15/09/2015
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République de Porto-Vechio

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Présentation du pays:
Nom officiel: République de Porto-Vechio
Nom courant: Porto-Vechio
Gentilé: Véchiens, Véchienne

Inspiration culturelle: Renaissance italienne et vénitienne
Situation Géographique:
Archipel de Pelmiro :
Langue officiel: Italien
Langue non officiel: Perto (langue parlé a Pelmiro)
 Drapeau

Devise officiel: Diritto Nazionale Famiglia (Droit Nation Famille)
Hymne national:

Monnaie nationale: Le Porto
Capital: Santa-Marina
Population: 10 millions d'habitant
Principal ville du pays:

ville

Histoire nationale:

Antiquité :

Tout débuta en -435 lorsque des marchands grecs fondèrent la ville de Vechio, rapidement d'autre cité vont être créé comme Porto, Nira ou Parichi. En effet, c'est sous le règne d'Antonio Riperio, roi de Porto, que la réelle création du pays commence. En l'an 35, il décide de mettre en place un projet visant à rassembler toutes les cités, en entamant ce processus avec Vechio. Nous sommes désormais en l'année 37, et il a fallu deux ans pour unifier toutes les cités, que ce soit par la diplomatie ou par la force, tout en honorant la mémoire de son fils décédé durant la guerre contre Vechio, ainsi que pour sa cité d'origine, en baptisant son royaume Porto-Vechio. En l'année 346, le royaume fait face à une menace provenant de l''Empire Rhêmien. La fiabilité de son armée est limitée et son roi, en raison de son âge avancé, ne peut plus assurer l'autonomie du royaume, entraînant ainsi l'acceptation d'un protectorat qui subsistera jusqu'à la chute de Rhêmien.

Moyen-Age:

Avec la chute de l’Empire romain en 476, les Riperio furent rétablis sur le trône de Porto-Vechio, amorçant une nouvelle ère pour le royaume. La dynastie, cherchant à renforcer sa légitimité et à consolider son pouvoir, adopta le christianisme comme religion officielle. Le roi Alario Riperio, le premier à régner après cette restauration, entreprit la construction de plusieurs églises et monastères dans tout le royaume pour affirmer la foi chrétienne et centraliser l’autorité religieuse sous le contrôle royal. L'unification des villes de Porto et Vechio a permis la construction du majestueux palais d'Invadara, ainsi que de l'église de Maria faite d'argile de sable blanc et avec ça l'augmentation du territoire. du royaume. Avec l'expansion vers l'ouest, le royaume de Porto-Vechio s'étendit sur des terres fertiles et stratégiquement situées, favorisant un essor agricole et commercial sans précédent. Le roi Alario Riperio mit en place des alliances avec les principautés voisines grâce à des mariages dynastiques et des accords commerciaux, consolidant ainsi la position du royaume dans la région. La région de Castovia, connue pour ses vastes plaines et ses ressources en minerais précieux, fut annexée en 512 après une série de campagnes militaires.

Rennaisance:

Avec l’avènement de la Renaissance, le royaume de Porto-Vechio, riche de son histoire et de ses traditions, fut plongé dans une période de bouleversements politiques et sociaux. Le roi Antonio X, un homme érudit et passionné par les arts, se montra peu intéressés par les ambitions expansionnistes qui animaient les grandes puissances. Alors que d'autres nations s'engageaient dans la course à la colonisation, Antonio X préférait concentrer les ressources du royaume sur la promotion des arts. Cette vision fut rapidement critiquée par l'aristocratie, qui voyait dans l'expansion outre-mer une opportunité d'accroître son pouvoir et ses richesses.

La Guerre Civile de 1542 :

Frustrées par l'inertie royale face à l'exploration et à la colonisation, plusieurs familles nobles formèrent une coalition contre Antonio X. Ces aristocrates, dirigés par Luca Partio, un jeune noble, levèrent leurs propres armées et défièrent le pouvoir royal. La guerre civile éclata en 1542, divisant le royaume. Les combats opposant les forces loyales au roi, principalement composées de milices urbaines et de chevaliers dévoués, aux troupes bien organisées des aristocrates, renforcées par des mercenaires étrangers.

