05/05/2016
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[ JOURNAL ] Le Jitsamais !

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Drapeau du pays


Journal le Jitsamais :


Ce journal est destiné à présenter les actualités du pays sous toutes ses formes.


Principauté du Jitsama
Journal le Jitsamais
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Drapeau du pays


Journal le Jitsamais :


Objet : Mise à l'eau du navire "Le Merlan", navire porte-conteneurs.

Un nouveau navire porte-conteneurs, mais pourquoi faire ? C'est la question que nos journalistes se sont empressés de répondre, en effet, quels sont les vrais objectifs derrière cette construction du navire "Le Merlan" ? Pour nous répondre nous interrogerons en interview le Ministre de l'économie de notre Principauté.

Comprendre c'est d'abord expliquer. Qu'est-ce qu'un navire porte-conteneurs ? C'est un navire comme son nom l'indique, portant des conteneurs, ce navire a une capacité de transport d'environ 16 000 conteneurs à l'heure actuelle, permettant ainsi le transport d'une énorme charge de marchandises. Cela a un aspect stratégique, certes ces navires sont beaucoup plus lents que par exemple des avions, mais permettent de transporter plus et plus loin. Cela dans l'objectif de pouvoir atteindre l'autre bout de la planète.

Ce navire vient donc compléter la flotte commerciale de la Principauté, c'est le premier navire commandé à se voir prendre du service, 3 autres navires porte-conteneurs sont également prévus à la mise à l'eau d'ici moins de 2 ans. C'est dans ce contexte qu'a lieu l'inauguration du navire sur les quais de la Capitale princière, en compagnie de différents responsables politiques dont le Ministre de l'économie, le Ministre des transports et sa majesté gracieuse la Princesse Sabihah Katariya qui honore la foule présente de l'ordre de 15 000 personnes de sa présence. Nous retrouvons sur place également des personnalités publiques notamment du milieu du sport et des influenceurs. Ces personnes se sont spécifiquement fait inviter par sa majesté afin de participer à la cérémonie.

En quoi consiste cette cérémonie :

Tout d'abord, une fois que tous sont bien installés, un petit défilé de la flotte marchande du pays se déroule, environ 1200 marins dont des soldats assurant la protection des navires se pavanent sur le quai de la ville mère, usant de chorégraphie et apportant un spectacle grandiose. Une fois les 30 minutes de spectacle terminées, l'hymne est joué sous un silence précieux, pendant que les marins montent à bord du navire et s'en vont au large afin de mettre fin à la cérémonie, ensuite, c'est au tour des questions-réponses avec des interviews de différentes personnalités publiques, politiques et sportives comme la Princesse qui répondra à nos questions.

Extrait des Questions/Réponses et des interviews après la cérémonie :

Notre journaliste : "Pensez-vous que l'investissement dans ces navires ne serait pas mieux investi dans le budget de recherche ou de l'éducation ?"
Le Ministre de l'économie : "Pour moi la question est simple, notre capacité commerciale se doit d'être imposante afin de financer davantage ces secteurs cruciaux, je comprends qu'avec les récentes statistiques liées à l'éducation ce secteur vous préoccupe, mais sachez que nous aussi nous y sommes plus que concentrés et à l'écoute, de nouvelles mesures seront prises d'ailleurs afin d'essayer de nouvelles approches éducatives."

Notre journaliste : "Pourquoi est-ce important pour vous votre majesté d'être présente en ce jour ?"
Sa majesté la Princesse : "Merci de votre question, et bien… Je dirais que soutenir la population est ma principale mission, et dans cet objectif je pense que ce nouveau navire est plus que nécessaire dans la réalisation de l'avancée de notre beau pays. De plus il est important de pouvoir dès que possible aller à la rencontre de la population afin d'écouter ce qu'elle a à me dire, avec une oreille attentive."

Notre journaliste : "Concernant le scandale vous visant à propos de détournement de fonds publics, ne pensez-vous pas que votre présence pourrait faire paraître une provocation voulue de votre part à la population et aux responsables politiques vous accusant ?"
Le Ministre des transports : "Je comprends ce point de vue-là mais je tiens à rappeler que seule la justice peut se permettre un jugement qui me mettrait hors course et me pousserait à la démission, en attendant, je suis un élu du peuple et je fais mon travail, d'ailleurs ce dernier consiste à être présent en ce jour notamment avec mes collègues et sa majesté la Princesse. Enfin je tiens à rappeler que je réfute ces accusations venant de l'opposition qui cherche simplement à déstabiliser le gouvernement. C'est une honte de vouloir faire ainsi venant de leur part."

