, la Sterus possède une agence de renseignement efficace non?"

Le Président prit le temps de reprendre son souffle.

Michel Duval: "Rappelez-moi ce que signifie interventionnisme en politique et géopolitique?"

Hugo Primevert: " L'interventionnisme en langage politique lermandienne, dérivé du mot "intervention" revient à mettre en pratique une action."

Michel Duval: "Donc on est d'accord que c'est le fait de vouloir précipiter une action dans le résoudre un problème ou de forcer un élément à réagir dans son sens, non?"

Hugo Primevert: " Oui Monsieur le Président. Vous avez dit ce terme dans le but d'éviter de froisser l'actuel gouvernement stérusien qui cherchait à tout précipiter, notamment dans le domaine militaire."

Michel Duval: "Et je ne regrette pas d'avoir dit ce mot plutôt que le mot "hégémoniste". Mais bon avec ce consul, on peut oublier les subtilités du langage diplomatique".

Hugo Primevert: "Oui Monsieur le Président. Mais il ne faut pas oublier que les autres nations du monde n'ont pas la même définition que nous, surtout que notre pays pratique beaucoup cette politique en interne et à quasiment tous les niveaux de notre société".

Michel Duval: " Je sais, je sais, Hugo. Mais quand même, il devait quand même se douter que cette interview était principalement à destination du peuple lermandien. Pas au peuple stérusien. Et après, on nous reproche de prendre un peu trop au sérieux les médias stérusien. Et j'avoue que ce sympathisant socialiste d'expert de m[...] de mes c[...] m'énerve."

Hugo Primevert: " Vous parlez du spécialiste en géopolitique Fabien Coterêt?"

Michel Duval: "Oui, cette petite m[..]. Et heureusement qu'il n'a pas eu les c[...] de faire son service militaire. Sinon, il aurait entré en politique et foutu un bazar monstre dans nos affaires diplomatiques, surtout avec un manque de subtilité aussi grotesque. Mais bon, on va dire que c'est un point commun avec le nouveau consul."

Le Président Duval s'assit sur le canapé de son bureau et relu le journal sterusien.

Michel Duval: "Et j'ai bel et bien l'impression que le Consul Pandoro a complétement oublié que la Grande République de Westalia est le plus important et le plus grand allié historique de la Lermandie. Je suis à limite prêt à l'insulter en lui envoyant un livre d'histoire sur la Lermandie. Mais bon ce n'est pas comme s'il était au courant des discussions confidentielles entre le gouvernement westalien et le gouvernement lermandien. D'ailleurs, une discussion par téléphone est prévue avec le président westalien sur divers sujets, notamment sur les répressions actuellement en cours en Westalia.
Et dire que je misais sur l'amélioration des relations avec la Fédération de Sterus pour sortir de la dépendance du Westalia, notamment en matière d'armement, mais faut croire qu'avec ce nouveau consul, c'est maintenant impossible sur le court terme."

Hugo Primevert: "Est ce pour cette raison que vous n'êtes pas allé plus loin concernant ce contrat d'armement?"

Michel Duval: "Oui car cette tension apparente entre la Sterus et le Westalia ne permet pas de trouver qu'une occasion de signer ce fameux contrat négocié avec l'ancien Consul Bondamet".

Hugo Primevert: " Voulez-vous mobiliser nos renseignements pour espionner le Journal Lermand?"

Le Président Duval fronça les sourcils.

Michel Duval: "Surveillez les organisations syndicales est une chose, légale mais immorale. Mais surveillez un organisme de presse? C'est un suicide politique puisque ça nuirait à la Liberté de la Presse de 1884, en tout cas sans Loi Martial. Mais bon laissez ces spécialistes se décrédibiliser. "

Hugo Primevert acquiérça.

Hugo Primevert: "Voulez-vous que je transmette votre lettre au Ministère des Affaires Etrangères?"

Le Président Duval regarda sa lettre pendant une longue minute de silence.

Michel Duval:" Non, à ce stade, ça ne sert à rien. Car des fois, il est pertinent de laisser couler plutôt que de continuer à dialoguer au risque de provoquer un incident diplomatique. Je vous remercie."

Tandis que le secrétaire du président sortie du bureau de Michel Duval, ce denier estima que le semblant stupidité du nouveau consul mais aussi de son ancien rival du lycée, Fabien Coterêt, ai réussie à gâcher son anniversaire de marriage.
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L’Oskallie et un futur allié en panique


Attention! Ceci est une transcription CONFIDENTIELLE! Tout divulgation de son contenu non autorisé s'expose à un risque de la Peine Capitale!

Le 20 août 2015, dans un lieu peu connu du grand public, se tenait une réunion d’État Major, une réunion ayant lieu au moins 1 fois par mois en temps de paix. Les personnes présentes dans cette réunion sont:
- Michel Duval, Président de la République
- Élisabeth Miller, Premier Ministre
- Nicolas Lupin, Ministre de la Guerre
- Nicole Johnson, Ministre des Affaires Étrangères
- Axel Cormier, directeur de l’Agence de la Sécurité Extérieure (A.S.E.)
- Raphaël Blanchard, Général d’armée et Chef d'état major des armées
- Ludovic Beaumont, Général de division et Chef de l’Armée de Terre
- Maurice Côté, Général de division aérien et Chef de l’Armée de l’Air
- Rodolphe Thiers, Amiral de la Marine Républicaine


Michel Duval: “Et quand est-il de l’Oskallie?

Axel Cormier: “Il semblerait que la nouvelle cheffe de la junte souhaite garder son poste en tant que dirigeante d'Oskallie. Bien que j’ai aussi relevé que la junte a négocié un accord avec la Fédération de Sterus pour rapatrier l’ancienne présidente, Mme Mélissa Gérard, et sa famille pour un jugement en Sterus.”

Michel Duval: “La Fédération de Sterus?”

Axel Cormier: “Oui”

Michel Duval: “Négocier avec une dictature?”

Axel Cormier: “Oui”

Michel Duval: “... Donc le Consul Pandoro se paye le luxe de négocier avec une dictature tandis qu’il déteste le Westalia car n’étant pas suffisamment démocratique ou réprime “soit-disant” de manière violente sa population?”

Axel Cormier: “Oui Monsieur le Président.”

Maurice Côté: “On dirait bien que ce consul se fout littéralement de notre gueule.”

Elisabeth Miller: “Peut-être. Mais au moins, l’ancienne dirigeante de la République d’Oskallie sera en sécurité en Sterus.”

Michel Duval: “Pour y être juger, Élisabeth. Mais au moins, il y aura un semblant de procès équitable. Et sur ce point, je pense qu’on peut leur faire confiance.”

Ludovic Beaumont: “Équitable? Mon c[...]! Avoir accepter de faire juger une personne arrêtée par une dictature revient à accepter des conditions auxquelles aucune démocratie ne devrait accepter. Et si tentait que la Sterus acquitte par miracle Mme Gérard, et bien ce n’est pas l’ancienne présidente qui fallait sauver mais le peuple oskallienne qui subisse actuellement de plein fouet une répression! Et après, Sterus se plaigne d’une répression en Westalia B[...]el de M[...]!”

Raphaël Blanchard: “Calmez-vous Général…”

Ludovic Beaumont: “QUE JE ME CALME?!”

Le Général Beaumont montra son bras gauche où on pouvait observer une absence de main.

Ludovic Beaumont: “J’ai dû sacrifier ma main pour m'évader de ces sal[...]rie de camps viétiques! Ma main qui portrait l’alliance de ma femme! Ma femme qui a été tuée par ses sauvages communistes! Non Monsieur le Président. On ne négocie pas avec une dictature où des vies sont en jeu!”

Toutes les personnes conviées à cette réunion regardèrent les yeux du Général Beaumont pendant une très longue minute de silence. Mais tous pardonnèrent le vieux général puisque c’est grâce à lui que les Forces Armées Lermandienne existait encore malgré la Loi de Programmation Militaire de 1994 votée par le Parti Socialiste. Mais après ce silence gênant, le Président Duval reprit la discussion.

Michel Duval: “Il n’est absolument pas prévu de reconnaître la junte au pouvoir en Oskallie, et ce pour un bon bout de temps. Et avec Elisabeth, nous avons convenu de discuter prochainement à l’ASEA pour retirer la candidature de l’Oskallie de l’organisation, n’étant plus une démocratie.
Quand est-il des avis des autres pays en Aleucie?”

Nicole Johnson: ”A part Sterus qui semble “tolérer” le nouveau gouvernement au pouvoir, la plupart des nation aleucienne, y compris notre allié westalien, ont dénoncé la junte. Mais il semblerait que la République de Saint-Marquise soit le plus touchée par ce coup d’Etat. C'est pourquoi le gouvernement saint-marquois a déployé ses forces armées à Port-Hafen, une micro-nation qui est une protectorat saint marquoise.”

Michel Duval: “Comment cette junte a-t-elle pris cette nouvelle?”

Axel Cormier: “Ils ont déployé leur sous-marin lanceur d’engin au nord d’Aleucie.”

Michel Duval: “D’accord…”

Axel Cormier: “Et ça a été annoncé en public par la junte, Monsieur le Président.”