Après trois années de conflit, en 1545, les forces d'Antonio X furent vaincues lors de la bataille de Lineria. Le roi fut capturé et contraint d'abdiquer. Luca Partio prit le pouvoir, mettant fin à la dynastie Riperio, qui avait régné sur Porto-Vechio pendant près d'un millénaire.

L'Ère de Luca Partio et l'Expansion Coloniale :

Dès son arrivée au pouvoir, Luca Partio lança un ambitieux programme militaire et colonial. Il réforma l’armée, augmentant considérablement son efficacité, et se concentra sur l’expansion maritime. En 1552, les troupes de Porto-Vechio prirent le contrôle des îles d'Incar, riches en épices et stratégiquement situées dans l'océan Pacifique. Rebaptisées Pelmiro, ces îles devinrent un symbole du nouvel âge de conquêtes pour le royaume.

Cependant, cette expansion attira l'attention des puissances voisines. Les tensions montèrent rapidement lorsque que le royaume de Straufburg revendiqua Pelmiro comme une possession légitime. En 1578, la guerre éclata entre Porto-Vechio et Straufburg.

L’Embrasement de Porto-Vechio et le Changement de Capitale :

En 1583, les troupes germaniques lancèrent une attaque audacieuse contre Porto-Vechio, la capitale historique du royaume. La ville, incapable de résister à une telle offensive, fut incendiée, causant des pertes humaines et matérielles immenses. Cet événement, connu sous le nom d'Embrasement de Porto-Vechio.
Face à la destruction de la capitale, Luca Partio décida de déplacer le siège du pouvoir royal vers Santa-Marina, une ville portuaire située plus au sud. Santa-Marina, avec ses infrastructures modernes et sa position stratégique, devint la nouvelle capitale du royaume en 1585. La reconstruction de Porto-Vechio fut abandonnée, et la ville tomba dans l’oubli.
La guerre avec Straufburg se termina en 1587 par un traité de paix fragile, qui laissa Porto-Vechio affaibli, mais toujours maître des îles de Pelmiro. Luca Partio consacra les dernières années de son règne à la consolidation des territoires du royaume.

Révolution de Litaira (Époque des Lumières) :

L'Éveil des Idées Antiroyalistes :

En 1785, plusieurs pamphlets circulèrent clandestinement dans tout Porto-Vechio, critiquant ouvertement l'autorité royale et prônant une réforme profonde du système politique. Ces écrits, inspirés par des philosophes tels que Dario Felice et Amalio Venturi, dénonçaient les privilèges de la noblesse, l'injustice sociale, et l'absence de libertés fondamentales.

Le Début de la Révolte;

En 1787, un hiver rigoureux et une crise économique aggravèrent les tensions sociales. Les prix des denrées alimentaires montèrent en flèche, et des émeutes éclatèrent dans plusieurs régions. À Santa-Marina, des milliers de citoyens descendirent dans les rues, exigeant des réformes. Le roi Alessandro III refusa de céder à ces demandes, ordonnant une répression brutale.

Cependant, cette répression ne fit qu'attiser la colère. En 1790, un groupe de réformistes, dirigé par le philosophe Matteo Orfini, et le général déchu Ricardo Alverez, forma un comité secret connu sous le nom de Conseil de Litaira. Ils appelèrent à la fin de la monarchie et à l’instauration d’un gouvernement républicain.

La Chute de la Monarchie:

En 1798, la révolution atteignit son apogée. Les armées fidèles au roi furent défaites lors de la bataille de navale de la baie de Rimeri, où les forces révolutionnaires, infligèrent une défaite décisive. Alessandro III fut capturé alors qu’il tentait de fuir vers Pelmiro. Le 15 août 1792, il fut éxilé, marquant officiellement la fin de la monarchie de Porto-Vechio.

La Naissance de la République:

Après la chute du roi, le Congrès Républicain de Santa-Marina fut convoqué pour rédiger une nouvelle constitution. En 1794, la République de Porto-Vechio fut proclamée, basée sur les principes d'égalité. Matteo Orfini devint le premier président de la République.

Dorsa Madaca (L’époque industrielle):

L'Essor Industriel et Républicain

Au milieu du XIXe siècle, Porto-Vechio, grâce à ses vastes ressources agricoles et sa main-d'œuvre abondante devint une nation ouvrières et industrielles. Des usines textiles, des fonderies, et des manufactures virent le jour dans les grandes villes comme Santa-Marina, mais aussi dans les régions périphériques. Les chemins de fer furent construits pour relier les mines de l'est aux ports, facilitant le commerce avec les pays frontaliers.