Dessin du navire porte conteneur


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Objet : Activité sismique au Jitsama :

Le Jitsama est une nation marquée par une forte activité sismique. Ce constat a poussé le pays à investir massivement dans la sécurité et la prévention de ce type d’incidents. Les souvenirs traumatisants du séisme de 1981, qui a détruit 26 % de la ville d’Ataïka à l’Est du Jitsama, restent vifs dans les mémoires. Suite à cet événement, le gouvernement a mis en place des normes strictes pour prévenir et gérer ces dangers. Cependant, depuis trois mois, on observe une intensification préoccupante de l’activité sismique, notamment dans la région vulnérable d’Ataïka.

Que se passe-t-il concrètement ?

L’augmentation des activités sismiques dans la région d’Ataïka inquiète fortement les scientifiques. Ils alertent les autorités sur le risque potentiel d’un séisme plus intense que celui de 1981. Au cours des trois derniers mois, quatre séismes de faible intensité ont déjà frappé la ville et sa région, renforçant les inquiétudes.

Que conseillent les scientifiques jitsamais au gouvernement ?

Les experts en sismologie recommandent au gouvernement de prendre des mesures immédiates pour réduire les risques. Ils préconisent notamment de diminuer les activités humaines dans la région en relogeant les habitants des zones à haut risque. Cela nécessiterait l’évacuation et le relogement d’environ 1,5 million de personnes, une opération qui représenterait un coût colossal pour l’État. Néanmoins, les scientifiques estiment cette mesure essentielle pour garantir la sécurité des citoyens.

Quelle est la réponse de l’État face à ces recommandations ?

Pour l’instant, l’État a minimisé les préoccupations scientifiques, affirmant que des alertes similaires dans le passé ont parfois été exagérées. Selon le gouvernement, ces mesures coûteuses en termes financiers et humains ne sont pas justifiées pour le moment. Toutefois, un dispositif d’aide au relogement a été mis en place pour permettre aux citoyens qui le souhaitent de quitter la région à risque. Le gouvernement se veut rassurant, insistant sur l’efficacité et la fiabilité des systèmes de prévention et de lutte contre les activités sismiques déjà en place.

Extrait des Questions/Réponses et des interviews après la cérémonie :

Notre journaliste : Madame la Première Ministre Maleehah Rochlani, pourquoi l’État ne prend-il pas davantage de précautions face à un danger sismique qui, selon nos scientifiques, semble imminent et potentiellement catastrophique ?

Maleehah Rochlani, Première ministre du Jitsama : Bonjour. Écoutez, nous avons vu par le passé que certaines prédictions ne se sont pas révélées réalistes. Nous pensons que les scientifiques, comme à leur habitude, exagèrent le risque. Des mesures aussi coûteuses, tant en termes de ressources humaines que financières, ne sont pas envisageables pour l’instant. Cependant, nous restons attentifs à d’éventuels changements dans leur discours.

Notre journaliste : Vous êtes candidate aux prochaines élections. Cette décision de minimiser le risque ne serait-elle pas une stratégie pour éviter d’être décrédibilisée si les prédictions des scientifiques s’avéraient erronées ?

Maleehah Rochlani, Première ministre du Jitsama : Non, absolument pas. Je n’ai rien d’autre à déclarer, je vous remercie. Au revoir.

Image de la ville d’Ataïka



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Objet : Monopole naturel de "JDHS", Jitsusama Denryoku Haikyū Sābisu :

Le service de distribution d'électricité jitsamais, ou "JDHS", est l'entreprise numéro 1 sur le marché de l'électricité au Jitsama. Cette dernière bénéficie d'un monopole naturel soutenu par l'État, qui veille à maintenir des prix bas pour la population.

Informations clés sur l'entreprise :

Fondée par Moto Naizen en 1967, l’entreprise est rapidement devenue incontournable dans le domaine de l’électricité, particulièrement dans les années 80. Cependant, c’est avec l’accord "DKK" ou *Denryoku Kisei Kyōtei* (Accord de Régulation de l’Électricité), signé par l’ancien Premier ministre et les référents gouvernementaux, que "JDHS" a pris un tournant décisif. Cet accord a permis à l’entreprise de devenir un monopole naturel, assurant la distribution d’électricité à des prix très bas grâce à la régulation étatique du marché. Ce modèle est conçu pour maximiser le bénéfice de la population en limitant la concurrence.

Qu’est-ce qu’un monopole naturel ?

Un monopole naturel se caractérise par les coûts élevés liés à l’investissement dans les équipements nécessaires à la production (dans ce cas, la production d’électricité). Une entreprise bénéficiant de ce type de monopole produit à une échelle très large, ce qui permet de réduire significativement les coûts unitaires. L’absence de concurrents ou leur impact négligeable garantit une production efficace et à moindre coût pour la population, ce qui ne serait pas possible avec une concurrence trop fragmentée.

Extrait des Questions/Réponses et interviews après la cérémonie :

Notre journaliste : "Bonjour, Monsieur Tomita Naizen. Nous nous posons la question suivante : avez-vous lancé, via l’importation de technologies drovolskiennes et de main-d'œuvre kartvélienne, un projet de construction d’une centrale nucléaire pour répondre aux besoins énergétiques du Jitsama ?"