Raphaël Blanchard: “Là par contre, cette déclaration publique de cette junte vise non pas seulement à tenter d’intimider les saint-marquois, mais aussi toutes les nations aleuciennes qui lui sont hostiles”.

Axel Cormier: “Je confirme. Et la junte a exprimé leur volonté d’utiliser les citoyens oskalliens comme bouclier humain”.

Elisabeth Miller: “Le gouvernement saint-marquois a-t-il appelé à l’aide?”

Nicole Johnson: ”Pour l’instant non, mais avec la bénédiction du président, je leur ai donné la possibilité d’un soutien armé envers le gouvernement saint-marquois dans le cadre sa protection”.

Michel Duval: “Elisabeth. je vous suggère de convoquer les deux chambres du Parlement pour faire voter une motion de soutien sur une possible opération militaire en territoire saint-marquois.”

Rodolphe Thiers: “Pourquoi vous voulez vous embêter à consulter les politiciens? Vous avez tout à fait le droit de le faire sans approbation du Parlement car un accord de collaboration à été signé avec Saint-Marquis”.

Michel Duval: ”Pour montrer à cette junte que nous sommes une démocratie stable et solide. De plus, ce n’est pas une urgence immédiate au vu de la non-sollicitation du gouvernement saint-marquois. D’ailleurs, Nicole, juste au cas où, consultez le gouvernement westalien pour savoir si on aura leur soutien dans cette initiative de protection des saint-marquois”.

Nicole Johnson: “Ce sera fait, Monsieur le Président. D’ailleurs, je pense aussi qu’on devrait ouvrir des canaux diplomatiques avec Les Provinces-Unies du Lofoten. En effet, nous aurons besoin de plus de soutiens dans le cas où la junte tenterait une folie”.

Michel Duval: “Vous pouvez mais on ne connaît pas suffisamment ce pays pour savoir s’il est fiable”.

Nicolas Lupin: “En soit, tenter une approche diplomatique envers un autre pays n’est pas une mauvaise idée. Mais nous ne devons pas exclure une tentative de nous empêcher de soutenir un futur allié dans la zone. D’autant plus que nous n’avons actuellement pas les moyens militaires pour mener cette action en toute indépendance.”

Raphaël Blanchard: Je suis d’accord avec le Ministre, Monsieur le Président. D’ailleurs, avec votre soutien, monsieur le Président, je souhaiterais préparer une force d'expédition qui pourra être déployée en Saint-Marquis si ce dernier le demande.”

Michel Duval: “Vous l’avez, Raphaël. Mais transmettez-moi le futur décret après le vote au Parlement”.

Après environ une heure de discussion, les membres de l’Etat Major sortirent de cette interminable réunion.
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Choisir un nouveau Ministre de l'économie: un choix compliqué?


Attention! Discutions officieux entre personnalités politique

Suite à la démission de Hector Legrain en tant que ministre de l'économie, la Première ministre Elizabeth Miller est dans son bureau pour discuter avec Alicia Blanco, Président du Parti de l'Union Républicaine, et Nicolas Lemoine, Président du Parti de Libéral de la Nation. Ses deux partis politiques, représenté ici par leurs dirigeants dans le bureau du Premier ministre , sont en alliance politique regroupée dans la Coalition des Droites.
Le but de cette réunion est de permettre au Premier Ministre de choisir une nouvelle personnalité pour remplacer M. Legrain.


Élisabeth Miller: "... Oui je vous entends concernant les critiques vis-à-vis du gouvernement sterusien. Mais que me proposez-vous comme candidat au poste de Ministre de l’Économie?"

La Première Ministre croise ses mains.

Alicia Blanco: "Je peux vous proposer M. Daniel Lefranc, un jeune adhérant au Parti de l'Union Républicaine qui travaille en tant qu'inspecteur du Service des Trésors Publique et en tant qu'intervenant à l'Université de Bradis. C'est une personne qui me semble être capable de gérer les potentiels problèmes économiques futurs mais aussi capables de faire de la pédagogie."

Nicolas Lemoine:"Avec tout le respect que je vous dois Mme Blanco, je ne pense vraiment pas qu'on ai besoin d'un pédagogue pour expliquer à nos concitoyens comme fonctionne notre économie."

Alicia Blanco: "En fait, c'est surtout pour expliquer plus clairement au gouvernement sterusien sur le fonctionnement de l'économie lermandienne car ce dernier oublie completement que malgré que la Fédération de Sterus occupe la plus grande part de nos importations, notre secteur industriel est suffisamment fort pour s'accommoder de leurs potentiels sanction économique irresonner. Et sans oublier la Grande République de Westalia qui sera capable de compenser en grande partie les importations d'origine sterusien."

Nicolas Lemoine: "En soit, c'est une bonne idée Mme Blanco mais franchement le comportement actuel de l'actuel gouvernement sterusien agis complètement de manière immature et impulsive sans se soucier des conséquences. En faite, la Fédération de Sterus, qui se prend pour la 1er puissance du continent, devrait être remis à ça place. Après tout, c'est l'Empire du Nord qui l'est, et franchement on devrait se rapprocher de ce dernier car au moins, malgré sa position sur l'échiquier, il ne cherche pas à imposer quoi que ce soit".

Élisabeth Miller: "Que proposez-vous M. Lemoine?"

Nicolas Lemoine: "Je pense que choisir M. Richard Ferrano me semble un bon choix. En effet, il a l'expérience politique en tant que maire de Sutton ainsi que sa capacité à redresser les comptes de sa municipalité laisser par le précédent maire socialiste."

Élisabeth Miller: "Pourquoi cet homme me dit quelque chose?"

Alicia Blanco: "Parce que la presse lermandienne a plusieurs fois évoquer M. Ferrano sur des polémique concernant ses idéos très conservateur, un fervent catholique. Et il est très franc sur des sujets très polémique. Et je ne compte même pas le nombre de fois auquel la Cour Suprême fut saisie par le Parti socialiste pour ses manques de neutralité religieuse".

Nicolas Lemoine: "Je n'ai jamais dit que c'est une personne idéal, et moi-même je me méfie de l'idéologie de cet homme. Mais le contexte fait que nous avons d'un homme fort qui sache dire non à tout pays qui nous prend pour des imbéciles. Et puis si ça peut permettre de convaincre une partie de l'électorat religieuse lors des élections de mi-mandat de 2017 dans le but d'atomiser la gauche... "

Élisabeth Miller: "Très bien, je prends note de vos propositions. Sur ceux je ne vais pas vous retenir plus longtemps".

Les deux chefs de partis saluent la Première Ministre avant de sortir de son bureau.


Quelques heures plus tard, en fin d'après-mid, après avoir enquêté sur les deux candidats et ayant fait son choix, le Premier Ministre s’apprête à quitter son bureau pour rejoindre ses appartement privée dans le but de se reposer. Après tout elle est fatigué à cause d'un débat interminable durant le Conseil des Ministres sur la révocation de l'Accord[...] ayant duré plusieurs jours et qui ne fut terminer que ce matin.

Soudain, la Première Ministre entend quelques frappés à la porte de son bureau. Elle invite la personne à entrer.

Élisabeth Miller: "Mme Johnson! Qu'est-ce qui vous arrive?"

Nicole Johnson: "Madame. J'ai une très mauvaise nouvelle de la part de la Fédération de Sterus. C'est pourquoi je souhaite vous présenter les deux missives personnellement".

La Ministre des Affaires Étrangère ouvre son porte-documents et montre la missive diplomatique du gouvernement sterusien et la copie du mail de l'ANTS à la Première Ministre. Cette dernier lut attentivement les deux textes.

Élisabeth Miller: "PARDON!!!!! ON A ÉTÉ PLUS QUE GENEREUX DE LEUR AVOIR LAISSER UN DÉLAI! ALORS QU'ILS NOUS ONT PLUSIEURS FOIS INSULTE? ET VOILÀ COMMENT ON NOUS RECOMPENSE?!"

La Première Ministre s’assoie rapidement le téléphone fixe de son bureau est appelle le Ministre de l'économie démissionnaire.

Elisabeth Miller: "Bonjour M. Legrain. J'aimerais que vous prépariez une taxe d'une valeur de 10% sur tous les produits sterusien entrant sur notre sol. Et cela devra être effectif dès demain à 01h00."

La Première Ministre écoute la conversation avec M. Legrain tandis que la Ministre des Affaires Etrangères note sur son téléphone portable la demande de sanction de la Ministre.

Élisabeth Miller: "Je comprends bien que vous soyez démissionnaire et que vous n'approuviez pas notre conclusion lors de notre précédente réunion. Néanmoins, démissionnaire ou non, voua avez fait le serment de faire votre devoir jusqu'à ce qu'on vous trouve un successeur. Donc faite le. Et si ça peut vous rassurer, je l'ai déjà trouvé. Bonne journée."

La Première Ministre raccroche son téléphone avant de le ressaisir et d'appeler le Ministre de l’Intérieur.