Cependant, l’instabilité politique restait un défi majeur. En 1867, Angela Partio, descendante d’Alessandro III, lança un coup d’État audacieux avec le soutien de factions conservatrices et de l'armée. Insatisfaite, du gouvernement républicain qu'elle jugeait chaotique, Angela proclama la restauration de la monarchie sous une forme constitutionnelle. Elle fit construire le Palais d'Adéra, un édifice imposant où siégeaient le parlement élu.

Début du XXe siècle

À la fin du XIXe siècle, Porto-Vechio était encore marqué par son industrialisation rapide et les réformes de la reine. Cependant, la transition politique après sa mort en 1897 plongea le royaume dans une instabilité profonde. Angela laissait derrière elle trois fils :

Antonio , l’héritier légitime, roi depuis 1897, un monarque rigide mais peu compétent,
Léo, un réformiste soutenu par les classes populaires et les commerçants du sud-ouest,
Angelo, un stratège ambitieux qui prônait une politique militariste et autoritaire, appuyé par l’aristocratie et les grandes propriétés terriennes.

La Crise de Succession et la Division

Le règne d’Antonio fut marqué par une mauvaise gestion économique. En 1902, une grave crise frappa Porto-Vechio, provoquée par une chute des exportations de charbon et des tensions dans la colonie de Pelmiro. Incapable de réformer, Antonio fit face à un mécontentement grandissant, non seulement parmi le peuple mais aussi au sein de sa propre famille.

Léo et Angelo, frustrés par l’incapacité de leur frère à diriger, se proclamèrent chacun défenseur de l’avenir du royaume et rallièrent des partisans. En 1903, la situation dégénéra en une guerre civile connue sous le nom de "La Division de Porto-Vechio."

Antonio : Installé au nord, il conservait le contrôle de Santa-Marina, des régions industrielles, et de la colonie de Pelmiro, soutenu par l’élite urbaine et les colons
Léo : Installé au sud-ouest, il se fit le champion des réformes sociales et économiques. Il rallia les ouvriers, les intellectuels, et une partie des classes moyennes.
Angelo : Établi au sud-est, il prônait un retour à une monarchie autoritaire et centralisée. Ses troupes comprenaient des milices aristocratiques et des gouvernement royaux étrangers.

La Guerre Civile

La Bataille de San-Martino (1904)
En mars 1904, Léo lança une offensive décisive contre Antonio dans les plaines de San-Martino, une région clé reliant le nord au sud-ouest. Les troupes de Léo, bien entraînées et soutenues par des volontaires socialistes, infligèrent une défaite écrasante à l’armée d’Antonio. Ce dernier, acculé, dut se réfugier à Pelmiro, laissant Santa-Marina sous le contrôle de Léo.

La Bataille de Grinadi (1905)
Fort de sa victoire, Léo tourna ensuite son attention vers Angelo, qui consolidait ses forces dans les montagnes du sud-est. En novembre 1905, les deux armées s’affrontèrent près de Grinadi. Bien que les troupes d’Angelo fussent disciplinées, elles manquaient de soutien populaire. Après plusieurs jours de combats acharnés, Léo sortit victorieux. Angelo fut capturé et envoyé en exile, mettant fin à la guerre civile.

Léo I, Premier Roi Réformateur
En janvier 1906, Léo I fut couronné roi de Porto-Vechio

Entre-deux-guerres : L’Ascension de la "Forza Vechienne" (FV)

Après avoir maintenu une stricte neutralité pendant la Première Guerre mondiale, Porto-Vechio entra dans une période d'incertitude politique et sociale dans les années 1920 et 1930. Les tensions économiques provoquées par la crise de 1929 exacerbèrent les divisions idéologiques entre monarchistes, républicains, et factions extrémistes. C’est dans ce contexte troublé qu’émergea la Forza Vechienne (FV), une coalition de milices d’extrême droite inspirée par les régimes fascistes germaniques et sud-latins.