Tomita Naizen, patron de "JDHS" : "Bonjour. En effet, nous avons signé, à l’initiative du gouvernement jitsamais, un contrat avec le Drovolski pour la création d’une centrale nucléaire sur notre territoire."

Notre journaliste : "Avez-vous déjà choisi l’emplacement où sera construite cette nouvelle centrale nucléaire ?"

Tomita Naizen, patron de "JDHS" : "Pour le moment, nous étudions encore les options possibles. Cependant, l’Est du pays est en bonne position pour accueillir cette nouvelle centrale."

Notre journaliste : "Vous avez toujours privilégié des solutions écologiques pour produire de l’électricité. Cependant, une centrale nucléaire génère des déchets nucléaires. Pensez-vous que cela pourrait nuire à votre réputation de société engagée dans les enjeux environnementaux ?"

Tomita Naizen, patron de "JDHS" : "Je pense que l’énergie nucléaire, bien qu’elle génère des déchets, représente une solution raisonnable en termes de coûts et d’avantages pour la population et notre entreprise. Non, je ne pense pas que cela nuira à notre réputation. Au contraire, je crois que notre image de société responsable sera renforcée grâce à cette alternative viable sur le plan écologique."

Image des panneaux solaires et éoliennes au Jitsama



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Objet : Vaste plan d'industrialisation militaire du pays :

La Principauté du Jitsama, avec l’appui du gouvernement et de la Princesse du pays, se lance dans un vaste plan d'industrialisation militaire dans tout le pays. En effet, ce plan survient après de larges discussions entre les industriels Jitsamais et le gouvernement, qui ont fini par aboutir à ce que l'on appelle plus communément le "Kokka gunji sangyōka o atsukau" ou "KGSA". C’est donc ce traité d'industrialisation militaire nationale qui a pour objectif, à l'avenir, de rendre le pays non seulement autonome quant à sa production d'armes, mais bien de pouvoir exporter ses surplus d'armement.

Quel type d'armement sera visé dans cette production à grande échelle ?

Le gouvernement et les industriels Jitsamais se sont mis d'accord sur le fait de lancer une subvention nationale pour la recherche et le développement de techniques et technologies militaires, avec en priorité les armes d'infanterie. En attendant d'aboutir à la création d'une nouvelle technologie, le gouvernement lance un appel à la licence. En effet, le gouvernement, ne pouvant produire d'armes sans technologie adéquate, souhaite prendre une licence étrangère afin de pouvoir commencer une production d'armes dans les usines qui se construisent ainsi que dans le cadre du plan d'industrialisation militaire futur.

Détails du "KGSA" :

Le plan consistera en la création de parcs industriels regroupant 20 usines par parc. Il est prévu la création de 4 parcs industriels d'ici l'horizon 2017. Les 4 villes choisies sont Yonkoy et Ota dans l'Est du pays, un autre parc dans le nord de la capitale du pays, Kyöka, et enfin un dernier parc à Jitsubi dans l'Ouest du pays.

Extrait des Questions/Réponses et des interviews après la cérémonie :

Notre journaliste : "Pourquoi ce plan "KGSA" apparaît-il aujourd'hui et pas plus tôt, monsieur le porte-parole du gouvernement, Uehashi Yoshitaka ?"

Porte-parole du gouvernement, Uehashi Yoshitaka : "Écoutez, nous avons déjà par le passé raté une occasion inédite de relancer notre marché de l'armement, c'est pourquoi nous ne pouvons pas laisser une nouvelle ouverture se défiler. L'économie va mieux et le pays de même, alors continuons dans cette dynamique qui va à terme nous permettre non seulement d'être autosuffisants mais aussi d'accroître notre économie au profit de tous."

Notre journaliste : "Votre grâce, nous vous connaissions tenant des positions contre la prolifération de l'armement dans le monde quand vous n'étiez qu'une enfant, pourquoi un tel changement de position ?"

Sa Majesté la Princesse du Jitsama : "Merci de cette pertinente question. Nous savons que les armes sont un danger mais savons également que ces dernières permettent de dissuader d'éventuelles nations trop conflictuelles. Des politiques de contrôle des ventes d'armes seront mises en place afin de sélectionner à l'avenir à qui nous vendrons nos armes."

Notre journaliste : "Pensez-vous que le Jitsama devrait se doter d'une armée de dissuasion au détriment de notre armée d'auto-défense ?"

Sa Majesté la Princesse : "Je pense que la question sera étudiée mais que, en effet, des dispositions seront prises afin de changer certains aspects, voire complètement notre armée, au profit d'un style d'armée plus moderne et à même de résoudre des problèmes ou défendre notre pays."

Image des futur parc industrielle au Jitsama


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Objet : Bientôt de nouvelles élections !

