15/09/2015
17:35:36
Index du forum Règles et inscription Inscriptions Inscriptions validées

Demande d'inscription de la République d'Alashkhanie

0
Création de pays : La République d’Alashkhanie.

Généralités :



Nom officiel : La république d’Alashkhanie
Nom courant : Alashkhan
Gentilé : Alashkh, Alashkhinne

Inspirations culturelles : Khazak, Tatar, Sibérienne et Empire Russe
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Alashkhoun, Russe, Français (bien que récemment introduit afin de faciliter les échanges internationaux. Le français se démocratise principalement chez les jeunes gens.)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Multiples dialectes Koumandines, Alashkh et Néguissakhes.

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : La sagesse réside dans l'esprit, la force réside dans l'union.
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Alkhanish

Capitale : Öshlatyrgan

Population : 31 673 000 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

A quoi ressemble le pays :

L'Alashkhanie est un pays situé dans le Nord-ouest de Nazum. A cheval sur deux cultures fortes qui représentent très bien le contraste de ses terres. Alashkhan est également un pays riche en matières premières avec au nord, de nombreux gisement d’énergie fossiles tel que le pétrole et le gaz, mais également de large foret le bois ainsi que des gisements de les diamants et minerai précieux. Dans le sud du pays, les grandes plaines s’étendent à perte de vue surmontées d’une immense montagne nommée Tengogaï et, selon les croyances locales, le grand Tengri veille sur les nombreux troupeaux qui paissent à ses pieds. Mais en plus de protéger les troupeaux des nomades Alashkh, la montagne offre également à la population locale un lieu de détente où l’on peut apprécier les pistes de ski en hiver et les randonnées en été.

Les grandes plaines sont également riches en ressources minières et fossiles, mais les populations nomades du pays sont très attachées à leur pâturage et il est difficile, voire impossible pour le gouvernement Alashkh de pouvoir exploiter ses ressources souterraines sans se mettre à dos la majorité de ces derniers. Les quelques rares mines déjà présentes dans ces provinces datent de l’occupation coloniale et sont strictement encadré par des décrets et surveiller par les représentants des communautés locales, leur empêchant toutes expansion.
Outre ces ressources souterraines, le pays est également doté d’un certain nombre de parcelles agricoles et de large zone côtière, tant au nord qu’au Sud-Ouest du pays, offrant aux populations locales un accès à la nourriture et surtout aux commerces maritimes mondiale avec de nombreux partenaires potentiel. C’est généralement le long de ces zones côtières que l’on retrouvera les grandes métropoles du pays, à l’exception de la capitale, Öshlatyrgan, qui se situe dans l’intérieur des terres.

Histoire du pays :

Le pays a été pendant de très nombreuses années une colonie d’un empire voisin déchu, exploitant les populations locales et les ressources naturelles du pays sans se soucier des mœurs et mode de vie de ces derniers. C’est durant la colonisation que nombreux de nomade ont été obliger de se sédentariser dans les villes côtières et de travailler pour le compte de l’état colonial. C’est également de cette époque coloniale que le pays retient l’un de ses plus gros problèmes lancinent, la corruption. Malgré une politique d’anti-corruption en gager par le gouvernement depuis près de dix ans, la corruption reste ancrée dans les mauvaises habitudes du peuple Alashkh et il est très difficile de s’en débarrasser. De plus, le coût de la vie dans les centre urbains côtier restent très onéreux et le salaire moyen, bien qu’en augmentation depuis plusieurs années, peine toujours à permettre d’avoir une vie décente pour près de 20% de la population citadine. Un autre problème phare du pays est la difficulté de « centraliser » des populations qui se veulent nomades et qui se déplacent régulièrement au sein du pays. Une partie non-négligeable de la population Alashkh a un mode de vie pastorale et, de ce fait, il est difficile de faire appliquer certaines lois auprès de ces populations. Pour exemple, nous pouvons prendre celui de l’éducation. Le pays souhaitant faire un bon technologique rapide, il a lancé un vaste programme d’éducation des enfants Alashkh. Mais il est difficile de scolariser les enfants des populations nomades et la majorité de ceux-ci ne finissent pas leur étude pour aider leurs parents à gérer le troupeau.

