08/07/2016
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[NJ3] Grammarnasistein

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Attention /!\, les passage colorés en rouge de la fiche qui suit ont été invalidés par le Bureau de Censure Démocratique Grammarnasi. Ils contiennent donc de fausses informations ou de la propagande anti-démocratique. Des notes corrigeant cette propagande sont disponibles au bas des paragraphes concernés.


Création de pays : GRAMMARNASISTEIN


Généralités :



Nom officiel : Grammarnasisches Staat (État Grammarnasi)
Nom courant : Grammarnasistein
Gentilé : grammarnasi(e)s

Inspirations culturelles : Allemagne (XIXe, entre-2-guerres), Liechtenstein, Afrique Orientale Allemande
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Hochdeutsch (= Haut-allemand, l'allemand "basique" sans accent)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Ø

Drapeau :
Drapeau grammarnasi
Les couleurs proviennent de la révolution : le noir symbolise l'époque sombre des monarques tyranniques ; le rouge est le sang des combattants révolutionnaires qui ont libéré le pays de l'oppression ; et le jaune l'âge d'or qui a suivi la révolution.
Le faucon est quant à lui devenu l'animal national grammarnasi, étant le seul oiseau capable d'affronter l'aigle (symbole de l'ennemi kaulthe). A l'instar du faucon, le Grammarnasistein tient courageusement tête à l'aigle kaulthe depuis toujours !


Devise officielle : "Ein Fehler ist ein Verrat!" ("Une erreur est une trahison !")
Hymne officiel :
Fürsten zum Land hinaus!
"Hors du pays les nobles !", hymne depuis 1836 (sauf interruption monarchique)


Monnaie nationale : Grammarnasischmark (Ǥ)

Capitale : Dativeldorf

Population totale : 1.600.000 habitants
Superficie totale : 75 536 km²
Densité moyenne de population : 21,2 hab/km²

Population de la métropole : 1.500.000 habitants
Superficie de la métropole : 66 356 km²
Densité moyenne de population de la métropole : 22,6 hab/km²

Population de la colonie : 100.000 habitants
Superficie de la colonie : 9 180 km²
Densité moyenne de population de la colonie : 10,9 hab/km²



Aperçu du pays :



Histoire du pays :

1784 | Grammarnasische Revolution Révolution Grammarnasie
C'est en 1784, alors que la Kaulthie vient de perdre plusieurs de ses territoires et que son système d'administration archaïque semble persister, que les habitants du Grand-Duché de Grammarnasistein en profitent pour se révolter pour la première fois de leur histoire, qui ne sera pas la dernière. Bien que la région soit restée calme durant des siècles de domination impériale, les grammarnasis n'en profitent pas moins pour déchaîner leur haine (1) face à ceux qui les ont maltraité et fait travailler pendant tout ce temps. Les nobles originaires d'autres régions kaulthes sont pour la plupart lynchés (1), et ceux qui ont le temps de fuir en apprenant la nouvelle ne remettront plus jamais les pieds sur leurs anciennes terres.
Une famille bourgeoise du sud du grand-duché, les Schlechtschrifter, profita de la disparition de la plupart des familles dirigeantes locales pour s'attirer les faveurs du peuple, notamment en faisant distribuer de la nourriture aux familles les plus pauvres (2), qui ne parvenaient pas toutes à manger correctement en ces temps troublés. Grâce à cela, ils parvinrent à se hisser à la tête du mouvement et à être proclamés dirigeants du nouvel État créé. Les membres de la famille von Schlechtschrifter (possédant dorénavant une particule à leur nom) devinrent donc les grands-ducs du Grammarnasistein.
(1) Les grammarnasis, suivant leur sens de l'hospitalité habituel, n'ont pas commis la moindre violence envers les affreux esclavagistes kaulthes qui les exploitaient pourtant depuis des siècles. Ils les ont seulement raccompagnés pacifiquement vers la nouvelle frontière.
(2) Les Schlechtschrifter n'ont jamais fait la moindre bonne chose pour le peuple. Ils ont seulement usé de combines complètement malhonnêtes pour se hisser à la tête de l'État en usurpant la place des véritables révolutionnaires.