Le Jitsama débute les festivités concernant de nouvelles élections. En effet, les dernières élections ayant été faites le 26 décembre 2006, le pays se remet en activité avec le lancement des premières campagnes pour prendre la tête du gouvernement. Cependant, cela marque le début d'une potentielle crise politique. La passation de pouvoir a, par le passé, déjà largement contribué à un blocage démocratique si aucune majorité n'est élue. De plus, le gouvernement étant soumis à la couronne du Jitsama, l'entente entre les deux parties se doit d'être cordiale malgré les différences idéologiques certaines.

Qui sont les candidats pour prendre la tête du gouvernement ?

- Sabre Jitsama (SJ), extrême gauche anarchiste, anti-État, révolutionnaire : Miki Bussho
- Union Rouge (UR), extrême gauche communiste : Yokono Taki
- Acier, gauche socialiste, universaliste, pro-immigration, écologie politique : Kimura Taree
- République ! (R !), centre gauche, pro-immigration, économie de marché, écologie politique : Amachi Kyuwa
- Défense Jitsamaise (DJ), centre droite, économie de marché, contrôle de l'immigration : Ueno Yoshitomo
- Identitaire ! (I !), droite, nationalisation de l'économie, contrôle de l'immigration, identitaire : Mawatari Ko
- Jitsama d'Abord (JA), droite, nationalisation de l'économie, contre l'immigration, patriotisme, pro-militariste : Ichioka Shinsui
- Uni, extrême droite, contrôle de l'immigration, écologie politique, patriotisme public, pro-royauté, militariste : Sakai Wakiko
- Couronne Jitsamaise (CJ), extrême droite, anti-démocratie, pro-royauté, militariste, révolutionnaire : Tomatsu Norihide
- Fédération ! (F!), pro-syteme mixte (communisme-capitalisme), pour l'intégration à la Fédération, militariste, pro-démocratie : Lu Huo

Extrait des Questions/Réponses et des interviews après la cérémonie :

Notre journaliste : « Votre politique menée afin de supprimer la démocratie et de redonner le pouvoir à Sa Majesté la Princesse, ne serait-elle pas un danger pour la stabilité du pays ? »

Tomatsu Norihide, candidat "CJ" : « Je comprends que la possibilité de supprimer les droits acquis par le peuple semble effrayante, mais nous pensons et constatons que la démocratie possède énormément de failles que nos ennemis n'hésiteront pas à utiliser contre notre nation. Alors nous préférons contrôler le pouvoir de la Princesse d'une manière plus sécurisée en redonnant une partie de ce que la couronne avait, je le rappelle, volontairement accepté de céder sans qu'aucune violence n'ait eu à être faite. »

Notre journaliste : « Ne croyez-vous pas qu'une politique trop écologique serait un frein non seulement pour l'économie mais aussi un frein dans nos avancées technologiques et sociales ? »

Kimura Taree, candidate "Acier" : « Pour commencer, nous sommes en effet contre les politiques appliquées notamment sur les parcs industriels et sur nos énergies qui sont activement en conversion à l'énergie nucléaire. Nos positions sont très claires à ce sujet, nous mènerons une politique anti-nucléaire et favoriserons ouvertement des solutions écologiques plutôt qu'économiques. Nous étudierons tout de même les questions et les enjeux derrière les futures décisions à prendre, mais nous souhaitons être rassurants vis-à-vis de ce sujet : nous ne souhaitons pas faire sombrer économiquement le pays, mais nous souhaitons garder l'équilibre entre la politique économique et environnementale, cela comme la tradition le veut depuis la nuit des temps. »

Notre journaliste : « Pensez-vous que le Jitsama pourrait s’en sortir sincèrement sans un État fort qui puisse assurer la sécurité et le contrôle des différents acteurs au sein du pays ? »

Miki Bussho, candidate "SJ" : « Eh bien, nous pensons que le Jitsama est une nation au peuple fort. L'État n'est qu'un frein à l'intellect jitsamais qui n'a que pour objectif le contrôle sur la population. Nous devons renverser ce système corrompu afin d'instaurer une vraie démocratie sans un État dur, mais avec une autorité du peuple, légitime et qui donnerait plus de liberté à la population. »


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Objet : Développement de l'IA, un danger ?

Le Jitsama, étant une nation poussée par les réflexions morales historiques et culturelles, nous nous demandons si l'IA serait bénéfique pour la nation jitsamaise et son peuple, ou plutôt serait un tombeau évitable. Dans les faits, le Jitsama, avec son gouvernement, investit environ 112 millions du PIB du pays, avec des subventions aux entreprises indépendantes. En tout, le pays, avec les entreprises privées, investit près de 950 millions dans cette avancée dans divers domaines qu'est l'IA. Cependant, l'investissement conséquent dans la recherche et le développement des IA par le gouvernement inquiète les économistes jitsamais.