La Création de la FV
En 1934, plusieurs groupes paramilitaires, dirigés par Valerio Renardi. Ces milices, se présentant comme les défenseurs de l’ordre et des valeurs nationales, bénéficièrent du soutien financier et logistique des puissances fascistes voisines. Leur discours anti-communiste, anti-socialiste, et ultranationaliste séduisit une partie des élites conservatrices et des classes moyennes désillusionnées par les crises économiques.

La Prise de Santa-Marina
Le 12 juin 1934, sans rencontrer de résistance significative, les milices de la FV entrèrent dans la capitale, après plusieurs mois de provocations et d’intimidations contre les républicains. Les monarchistes, dirigés par le roi Léo II, refusèrent d’intervenir, voyant en la FV un outil pour affaiblir les républicains, qui dominaient alors le Parlement et prônaient des réformes antiroyalistes. Les républicains, surpris par l’inertie des forces royales, furent incapables de s’organiser à temps pour résister. En quelques jours, la FV prit le contrôle des institutions clés,

La Collaboration des Monarchistes
Plutôt que de s’opposer à la FV, Léo II et les monarchistes choisirent de collaborer, espérant utiliser ce mouvement pour stabiliser leur pouvoir. Renardi fut nommé Premier Ministre, marquant la transformation du régime en une monarchie autoritaire.

Sous l’influence de la FV :

Les partis républicains furent interdits, et leurs leaders emprisonnés ou exilés.
La presse fut muselée, ne laissant place qu’à la propagande de la FV.
Une police politique, la Guardia Imperiale, fut créée pour traquer les opposants.

La Tragédie des Pinari : Une Page Sombre de l’Histoire de Porto-Vechio

En 1936, alors que la FV consolidait son pouvoir sur Porto-Vechio et intensifiait son discours ultranationaliste, une crise éclata dans l’archipel de Pelmiro. Les Pinari, peuple autochtone de l’archipel, déjà marginalisés et appauvris par des décennies de colonisation, se révoltèrent face aux abus systématiques et à l’exploitation de leurs terres par les autorités vechiennes.

La Révolte des Pinari:

Les tensions avaient été exacerbées par :
La confiscation des terres des Pinari pour l’installation de bases militaires et d’industries coloniales.
L’imposition de taxes et le travail forcé imposé par les colons.
Le mépris culturel des autorités, qui qualifiaient les Pinari de "sauvages" et de "non civilisés."
En août 1936, des groupes armés de Pinari attaquèrent plusieurs avant-postes vechiens, tuant des colons et détruisant des infrastructures. Ces actes furent immédiatement condamnés par le régime, qui utilisa ces incidents comme prétexte pour justifier une réponse militaire brutale.

L’Extermination et la Déportation
Soutenue par des conseillers et du matériel militaire fournis par les régimes fascistes germaniques, l’armée de Porto-Vechio lança une campagne de répression féroce :

Massacres systématiques :
Les villages pinari furent incendiés, leurs hommes exécutés en masse. Selon des rapports ultérieurs, plusieurs milliers d’hommes furent tués dans les premières semaines de la répression.
Déportation des femmes et des enfants : furent arrachés à leurs foyers et internés dans des camps sur l’île principale de Pelmiro, La Palma.

La Stérilisation Forcée
Dans une barbarie féroce, des scientifiques et médecins, sous la supervision des autorités vechiennes, furent envoyés dans les camps pour procéder à des expériences médicales. Ces interventions incluaient la stérilisation forcée des enfants Pinari, dans le but explicite d’éteindre leur lignée.

Cette politique eugénisten visait à effacer toute trace de la culture et de l’identité Pinari.

Après la Seconde Guerre mondiale : La Destitution de la Monarchie et l'Émergence de Nouveaux Conflits

Après la défaite des forces de l’Axe en 1945, Porto-Vechio, bien que n'ayant pas été officiellement un belligérant majeur, se retrouva dans le camp des perdants en raison de son alliance tacite avec les régimes fascistes germaniques et sud-latins. Les alliés imposèrent une série de réformes drastiques au pays.