1784-1836 | Erstes Königreich Première monarchie
La nouvelle famille gouvernante commença rapidement son règne par plusieurs grandes réformes, comme notamment l'arrêt de toutes persécutions à l'encontre des catholiques, et même l'inversement de cette tendance (3) (en installant un régime défavorisant pour les chrétiens impériaux du nord du Grammarnasistein).
Dès le règne du second grand-duc grammarnasi cependant, des relations avec la Kaulthie se remirent en place. Sans cela, le Grammarnasistein risquait un isolement trop fort, si ce n'est sans doute une guerre avec son ancien empire (4). Le Grand-Duché revint donc petit à petit sous le contrôle de la Kaulthie, malgré la révolution encore toute récente.
(3) Encore une fois, il est impensable de considérer que les Schlechtschrifter aient pu faire passer la moindre loi en la faveur du peuple catholique grammarnasi. Dans les faits, ils se sont surtout acoquinés avec l'ennemi kaulthe.
(4) Cette vision des choses est exagérée. Les grammarnasis ont de tous temps été prêts à défendre leur patrie avec ferveur, aucun risque suffisant ne pesait donc sur le gouvernement. Ce n'était qu'un prétexte pour pouvoir passer dans le camp de l'ennemi à la nation.


1836-1911 | Die Zeit der Republiken Le temps des Républiques
En 1836, après deux hivers particulièrement froids suivis de récoltes peu abondantes, les grammarnasis se soulevèrent de nouveau contre le gouvernement qui ne faisait pas assez pour eux à leurs yeux. Ils déclarèrent les von Schlechtschrifter exilés et illégitimes, puisqu'ils avaient pu fuir à temps pour ne pas finir dans une geôle (5), et voulurent rompre complètement avec le système monarchique.
La Republik Grammarnasistein (République du Grammarnasistein) fut ainsi proclamée, et le pays complètement réorganisé. Pour commencer, les différences culturelles devaient être effacées, puisque représentant l'ancienne monarchie selon les dirigeants de l'époque (cela permettait aussi d'unifier définitivement le pays). Ils créèrent alors de nouvelles régions administratives, qui ne correspondaient absolument pas aux dialectes, justement dans le but de les effacer (6) en regroupant des gens qui n'avaient que le haut-allemand en commun. Seul le haut-allemand serait utilisé dans l'administration et des écoles furent construites dans la plupart des communes qui n'en disposaient pas encore pour enseigner la langue à tous les enfants du pays.
Le régime républicain était toutefois relativement instable, et des changements brutaux de politique secouaient le pays pratiquement à chaque élections. Les partis tentaient de faire passer leurs mesure et de les installer dans la justice autant que possible pour que leurs successeurs, potentiellement du parti opposé, ne puissent pas y toucher. La constitution a été changée à plusieurs reprises, ce qui explique le pluriel à "Républiques".

Il est cependant à noter que la République du Grammarnasistein n'était pas la plus démocratique de son temps : les élections se produisaient toutes en même temps, ce qui permettait au parti en vogue du moment d'obtenir la majorité partout ; et il s'agissait de suffrage censitaire. Les femmes n'avaient pas non plus le droit de vote (chose néanmoins courante à cette époque).

