15/09/2015
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Co-principauté épiscopale de Saint-Alban

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Avant tout, je tiens à précisé que mon pays ne dispose pas de force armée. Est-il donc possible de ne pas avoir de troupes à l'installation du pays ? Ensuite, dans un premier temps, je vais détailler la métropole, puis dans deux autres parties, les deux territoires autonomes de la principauté, qui seront les deux sections de la principauté.


Création de pays : Principauté de Saint-Alban


Généralités :



Nom officiel : Co-Principauté de Saint-Alban
Nom courant : Saint-Alban
Gentilé : St-Albinois(e)s

Inspirations culturelles : Andorre, Vatican, Monaco, Liechtenstein, Belgique, Pays-Bas et autre Grand-Duché médiéval

Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : la principauté se caractérise par l’existence d’une fédération basé sur la langue. Il existe deux régions fédéré basé sur la langue française et allemande. La communauté de langue française, qui réside au nord de la principauté dans la région de Laas et et celle de langue allemande, qui habite au sud de la principauté dans la région de Kussaberg. Il existe également une dernière communauté, minoritaire, celle de langue Velsiens, qui vivent dans le grand-duché d’Ardon et les Bordes, mais qui ne sont pas représentés, bien qu'ils le revendiquent.

Autre(s) langue(s) reconnue(s) : la langue Naajaat est reconnue comme une langue minoritaire et officielle seulement le territoire autonome de la reine Mareau.

Drapeau :
Drapeau

Emblème :
 Drapeau

Population : 10.211.440 dont 509 990 personne vivent hors de la métropole. La communauté germanophone représente 5 570 870 de personnes sur les 9.701.450 que compte la métropole et 4 130 580 pour la communauté francophone.

Devise officielle : Dieu, saint Michel et saint-Alban
Hymne officiel : Saint-Michel protège nous
[youtube]https://youtube.com/watch?v=20WfjMjd_kqI7h58[/youtube]

Monnaie nationale : Couronne d’or et le sou d’argent.

Capitale :
Lymock est la troisième plus grande ville de Saint-Alban. Elle a été choisie comme capitale en raison de sa position stratégique entre la région allemande du Kussaberg au nord et la région française du Laas au sud, ainsi que de son caractère neutre, n'étant pas perçue comme appartenant exclusivement à l'une ou l'autre des deux régions et langues. La ville abrite les administrations centrales et la résidence officielle des Princes, bien que ceux-ci réside principalement à Buchenbach pour le Co-prince évêque et à Manticore pour le Co-prince séculier. L'administration locale a l'obligation de traiter toutes les affaires dans les deux langues officielles.

Melleroy-sur-Ormes est la capitale de la région Laas de la communauté française et est la plus grande ville de la principauté.

Buchenbach est la capitale de la région Kussaberg de la communauté allemande et est la seconde ville la plus peuplée de la principauté.


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
La principauté de Saint-Alban, officiellement la co-principauté épiscopale de Saint-Alban, est un petit État d’Eurysie d’une superficie de 38 346 km² et peuplé de 10 211 440 habitants. Elle est entourée au sud-ouest par le royaume de Teyla et au sud-est par la confédération monarchique d’Ostara. Elle fonctionne dans le cadre d’un régime co-princier parlementaire fédéral avec un Co-prince évêque nommé par le pape de Carthalogne et un prince séculier, poste actuellement occupé par la reine de Teyla, Catherine Courvoisier, en tant que co-chef d’État. La reine exerce conjointement une fonction symbolique de chef de l’État. Le pouvoir exécutif est exercé par un camerlingue et son gouvernement, responsable devant une assemblée législative, l’Assemblée générale de Saint-Alban. Le pouvoir judiciaire est indépendant des deux autres pouvoirs.

La principauté de Saint-Alban a longtemps été sous la domination de ses deux États voisins, et n’est devenue indépendante qu’en 1815, après les grandes guerres eurysiennes. Cette domination a laissé une fracture dans la société saint-albinoise, divisée en deux grandes communautés linguistiques et géographiques : les francophones au sud et les germanophones au nord, dans des territoires historiquement occupés soit par Ostara, soit par Teyla. Ces deux régions sont très variées par leurs traditions, cultures et histoires locales, ainsi que par leurs modes de vie, mais restent toutefois unies, tant bien que mal, autour d’une identité nationale forte qui c’est développé ce dernier siècle, d’un sentiment indépendantiste fortement marqué par rapport aux états voisins et d’un attachement à leur particularisme politique et à leurs co-princes.

