Roman Finkel annonce des nouveaux moyens pour la modernisation du pays, son projet qui dure depuis sa première candidature en 1999 ne voit pas le jour malgré 16 ans au pouvoir. Son prédécesseur du même camp politique l'avait prévenu, "Waldheim n'est pas un pays qui évolue vite, tu n'arriveras pas à le moderniser aussi simplement." Lukas Kiesling (Président de 1985 à 1999).
Pourtant, "L'ambitieux Roman" comme nous l'appelions à son arrivée au pouvoir avait montré des signes de réussite au départ, l'industrie avait repris du poile de la bête en 2000 avec des records de production et de nombreuses embauches. Seulement aujourd'hui, force est de constaté que les résultats se font attendre, les jeunes générations ne travaillent pas autant que leurs aînés et les jeunes qui sont travailleurs sont forcés à reprendre les fermes familiales comme le stipule nombre de lois centenaires.
Si cette excuse du jeune fainéant semble plausible, elle prouve un problème plus profond, le pays n'évolue plus en matière de réglementation, ce qui force toutes les générations à vivre dans l'ancien temps.
Certaines voix s'élève depuis le début des années 2010 pour prévenir de l'urgence de modernisation mais le pouvoir semblait faire la sourde oreille. Il faut bien avouer que des problèmes plus urgent devaient être réglé comme l'augmentation de la pauvreté dans certaines régions reculées, le manque de service publiques dans ces mêmes régions et les grèves à répétition du personnel des usines qui réclament plus de sécurité.
Ce qui est certain actuellement, c'est que Roman Finkel est au pied du mur et malgré sa popularité qui ne baisse pas, il ne lui reste plus que 5 ans avant que sa place ne soit remise en jeu.