Le gouvernement a annoncé aujourd'hui un élargissement des subventions à la recherche et au développement du secteur des IA sur une durée de 4 ans avec près de 10 millions supplémentaires répartis sur ces années. Un chiffre qui inquiète malgré le fort accroissement des richesses du pays depuis quelques années. Le gouvernement fait preuve d'un vrai coup de poker au profit de l'intelligence artificielle malgré l'approche plus que rapide des élections. Les enjeux derrière étant de se faire réélire. Le ton donné est donc clair : "ça passe ou ça casse". L'IA sera-t-elle le vent nouveau qui boostera l'économie du pays, ou sera-t-elle ce qui fera s'écrouler celui-ci ?

Extrait des Questions/Réponses et des interviews après la cérémonie :

Notre journaliste : « Pourquoi investir autant dans la recherche et le développement des IA à quelques mois des prochaines élections ? Serait-ce un coup de poker électoral de votre gouvernement ? »

Amachi Kyuwa, candidat "R!" aux élections jitsamaises : « Eh bien, je dirais que nous croyons fermement à cette directive, cependant seul le temps pourra juger de notre espoir. Cette décision a été très difficile à prendre, c'est soit ça passe, soit ça casse. Nous tenons cependant à rassurer, nous ne souhaitons que le bien de la population et non simplement une carte jouée dans le but de remporter les élections. »

Notre journaliste : « Pourquoi investir maintenant dans l'IA ? Y a-t-il un facteur déclencheur à ceci ? »

Amachi Kyuwa, candidat "R!" aux élections jitsamaises : « Tout d'abord, non seulement les élections s'approchent à grands pas, mais en effet le moment choisi est opportun, car le pays voit une vague de flux économique qui augmente à grands pas également. Nous essayons principalement d'accentuer ce grand pas en avant avec la poussée des IA dans notre pays. Nous espérons devenir à terme des pionniers dans le domaine des intelligences artificielles, ce qui conforterait notre petite nation à la table des puissants. Nulle crainte ne sera dans nos regards, seuls l'espoir et la confiance nous guident. »

Notre journaliste : « Avez-vous prévu des normes, des lois ou encore des décrets afin de limiter, interdire ou protéger les IA et leur utilisation ? »

Amachi Kyuwa, candidat "R!" aux élections jitsamaises : « Nous réfléchissons activement sur ce sujet. Cependant, je peux confirmer en exclusivité qu'un projet de loi vise en effet à garantir l'utilisation de l'IA à des fins sociales, scientifiques et économiques uniquement, en limitant au maximum les autres utilisations possibles, notamment dans le domaine de l'armée. Ce futur projet de loi sera porté par notre gouvernement d'ici quelques semaines et aboutira normalement avant le début des élections. »

Image d'intelligence artificielle et d'un humain.



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Objet : Exercice militaire jitsamais dans le canal du Jitsama.

La petite principauté fait face à des tensions croissantes, notamment concernant le canal du Jitsama. C'est donc dans l'optique de s'entraîner à défendre le canal, crucial pour l'économie jitsamaise, que les militaires professionnels du pays se sont prêtés à l'exercice à grande échelle. Une démonstration de force envoyée par le gouvernement qui souhaite faire passer le message suivant : <<Le canal du Jitsama appartient aux Jitsamais et le restera !>>.

Cet exercice mobilisera donc la force d'auto-défense jitsamaise avec ses 10 000 soldats bien entraînés. L'exercice aura duré près de six heures durant lesquelles le commerce de la zone aura été ralenti mais pas stoppé. Notamment car durant ces exercices, les navires acceptant de participer à l'exercice furent soumis à des contrôles voire des abordages orchestrés par les capitaines des navires et les forces d'auto-défense jitsamaises. Ceci afin de mettre à l'épreuve les équipages des navires dans la lutte contre la piraterie ou encore de les habituer à des contrôles. Ainsi, le passage par le canal fut gratuit pour les navires souhaitant le traverser et souhaitant participer à cet exercice.

Le gouvernement, dans ce projet d'exercice militaire, a également employé un ancien navire de l'armée jitsamaise afin de tester la réactivité et l'expérience accumulée afin de détruire ce navire ayant pour objectif de détruire le canal du Jitsama via des explosifs dissimulés. Les militaires jitsamais ont procédé respectivement à une demande de contrôle, refusée par le navire, puis les forces d'auto-défense jitsamaises ont procédé à une demande de quitter les eaux territoriales et de stopper l'avancée du navire suspect. Sans réponse. Enfin, un premier puis un second tir de sommation en direction du navire ont été tirés, pour enfin terminer l'exercice par le tir d'un missile sol-mer en direction du navire considéré comme hostile, détruisant celui-ci et le renvoyant dans les bas-fonds de l'océan.