Elisabeth Miller: "Bonjour M. Perez, comment allez-vous? Bon je vais aller droit au but. La patronne de l'ANTS décide de faire une grosse dinguerie et sans prendre en compte le délai d'un mois et demi de préparation. Donc serait-il possible d'envoyer les forces de l'ordre ainsi que des inspecteurs de l'environnement pour s'assurer que l'Article 13 de ce fameux accord soit respecté? Oui, même si c'était imprévu, je vais aller voir directement le Président Duval pour un nouveau décret. Je vous remercie. Au revoir."

La Première Ministre raccroche le téléphone et s'adresse directement à son collègue.

Élisabeth Miller: "Bon bah, vous savez quoi faire. Et désolé pour mettre mis en colère ."

Nicole Johnson: "Ce n'est rien Mme Miller. Et je comprends."


bureau président

Trente minutes plus tard, après s'être rendu dans le Palais Présidentiel, la Première Ministre fait son rapport au Président Michel Duval. Et le Président Duval soupire du comportement disproportionné du gouvernement sterusien.

Michel Duval: "Bizarrement, je ne suis plus vraiment étonné du comportement absurde du Consul Pandoro. Mais je vais lui accorder une rencontre à Bradis même si je ne m'attends pas à grand chose de lui. Mais dite-moi, avant qu'on bosse sur un nouveau décret, vous avez pu trouver un candidat pour le poste de Ministre de l’Économie.

Élisabeth Miller: "Oui, et j’espère qu'il ne va pas aimer..."
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La fin de l'immaturité du gouvernement de Pandoro?


Attention! Ceci est une transcription CONFIDENTIELLE! Tout divulgation de son contenu non autorisé s'expose à un risque de la Peine Capitale!

Le 27 février 2016, dans un lieu peu connu du grand public, se tenait une réunion d’État Major, une réunion ayant lieu au moins 1 fois par mois en temps de paix. Les personnes présentes dans cette réunion sont:
- Michel Duval, Président de la République
- Élisabeth Miller, Premier Ministre
- Nicolas Lupin, Ministre de la Guerre
- Nicole Johnson, Ministre des Affaires Étrangères
- Axel Cormier, directeur de l’Agence de la Sécurité Extérieure (A.S.E.)
- Raphaël Blanchard, Général d’armée et Chef d'état major des armées
- Ludovic Beaumont, Général de division et Chef de l’Armée de Terre
- Maurice Côté, Général de division aérien et Chef de l’Armée de l’Air
- Rodolphe Thiers, Amiral de la Marine Républicaine


Michel Duval: "Vous dites que vous avez des bonnes nouvelles concernant la Sterus?"

Nicole Johnson: "Oui monsieur le Président, bien que ce ne sont que des bonne nouvelle indirect si je puis dire.
En effet, il semblerait bien que le gouvernement de Pandoro a ordonné le repli de sa flotte, bien que nous n'ayons , pour l'instant, pas reçu de confirmation officielle de la part de ce dernier."

Michel Duval: "Vous êtes sûr de cette information? Excusez ma méfiance mais au vu du comportement de Pandoro, ou de Mme Ceprus qui le dirige de manière officieuse, je suis plutôt sceptique."

Nicole Johnson: "Je ne vous en veux pas M. Président. En-tout-cas, nous avons eu la confirmation du gouvernement westalien ainsi et surtout du Royaume de Teyla. Et ce dernier semble avoir réussi à faire reculer Pandoro."

Michel Duval: "Je vois. Donc je présume que le Royaume de Teyla va nous inviter à un sommet dédié à la "tentative de réconciliation" entre notre gouvernement et celui de Pandoro."

Nicole Johnson: "En fait, je vous invite à lire la missive diplomatique envoyée par la diplomatie teylaise."

La Ministre des Affaires Étrangère tendit la missive diplomatique et le Président Duval la prit et lu cette fameuse missive.

Michel Duval: "Je suis déçu que le gouvernement teylaise nous ai demandé de renoncer sur notre seconde condition. Mais dans ce contexte, je ne vais pas me plaindre. Mais je vais être très clair, ce sera le premier sujet que j'évoquerais lors de cette médiation. Mais quand est-il de la diplomatie akaltienne? Ont-t-il contribuer à cette réussite?"

Nicole Johnson: "Au dernière nouvelle, je ne pense pas. D'autant plus que la diplomatie akaltienne nous a envoyer une missive diplomatique que voici".

La Ministre des Affaires Étrangère tendit une nouvelle missive diplomatique et le Président Duval la prit et lu cette missive. Et le Président Duval massa ses yeux, montrant sa frustration.

Michel Duval: "Et dire que je voulais faire un pari en demandant un soutien de son gouvernement pour faire renoncer Pandoro sur ces actions relevant de la folie. Mais en même temps, je n'en attendais pas moins d'un gouvernement d'extrême droite. Et après, il se plaint qu'une autre nation, que nous n'avons pas sollicité à l'origine, ai pris les devant. Et sa critique notre pays?!"

Élisabeth Miller: "Bah, laissez le gouvernement akaltien dire ce qu'il veut. Les partis extrémistes vivent sur le populisme et sur les polémiques pour prospérer et acquérir le plus de légitimité à acquérir ou à conserver le pouvoir".

Nicole Johnson: "Je suis d'accord. D'autant plus que critiquer leurs paroles ne ferait que leurs donner plus de légitimer. Et nous n'avons pas besoin d'une nouvelle crise, surtout pour des propos politique exprimé dans le cadre d'une éléction. Et pour ma part, je leur enverrais une missive diplomatique qui flatterait leurs égos mais sans plus."

Le Président Duval hocha la tête en signe d'accord.

Michel Duval: "Amiral Thiers. Quand est-il des questions militaires

Rodolphe Thiers: "Avec la renonciation de Pandoro de vouloir (pour l'instant) envahir notre république ainsi que le départ de la marine westalienne de nos eaux territoriaux, je pense que nous pouvons lever le pied au niveau du déploiement de notre marine en ne laissant que deux navires patrouillés au large du littoral ouest, une formation de patrouille conventionnelle en temps de paix."

Michel Duval: "Vous avez entièrement raison Amiral. Mais quelle est la situation concernant les plateformes pétrolières?"

Rodolphe Thiers: "Les anciennes installations de l'ANTS sont actuellement occupées par des petites formations 3 marines pour chaque plateformes, ravitailler par hélicoptères. Et actuellement, il n'y a rien à signaler."

Michel Duval: "Je vois. Bon, avec cette crise, je pense que nous sommes d'accord que nous allons devoir nous pencher plus sérieusement sur notre marine puisque cette crise nous montre que notre marine est franchement petite et obsolète.. La production de la Classe Ariana pourra démarrer quand?"

Nicolas Lupin: "Bien que l'AEL, notre principal armateur, soit prêts à la produire. Nous avons convenue avec l'Amiral Thiers de retardé sa production dans le but de l'adapter pour des conflits de très haute intensité. Mais je pense qu'il faudra demander à notre parlement de modifier le budget de l'armée concernant l'achat d'armement dans le but de priorisé le développement de notre Marine pour éviter que ce genre d'histoire de se reproduise.

Élisabeth Miller: "Je vais voir ce que je peux faire pour le changement des priorités sur l'achat d'armement auprès de notre complexe industrialomilitaire. Mais les commandes actuellement en productions ne pourrons pas être changé. "

Michel Duval: "Général Blanchard. Je pense qu'au vu des événements, je pense que nous pouvons abaisser le niveau d'alerte"

Raphaël Blanchard: "Je le ferais Monsieur le Président. Mais je pense que nous devrions maintenir une partie de nos forces armées en ordre de bataille par prudence. En effet, bien que j'apprécie les bonnes nouvelles, en tant que haut-gradé, je me dois d'anticiper le pire."

Michel Duval: Accorder. Même si comme d'habitude le gouvernement sterusien va dire "Ouin ouin! L'armée dictatoriale lermandienne est toujours mobilisé! C'est PO juste!"."

Tous les participants à cette réunion rigolèrent à cette caricature du Consul Pandoro, une moquerie aappréciablepour détendre l'atmosphère après plusieurs semaines de tension entre la République de Lermandie et la Fédération de Sterus.
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Le gouvernement lermandien et le jeu du trône


Attention! Conseil des Ministres! [SECRET-DEFENSE]

Le 18 juin 2016, au Palais Présidentiel, se tenait un Conseil des ministres, présidé par le Président Michel Duval. Les personnes présentes à cette réunion sont :

Élisabeth Miller, Première Ministre et chef du gouvernement
Thomas Perez, Ministre de l'Intérieur
Nicole Johnson, Ministre des Affaires Étrangères
Nicolas Lupin, Ministre de la Guerre
Julien Mollas, Ministre de l'Agriculture
Lucas Cordier, Ministre de l’Éducation Républicaine
Anna Garner, Ministre de la Santé
Catherine Rosenberg, Ministre du Sport et de la Jeunesse
Richard Ferrano, Ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique
Pierre Petit, Ministre de la Justice
Laurent Bernard, Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Milène Pouillet, Ministre de la Culture


Durant cette réunion, tenue au moins une fois par semaine, divers sujets sont discutés dans le but de débattre de diverses propositions de loi qui devront être soumises aux deux chambres du Parlement, ou de diverses actions politiques ou diplomatiques que devra prendre le gouvernement ou le Président de la République.