Dans les années 1840, le parti au pouvoir, qui était l'un des plus conservateurs et pro-kaulthes, démarra un projet de colonisation avec l'aide de l'Empire voisin. Les richesses que l'on trouvait là-bas ainsi que la main-d'œuvre trouvable directement sur place avaient de quoi faire envie à tous les investisseurs du pays, qui ne se firent pas prier. La Kaulthie laissa ainsi les troupes grammarnasies utiliser ses ports et navires, en échange de quoi elle recevait une part des revenus générés sans avoir à gérer plus de territoires.
Lors de la guerre d'indépendance du Transveld, situé dans la même région, les autorités locales préférèrent ne pas prendre d'initiative et plutôt se faire aussi petit que possible, sentant bien l'indépendance arriver. Les habitants de l'Afarée Centrale Grammarnasie étaient de toute façon toujours des arrivants récents d'Eurysie (qui ne souhaitaient pas rompre avec la métropole) ou des esclaves locaux, qui n'avaient pas leur mot à dire et dont on faisait en sorte qu'il en sachent aussi peu que possible sur le conflit tout proche, et qu'ils croient que les afaréens étaient aisément vaincus par les troupes coloniales.
Une fois la guerre finie, les transveldiens ne cherchèrent pas à déloger le Grammarnasistein de ses petites possessions locales, et collaborèrent plutôt avec, afin de disposer d'un allié supplémentaire (bien qu'extrêmement faible dans la région) en cas de soulèvement des afaréens et par manque d'intérêt d'une guerre supplémentaire pour obtenir une région si réduite et faiblement peuplée. L'utilité de la région s'est depuis remarquée, avec l'esclavage qui n'a jamais réellement été aboli (7) (mais a plutôt été remplacé par un système de travaux obligatoires), ce qui fournit donc une main d'œuvre extrêmement peu chère aux sous-traitants de la colonie.
(5) Suivant de tout temps son grand sens de l'hospitalité, à aucun moment le peuple grammarnasi n'aurait même levé la main sur ses oppresseurs. Il se trouve seulement que ces derniers n'ont pas daigné revenir au Grammarnasistein, preuve supplémentaire de leur mépris envers la patrie.
(6) La nation grammarnasie est depuis toujours unie, et aucun dialecte n'a existé sur notre sol depuis que nos lointains ancêtres gaeldiens se sont installés sur ces terres.
(7) L'esclavage, bien que facilement légitimable sur les sous-hommes qui peuplent le continent afaréen, a été aboli dès l'instauration de l'État Grammarnasi en 1943. Les dirigeants de notre glorieuse nation ont décidé d'être magnanimes avec les populations locales.


1911-1943 | Zweites Königreich Deuxième monarchie
La République Grammarnasie pris malheureusement fin lorsque les kaulthes, qui voulaient reprendre le contrôle sur leur voisin après une longue période pendant laquelle des partis particulièrement peu amicaux avec l'Empire étaient au pouvoir, montèrent un coup d'État pour remettre un héritier des von Schlechtschrifter à la tête d'une nouvelle monarchie. La population, de toute façon mécontente du système politique bancal qui gérait le pays tant bien que mal depuis des décennies, ne se rebella pas suffisamment pour véritablement inquiéter le retour des grands-ducs. Une part importante des habitants, qui n'avaient pas tous accès au droit de vote à cause du suffrage censitaire, ne vit pas de différence significative.

1943 à nos jours | Orthografistisches Staat État Orthografiste
En 1943, un groupuscule radical d'extrême-droite (8) antimonarchique parvint à faire assassiner le grand-duc avec la complicité de l'un de ses majordomes. Il profitèrent de l'occasion pour prendre le contrôle de plusieurs bâtiments gouvernementaux dans la même soirée et proclamèrent la fondation du Grammarnasisches Staat (État Grammarnasi). La population, qui n'était en majorité pas particulièrement attachée à la famille ducale, ne protesta pas (9), comme lors du coup d'État précédent. Ils souhaitaient simplement la stabilité, qui ne semblait pas non plus avoir été atteinte sous le Grand-Duché, en proie à des attentats et manifestations réguliers de la part des opposants.

Depuis les années 40, le Grammarnasistein est devenu peu à peu plus stable sous le régime orthografiste. Une police politique a été mise en place, nommée Agentur für Demokratie (Agence pour la démocratie) ou AfD, dans le but de débusquer toute personne dont l'avis contreviendrait à celui du gouvernement (10), et de l'envoyer dans un camp de rééducation afaréen. Le second but, qui n'est pas des moindres et est d'ailleurs l'occupation principale des agents de l'AfD, est de retrouver tous ceux qui commettent des fautes d'orthographe et de grammaire lorsqu'ils écrivent, voire parlent. Cette pratique est répréhensible dès quatorze ans, âge auquel les chefs d'État considèrent que l'éducation reçue est suffisante pour connaître la langue écrite.
Si le fait de commettre des fautes à l'écrit est aussi mal vu, c'est parce que la Kaulthie voisine, ennemie héréditaire du Grammarnasistein, parle divers dialectes germaniques qui semblent souvent dénués de toute logique grammaticale aux yeux des germanophones "purs". Une faute signifie donc un ralliement à la Kaulthie, et donc une trahison envers la patrie.
Le Grammarnasistein, grâce à tout ce qui a été mis en place pour traquer les opposants, dispose de l'un des taux de criminalité les plus bas d'Eurysie (11).