Abolition de la monarchie :
La maison royale de Porto-Vechio, discréditée par son soutien passif au régime fascisant de la FV, fut officiellement destituée, et la monarchie fut interdite.
Transition politique :
Les alliés appuyèrent la mise en place d’un système républicain dirigé par un homme jugé capable de stabiliser le pays : Rivera Minechio, un industriel influent.
Rivera Minechio, Premier Président de la seconde République de Porto-Vechio
Élu en 1950 lors des premières élections démocratiques, Rivera Minechio représentait une nouvelle ère pour Porto-Vechio. Industriel prospère, il s’était bâti une réputation de pragmatique et d’homme d’affaires intègre. Cependant, sa présidence se heurta rapidement à des défis:

Un mouvement ouvrier radicalisé :
Les abus des décennies précédentes avaient poussé de nombreux ouvriers et intellectuels à rejoindre le PSCPV (Parti Socialo-Communiste de Porto-Vechio), un mouvement prônant une rupture totale avec les élites traditionnelles.

Les Républicains :

Composés de modérés, de conservateurs, et de libéraux, ils soutenaient Rivera Minechio et le régime républicain nouvellement instauré.
Leur objectif était de moderniser le pays tout en maintenant une certaine continuité avec les structures économiques et sociales traditionnelles.
Ils bénéficiaient du soutien des grandes entreprises, des propriétaires terriens, et de l’aide financière des puissances occidentales.

Le PSCPV (Parti Socialo-Communiste de Porto-Vechio) :

Ce mouvement radical, inspiré des idées marxistes, prônait une redistribution complète des richesses, la nationalisation des industries, et l’abolition de toutes les formes d’élitisme.
Il était soutenu par une grande partie des ouvriers, des paysans, et des intellectuels urbains.
Le PSCPV dénonçait Rivera Minechio comme un représentant des anciennes élites et un pantin des puissances capitalistes.

Pelmiro rêve indépendantiste:
L’archipel de Pelmiro, encore marqué par les atrocités de la répression des Pinari, devint un bastion du PSCPV. Ses militants y proclamèrent une "république populaire de Pelmiro", contestant ouvertement l’autorité du gouvernement central.


Le Boum de 1964 : Une Renaissance Économique et Culturelle

Malgré les tensions politiques des années 1950, Porto-Vechio entra dans une phase de prospérité inattendue avec le début du "Boum de 1964", une période de croissance économique et d’essor culturel. Ce renouveau permit au pays de s’éloigner temporairement des conflits idéologiques internes et de s’affirmer sur la scène internationale comme une destination touristique et un centre de l’industrie du luxe.

En Route vers une Nouvelle Ère (1980 et au-delà)

Alors que Porto-Vechio entrait dans les années 1980, le pays se retrouvait à un carrefour. La prospérité des années 1960 et 1970 avait apporté un nouveau souffle, mais les divisions sociales et politiques profondément enracinées refaisaient surface. Une nouvelle génération, plus consciente des enjeux environnementaux, sociaux, et économiques, commençait à réclamer des réformes.

Porto-Vechio dans les Années 1980 : L’Éveil des Consciences et la Crise Politique

Les années 1980 marquèrent une période de troubles pour Porto-Vechio, où des problématiques longtemps ignorées revinrent au premier plan. Tandis que les luttes politiques s’intensifiaient, les révélations concernant les atrocités passées et les conséquences environnementales de la modernisation mirent le pays face à ses responsabilités.

L’émigration massive :

Les jeunes générations, désabusé par l’instabilité politique et les opportunités limitées, commencèrent à quitter Porto-Vechio pour des pays plus stables politiquement et économiquement.
Cette "fuite des cerveaux" affaiblit encore davantage l’économie locale, déjà fragilisée par la baisse des investissements étrangers.

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Un pays bloqué économiquement :

Les divisions politiques paralysèrent le gouvernement, incapable de mettre en place des politiques cohérentes pour relancer l’économie.
Les revenus générés par le tourisme et l’industrie du luxe ne suffisaient plus à compenser les pertes dans les autres secteurs, notamment l’agriculture et l’industrie lourde.

Alors que le pays entrait dans les années 1990, Porto-Vechio se retrouvait à un tournant :

La reconnaissance des erreurs du passé et la montée des mouvements progressistes ouvraient la voie à un potentiel renouveau démocratique.
Cependant, les divisions politiques, les tensions sociales, et les défis économiques laissaient présager une période de bouleversements.
Le "Boum de 1964" appartenait désormais au passé, et Porto-Vechio devait réinventer son identité dans un monde en rapide mutation.