Michel Duval: "Avons-nous d'autres sujets à explorer concernant les affaires étrangères?"

Nicole Johnson: "Oui, Monsieur le Président, je souhaiterais évoquer ce problème de succession au trône de la Fédération Maximiliane. En effet, il semblerait que le gouvernement maximiliane recherche un nouveau souverain pour siéger sur le trône de ce pays."

Élisabeth Miller: "Mais qu'est-ce que les autorités maximilianes sont en train de fo[...] ? Est-ce que ce gouvernement maximilian est en train de chercher un souverain comme on fait ses courses dans un supermarché ?"

Nicole Johnson: "Je ne sais pas, Madame la Ministre. Mais actuellement, divers candidats de diverses nationalités se sont proposés."

Thomas Perez: "Ne me faites pas croire que le gouvernement maximilian est en train d'étudier sérieusement n'importe qui pour qu'un hypothétique souverain siège sur ce trône... Et puis, je croyais que la Fédération Maximiliane n'était plus une monarchie ?"

Nicole Johnson: "Je le croyais aussi. Mais il semblerait que le gouvernement maximilian ait actuellement sélectionné trois candidats."

Michel Duval: "Ah bon ? Pourriez-vous les évoquer ?"

Nicole Johnson: "Bien sûr. Le premier candidat est le Tsar Alexeï IV, souverain du Second Empire constitutionnel de Slaviensk, le second est Itotia (Ière) Neztli, une membre de la dynastie régnante à l'Union des Cités d'Akaltie, et le troisième est le Grand-duc Michel Vladimirovitch Bizanov, fils de Vladimir Ier de Morakhan, souverain du Double Fédération des États de l'Empire de la Morakhan et des Peuples de la Morakhan."

La Ministre fit une petite pause pour mieux respirer avant de reprendre.

Nicole Johnson: "Je vous transmets leurs candidatures."

Tandis que la Ministre des Affaires Étrangères leur transmettait le dossier des candidatures par mail aux ordinateurs professionnels des ministres et du président, tous les membres de la table froncèrent les sourcils à cause du mot "candidature". Et dès que les responsables politiques lurent le fichier, le Ministre Ferrano éclata de rire.

Richard Ferrano: "Oh p[...] de bordel de m[...]! je n'ai jamais autant rit ! Ce gouvernement traite les prétendants au trône comme un entretien d'embauche pour un travail en entreprise ! Là, franchement, c'est tout un art."

Laurent Bernard: "Bien qu'il soit vrai que cette méthode est fort originale, ne respectant pas vraiment les traditions royales eurysiennes, il ne faut pas oublier que ce futur souverain va impacter les mentalités de leurs habitants et, par conséquent, nous impacter politiquement. En fait, je pense que nous devrions nous positionner sur ces candidats. Car nous avons trop à perdre si nous ne nous positionnons pas, puisque nous avons des investissements en cours en Maximum."

Nicolas Lupin: "Laurent, je serais techniquement d'accord avec ce que vous dites, mais malheureusement, le passé colonial de notre région (Lermandie comprise) fait que la seule dynastie ayant le plus de légitimité serait la famille royale de l'actuel Royaume de Teyla."

Michel Duval: "Attendez ! Attendez ! Attendez ! Vous voulez soutenir une dynastie royale à s'implanter à côté de notre pays, une dynastie qui nous a dominés durant toute notre période coloniale ? Mais c'est absurde !"

Thomas Perez: "Je ne pense pas que ce soit si absurde que ça, Monsieur le Président. Car même si c'est un fait que le Royaume de Teyla n'a pas été tendre avec nos ancêtres colonisateurs, il ne faut pas oublier qu'en Lermandie, nous avons une minorité de royalistes. Et soutenir une revendication de la couronne teylaise permettrait d'apaiser les derniers royalistes en Lermandie. Et une dynastie issue d'une culture autochtone qui gouverne une nation issue d'une culture eurysienne semble beaucoup plus absurde. Donc, quitte à accepter qu'une dynastie gouverne un pays voisin, autant que ce soit un membre de la famille royale teylaise."

Lucas Cordier: "Franchement, bien que faire revenir une dynastie ayant régné dans notre région pourrait être une idée, je pense qu'il serait pertinent de convaincre la population maximiliane que l'idéologie républicaine pourrait être une solution moins contraignante."

Nicole Johnson: "C'est peu probable que le gouvernement maximilian étudie le scénario d'une 'République Fédérale Maximiliane'. Mais il serait pertinent de soutenir cette idée si elle a plus d'avantages que le scénario royaliste."

Élisabeth Miller: "Je pense que nous devrions discuter de toutes les possibilités avec le gouvernement maximilien pour éviter un potentiel nouveau conflit entre la Lermandie et Maximum sur le long terme. Mais le souci est que l'Union des Cités d'Akaltie est un allié de la Lermandie et un membre de l'ASEA."

Pierre Petit: "Pour ça, j'ai peut-être une idée. Il serait peut-être possible d'encourager un mariage entre un membre de la dynastie teylaise et un membre de la dynastie akaltienne."

Tous les membres regardèrent le Ministre Petit de travers.

Pierre Petit: "Bah quoi ? Même si ce sont deux cultures différentes, c'est moins absurde que ce soit un membre d'une dynastie autochtone qui gouvernerait Maximum alors qu'il n'a pas de légitimité historique."

Élisabeth Miller: "Ce n'est pas faux. Mais admettons. Qui des deux membres de cette dynastie devrait gouverner ?"

Nicolas Lupin: "Je pense avoir un début de réponse sur ce sujet. Mais ça reste des rumeurs à vérifier. Mais d'après l'Agence de la Sécurité Extérieure, je pense que la gouvernance devrait être assurée par un membre de la dynastie teylaise, puisque Itotia (Ière) Neztli semble avoir une réputation d'avoir un comportement dominatrice. Et je vous rappelle qu'elle a fondé sa propre dynastie pour réformer son pays en un régime impérial."

Michel Duval: "... Ne serait-il pas plus simple de promouvoir le républicanisme en Fédération Maximiliane ?"

Élisabeth Miller: "On pourrait le faire, mais paradoxalement, on aurait moins d'influence sur leur politique intérieure, ce qui rendrait les résultats beaucoup plus imprévisibles. Donc, le mieux que nous devrions faire est de contacter la monarchie teylaise pour avoir un avis sur la question. D'autant plus que la Crise Lermando-Sterusienne nous a forcés à devoir être beaucoup plus offensifs pour défendre nos intérêts."

Michel Duval: "Je vois, je vais prendre une décision..."
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Rebondissement à Maximum et l'Opération: REPUBLIQUE


Attention! Discutions officieux entre le chef de l'Etat et ses chefs des bureaux de renseignement

bureau président

Le 30 juin 2016, le Président discuter avec Patrick Roland, le directeur de l’Agence de la Sécurité Intérieure (A.S.I.), dans son bureau au Palais Présidentiel concernant la course au Trône en Fédération Maximiliane.

Michel Duval: "Que souhaitez-vous discuter M. Cormier?"

Axel Cormier: "Je souhaiterais vous déclarer une augmentation des activités de groupuscule issue de l'extrême droite. En effet, mes services ont observé une augmentation des activités de la Coalition Légitimiste Royaliste.
Ce groupuscule d'extrême droite semble vouloir interférer en Fédération Maximum dans l'objectif de mettre sur leur trône un membre de la dynastie régnante au Royaume de Teyla."

Michel Duval: "Me[...]! On ne pourra pas contacter la royauté teylaise pour les faire concourir en Maximum au risque de légitimer ce groupuscule. Garder un œil attentif sur eux, on ne sait jamais."

Axel Cormier: "Ce n'est pas tout, Monsieur le Président. À cause du bombardement de la Principauté de Carnaval sur un édifice religieux en Empire du Nord, des citoyens issue de la religion catholique les plus extrêmes ont reformer la Ligue des Hommes Catholiques".

Michel Duval: "Mais ce groupe n'est-il pas toujours considéré comme une organisation terroriste?"

Axel Cormier: "Je ne pense pas car vue que cette organisation fut dissoute par les autorités lermandienne en 1926 durant la grande Guerre de 25 par des arrestations massives. ainsi que par des executions de la plupart de ses membres, les membres de cette ligue ne semble avoir en commun que par son nom.
Mais mes servie ont pu déterminer que leurs objectifs est d'empêcher qu'un indigène, c'est-à-dire Itotia (Ière) Neztli, puisse prendre le contrôle d'un pays de culture eurysienne."

Michel Duval: "Il ne manquait plus que ça. Mais garder un œil sur eux, il sera peut-être possible de capitaliser sur eux pour empêcher de faire grossir l'influence akaltienne avec la collaboration avec l'ASE (Agence de la Sécurité Extérieure. Cela nous permettra d'éviter de trop gaspiller l'argent du contribuable".

Axel Cormier: "Bien évidemment. Mais dites moi, Monsieur le Président, vous aimez l'humour?"

Michel Duval: "Euh... oui comme toute les personnes sencer mais pourquoi vous me posez cette question?'