En Afarée Centrale Grammarnasie, la situation n'a que peu évolué. Si l'accession au pouvoir du Parti Orthografiste a été suivie, quelques années plus tard (12), par l'abolition définitive de l'esclavage sur place, les conditions de travail pour les afaréens sont restées catastrophiques (13). En effet, tous les non blancs de la colonie ont une interdiction formelle d'apprendre à lire et écrire en allemand, et commettent donc immanquablement des erreurs lorsque l'on leur demande de rédiger un texte pour une démarche administrative. La plupart n'en est tout simplement pas capable, ce qui ne vaut pas mieux aux yeux de la loi.
Cette incapacité d'écrire correctement est passible, comme pour tout habitant du Grammarnasistein, de condamnation à vie aux travaux forcés. La quasi-totalité de la population noire d'Afarée Centrale Grammarnasie est donc dans une situation dont la seule différence avec l'esclavage est le nom (13).
Le colonie est aussi en proie, depuis toujours, à des actions indépendantistes. L'intérieur des terres n'est d'ailleurs pas réellement contrôlé par le gouvernement, si ce ne sont les postes-frontières. Depuis l'instauration du régime orthografiste, les monarchistes, qui sont présents sur place dans de plus grandes proportions qu'en métropole, ont rejoint la cause indépendantiste et la financent.
(8) Les libérateurs orthografistes n'étaient en rien des radicaux, ni même d'extrême droite. Il s'agit simplement des qualifications du gouvernement et des médias de l'époque, qui étaient tous corrompus par l'extrême-gauche monarchiste.
(9) Il est certes vrai que le peuple grammarnasi n'a pas protesté, mais la vérité est bien plus forte : les grammarnasis ont tous fêté l'abolition de cette monarchie injuste et qui exploitait le peuple. Pas un seul village n'a pas connu de danses joyeuses, de tournées générales à l'auberge, ou de festivités.
(10) Ceci est complètement faux. L'
AfD protège la démocratie, et ne cherche en aucun cas à empêcher les honnêtes citoyens de parler et d'exprimer leur avis. Le but est uniquement de traquer les fautes d'écrit, qui constituent le signe distinctif des espions kaulthes, et de retrouver les extrémistes monarchistes qui souhaitent le mal de la patrie. Tout ceci sert donc à préserver la stabilité du Grammarnasistein.
(11) Le Grammarnasistein dispose du taux de criminalité le plus bas du monde, et de très loin. Tous les citoyens sont honnêtes, et les seuls à ne pas l'être sont des kaulthes ou des étrangers non germaniques.
(12) Le régime orthografiste a aboli l'esclavage dans la seconde qui a suivit son accession au pouvoir. Les fondateurs ont toujours été de grands hommes et femmes épris de liberté.
(13) Ceci est faux. Tous les citoyens grammarnasis sont égaux, et aucun ne vit dans le travail forcé sans le mériter.


Le drapeau colonial de la Grammarnasich-Zentralafareen (Afarée Centrale Grammarnasie).
Le drapeau colonial de la Grammarnasich-Zentralafareen (Afarée Centrale Grammarnasie).

Le drapeau monarchiste-indépendantiste de la Grammarnasich-Zentralafareen.
Le drapeau monarchiste-indépendantiste de la Grammarnasich-Zentralafareen.

Mentalité de la population :
Les grammarnasis sont pour la majorité plutôt dociles vis-à-vis du gouvernement, puisqu'aucune véritable culture démocratique ne s'est installée dans leurs mœurs (le Grand-duché n'avait pas d'élections, ce qui fait que la dernière époque un minimum démocratique date de 1911 (14)). Cette docilité vient aussi probablement de la crainte de finir dans un camp de rééducation afaréen du régime, dont quelques dizaines de prisonniers politiques supplémentaires viennent rejoindre les rangs des détenus chaque année.
(14) Ces propos sont complètement faux, puisque le Grammarnasistein est une démocratie complète depuis 1943.