Le territoire est largement industrialisé, surtout dans la région germanophone, grâce à un développement économique massif au cours des derniers siècles. Cette région est devenue le centre économique et commercial de la principauté avec ses grandes villes et son étalement urbain dominé par une économie de services (banques, finance, tourisme). Les niveaux de vie y sont relativement élevés avec des emplois qualifié, et de grands centres universitaires attirent des entreprises nationales et internationales. Toutefois, l’accès au logement y est particulièrement difficile : peu de résidents sont propriétaires, la majorité étant locataires. Les grandes entreprises, l’Église et les riches propriétaires détiennent les terres et les bâtiments qu’ils louent aux habitants.

La région francophone, en revanche, connaît une désindustrialisation progressive et une restructuration de son économie. Certaines villes ont été abandonnées, et la population se concentre principalement dans des villes moyennes ou des villages, créant une discontinuité entre les habitats. Malgré tout, deux caractéristiques urbaines se dégagent : la concentration de la population près du fleuve Oison qui traverse toute la principauté du Sud au nord, et autour de sa capitale, Melleroy-sur-ormes, qui reste la ville la plus peuplée de la fédération. L’économie de la région repose principalement sur l’industrie de transformation alimentaire et agroalimentaire (50 %), ainsi que sur l’agriculture, la pêche et l’élevage. Cependant, l’économie locale est souvent en déclin, incapable de rivaliser avec celle de la région germanophone dans plusieurs domaines.

Géographiquement, la principauté est entourée à l’est par la confédération d’Ostara et à l’ouest par le royaume de Teyla, ses deux immenses voisins qui ont longtemps dominé son territoire. Au sud, de puissants contreforts montagneux des Ormat, qui séparent Saint-Alban de Teyla et d’Ostara et lui offre une véritable muraille naturelle. Ces montagnes ont longtemps fait de la région francophone le centre économique et politique de la fédération, grâce à leurs immenses ressources minières. Toutefois, depuis la seconde moitié du XX eme siècle, la désindustrialisation de cette région a profité à la région germanophone, qui domine encore aujourd’hui l’économie du pays.

Le centre de la principauté, relativement plat et vallonné, est traversé par le puissant fleuve du Oison, qui prend sa source dans les contreforts montagneux des Ormat au sud. C’est le cœur agricole du pays, avec de vastes champs, des pâturages et des forêts. Le sud du pays, caractérisé par un terrain plat mais peu fertile, a longtemps été le centre du commerce maritime dominé par la communauté germanophone avec ses villes libres. Aujourd’hui, cette région forme le cœur économique du pays avec ses vastes villes qui s’étendent dans tous les sens et ses ports. Sa capitale est une ville de classe mondiale.

Le pays bénéficie d’un climat tempéré de type océanique, plutôt doux, avec des saisons bien marquées et des précipitations abondantes, propices à l’agriculture et à l’élevage, qui ont longtemps assuré sa prospérité.

Mentalité de la population :

La population st-alboise se compose de deux grandes communautés de langue différente qui forment le cœur culturel et administrative de la principauté. On retrouve la communauté de langue francophone au nord, de courant politique progressiste et de confession catholique. Ce sont principalement des descendants des populations francophones issues du royaume de Teyla, établies sur le territoire depuis longtemps, notamment en raison des guerres successives et des migrations de population. Ils sont réputées être des braves gaillards. Ils était autrefois principalement des agriculteurs et mineurs avant la seconde moitié du 20ᵉ siècle, cette communauté linguistique connaît toutefois une forte reconversion professionnelle en raison de la désindustrialisation du territoire.

L’autre communauté est celle germanophone, majoritaire dans la principauté. Elle est venue de l’Ostara et se compose majoritairement de catholiques, avec une forte minorité protestante. Politiquement conservateurs, les germanophones soutiennent des politiques économiques libérales tout en étant particulièrement conservateurs sur le plan social et religieux. Actuellement majoritaires dans le pays, ils sont cependant rattrapés démographiquement par la communauté francophone.

Ces deux communautés se différencient autant sur le plan politique que culturel et social. Politiquement, la communauté francophone a toujours été de centre-gauche, prônant des politiques progressistes sur les questions sociales tout en étant conservatrice sur certains aspects, tandis que la communauté germanophone a pratiquement toujours été de droite, voire d’extrême droite. Elle se caractérise par une politique économique libérale mais particulièrement conservatrice sur le plan social et religieux. Une partie des germanophones prône une plus grande autonomie des entités fédérées, voire l’indépendance, notamment depuis l’arrivée du parti indépendantiste allemand, La Voix nationale allemande (VNA).