Axel Cormier: " Et bien vous risquer de rire ou de pleurer."

Michel Duval: "Dans ce cas, dites toujours."

Axel Cormier: "Vous êtes sûr?"

Michel Duval: "Oui. Bien que je sens que je ne vais pas aimer ce que vous aller me dire."

Axel Cormier: "C'est ce que je crains. Car M. Cormier m'a annoncé que M. Andreaus Septimus Demotien, second héritier du trône impérial de la Fédération de Sterus, a candidaté pour tenter de prendre le contrôle du trône de Maximum."

Michel Duval: "..."

Axel Cormier: "Monsieur?"

Michel Duval: "C'est une blague?"

Axel Cormier: "Non, Monsieur le Président."

Michel Duval: "Donc, ce fils de [...] de Pandoro ne va pas arrêter de m'emmerder. Le gain de son influence au sud d'Aleucie ne lui a pas suffi! Il veut s'attaquer aux intérêts directs de la République de Lermandie?! C'est presque une déclaration de guerre?!"

Axel Cormier: "Je le crains Monsieur le Président."

Michel Duval: "...autre chose?"

Axel Cormier: "Non Monsieur le Président"

Après que le Président Duval ait invité le directeur de l'ASE à partir de son bureau, il prit son téléphone fixe est convoqua le directeur de l'ASE.


Deux Heures plus tard, le directeur de l'ASE (l’Agence de la Sécurité Extérieure), Axel Cormier entra dans le bureau du Président. Le Président Duval invita son invité à s'asseoir.

Michel Duval: "M. Cormier, j'ai le regrès de vous dire qu'il y aura un changement de plan pour l'Opération: REPUBLIQUE."

Axel Cormier: "Je suis d'accord avec vous Monsieur le Président. Sachez que l'Opération: REPUBLIQUE est dans sa phase finale de sa préparation.

Michel Duval: "Dans ce cas, voici ce que vos services vont devoir prioriser..."
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L'Interrogatoire du Nouvel An


Attention! Scène confidentielle comportant de la torture. Âme sensible s'abstenir

Le premier jour de l’an 2017, grâce aux informations obtenues par l’Agence de la Sécurité Intérieure (A.S.I.), une agence dédiée au contre-espionnage et à la sûreté de l’État lermandien, la Police Nationale a pu perquisitionner un ancien entrepôt industriel désaffecté situé dans la commune de Buryville, avec l’autorisation de la Préfète du Bemar, Mme Alice Rochand, et le soutien du Ministère de l’Intérieur.
Cette opération, menée par le Lieutenant Michel Rabelais, officier de la Police Nationale chargé de l’enquête visant le démantèlement d’une organisation criminelle spécialisée dans le trafic de stupéfiants, devait initialement se dérouler dans la nuit du 2 au 3 janvier 2016.

Cependant, les renseignements de l’A.S.I. ont alerté le commissariat de Buryville de la présence d’un certain Diégo Montiel, un grand trafiquant de drogue luchafeguien, entré illégalement sur le territoire lermandien.
L’A.S.I. soupçonne que cet individu figure parmi les plus hauts placés dans la hiérarchie criminelle luchafeguienne, en raison de ses nombreuses activités illicites.
Autrement dit, l’arrestation de M. Diégo Montiel dans l’un des lieux où s’organisent des trafics illégaux confirmerait aux yeux du gouvernement de la République de Lermandie que la soi-disant République de Luchafego est un narco-État, ce qui entraînerait son classement comme État infréquentable.

À 14h00 dans le Centre Pénitencier de Pitrat, le Ministre de l’Intérieur, Thomas Perez, ainsi que Patrick Roland, directeur de l’A.S.I., s’entretiennent avec le Lieutenant Rabelais et la Préfète Rochand.


Thomas Perez: “Mes félicitations pour cette belle prise, Lieutenant Rabelais. Grâce à cette intervention réussie, vous avez contribué à la paix et à la prospérité de notre beau pays.”
Michel Rabelais: “Je vous remercie, Monsieur le Ministre. J’espère bien faire payer à ce petit salopard son insolence d’avoir ouvert le feu sur mes hommes.”

Thomas Perez: “Je ne peux que vous comprendre. Il est essentiel de dissuader toute émergence d’organisation criminelle en Lermandie.”

Ces propos du Ministre de l’Intérieur font indirectement référence aux organisations criminelles présentes dans la Grande République de Westalia, alliée de la République de Lermandie, telles que les mafias madrerienne et Kyōkai.
L’intervention de la nuit dernière a sans doute causé des dégâts, certes mineurs, à ces réseaux mafieux, contre lesquels les deux gouvernements luttent avec acharnement.


Michel Rabelais: ”Monsieur Roland, si je puis me permettre, avez-vous pu obtenir des informations complémentaires sur notre invité ?”

Le directeur de l’A.S.I., dont la présence sur le terrain le jour de l’an, avait surpris la plupart des autorités policières, répondit:

Patrick Roland: ”Eh bien, Lieutenant, les seules informations relativement fiables que mes services ont pu extraire du téléphone satellite de notre illustre invité sont des numéros luchafeguiens. Nous avons transmis ces données à l’A.S.E. afin d’associer les noms aux numéros.
D’après le directeur de l’A.S.E., les résultats prendront du temps en raison du manque de renseignements disponibles sur Luchafego. Pour le reste, je vous fais confiance pour interroger notre invité comme il se doit.”

Michel Rabelais: ”Des consignes particulières concernant l’interrogatoire de notre invité de marque ?”

La préfète du Bemar esquissa alors un léger sourire en coin.

Alice Rochand: ”Lieutenant Rabelais, vous êtes libre d’utiliser toutes les méthodes nécessaires pour faire parler ce clandestin de luxe. Après tout, il n’est pas citoyen d’un État reconnu par la République de Lermandie.
D’ailleurs, si vous estimez que cette personne est inutile, n’hésitez pas à lui annoncer que ses prochaines vacances se passeront au Saint Empire de Karty.”

Dans le cadre d'un rp commun, Kartyucha peut prendre en compte l'interrogatoire

Peu après le briefing, deux officiers en uniforme réglementaire de la Police Nationale entrèrent dans la salle d’interrogatoire où M. Montiel était installé, menotté à la table.
Le Lieutenant Rabelais se plaça face au suspect, tandis que les deux agents se positionnaient derrière lui.
En entrant dans la pièce, le Lieutenant Rabelais se montra satisfait de constater que l’invité de prestige était fortement ébloui par une lampe à lumière blanche, placée stratégiquement pour inciter l’homme à parler.
Et le Lieutenant Rabelais, ainsi que les deux officiers de police, espère avoir l’occasion de s'acharner sur lui pour avoir empêcher de fêter le nouvel an par sa simple présence avec leurs familles.


Michel Rabelais: "Bonjour monsieur Montiel ? Comment allez vous dans ce magnifique pays de Lermandie?"

Diego Montiel: "Z'êtes qui ?"

Michel Rabelais: "Je peux comprendre cette réaction. Cependant je ne vais pas vous mentir, en homme courtois que je suis. Vous êtes plutôt, et c’est un euphémisme, dans une sacré merde. Savez-vous seulement ce qu’on vous reproche?"

Diego Montiel: "Je ne suis qu'un honnête marchand qui a cherché à étendre son commerce. Rien de plus, rien de moins."

Michel Rabelais: "Mh, un honnête marchand hein ? Un qui entre illégalement sur nos sols, avec des kilos de substances illicites?"

Diego Montiel: "A la mère patrie, la drogue c'est légal tout comme le port d'armes."

Michel Rabelais: "Fort bien. Sommes-nous ici, à cette “mère patrie” ? Assurément non, vous êtes en Lermandie sous d’autres juridictions, sous notre juridiction."

Diego Montiel: "Vous m'en direz tant."

Michel Rabelais: "Dois-je supposer que vous êtes au-dessus de nos lois, monsieur Montiel?"

Diego Montiel: "Encore une fois, je ne suis qu'un modeste marchand ayant cherché à vous exporter notre gamme pharmaceutique, quel mal y trouvez-vous ?"

Le Lieutenant Rabelais le dévisagea. Quel mal y’a-t-il ? Sérieusement ? Après quelques intenses secondes, l’ayant fusillé du regard, Diego reprit la parole pour continuer sur la “gamme” des provocations.

Diego Montiel: "Même si vous parvenez à m'interner, mes camarades guérillos vont me libérer. El Commandante Brasalibre vous a certainement déjà menacé de part cet interrogatoire!"

Le Lieutenant Rabelais fit un signe, donnant un ordre à un des officiers de la Police nationale. ce dernier lui asséna un large coup dans le ventre, lui coupant brièvement la respiration. Cela fait, il le redressa, le réinstalla correctement sur son siège, l’interrogatoire pouvait continuer. Michel passa une main dans ses cheveux, tout était calculé pour faire monter la tension. Une température expressément élevée, des hommes au regard d’acier, une pièce oppressante. Après tout, Diego n’était même pas un citoyen Lermandien, pourquoi lui donner un traitement de faveur ?

Michel Rabelais: "Reprenons, voulez-vous ? A présent vous allez répondre à mes questions. Qui êtes vous au Luchafego ? Que représentez-vous ? Pourquoi être venu sur nos terres ?"