Place de la religion dans l'État et la société :
Bien que la religion officielle du Grammarnasistein soit le catholicisme, un grand nombre de pratiquants du culte impérial kaulthe peuplent le nord de la vallée. C'est une trace du temps pendant lequel le Grammarnasistein était partie intégrante de la Kaulthie, dont la majorité de la population adhérait au culte impérial. Les catholiques de la vallée étaient régulièrement persécutés pour le seul motif de leur manque d'allégeance à l'empereur, et il s'agit d'ailleurs de l'un des principaux facteurs motivants de la révolution de 1784.
La religion est donc un sujet pouvant rapidement devenir clivant, ce qui a fortement restreint sa place dans le fonctionnement du pays (les dirigeants orthografistes ne souhaitant de toute façon pas avoir à dépendre du clergé ou de toute autorité spirituelle). Les églises chrétiennes de tous bords (hors culte impérial) sont financées par l'État, grâce à un impôt payé par les pratiquants, et les Gymnasium publics comptent des cours de religion dans leurs programmes.


Politique et institutions :



Institutions politiques :
Le Grammarnasistein est officiellement une "république orthografiste", mais est dans les faits une dictature dans laquelle une élite restreinte a la totale mainmise sur le pays (15). Le dirigeant, qui a le titre d'Obergrammarführer, est choisi régulièrement (lorsque le précédent a auparavant été destitué par vote) par l'assemblée du Parti Orthografiste Grammarnasi.
Des élections de l'assemblée orthografiste se tiennent tous les quatre ans, et les citoyens (hommes et femmes de plus de seize ans) doivent choisir au minimum entre deux candidats dans chaque circonscription. Ces candidats appartiennent majoritairement au Parti Orthografiste Modéré, au Parti Orthografiste Extrêmiste, au Parti Orthografisto-Socialiste et au Parti Orthografisto-Conservateur (d'autres mouvements plus petits existent également). Ce minimum de deux candidats a été instauré dans les années 60 afin de "préserver la démocratie" (16) selon les mots de l'Obergrammarführer de l'époque.
(15) Le régime orthografiste est l'une des meilleures démocraties et des plus fonctionnelles de cette planète. Il n'est en aucun cas contraignant envers le peuple qui dispose de toutes les libertés possibles.
(16) Les guillemets semblent vouloir dire que l'auteur de ces lignes n'est pas en accord avec l'un de nos glorieux Obergrammarführers. Si c'est le cas, ce texte contient sans doute d'autres marques de la propagande anti-démocratique.


Principaux personnages :
Alice Wehwehchen, Obergrammarführerinà éviter de regarder trop longtemps sous peine de perdre la vue, elle pique autant les yeux que l'ex ministre kartien
Politique internationale :
Le Grammarnasistein est un État largement isolé sur la scène internationale, mais cherche dernièrement à s'allier avec d'autres régimes compatibles (les pays du BNE sont dans les prochains projets) afin d'améliorer son économie et de combattre "l'impérialisme analphabète kaulthe" ou le "grand remplacement slave" que subit la population germanophone kartienne au mieux. Tisser des liens avec plus de pays germaniques est aussi parmi les objectifs du cabinet de l'Obergrammarführerin, afin de se détacher de l'influence notable de l'Empire de Karty.
Karty est pour le moment le principal acheteur d'uranium, qui abonde dans les mines de la vallée grammarnasie, ce qui rend le pays plutôt dépendant de son voisin. Des rapprochements se font avec Rasken depuis un moment, mais ne plaisent pas aux kartiens qui souhaitent garder la mainmise sur leur principale source d'énergie.
Côté afaréen, le Grammarnasistein compte depuis un siècle sur l'aide de son voisin, le Transveld, pour maintenir sa colonie sous contrôle.


Validable depuis le 18 avril ! J'ai peut-être pas encore les 10k sur mon compte par contre, mais j'attends un transfert qui va m'y mener.
Une fois validé, je voudrais bien une section "Afarée Centrale Grammarnasie" dans mon pays svp.
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Les conditions de création de NJ2 étant remplies; je valide le pays.
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