Ce n’est qu’après plusieurs révolutions, souvent réprimée dans le sang, que les populations Alashkh et Koumandines ont réussi à se défaire de leur lien pour fonder la République d’Alashkhanie. Si ces débuts prometteurs ont fait place à la liesse générale, les disparités entre les ethnies ont faillit faire sombrer la jeune république dans une guerre civile. C’est alors qu’est apparu Batyrkhan Nurzhanov dans le sillage médiatique et politique. Cet homme, d’origine Alashkh et de confession Tengrist a décidé de mettre un terme aux effusions de sang et aux disputes incessante entre les ethnies. Il se verra rapidement confier les rênes du pouvoir avec ses idées qui ont séduit la majorité des groupes ethniques, voulant faire du pays un état laïque mais tolérant tous les cultes, souhaitant donner une place à la voix de chaque communauté avec l’instauration du droit de vote universel mixte et avec l’instauration d’un lieu consultatif des communautés pour la création et le vote de nouvelle loi. De plus, il a promis au peuple Alashkh d’améliorer sa condition de vie et de faire du pays l’une des nations à la pointe de la technologie.

En dix ans, le niveau de vie a presque triplé, les religions et les communautés vivent maintenant en harmonie avec pour même objectif commun de faire de l’Alakhan l’un des pays les plus compétitifs et développé du continent Nazuméen. S’ils savent que la route est encore longue, c’est un défi que le peuple Alashkh est prêt à relever, surtout s’ils sont guidés par un gouvernement compétent qu’est celui de Batyrkhan Nurzhanov ! C’est d’ailleurs grâce à ses compétences que ce dernier a réussie à se maintenant au pouvoir depuis tant d’années, là où normalement il n’aurait pu cumuler que deux mandats de 5 ans. Ce dernier, très apprécié par le peuple, s’est vu offrir la possibilité, par la chambre des représentants, de continuer à diriger le pays jusqu’à ce que les objectifs qui ont été fixés lors de son investiture soient atteint. Si certains y voient la une manière pour Batyrkhan Nurzhanov et son administration de prendre le pouvoir à vie de manière détourné, le soutien du peuple Alashkh est si important que ces voix dissidentes sont généralement étouffées et ressemblent plus à des paroles d’homme ivre ou envieux d’un tel succès que d’une réelle menace pour la souveraineté du pays.

Mentalité de la population :
La population Alashkh est en réalité un mélange et agrégat de nombreuses ethnies différentes ayant eu des liens depuis de nombreux siècles. On peut y retrouver de nombreux groupes koumandines, issue des territoires Sibériens de Nazum, habitués aux tâches ardues de l’agriculture, de la pêche et de l’exploitation forestière et minière. Bien qu’elles soient minoritaires aux seins du pays, elles n’en restent pas moins aussi importantes que la majorité Alashkhinne et nul n’oserait remettre en question leurs implications et leur dévouement pour le bien de la République !

De l’autre, on peut retrouver les ethnies majoritaires Alashkhinnes composées encore une fois d’un grand nombre de groupes différents aux traditions pastorales et nomades. Les grandes plaines centrales ont ainsi été la demeure de nombre d’Alashkhs avant l’occupation de l’Empire et leur déplacement et sédentarisations forcées vers les villes du pays. Cependant, si bon nombre d’entre eux ont adopté un mode de vie sédentaire, une partie continue de perpétuer les traditions pastorales et nomades, avec le soutien des autorités culturelles régionales.

Bien que largement minoritaire, les peuplades Néguissakhes, principalement de confession monothéiste, ont été longtemps stigmatisées au sein du pays et, malgré l’ouverture à toutes les religions prôner par les récents gouvernements, celle-ci persiste et ses membres font face à de nombreuses difficultés au quotidien.
Cette disparité et cette différence de mode de vie a donné lieu à des traditions communes aux différentes cultures qui composent l’Alashkhanie. Celle-ci se trouve être d’une nature hospitalière et ouverte, c’est donc tout naturellement que l’on retrouve au sein de ses nombreuses traditions l’art de recevoir chez soi. Un vrai Alashkh partagera toujours son toit et sa nourriture avec toute personne qui se trouve dans le besoin. Si cette tradition est toujours d’actualité dans les grandes plaines et les campagnes Koumandines, elle se fait moins fréquente dans les grandes agglomérations du pays.

Outre ces traditions enracinées dans les mœurs Alashkh, ce peuple est doté d’une grande résilience aux nombreuses difficultés qu’il a traversés et à son mode de vie, tout du moins dans les zones rurales, ce qui lui a appris à vivre humblement ainsi qu’à se débrouiller par ses propres moyens. Si depuis la révolution et l’ère Iliyasev la qualité de vie a fortement augmenté, le peuple n’en reste pas moins attacher à ses habitudes et, principalement dans les campagnes, la modernité a du mal à se propager, ceux-ci restant très attachés à défendre leurs modes de vie ancestraux.