La dévolution progressive des pouvoirs publics, puis le passage à une fédération en 1980, montrent le profond clivage franco-allemand, incapable de former un gouvernement central fort et uni. Il en résulte que le pouvoir politique, économique et social s’est toujours concentré au niveau local, entre les mains des seigneurs puis des maires locaux, qui exerçaient les fonctions associées à l’État sans véritablement en prendre le rôle. Cette forte dévolution des pouvoirs a permis l’affirmation de particularismes régionaux au lieu d’une unité nationale forte, contrairement aux États voisins qui ont au contraire connu une forte centralisation du pouvoirs. L’unité nationale repose principalement sur la volonté historique de ne pas être gouverné par une autre puissance voisine, ainsi que sur une histoire commune, une identité chrétienne partagée et une profonde loyauté envers les co-princes.
Culturellement, en dépit de ses clivages franco-allemands, Saint-Alban se caractérise par une forte unité nationale dans les moments difficiles, qui font disparaître les ressentiments au profit d’une union presque sacrée. Ainsi, pendant longtemps, les deux communautés ont su s’unir pour préserver leur indépendance avant de se chamailler à la fin des dangers. Il n’y a jamais vraiment eu de conflits entre ces deux communautés, excepté durant les différentes guerres seigneuriales au Moyen Âge, liées à des raisons politiques et non linguistiques ou culturelles.

Il existe également un consensus politique particulièrement fort dans la principauté, bien qu’il ne soit plus autant respecté qu’auparavant. Ce consensus repose sur l’opposition aux idées extrémistes, qu’elles soient de gauche ou de droite. Les idéaux communistes, nationalistes ou autres ont longtemps été rejetés par des communautés soudées, refusant de leur accorder de l’importance. Toutefois, ce consensus est aujourd’hui mis à mal par le développement de l’extrême droite allemande.

Politiquement, le peuple joue un grand rôle dans le système politique de la principauté. La politique a toujours été presque exclusivement locale en raison de la forte dévolution des pouvoirs et de l’absence d’un État central fort. Le pouvoir s’est concentré entre les mains de petits seigneurs locaux, remplacés au 19ᵉ siècle à la suite de profondes révolutions et réformes sociales. Avec l’avènement de la participation citoyenne directe, les populations élisaient un représentant local qui proposait des projets de lois votés à main levée dans les petites communautés villageoises, souvent dans les églises ou les écoles. Dans les grandes villes, des assemblées représentaient directement les citoyens et votaient les lois et budgets en leur nom. Si bien que la population de la principauté est plus qu’ailleurs intéressée par les actions de ses dirigeants. Pourtant, la principauté n’est pas une démocratie à proprement parler, car elle se base sur un État de droit fort. Ce dernier permet, selon le fonctionnement politique st-Albois, d’assurer l’égalité des citoyens devant la loi. La politique st-alboise a mis la primauté de l’État du droit au centre de son fonctionnement politique, qui s’est formalisé par l’écriture d’une constitution en 1920 revu en 2010. Celle-ci est devenue la norme suprême de l’État, garantissant l’égalité des droits, protégeant les libertés fondamentales et assurant la séparation des pouvoirs.

La politique st-alboise repose également sur un système de consensus. Aucun véritable parti ne peut gouverner seul, rendant nécessaire la formation de coalitions, ce qui peut parfois prendre plusieurs mois. Il n’est pas rare qu’il n’y ait pas de gouvernement central pendant de longues périodes, un vide institutionnel compensé par la fédération des pouvoirs qui permet au pays de continuer à fonctionner.

Place de la religion dans l'État et la société :

La population st-alboise est majoritairement catholique, en raison de la nature catholique de la principauté, et particulièrement au sein de la communauté francophone. La communauté allemande, quant à elle, compte une importante minorité de croyants protestants, une situation rendue possible grâce à la loi sur l'autorisation du culte pour tous, adoptée en 1918.

Toutefois, le catholicisme demeure la religion d'État, en raison du rôle du co-prince évêque en tant que co-chef d’État. Malgré cela, il existe une certaine séparation entre l’Église et l’État. D’une part, le rôle du prince-évêque est principalement symbolique, sans aucune influence sur les affaires de l’État. D’autre part, sous l’effet des processus internes et de l’influence des pays voisins, les pouvoirs publics se sont lentement mais sûrement détachés de l’Église, même si cette séparation n’a jamais été officiellement actée.