Porto-Vechio dans les Années 1990-2000 : Une Nouvelle Ère de Défis et de Transformations

L’émigration massive des jeunes générations dans les décennies précédentes avait laissé Porto-Vechio à la traîne dans le domaine des nouvelles technologies. Cependant, un afflux d’immigrants en provenance des pays Afarée permit au pays de combler ce retard, tout en introduisant de nouvelles dynamiques sociales et politiques. Pendant ce temps, des mouvements nationalistes extrémistes comme la FV (Forza Vechienne) commencèrent à refaire surface, tandis que la gauche marquait une victoire historique en instaurant des réformes majeures.

Une résurgence discrète :

La FV profita des tensions sociales provoquées par l’immigration pour regagner en popularité, bien que ses idées soient encore largement rejetées par la majorité de la population.
Ils utilisèrent les médias naissants pour diffuser leur idéologie xénophobe et nationaliste, tout en se positionnant comme les défenseurs des "valeurs traditionnelles".

Absence de représentation officielle :

En cette période, la FV n’avait pas encore de représentants au parlement et ne dominait dans aucun des États fédérés du pays.
Cependant, leur influence croissante inquiétait les autorités, notamment dans les régions rurales touchées par le chômage et la pauvreté.

La Victoire Historique de la Gauche : Un Nouveau Départ
La montée en puissance de la gauche dans les années 1990 marqua un tournant dans l’histoire politique de Porto-Vechio.

Une campagne axée sur les réformes sociales :

Le PSCPV remporta les élections en promettant des réformes radicales, notamment :
Éducation gratuite pour tous, de l’école primaire à l’université.
Services publics gratuits, incluant les soins de santé et les transports en commun.
Réduction des dépenses militaires, afin de financer les programmes sociaux.

Impact des réformes :

Ces mesures permirent une amélioration significative du niveau de vie pour les classes populaires et moyennes.
Le système éducatif renforcé ouvrit la voie à une nouvelle génération d’entrepreneurs.
L’abandon du financement de l’armée suscita des critiques de la part des conservateurs et des nationalistes, mais apaisa les relations diplomatiques avec les pays voisins.

Porto-Vechio aux Portes du Nouveau Millénaire : Crises et Défis des Années 2000

Malgré les avancées sociales et technologiques des années 90, Porto-Vechio entra dans les années 2000 dans un contexte difficile, marqué par des tensions économiques, sociales et politiques. Les réformes progressistes, bien qu’ambitieuses, déclenchèrent des effets secondaires imprévus qui aggravèrent l’instabilité du pays.

Une Inflation Galopante et une Économie Fragile

Inflation croissante :

L’augmentation des dépenses publiques combinée à une faible productivité économique entraîna une inflation galopante, réduisant le pouvoir d’achat des classes populaires et provoquant un mécontentement généralisé.

Les Tensions à Pelmiro : Une Flambée de Violence

Un mouvement indépendantiste croissant :

Les habitants de l’archipel de Pelmiro, marqués par la négligence du gouvernement de la métropole, intensifièrent leurs revendications pour l’indépendance.
Des groupes terroristes émergèrent, organisant des attentats contre les infrastructures gouvernementales et touristiques.

Une Confiance Érodée envers les Politiques

Montée des mouvements populistes :

Dans ce contexte, de nouveaux mouvements populistes émergèrent, promettant de "redonner Porto-Vechio aux Porto-Veichiens".
Parmi eux, la FV gagna en influence, notamment dans les régions rurales et parmi les classes populaires frappées par l’inflation et le chômage.

Porto-Vechio Face à la Crise Économique Mondiale de 2008 : Une Nation à Genoux

La crise économique mondiale de 2008, déclenchée par l'effondrement des marchés financiers sur le nouveau continent, eut des répercussions désastreuses pour Porto-Vechio, un pays déjà fragilisé par ses dépendances économiques et politiques.

Un Tourisme Dévasté par la Crise

Effondrement du tourisme Nazoum :

Le tourisme, principal moteur économique de Porto-Vechio, fut gravement touché lorsque les visiteurs de Nazoum, qui constituaient la majorité des touristes internationaux, réduisirent drastiquement leurs voyages à l'étranger.
Les complexes hôteliers de Pelmiro et les stations balnéaires sur le continent enregistrèrent une baisse de fréquentation de plus de 40 % en 2009, entraînant des fermetures massives.