Diego Montiel: "Vous êtes bouché ? Je vous ai déjà dit que je suis venu pour étendre mon commerce, c’est réellement le cas."

Michel Rabelais: "A moins que vous soyez victime d’un complexe d’appréciation de la douleur, vous parlerez désormais sur un autre ton. Je ne suis pas votre ami, je suis celui qui interroge une ordure ayant ouvert le feu sur nos policiers. Admettons que vous me disiez la vérité monsieur Montiel. Êtes vous stupide ? Croyez-vous sincèrement qu’une telle entreprise allait prendre pied ? Enfin passons, disons que je vous crois, ce point n’est pas le plus important. Répondez à ma question, pour qui travaillez-vous ?"

Diego Montiel: "Je suis mon propre chef, je n’obéis à personne. J’ai jugé pertinent de m’étendre vers vous c’est tout, quelque chose a capoté quelque part."

Michel Rabelais: "Mh, admettons. Hormis ce fiasco, quel rôle jouez-vous au Luchafego ? Un baron de drogue, quelque chose du genre je suppose ?"

Diego ne répondit pas, le Lieutenant Rabelais était plus qu’agacé, ses questions étaient pourtant simples. Il reprit donc.

Michel Rabelais: "Aimez-vous les poissons monsieur Montiel ?"

Diego Montiel: "Euh je… hein ?"

Michel Rabelais: "Avez-vous remarqué que ces animaux ont la capacité de respirer sous l’eau ? Contrairement aux humains, je ne vous apprends rien. A moins que vous vouliez appuyer ce raisonnement, vous feriez mieux de parler."

Diego n’oscilla pas, il fut convaincu de pouvoir rester muet. Michel fit un signe à l’officier, ce dernier enroula la tête du criminel dans un fin tissu avant de l’asperger d’eau froide. Diego était soumis à de la noyade forcée, cela le ferait sûrement parler.

Michel Rabelais: "Ma patience a ses limites, monsieur Montiel."

Diego Montiel: "Ok… Ok je vais parler… Je suis un des cinq chefs de cartel du Luchafego, on a notre importance au sein du pays mais on agit dans l’ombre…"

Michel Rabelais: "Bien, ce n’était pas si dur vous voyez ? Pouvez-vous m’en dire plus sur ces mafieux ?"

Diego Montiel: "Eh bien on est cinq en tout… j’en sais pas plus je vous jure ! Ils utilisent des pseudonymes, un s’appelle Al quelque chose je crois… "

Michel Rabelais: "Comme c’est dommage, vous travaillez avec eux mais vous ignorez totalement leur identité ? Leur apparence ? Même leur nom ?"

Diego Montiel: "Al Ulebron qu’il s’appelle ! Les autres je sais pas je vous jure ! Sinon pourquoi je vous en aurais parlé hein ?"

Michel Rabelais: "Des caractéristiques sur ce “Al Ulebron” ? Quelque chose à me donner ? Et sur les autres ?"

Diego Montiel: "Euh non… Enfin si ! C’est le seul d’entre nous à s’être fait élire pour son poste, il est connu pour être humaniste, ce genre de conneries vous comprenez ?"

L’interrogatoire continua, et rien de supplémentaire de pu être tiré de Montiel. Malgré des frappes répétées, diverses douleurs ou autres, rien. Le Lieutenant Rabelais se leva puis annonça.

Michel Rabelais: "Vous m’êtes aussi inutile que pitoyable. A la vue de votre coopération, je peux vous dire qu’une simple prison Lermandienne ne vous suffira pas. De plus, il faut éviter que vos petits copains essaient quoique ce soit, préférant éviter toute tension inutile. Vous allez donc être envoyé loin monsieur Montiel, très très loin."

Diego Montiel: "Où … où ça ?"

Michel Rabelais: "Un charmant pays je vous assure, allié de la Lermandie, vous verrez. Le Saint Empire de Karty."

HRPScène rédiger en collaboration avec Kartyusha
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Un piratage des satellites ?


Scène rédigé dans le cadre de EAUX INTERNATIONALES - Interception d'un convoi maritime

NOTE: Seule les deux premières scènes sont diffusé dans le topic Théatre aleucien

22 octobre 2016
Aux alentours de 6h00 (HMK -3)
Schmitt E-2 Aigle, 2e escadre, Armée de l’Air Lermandienne
Altitude : 12 000 m
Au-dessus du Bemar, Lermandie


Dans le poste de communication, les opérateurs militaires placés sous la responsabilité du Capitaine Richard Renauld, officier de l’Armée de l’Air de la République de de Lermandie, coordonnent leurs actions avec les opérateurs au sol.
Tous les soldats à bord du Schmitt E-2 Aigle, avion de détection et de commandement développé par Schmitt Aviation dans les années 1980, restent vigilants. Les Forces Armées Lermandiennes se tiennent prêtes à une éventuelle attaque de la Fédération de Sterus ou de la Principauté de Carnaval.
Pour renforcer l’efficacité de la surveillance, le Schmitt E-2 Aigle est relié à un réseau de satellites militaires conçu par l’ASNA et supervisé par l’Union et Empire des Cités d’Akaltie.


awacs operator

Sous-officier 1: Euh... Michel ? Regarde ça... Tu vois ce que je vois?

Le sous-officier n°1 montre à son voisin les données satellites de plus en plus brouillées.

Sous-officier 2: "Put[...] ! J’ai le même problème ! Capitaine, on a un souci !"

En réalité, aucun des sous-officiers ne comprend ce qui leur arrive, mais tous tentent de résoudre le problème à leur poste avec calme. À cet instant, le Schmitt E-2 Aigle perd totalement la liaison satellite. Le Capitaine Renauld prend alors une décision rapide.

Capitaine Renauld: "Très bien messieurs. Coupez la liaison satellite et tentez d’utiliser les données radar. N'utilisez que le protocole RCML. On rentre à la base."

Bien que les radars ne présentent aucune anomalie, le Capitaine Renauld refuse de poursuivre la mission, craignant un leurre causé par un virus informatique. Rester en vol constituerait non seulement un risque pour son équipage, mais aussi pour tous les aéronefs militaires dans le ciel.

22 octobre 2016
6h05 (HMK -3)
Centre de Contrôle Interarmées (CCI), Ministère de la Guerre
Bradis, République de Lermandie


Ministère de la Guerre communication

Général de brigade Lerois: "Vous pouvez m’expliquer ce foutoir?"

Colonel Miller: "Il semblerait que nous ayons perdu la liaison satellite. Mes hommes essaient de comprendre ce qui se passe."

Général de brigade Lerois: "La liaison au sol fonctionne toujours?"

Colonel Miller: "Oui, mon Général. Sans ça, nous aurions perdu toute communication avec nos forces sur le terrain."

Soudain, un officier interrompt la discussion entre les officiers généraux et supérieurs, en exécutant un salut militaire.

Commandant Delaunais: "Mon Général, Mon Colonel. La 2e escadre aérienne vient d’annoncer une interruption de mission. Dois-je leur donner un contre-ordre?"

Général de brigade Lerois: "Non, Commandant. Nous ne sommes pas officiellement en guerre. Transmettez la même consigne aux autres escadres, si ce n’est pas déjà fait."

Et si on pouvait éviter de perdre de l’argent... et des vies humaines potentiellement liées à cette attaque…

Général de brigade Lerois: "Colonel Miller, je veux un rapport dans 30 minutes."

Le colonel salue son supérieur avant de retourner à son poste.


Attention! Scènes confidentielles non diffusé! Le dévoilement de de ces discutions sont passible de la Peine Capitale!

22 octobre 2016
14h47 (HMK -3)
Bureau du Président Duval, Palais Présidentiel
Bradis, République de Lermandie


bureau président

Michel Duval: Alors ? Que s’est-il passé?

Raphaël Blanchard: D’après les premiers rapports, il semble que nous ayons subi une cyberattaque ayant désactivé l’ensemble des satellites militaires de l’ASNA.

Michel Duval: Je croyais que ces satellites étaient protégés contre ce type d’attaque?

Raphaël Blanchard: "Solides, oui. Mais je crains qu’il faille demander des comptes à l’ASNA sur la nature de cette faille."

Elisabeth Miller: "En fait, il y a à peine cinq minutes, l’ASNA a publié une missive d’excuses. Ils confirment qu’il s’agit bien d’un acte de piraterie informatique organisé, impliquant une intrusion au Centre de Contrôle de Kopip."

Le Président Duval et le Général Blanchard échangent un regard inquiet.

Michel Duval: "Et si l’objectif de cette attaque n’était pas seulement de désactiver les satellites… Peuvent-ils infiltrer notre réseau via cette méthode?"

Raphaël Blanchard: "C’est hautement improbable, voire impossible. Notre système de communication repose sur le protocole RCML, conçu par l’A.R.D.L. Pour qu’un tel piratage réussisse, il faudrait infiltrer le Ministère de la Guerre et accéder au serveur central. Très peu de personnes ont cette habilitation."

Michel Duval: "Très bien. Mais avez-vous une idée du mobile derrière cette attaque?"

