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Portraits de Vies est journal ouverts à tous les citoyens d'UC Sochacia qui souhaitent partager leurs aventures en terres loclenasques. Retrouvez ci-dessous tous les articles :

• L’éveil d’une âme solitaire : couleurs invisibles de votre ombre est un court texte rédigé par un prisonnier condamné à perpétuité sur le triste ressenti d'une ombre délaissée.

Histoires de l'Ailleurs est un journal ouverts à tous les citoyens originaires d'UC Sochacia qui souhaitent partager leurs aventures en terres étrangères. Retrouvez ci-dessous tous les articles :

• Une part de moi : l'Union de Novyavik ou le club des perdus et des oubliés en quête de gloire imaginaire retrace la vie d'une jeune femme loclenasque en quête de nouveauté. Dès son arrivée sur le territoire de l'Union de Novyavik, Sadidaramia sera confrontée à l'esprit fermé et au racisme des citoyens novais.
• Une partie de ma victoire : Novyavik, l'union qui s'unit... à l'instabilité ! Toujours en train de copier pour mieux plirer, mais jamais pour se libérer raconte le tournoi d'échec auquel un loclenasque a participer et le drame, ou devrais-je dire, la triche, qui a eu lieu par un citoyens novais.

ϟ Portraits de Vies ϟPortraits de Vies est journal ouverts à tous les citoyens d'UC Sochacia qui souhaitent partager leurs aventures en terres loclenasques.
L’éveil d’une âme solitaire :
couleurs invisibles de votre ombre
Doucement, alors même que le vent chante des mélodies éternelles, le soleil se couche dans une célébration de couleurs chaudes. Face à ce tableau si beau et majestueux, son coeur bat d’un chant différent : le chant teintée de mélencolie d’un homme tristement seul, en quête de sens. Il est une ombre invisible et silencieuse dans un tableau qui semble vivre de couleurs. La solitude est, pour lui et tant d’autres, un compagnon fidèle. Une profondeur sincère que la solitude offre, comme un philosophe cherchant la vérité dans le silence, il commence à l’apprécier, la manier, l’utiliser à profit. Il s’assoit sur une pierre rugueuse, témoin silencieux de tant de jours passées, et laisse son regard se perdre à l’horizon. Peut être que son propre nom « il » résonne comme une métaphore de son invisibilité, une existance qui semble échapper à la compréhension des autres. Les souvenirs affluent, une couleur supplémentaire sur la toile de sa vie : dans cette solitude, un écho de lui-même, une voix intérieure qui murmure des vérités trop souvent refoulées. La solitude semble se révéler comme un espace fertile et non un vide. Peut-être que ma solitude s’appelle « Réflexion », une compagne qui incite à le plonger dans le plus profond de soi-même.

« il » comme pourrait s’appeler votre ombre, pourtant invisible à vos yeux.