On peut donc dire qu’il existe deux Alashkanies, la première et la plus ancienne qui s’attache à ses traditions hors des centres urbains, et la seconde qui s’internationalise et qui souhaite devenir un modèle dans le domaine de la recherche.

Place de la religion dans l'État et la société :

L'état de l'Alashkhanie se veut laïc, ne laissant apparaître aucune affinité religieuse quelconque. De ce fait, chaque représentant de l'Etat, du simple employé de bureau au chef d'état se doit, lors de l'exercice de ses fonctions, d’être un exemple de cette laïcité. Cependant, une fois dans le cadre privé, chacun est libre de pratiquer le culte de son choix.

La société Alashkhinne est majoritairement tengriste et chamanique, même si ces religions coexistent avec d'autres religions telles que le bouddhisme, le christianisme orthodoxe et l'islam. Chacune de ces religions est acceptée et tolérée au sein de l'Alashkhanie, tant que ces dernières restent subalternes de l'état. C'est d'ailleurs à cause de cette obligation qu'il y a fréquemment des tensions entre les religions monothéistes et l'état, ceux-ci souhaitant jouir d'une plus grande autonomie de culte et ne pas devoir passer par la machine administrative de l'état.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

La république d’Alashkhanie est composé de 3 organes parlementaire législatif principaux :

1. La chambre de la présidence est la plus haute instance législative et également le centre du pouvoir exécutif d’Alashkhanie. C’est ici que le Président, ses ministres ainsi que ses conseillers se réunissent pour traiter des affaires courantes de la nation qui réclament leur attention. Ils ont également la possibilité de pouvoir proposer des lois au vote auprès de la chambre des représentants lorsque la situation l’exige ou que le temps presse.
En plus de leur prérogative législative, la chambre de la présidence cumul donc la charge de pouvoir exécutif et, avec leur ministère respectif, s’occupent de mettre en place les lois et décrets votés par la chambre des représentants ainsi que valider ou invalider ces derniers.

2. La chambre des représentants est le lieu où les représentants du peuple, élu au suffrage universel mixte, se réunissent quotidiennement afin de travailler sur la rédaction et le vote des lois et des décrets. C’est donc ici que se décide l’avenir de la nation Alashkhan et des lois qui vont la régir. Cependant, même si c’est ici que tout se joue, l’aval de la chambre de la présidence est obligatoire avant de passer au vote ! De même, la chambre de la présidence a également la possibilité de proposer (voir d’imposer) des modifications dans lesdites lois.

3. La douma citoyenne est une instance de consultations qui se tient toutes les six semaines dans la capitale. Celle-ci vise à recueillir les doléances des différents clans nomades et communautés rurales éparpillées aux quatre coins du territoire ainsi que de leur permettre d’intervenir sur les futures propositions de loi qui sont en cours de rédactions. Comme il s’agit ici d’un organe de consultation, la présence des représentant (élus généralement aux seins même des communautés mais pouvant aussi représenter plusieurs communautés lorsque celles-ci sont trop petites pour être comptabilisées) n’est pas obligatoire et en rien nécessaire aux déroulements des séances consultatives. Il arrive que bon nombre de communautés ne soit pas représenté, principalement les communautés nomades lors de la transhumance, même s’ils essayent tant que faire se peut de déléguer afin de pouvoir participer au mieux à la vie politique du pays et pour protéger leur style de vie qu’ils considèrent comme étant en danger.

Les différents ministères de la Chambre de la présidence :

- Le ministère de l’intérieur : Ce ministère est chargé de protéger le pays contre toute menace provenant de l’intérieur et des agents étrangers étant déjà sur le sol Alashkhan. Tout ce qui touche au maintient de l’ordre et à la justice passe entre les mains de ce cabinet. C’est également ce cabinet qui se charge de la récolte d’informations contre les potentielles menaces étrangères sur le sol Alashkh et contre l’Etat lui-même.

- Le ministère des affaires étrangères : Comme son nom l’indique, c’est ce ministère qui est en contact avec les autres nations et les différents consulats disséminés un petit peu partout dans le monde. Tout ce qui touche à la relation entre l’Alashkhanie et une nation tierce passera par ce ministère. C’est le président lui-même qui dirige ce ministère, épaulé par son vice-président.

- Le ministère des affaires citoyennes : Ici sont traitées les questions du logement, des soins de santés, de la propriété, de la propreté … Toutes les questions auxquelles un citoyen pourrait être confronté et dont aucun autre ministère ne s’occupe lui sont attribués.