Effet domino sur l’économie locale :

Les secteurs liés au tourisme, tels que la restauration, les transports et l'artisanat, furent les premiers à ressentir les effets de cette chute.
De nombreuses petites entreprises firent faillite, et le chômage atteignit des niveaux records, dépassant les 25 % dans certaines régions.

Une Économie Dépendante, en Pleine Récession

Dépendance au tourisme et au luxe :

En l’absence d’un secteur industriel solide, l’économie de Porto-Vechio reposait principalement sur le tourisme et les produits de luxe, deux industries particulièrement sensibles à la récession mondiale.

Crises Sociales et Politiques Aggravées

Tensions à Pelmiro :

Les revendications indépendantistes de l’archipel de Pelmiro reprirent de plus belle, profitant de l’affaiblissement économique et politique du gouvernement central pour intensifier leurs actions.

Divisions politiques croissantes :

La crise économique raviva les fractures entre les différentes factions politiques.
La gauche : critiquée pour sa gestion économique inefficace et accusée de favoriser les dépenses sociales au détriment des investissements stratégiques.
La droite républicaine : toujours divisée entre son aile conservatrice et son aile centriste, elle ne parvenait pas à proposer un plan crédible pour sortir le pays de la crise.
La Forza Vechienne : capitalisant sur le mécontentement général, le parti d’extrême droite gagna en popularité, dénonçant les immigrés et les politiques "anti-patriotiques".

Les Premières Réponses à la Crise

Austérité et réformes structurelles :

Sous la pression des institutions internationales et des créanciers, le gouvernement adopta un plan d’austérité drastique en 2011, incluant :
La réduction des dépenses publiques, notamment dans les services gratuits instaurés par la gauche.
La privatisation de certains secteurs, dont les transports et l’énergie.
Une augmentation des taxes sur les produits de luxe et les importations.

Les Élections de 2015 : Une Lutte Tripartite pour l’Avenir de Porto-Vechio

Les Forces en Présence

La Coalition de Droite :

Formation : Une alliance entre les Républicains conservateurs et les Centristes libéraux, regroupant les partis historiquement divisés mais décidés à présenter un front uni.
Soutiens : Les entreprises : Appelant à des réformes pro-business pour relancer l’économie.
La communauté internationale : Voyait en cette coalition une force de stabilité dans une région politiquement fragile.
Programme :
Réduction des impôts pour les entreprises et encouragement à l’investissement étranger.
Retour à une politique sécuritaire plus ferme, notamment à Pelmiro.
Modernisation des infrastructures pour attirer davantage de capitaux étrangers.

Les Socialistes (Tonno) :

Base électorale :

La jeunesse : Malgré l’héritage controversé des années 1980, les jeunes voyaient dans le socialisme une voie d’espoir, notamment grâce à des programmes promettant des politiques sociales modernes.
Les classes populaires : Celles bénéficiant encore des réformes instaurées par la gauche.
Programme :
Éducation et santé gratuites renforcées.
Transition écologique avec un plan ambitieux pour l’énergie renouvelable.
Réduction des inégalités sociales grâce à des politiques redistributives.

La Forza Vechienne (FV) :

Base d'élection :

Les plus anciens : ceux qui manquent des « valeurs traditionnelles » et se méfient des réformes modernes.
Des jeunes désillusionnés : ceux qui, frustrés par les échecs des gouvernements successifs, se tournent vers des partis promettant un changement radical.
programme :
Réduire considérablement l’immigration et reconstruire l'économie nationale.
Revenez au modèle nationaliste et donnez la priorité à l’industrie locale.
Restaurez le contrôle militaire de Permiro et réprimez le mouvement indépendantiste.

Cette élections définira le futur de la République de Porto-Vechio.

Aperçu du pays

Présentation du pays:

La république de Porto-Vechio est un pays mineur sur la scène internationale du ses crises politique et économique multiple , de plus après la crise de 80 le pays n'a sus bien se remilitariser ce qui en fait aussi une puissance non importante militairement. Malgré tout elle reste une destination touristique prisé par les classes moyennes et riches, et un site stratégique étant un point de passage vers l'ouest.