Cet exercice est très mitigé sur la scène politique du pays. En effet, le Jitsama n'a pas pour habitude de tels exercices. Cependant, celui-ci est soutenu par le gouvernement et par une grande partie de la droite jitsamaise, mais est discuté par la majorité des partis de gauche du pays qui y voient un retour de la force par le gouvernement, ainsi qu'un message politique interne au pays par le gouvernement de la principauté. Cependant, la princesse du Jitsama, quant à elle, reste neutre sur la question et n'a pas souhaité prendre position pour ou contre cet exercice militaire des forces d'auto-défense jitsamaises.

Extrait des Questions/Réponses et des interviews après la cérémonie :

Notre journaliste : <<Le pays semble recourir à une démonstration de force à l'objectif régional, pensez-vous que cet exercice soit beaucoup plus néfaste dans son aspect politique ?>>

Ichioka Shinsui, candidat "JA" aux élections du pays : <<Nous pensons que cet exercice aspire à la grandeur du Jitsama, donc je vous répondrais que non. Malgré notre gouvernement défaillant, il peut arriver que certaines décisions soient de bonne augure, comme celle de faire cet exercice militaire. Cependant, nous pensons que davantage d'exercices du même type doivent être menés, et pas seulement dans le canal du Jitsama, mais bien aussi en mer, dans nos montagnes et à nos frontières !>>

Notre journaliste : <<Le pays est-il, d'après vous, en train de prendre un tournant vers la droite militariste et productiviste ?>>

Kimura Taree, candidat "Acier" pour les élections du pays : <<Oui, nous voyons ce tournant d'un mauvais œil et appelons le gouvernement à ralentir ce changement de direction vers la droite. Nous alertons la population concernant ce changement de politique qui est contre nos idéaux et nos traditions historiques. Enfin, nous promettons de mettre un terme à cette politique militariste si nous sommes élus au gouvernement du pays et commencerons dès à présent à contrer cette poussée militariste et anti-environnementale que le pays, via notre gouvernement, semble prendre à toute allure.>>

Armée jitsamaise en exercice.



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Objet : Interception de pirates Ozkïts en Océan Aritméen.

Pour mieux comprendre et appréhender le contexte de cette interception, il nous faut comprendre pourquoi le patrouilleur jitsamais "La Furie Royale" se trouvait dans la région. En effet, le gouvernement, dans sa politique de militarisation du pays ainsi que dans son envie de protectionnisme, avait décrété l'opération "Blue Whale", une opération ayant pour objectif de patrouiller dans les eaux territoriales et internationales des îles jitsamaises et alentour. Cette patrouille avait pour but la protection du commerce de la région et le contrôle de l'immigration sur ces îles.

"La Furie Royale", lors de sa patrouille nocturne du premier octobre deux mille vingt-cinq, fut interrompue dans sa mission par le bruit de la radio de commandement. Un navire porte-conteneurs jitsamais, en provenance d'Eurysie du Nord et en direction du Jitsama, fut pris pour cible par un vaisseau-mère léger, avec à son bord deux petits zodiacs et une dizaine de pirates Ozkïts. Ce vaisseau-mère entama alors une course-poursuite contre le navire, beaucoup plus lent que les petits zodiacs. Le navire alerta immédiatement les autorités navales jitsamaises afin d’être secouru et entama la procédure de désengagement, procédure enseignée durant les classes préparatoires de la marine marchande jitsamaise. Cette manœuvre, engagée par le navire porte-conteneurs jitsamais, permit de rendre difficile l'abordage par les zodiacs pirates, laissant le temps au patrouilleur d’intervenir et d’intercepter les pirates, qui furent maîtrisés par les forces navales et arrêtés.

Aucun papier n’a été retrouvé sur eux. Cependant, après la fouille du vaisseau-mère, qui tentait de fuir à la vue du patrouilleur jitsamais, tout semble indiquer que ces pirates sont d'origine Ozkïte (L'État Martial Ozkït). Dans un premier bilan, il est recensé que deux des pirates ont été blessés pendant l'opération, aucun mort n'est à déplorer, et une saisie des deux zodiacs ainsi que du vaisseau-mère a été effectuée. Les pirates sont actuellement détenus dans la prison d’Itakay, sur l’île ouest jitsamaise.

Les autorités dénoncent un manque de contrôle maritime de la part des autorités de L'État Martial Ozkït et demandent un contrôle plus strict sur les autorisations de navigation. De plus, les autorités jitsamaises demandent l'extradition des ressortissants Ozkïts ainsi qu’un double jugement, à la fois jitsamais et Ozkït.