Nicolas Lupin: "Ce ne sont que des suppositions, mais les forces armées de la Fédération de Sterus a mené une opération navale contre la Marine Fédérale Westalienne dans l'Océan Trident (cf:Scintillant), bien que le gouvernement westalien attende confirmation sur cette actions hostile sterusienne. Il est par conséquent possible que des commandos sterusiens aient infiltré le Centre de Contrôle de Kopip dans l'objectif de faciliter les opérations militaires sterusienne."

Michel Duval: "Vous êtes sérieux ?"

Nicolas Lupin: "C’est la seule explication plausible. L’Union et Empire des Cités d’Akaltie, contrairement à nous, ne connaît pas de tensions internes majeures tel que des rebellions autochtone parce que les akaltiens sommes eux même des autochtones. Donc, c'est peu probable qu'il y des activités terroristes dans ce pays. Et la Fédération de Sterus a pour principale adversaire la Grande République de de Westalia et la République de Lermandie. Pandoro a du se dire qu'il y a une occasion d'attaquer l'un de ses rivaux."

Elisabeth Miller: "Attendez. La Fédération de Sterus est toujours membre de l’ASNA. Est-ce que l’Union et Empire des Cités d’Akaltie aurait pu faciliter cette attaque ? Après tout, Sterus et Akaltie sont alliés."

Raphaël Blanchard: "..."

Michel Duval: "Put[...] de mer[..] !"

Elisabeth Miller: "Je crois qu’il faut cesser d’utiliser les services de l’ASNA pour nos opérations militaires."

Michel Duval: "Évidemment. Et put[…] ! Impossible de demander des explications à mon homologue akaltien. Il dira qu’il gère tout parfaitement, comme d’habitude."

Nicolas Lupin: "Malgré tout, nous n’avons aucune preuve formelle de l’implication de la Fédération de Sterus ou de l’Union et Empire des Cités d’Akaltie. Et nous n’en aurons probablement jamais."

Michel Duval: "Put[...] de mer[..]!"

Elisabeth Miller: "Lucas, où en est le projet de satellite militaire?"

Nicolas Lupin: "Le projet STTM ? Il est dans sa phase finale. Le problème, c’est que nous n’avons pas encore les lanceurs pour les déployer dans l’espace. Et je doute que nous fassions appel à l’ASNA pour ça..."

Elisabeth Miller: "On ne peut plus être sûr de la fiabilité de l’ASNA au niveau militaire, en tout cas, tant que Akaltie la gère. Mais elle reste pertinente pour un usage civil. Et notre programme spatial n’est pas prêt à transporter des charges utiles. Il faudra trouver des partenaires pour régler ce problème de manière provisoire."

Michel Duval: "Bon, pour l'instant, on classe cette affaire. Aucune mention à la presse. Mais au moment venu, on déballe tout."
6988

Un changement de stratégie diplomatique?


Attention! Ceci est une transcription CONFIDENTIELLE! Tout divulgation de son contenu non autorisé s'expose à un risque de la Peine Capitale!

24 mars 2017
10h05 (HMK-3)
Palais des Bremard, Ministère des Affaires Etrangères
Bradis, République de Lermandie


Le nouveau Ministre des Affaires Étrangères, Nicolas Lupin, parcourait une série de missives diplomatiques en provenance des ambassades et des gouvernements étrangers. Peu formé aux subtilités des relations internationales, contrairement à sa prédécesseure Nicole Johnson, réputée pour sa compétence et son habileté à préserver les liens historiques avec la Grande République de Westalia, le ministre éprouvait des difficultés à décrypter les messages implicites contenus dans ces courriers.

En effet, Nicolas Lupin, ancien du Ministère de la Guerre, regrettait d’avoir quitté un environnement où la transparence et la rigueur militaire dominaient. Parmi les documents reçus, il tomba sur une missive rédigée par Pierre Lore, Ministre des Affaires Étrangères du Royaume de Teyla. Espérant que la franchise lermandienne permettrait de clarifier les tensions diplomatiques entre Teyla et Stérus, Lupin ouvrit la lettre avec enthousiasme.


Mais après trente secondes de lecture, il plissa les yeux, relut attentivement, puis murmure:

Nicolas Lupin: "Oh put[...]! Il n’a rien compris. Que vais-je dire au Conseil des Ministres…"

24 mars 2017
14h49 (HMK-3)
Salon du Conseil, Palais Présidentiel
Bradis, République de Lermandie


Conseil des Ministres

Richard Ferrano: "… C’est pourquoi nous devons intensifier les échanges économiques avec nos voisins du nord, notamment avec l’État de Nebrownia, afin de renforcer la résilience économique lermandienne et limiter l’impact d’une éventuelle crise internationale sur notre territoire nationale."

Elisabeth Miller: "C’est compréhensible. Dans ce cas, je vous fais confiance pour entamer les discussions avec votre homologue nebrownien."

La Première Ministre se tourna vers le Ministre des Affaires Étrangères.

Elisabeth Miller: "Alors, Ministre Lupin, comment va le monde ?"

Nicolas Lupin: "Eh bien… Les représentants de l’Empire du Nord nous remercient pour notre aide. Akaltie reste fidèle à elle-même. Nos partenaires katiens semblent nous apprécier de plus en plus. Pour l’instant, silence radio du régime de Pandoro. Quant à Carnaval, il semble avoir épuisé ses moyens de riposte contre l’OND."

Le Président Duval et la Première Ministre hochèrent la tête avec appréhension.

Wilfried Chaumond: "Même pas une réaction de ces dégénérés qui pratiquent leurs orgies… Décidément."

Michel Duval: "Connaissant Pandoro, il réagira. Et comme toujours, avec mépris. Il n’appréciera pas notre soutien aux sanctions westaliennes, ni l’autorisation de jugement par coutumace de Mme Ceprus. Après tout, il ne connait pas la valeur d'un soutien mutuel entre pays allié."

Pierre Petit, Ministre de la Justice, intervint:

Pierre Petit: "Et j’en suis très fier. Même si je dois rappeler que ce jugement sera provisoire et symbolique, puisque cette dame sulfureuse n’est pas présente sur notre territoire."

Le Président acquiesça. Puis la Première Ministre posa une question délicate à Lupin.

Elisabeth Miller: "Sinon, Ministre Lupin, avez-vous reçu une réponse de votre homologue teylais pour nous rassurer?"

Le Ministre Lupin répondit avec un certain malaise.

Nicolas Lupin: "Eh bien… oui… et non."

Elisabeth Miller: "Ah ? Comment cela ? Pouvez-vous m’en dire plus ?"

Nicolas Lupin: "Il semblerait que mon homologue n’ait pas apprécié ma franchise dans notre demande de clarification. Je vais vous lire sa réponse pour que vous compreniez."

Il sortit la copie de la missive et la lut à voix haute.

Richard Ferrano: "Peuh… Ces arrogants aristocrates royalistes… On aurait mieux fait de ne pas leur parler!"

Michel Duval: "Peut-être. Mais au moins, nous sommes fixés. N’a t-il pas vraiment pas compris que la Lermandie souhaite soutenir le conflit contre la Principauté de Carnaval aux côtés de l’OND, indépendamment de notre demande de clarification?"

Nicolas Lupin: "Il semble avoir pris notre demande comme une insulte. Et bien que la diplomatie teylaise ait reconnu avoir sous-estimé la haine entre Lermandie et Stérus, elle semble répéter les mêmes erreurs."

Michel Duval: "Dans ce cas, Ministre Chaumond, informez les autorités nordistes que la Lermandie est prête à rejoindre le conflit, mais uniquement via une coopération avec le commandement nordiste, et non avec l’OND."

La séance fut levée. Le Ministre Lupin demanda une entrevue privée avec le Président, qui accepta.

24 mars 2017
16h00 (HMK-3)
Bureau du Président Duval, Palais Présidentiel
Bradis, République de Lermandie


Bureau Président Duval

Après avoir frappé à la porte, Nicolas Lupin entra dans le bureau présidentiel, sans que le secrétaire Hugo Primevert ait eu à l’annoncer, prévenu directement par le Président.
Le Président Duval invita son ministre à s’asseoir sur l’un des sofas et lui servit un café. Puis il s’installa en face de lui, café à la main droite.


Michel Duval: "Monsieur Lupin, que souhaitez-vous me dire ?"

Nicolas Lupin: "Puis-je être franc, Monsieur le Président ?"

Duval acquiesça.

Nicolas Lupin: "Je pense que vous avez fait une erreur en acceptant la proposition de la Première Ministre de me nommer à ce poste. Je suis compétent uniquement dans les affaires militaires."

Duval but une gorgée de café.

Michel Duval: "Vous êtes très bien là où vous êtes, Monsieur Lupin."

Nicolas Lupin: "Sauf votre respect, je pense avoir échoué dans la gestion de la missive diplomatique à destination de Teyla."

Michel Duval: "Sauf votre respect, vous êtes très bien là où vous êtes."

Nicolas Lupin: "Comment ça ? J’ai peut-être gâché une opportunité de soutien pour une future entrée dans l’OND."