- Le ministère des études et de la recherche : Le pays voulant se démarquer et progresser rapidement dans le milieu technologique et de la recherche, c’est tout naturellement que la création d’un ministère dédier à la question de l’éducation à vu le jour. Ici sont traitées les différentes problématiques liées à l’éducation et à la recherche ainsi que l’analyse des données recueillies auprès des autres nations concernant ces mêmes domaines.

- Le ministère de l’Economie et du travail : C’est dans ce ministère que les possibilités de développement économiques et industriel sont traités. La possibilité d’obtenir des subsides par l’Etat étant un élément important pour favoriser l’implantation de nouvelles entreprises et le développement de celle déjà existantes, ce ministère croule sous les demandes depuis les cinq dernières années. Tant et si bien que c’est devenu le ministère le plus important en termes de personnel de tout le gouvernement.

- Le ministère du développement et des ressources naturelles : chargé de prospecter, de répertorier et d’analyser la viabilité des différentes ressources naturelles dans le pays, ce ministère, anciennement partie intégrante du ministère de l’Economie et du travail, est devenu une branche externe spécialisée dans les industries civiles de développement des activités en lien avec les ressources naturelles en tout genre. De l’exploitations des forêts du nord aux exploitations des puits de pétrole offshores, toutes ces activités sont régies et contrôler par ce ministère et collaborent activement avec le ministère de l’Economie et du travail.

- Le ministère de l’énergie : L’approvisionnement en énergie du pays étant le moteur de son développement Economique et sociale, il est important que le ministère de l’économie et du travail. Ces deux ministères travaillent d’ailleurs généralement de concert afin d’avoir une planification des plus optimales.

- Le ministère des affaires militaires : Principalement composer de cadre de l’armée et de spécialiste de la question militaire, ce ministère est à proprement parler la branche politique de l’armée. Leurs prérogatives vont de la logistique des armées jusqu’au développement des nouvelles technologies pour les armées. Tout ce qui touche de près ou de loin à la question militaire est traité ici sous la supervision du conseiller des affaires militaires et du président en personne.

- Le ministère de l’asile et de l’immigration : Si l’on peut penser que la nécessité d’avoir un ministère de l’immigration et de l’asile n’est pas indispensable aux ambitions du peuple Alashkh, c’est que l’on ne comprend pas réellement leurs réelles ambitions. Afin de pouvoir rapidement rattraper son retard dans des domaines précis tel que la recherche et l’industrie, le gouvernement Alashkhan à mit en place un moyen d’attirer les cerveaux et personnels qualifier étrangers. Cela passe forcément par d’importants moyens de faire la promotion du pays et des différentes opportunités qui peuvent s’offrir aux personnes désirant venir en Alashkhanie jusqu’à leur intégration et implantation au sein même du pays. C’est là le rôle de ce ministère, attirer les personnes qualifiées et utiles aux développements du pays et s’assurer que leur expérience soit des plus agréables pour en attirer d’autres.

- Le ministère de la culture : Il est chargé de protéger et de promouvoir les différentes cultures présentent au sein de l’Alashkhanie tout en veillant au respect des lois et des traditions de chacune. Ainsi, c’est à ce ministère que revient la lourde charge de s’assurer que les religions restent substituées à l’Etat et leur permet ou non de pouvoir jouir de la tolérance et de subsides pour le libre culte de leur foi.

Principaux personnages :

Le président : Batyrkhan Nurzhanov
Le vice-président : Tuygun Ursunovich Omuk
Le premier secrétaire : Sabir Yakhin
Le ministre de l’Intérieur : Tasken Abzolov
Le ministre des Études et de la recherche : Yarmek Iskanderev
Le ministre de l’Économie et du travail : Arman Olzhasov
Le commissaire aux affaires militaires : Alikhan Nurmukhameduly
Le commissaire à l’asile et à l’immigration : Saymiina Kuobakhovna Savvinovna

Politique internationale :
Le pays étant actuellement dans une vision de développement économique et scientifique, il y a donc fort à parier que ses intentions vis-à-vis des autres nations du monde sera dans l’optique de favoriser des relations économique et surtout scientifique pour le développement de nouvelle technologie.
Bonjour, bonsoir, et bienvenu sur Geokratos !

La fiche m'a l'air bien développé et tu as l'air de savoir dans quelle direction aller. Tout est en ordre pour moi ; ce faisant je peux la valider.

Informations supplémentaires :

En tant que nouveau joueur, tu as quatre mois de protection durant lesquels aucune action hostiles pourra être menées contre toi. Nonobstant, tu ne pourras en faire aucune.

Tu peux demander à la modération à ce que trois de tes personnages soient immortels.

Sur cela. . . Bon jeu à toi !
Haut de page