Extrait des Questions/Réponses et des interviews après la cérémonie :

Notre journaliste : << Capitaine, comment avez-vous vécu l'arrestation de ces pirates Ozkïts ? Ont-ils opposé une résistance ? >>

Le capitaine du navire patrouilleur : << Non, ils n'ont pas opposé de résistance et se sont rendus pour la plupart sans heurts. Cependant, la course a été rude pour les rattraper. De mon point de vue, l'opération s'est déroulée sans problème particulier. L'équipage a été exemplaire durant cette procédure d'interception. Je nous félicite pour l'entraînement et l'expérience accumulés sur plusieurs années, ainsi que pour cette opération qui vient enrichir l’ensemble de l’équipage. >>

Notre journaliste : << Comment les deux pirates blessés ont-ils pu l’être ? Serait-ce un manque d'expérience de l'équipage dans l'arrestation ou une autre cause externe ? >>

Le capitaine du navire patrouilleur : << De notre point de vue, la procédure a été respectée méticuleusement. Les blessures qu’ont subies ces deux pirates sont dues à leur propre équipage. En effet, d'après leurs premiers interrogatoires, ces deux pirates ont voulu se rendre sans fuir afin d'éviter une peine trop lourde, ce que les autres pirates ont refusé. Ils les ont alors passés à tabac durant l’arrestation. >>

Notre journaliste : << Monsieur le général des forces navales jitsamaises, êtes-vous fier de cette opération réussie et comptez-vous la poursuivre après cet incident ? >>

Le général des forces navales jitsamaises : << Oui, nous en sommes fiers. L'opération "Blue Whale" n'est pas simplement une perte d'argent public ou une démonstration de force internationale, mais bien une nécessité publique afin de protéger nos concitoyens, y compris dans les eaux internationales. L'opération "Blue Whale" prouvant son utilité, nous la poursuivrons jusqu'à nouvel ordre et nous préparons de nouvelles opérations en fonction des besoins de notre nation. >>

Illustration



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Objet : Prise de pouvoir de la junte militaire jitsamaise.

Le 31 octobre 2015, à 20 heures 02, la capitale jitsamaise fut secouée par une nouvelle inquiétante. Les militaires de l'armée d'autodéfense du pays ont pris d'assaut les lieux de pouvoir dans le pays. La nuit venant de tomber, l'Assemblée nationale jitsamaise, le Palais gouvernemental ainsi que le Palais princier furent pris d'assaut par les quelque 2000 soldats de l'armée du pays. C'est un chamboulement qui fut annoncé le soir même à 22h41 en direct à la télévision par le général Miyano Satoshi, se proclamant chef de la junte militaire du Jitsama.

Dans un communiqué officiel, il annonce la fin des privilèges royaux et la mise en place d'une vraie démocratie dans le pays. Miyano Satoshi, se voulant rassurant, assure qu'aucun mal ne serait fait à la population et que les relations diplomatiques avec le Jitsama seraient coupées durant quelque temps sans préciser quand le pays reviendra à la normale. Miyano Satoshi proclame qu'il ne restera pas au pouvoir éternellement, mais qu'il fera figure de représentant de la nation de manière temporaire jusqu'au retour à la normale et l'organisation d'élections plus justes pour le pays.

Le gouvernement provisoire nommé par Miyano Satoshi annonce la mise en place d'un couvre-feu de 22 heures à 5 heures du matin jusqu'à nouvel ordre. Le gouvernement annonce également la dissolution immédiate de l'Assemblée nationale ainsi que l'annulation de certains traités jugés impensables pour le bien-être du pays. Miyano Satoshi accuse la princesse d'incompétence lors de ses visites et l'accuse d'avoir mis à mal le pays. Cependant, en tant que Princesse du pays, elle ne sera pas jugée, mais n'aura plus la responsabilité du pays. Un accord ayant été convenu avec la Princesse, elle devient conseillère du gouvernement et conserve le titre de diplomate.

Enfin, le gouvernement annonce que les partis considérés comme dangereux pour la démocratie jitsamaise seront définitivement interdits et seront activement surveillés par la police afin de garantir une continuité dans les processus démocratiques. De plus, Miki Bussho, candidate à l'élection présidentielle, a été arrêtée par la police dans la nuit après que celle-ci l'a trouvée hors de chez elle avec un petit groupe de militants armés. La police a été prévenue par une source extérieure anonyme et a procédé à l'arrestation des militants. Aucun échange de tirs n'a eu lieu, le petit groupe s'étant rendu sans résistance. Ils sont actuellement interrogés au commissariat central de Kyöka.

Extrait des Questions/Réponses et des interviews après la cérémonie :

Notre journaliste : << Pensez-vous rester au pouvoir combien de temps ? >>

Miyano Satoshi, chef de la junte militaire du Jitsama : << Nous n'avons pas d'estimation à faire pour le moment, mais espérons retrouver une normalité démocratique d'ici deux à trois prochaines années. >>

Notre journaliste : << Avez-vous été violentée durant l'intervention des forces d'autodéfense jitsamaises, et êtes-vous forcée de coopérer avec les militaires de la junte ? >>

La Princesse du Jitsama : << Non, rassurez-vous, je trouve même qu'ils ont été cordiaux, au moins ils ont frappé à la porte et m'ont expliqué la situation. C'est moi qui ai d'ailleurs proposé l'accord entre la junte et moi. >>



Principauté du Jitsama
Journal le Jitsamais
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Objet : Interdiction et restriction dans la politique jitsamaise.