Le Président se leva et se dirigea vers la fenêtre, observant ses enfants jouer au badminton dans le parc de sa résidence de fonction.

Michel Duval: "Savez-vous pourquoi j’ai accepté la proposition de la Première Ministre Miller?"

Nicolas Lupin: "Pour remplacer Mme Johnson ?"

Michel Duval: "Non. Son départ était inévitable, malgré ses prouesses. J’ai accepté parce que nous avons besoin d’une vision militaire dans notre diplomatie. Face à Stérus, Carnaval, Akaltie… votre franchise peut apporter de la clarté."

Il se retourna vers son ministre.

Michel Duval: "Vous vous êtes peut-être trompé. Mais je pense que la responsabilité est partagée entre la diplomatie teylaise et la mienne. Mme Johnson aussi s’est trompée, plusieurs fois. Mais dites-vous qu'on n’a rien à perdre à essayer, à essayer, à essayer..."

Nicolas Lupin: "Et Teyla?"

Michel Duval: "Au diable Teyla! Elle a manqué une occasion de renforcer sa diplomatie et celle de l’OND par la même occasion. La Lermandie n’a besoin que de ses partenaires locaux pour survivre face aux dictatures sanguinaires ou aux nations hypocrite. Et encore moins d'une domination teylaise sur notre territoire. Si Teyla nous considère comme une simple petite puissance moyenne rebelle par arrogance qui ne peut être utiliser que pour ses propre intérêts parce qu'elle n'est pas capable de voir au dessus de son nombril, alors tant pis. Nous soutiendrons l’Empire du Nord, avec ou sans l’OND."

Le Président Duval évoqua la triste histoire commune entre le Royaume de Teyla et la République de Lermandie ou le territoire lermandien fut sous la domination de la couronne.

Nicolas Lupin: "Que me suggérez-vous de faire ?"

Duval réfléchit un instant.

Michel Duval: "La Première Ministre a sûrement un plan. J’en discuterai avec elle d'ici deux heures. Mais je pense qu’il faut ouvrir des canaux diplomatiques officieux avec les autres membres de l’OND. Et aussi avec les nations non reconnues officiellement, présentes à la cérémonie en Karty le 20 mars dernier, une festivité fort agréable je trouve. Après tout, je pense qu'on a rien à perdre de le faire."

Reconnaissant, Lupin se leva pour remercier le Président.

Michel Duval: "Ah, au fait… n’évoquez plus nos intentions de rejoindre l’OND. Teyla s’est montrée arrogante. Inutile de se presser. Le monde ne s’effondrera pas en un jour."
5375

Le “Rien à foutre” lermandien


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7 avril 2017, 14h10 (HMK-3)
Bureau du Président, Palais Présidentiel
Bradis, République de Lermandie


Bureau Président Duval

Dans le salon privé du Palais Présidentiel, autour d’un café, se tenaient une réunion informelle entre le Président Michel Duval, la Première Ministre Elisabeth Miller, le Ministre des Affaires Étrangères Nicolas Lupin, et le Ministre de la Guerre Wilfried Chaumond.
À huis clos, les quatre figures de l’exécutif débattaient de la situation géopolitique et de l’avenir de la diplomatie lermandienne sur la scène internationale.


Michel Duval: "Pourquoi pensez-vous que les cuirassés sont obsolètes ? Il suffirait d’y intégrer des batteries de lance-missiles et des technologies de cyberguerre."

Wilfried Chaumond: "Si vous me permettez, Monsieur le Président, les cuirassés sont historiquement des navires de ligne conçus pour des batailles navales classiques. Depuis les années 1950, l’évolution des conflits a démontré leur perte d’efficacité. Aujourd’hui, leur rôle se limite théoriquement à des bombardements côtiers, une mission que l’Armée de l’Air et des navire plus léger et plus économique pourraient remplir, avec l'appuis de nos futures bombardiers stratégiques et d'une future doctrine navale aéroportée, comme le font nos collègues westaliens."

Nicolas Lupin: "À défaut, nous pourrions nous satisfaire de la construction d’un futur croiseur lance-missiles de la classe Courbet, une construction planifé par AEL sur commande de l'Amiral Thiers."

Elisabeth Miller: "Sans oublier que notre capacité économique, bien qu’en croissance, n’est pas illimitée. Il est impératif de maîtriser le budget, surtout dans un contexte où des nations comme la Fédération de Stérus cherchent activement à nuire à nos intérêts."

Le Président Duval, nostalgique de l’époque où la Marine Républicaine dominait les mers contre les forces communistes en Aleucie, fut visiblement déçu. Il rêvait encore de ces imposants navires pulvérisant leurs cibles par simple tir d’artillerie navale.

Michel Duval: "Très bien, Monsieur Chaumond. Je vous laisse gérer cette question avec le Général Blanchard."

Puis, se tournant vers le Ministre des Affaires Étrangères.

Michel Duval: "D’ailleurs, puisque nous évoquons le prestigieux pays de Pandoro… Quelles sont les nouvelles depuis notre soutien à Westalia concernant l’incident du 22 octobre 2016 ?"

Le Ministre des Affaires Etrangères laissa apparaitre un sourire au coin.

Nicolas Lupin: "Sans surprise, le régime de Pandoro l’a très mal pris. Vous allez rire… Permettez-moi de vous lire quelques extraits de leur dernier communiqué."

À mesure que Lupin lisait à voix haute, les trois autres membres du gouvernement se mirent à sourire, puis à rire franchement.

Elisabeth Miller: "C’est fabuleux, venant d’un pays qui prétend défendre la diplomatie ! Ils nous reprochent de soutenir un allié, et de ne pas sanctionner Carnaval… alors que nous n’avons aucun contact diplomatique ni commercial avec ces fanatiques carnavalais. Donc aucun intérets à sanctionner Carnaval. Mais peut-être que ces deux régimes sont en réalité identiques à cause de cette comparaison indécent, ce qui, je dois l'avouer m'a surpris puisqu'au moins, le régime de Pandore n'a pas hose faire des tirs de missiles équipé d'ADM par ce qu'il n'est pas d'accord avec nous."

Wilfried Chaumond: "Et ils osent nous faire la leçon sur le courage, alors qu’ils n’ont même pas reconnu leur propre attaque ! Quelle lâcheté… quelle hypocrisie."

Michel Duval: "Le régime de Pandoro ne peut s’en prendre qu’à lui-même. Leur comportement envers nous depuis plus d’un an justifie pleinement nos accusations. Quant à Carnaval, ils n’ont même les moyens militaires pour ce genre d’agression."

Wilfried Chaumond: "Et le rapport d’incident sur la cyberattaque ne fait que relever les conséquences, pas les causes. Est-ce un aveu à peine voilé ? Franchement, le régime de Pandoro ferait mieux de se taire, tant il se ridiculise."

Tous acquiescèrent.

Elisabeth Miller: "Concernant les mandats d’arrêt, il faudrait leur rappeler que l’exécutif autorise leur émission, mais que seul le pouvoir judiciaire peut prononcer une condamnation. Et puis, c’est facile de m’accuser, alors que nous avons simplement validé les mandats par décret. Ce sont les préfets qui les publient."

Michel Duval: "Que chaque président lermandien a eu l’honneur de nommer. Mais au vu de la “neutralité” de leur communiqué, si nous leur répondons, ils nous serviront leur leçon sur la sainte démocratie stérusienne… où seuls les riches et la décadence gouvernent. Et ils parlent de tribunaux indépendants… du moins, ceux qui partagent leur idéologie."

Nicolas Lupin: "Et je dois avouer que leur prédiction sur la destitution du consul est audacieuse. Si l’on découvre que Stérus est en réalité une oligarchie autoritaire déguisée, je mange mon chapeau."

Le Ministre de la Guerre répondit par taquinerie.

Wilfried Chaumond: "Mais tu n’en as pas!"

Nicolas Lupin: "Pas grave, je ferai semblant. Et en cas de coup dur, il y a le tien."

Chaumond fit mine de cacher son couvre-chef derrière son dos.

Wilfried Chaumond: "Quoi ? Non ! Je refuse de te le donner. C’est le mien, et il est sacré !"

Elisabeth Miller: "Fait gaffe. Pandoro pourrait t'y forcer."

Wilfried Chaumond: "Avec quoi? son ego? Peu... il n'en ai pas digne..."

Le Président Duval lu la copie du gouvernement sterusien qui fut déposé sur la table basse par le Ministre des Affaires étrangères, pendant cette instance d'humour entre collègue. Il interrompit brièvement les taquineries en s'exprimant.

Michel Duval: "Et ils prétendent que Stérus pourrait financer l’équivalent de Westalia et de la Lermandie, en plus de leur propre budget ? Si cela peut vider leurs réserves dans l’ASNA au détriment de leur armée, je ne suis pas contre."

Les trois autres membres du gouvernement acquiescèrent. Puis, la Première Ministre se leva de son siège.

Elisabeth Miller: "Je pense donc qu’il est inutile de répondre à ce torchon diplomatique. Après tout… "

Les trois autres se levèrent à leur tour, et dans un élan d’unité, s’exclamèrent.

Tous ensemble: "RIEN À FOUTRE DE PANDORO !"
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