Mentalité de la population:

La population est divisée entre ceux qui émigrent et ceux qui restent, en majorité les jeunes préfèrent partirent voyant le pays comme une bombe a retardement politiquement comme économiquement, de plus ils sont encor plus divisé du aux trois grand partis et les élections qui s'approchent.

Place de la religion dans l'Etat et la société

IL n'y a jamais eu de séparation de l'église et de l'état même si elle n'a jamais était inscrite dans la constituions une majorité des partis politique non conservateurs n'y si sont vraiment intéressé. La population est majoritairement chrétienne catholiques même si une liberté de culte est présente, les écoles religieuse sont plus présentes et plus peuplées que les écoles publique du a la même non séparation de l'Etat et l'Eglise se qui fait que la République paye toujours les école religieuse chrétienne se qui faut de nombreuse accusations de préférence religieuse a l'internationale

Politique et institutions:

Institutions politique:

Président:

Pour être: Les Prérogatives:
-Avoir des député présent aux parlement -Aucune affaire judicaires ne peux être lancer durant le mandat(sauf pour fraude)
-Avoir plus de 20 ans -Appartement a la capitale offert a vie
-Avoir moins de 60 ans -Carte pour transport illimité a vie
-Avoir fait aux minimums 2 ans d'étude a la Renoldu (académie d'administration de Porto-Vechio) -Educations privée offerte pour les enfants (durant le mandat)
-Ne pas avoir de casier judiciaires -Navire de la marine a son nom a la mort
-Ne pas avoir travaillé pour une administration étrangère -Nom d'une bouteille de vin a son nom

Principaux personnages:

Président de la République et candidat: Lucio Tarira
Président du partis des Républicains: Angelo Mirio
Président des Socialistes et candidate: Amina Kina
Président du FV et candidat: Henry Panimi

Politique internationale:

A l'internationale, la République n'est pas un des personnages principaux n'étant considérait que comme une bombe économique et politique pouvant tomber en guerre civile a tout moment. Quand aux du pays il a pour l'instant qu'une ambitions connus assassiner, Kayo Hadeio chef du groupe terroristes et indépendantistes de Pelmira

Situation nationale:

Crise économique prolongée :

Forte dépendance au tourisme, particulièrement américain, qui s'effondra après la crise de 2008.
Une inflation galopante affaiblissant le pouvoir d'achat des classes populaires et moyennes.
Augmentation de la dette publique due à des réformes sociales coûteuses.

Prix de courses moyenne en 2005 vs Prix de courses moyenne en 2015:

prix

Inégalités sociales croissantes :

Les régions rurales, particulièrement celles autour de Pelmiro, sombraient dans la pauvreté, tandis que les grandes villes tentaient de maintenir un semblant de prospérité grâce à l’industrie du luxe.
Une jeunesse désillusionnée et frappée par un chômage endémique.

Division entre les blocs politiques :

Une droite incapable de répondre efficacement à la crise économique.
Une gauche affaiblie par ses échecs passés et accusée de promesses irréalistes.
La montée fulgurante de la Force Vechienne (FV), profitant de la colère populaire et des tensions identitaires.

Parlment en 2010:
parlment

Parlement en 2015:

parlment
Je pense que c'est bon
Bonjour, bonsoir, et bienvenu sur Geokratos !

La fiche m'a l'air bien développé et tu as l'air de savoir dans quelle direction aller. Tout est en ordre pour moi ; ce faisant je peux la valider.

Juste une chose concernant l'Histoire de ton pays, mais que tu pourra toujours modifier en t'harmonisant avec tes voisins : il n'y a pas eu de Seconde Guerre mondiale et seulement un simili de Première Guerre mondiale dans le Nord de l'Eurysie (= Europe).
Les noms aussi diffèrent de la réalité comme l'Empire Romain qui est sur Geokratos l'Empire Rhêmien, ou bien encore les noms des continents et des mers et des océans.

Informations supplémentaires :

En tant que nouveau joueur, tu as quatre mois de protection durant lesquels aucune action hostiles pourra être menées contre toi. Nonobstant, tu ne pourras en faire aucune.

Tu peux demander à la modération à ce que trois de tes personnages soient immortels.

Je t'invite par ailleurs à rejoindre le server Discord du forum avec le lien ci-dessous si tu as des questions.

Sur cela. . . Bon jeu à toi !

>>> Rejoindre le serveur Discord officiel de Geokratos <<<
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