Le nouveau gouvernement dirigé par le général Miyano Satoshi a déclaré dans un communiqué la réorganisation des institutions démocratiques du pays. Notamment en pointant du doigt les partis politiques jugés extrémistes, qui seront soumis à une interdiction de se présenter et de propager leurs idées, ainsi qu'à des restrictions sur d'autres jugés acceptables mais dangereux.

Il est plus précisément question des partis s'érigeant en bouclier de la royauté, c'est-à-dire le parti "Couronne Jitsamaise" ou "CJ", un parti d'extrême droite favorable à l'instauration d'une monarchie plus forte. Ce parti est désormais interdit de représentation aux prochaines élections, mais aussi de propager ses idées sur les réseaux sociaux et dans la société. Une interdiction qui entre en vigueur dès aujourd’hui, sans possibilité de négociation avec le parti.

Le gouvernement a également annoncé la dissolution du parti "Fédération !" ou "F!", qui paraissait au départ acceptable, mais qui, selon le gouvernement, est gangrené par des idées religieuses antidémocratiques ainsi que communistes. Ces deux éléments cumulés poussent le gouvernement à interdire le parti aux élections. De plus, la même interdiction de diffusion de leurs idées s'applique, notamment pour leurs positions religieuses, particulièrement mal vues par le gouvernement, plus encore que le communisme, qui n'est pas jugé nécessitant une interdiction complète.

Enfin, le dernier parti interdit est "Sabre Jitsama" ou "SJ", qui ne pourra ni se présenter aux élections ni propager ses idées dans la société, en raison de sa position ouvertement antidémocratique et, surtout, opposée à la structure même de l'État.

Dans leur déclaration, les autorités ont également annoncé la mise en place de restrictions sur certains partis politiques, notamment financières. L'État finance actuellement les partis politiques pendant la période électorale à hauteur de 80 %. Cependant, les partis considérés comme "dangereux" par le gouvernement de la junte militaire jitsamaise ne bénéficieront plus de cet avantage financier pour diffuser leurs idées.

Les partis concernés par cette mesure sont, pour le moment, le parti "Union Rouge" ou "UR", jugé dangereux pour ses idées communistes mais pas inutile pour la démocratie. Un second parti est également soumis à ces restrictions : le parti "Uni". Ce parti est jugé dangereux pour son orientation pro-monarchique, mais la façon dont il applique ses propositions monarchistes est jugée compatible avec la société et potentiellement utile par le gouvernement de la junte militaire du Jitsama.

Enfin, concernant l’arrestation et l’enquête menée par la police sur les partisans du groupe "Sabre Jitsama", interpellés lors du couvre-feu en compagnie de la candidate Miki Bussho et en possession d'armes, des avancées ont été faites. La candidate Miki Bussho a été relâchée par les forces de l'ordre. Ne portant pas d’arme sur elle, la police estime qu'elle devra être surveillée, mais pas emprisonnée. Cependant, certains autres partisans arrêtés en possession d’armes à feu ont été incarcérés à la prison de Kyöka en attente d’un jugement.

Extrait des questions/réponses et des interviews après la cérémonie :

Notre journaliste : << Pensez-vous que les partisans du parti "SJ" arrêtés lors du couvre-feu avec des armes seront jugés sévèrement ? >>

Commissaire de police du commissariat central de Kyöka : << De mon point de vue, qui n’est évidemment pas celui d’un juge, je pense que ces personnes seront relâchées sans trop de soucis. Grâce au fait qu'ils se sont rendus sans résistance ni agressivité, ainsi que leur coopération avec les forces de l’ordre, cela jouera sans aucun doute en leur faveur lors du jugement. >>

Notre journaliste : << Qu’a révélé l’enquête sur les agissements de ces partisans de "Sabre Jitsama" ? >>

Commissaire de police du commissariat central de Kyöka : << Pour le moment, la police n’a aucun commentaire à faire. Des approfondissements sont en cours, nous vous communiquerons plus de détails d’ici peu, mais nous ne déclarons rien pour le moment. Une autre question ? >>

Notre journaliste : << Pensez-vous que de nouvelles arrestations d'opposants politiques seront effectuées par le gouvernement ? >>

Commissaire de police du commissariat central de Kyöka : << Nous tenons à rappeler que cette arrestation n’a rien à voir avec le gouvernement. C’est un appel anonyme qui nous a signalé des personnes armées circulant de nuit alors qu’un couvre-feu était instauré. Donc, pour le moment, rien n’indique que le gouvernement procède à des arrestations d’opposants. Si ces derniers ont été arrêtés, c’est à cause de leurs actes et non de leur couleur politique, contrairement à ce que les médias de gauche ne cessent de répéter. >>



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