Au sein des institutions locales, les églises et monastères occupent une grande place dans le fonctionnement des affaires locales. En fournissent des aides au nécessiteux et s’occuper également d’une grande partie de l’état civile car elle peut enregistré les actes de naissance, les décès, les mariages et autres.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Les Co-princes :
Le régime politique de la principauté de St-Alban se caractérise par l’existence de deux co-princes qui exercent conjointement la fonction de chef de l’État. L’un est le co-prince épiscopal nommé par le Saint-Siège à vie et qui est souvent le primat de St-Alban et archevêque de Buchenbach ainsi que Grand-Duc d’Ardon et les Bordes. L’autre est le co-prince séculier, actuellement la reine du royaume de Teyla et co-princesse de St-Alban, en raison du fait que les rois Taylais furent suzerains des comtes de la Villière, titre qui a disparu avec l’extinction de la lignée. Le titre fut transféré en tant que co-prince au XIXe siècle après l’abolition de la noblesse. Les rois tyalais et leurs successeurs étaient donc, en plus d’être les souverains de Teyla, également princes de St-Alban jusqu’à aujourd’hui. La fonction de prince est liée à leur titre de roi ; s’ils perdent ce titre, ils sont déchus de leurs fonctions de co-prince.

Constitutionnellement, les co-princes sont de manière indivisible et égale les chefs de l’État de la principauté, garants de l’indépendance nationale et de la souveraineté nationale de la principauté de St-Alban. Ils agissent comme garants de la continuité de l’État et de sa stabilité ainsi que des gardiens du bon fonctionnement des institutions de l’État. Toutefois, ils n’exercent de fonctions que celles que leur accorde la constitution et rien d’autre, et seulement avec l’accord du gouvernement, contresigné par eux-mêmes. La constitution accorde des pouvoirs individuels aux co-princes qu’ils peuvent exercer en leurs propres noms, mais également des pouvoirs conjoints demandent l’accord de l’autre co-prince et enfin des pouvoirs soumis au contresigné du gouvernement ou du parlement. La fonction associée aux co-princes est principalement symbolique, sans véritable participation dans la vie politique de la principauté.

Assemblée générale :
L’assemblée générale de la principauté de St-Alban est l’organe législatif monocaméral composé de 110 députés élus au suffrage universel direct pour 5 ans, dont 100 en métropole et 10 dans le grand-duché d’Ardon et les Bordes. C’est le centre d’impulsion de la vie politique centrale de la principauté, car c’est elle qui forme le gouvernement et le présente au co-prince pour nomination. Elle peut aussi renverser le gouvernement à 2/3 des voix. La politique st-alboise a toujours été une affaire de consensus entre les différentes forces présentes en son sein, qui sont largement divisées entre 3 grandes forces :

Les conservateurs catholiques libéraux, majoritaires et élus par la communauté allemande, le centre droit, principalement sociaux-démocrates, élus par la communauté francophone et les diverses gauches, principalement marginales, élues par les deux communautés mais sans réelle présence au sein de l’assemblée.

Subdivisons :
La région Laas, la région Kussaberg et la région de la Lymock forment les trois entité fédéré de la fédération. Chacune de ces régions possède ses propres institutions régionales composées d’un parlement régional qui exerce à la fois le pouvoir législatif et exécutif, composé de 100 députés élus par la population locale au suffrage universel direct pour un mandat de 4 ans. Le parlement élit ensuite un président qui forme un gouvernement régional. Les régions possèdent de larges compétences pour assurer la politique locale. Ces compétences sont si larges que même en cas d’absence d’un gouvernement central en raison de l’absence de consensus politique à l’assemblée générale, les régions sont capables d’assurer le fonctionnement politique de leurs territoires en toute indépendance.

Les territoires d’Ardon et les Bordes (grand-duché), dont le titre est associé au co-prince évêque en tant que territoire personnel, est un territoire autonomes non fédérés de la principauté. De ce fait, ils disposent d’une autonomie limitée et sont fortement soumis au gouvernement central, de même que la Territoire du nord de Mareau.

Principaux personnages :

Mon seigneur Armel Chagnon, co-prince épiscopale, Grand-Duc d’Ardon et les Bordes et archevêque de Buchenbach.

Son altesse, la princesse Catherine Courvoisier, co-princesse séculier de st-Alban et reine de Teyla.

Messire Georg Goldstein, représentant du co-prince évêque en la principauté de St-Alban.

Messire Thomas durant, représentant du Co-prince séculier en la principauté de St-Alban.

Son excellence Gaspard le Maître, camerlingue (premier ministre) de la principauté de St-Alban et ministre des affaires étrangères.

Politique internationale :

La politique internationale de la principauté se caractérise par sa quasi-neutralité sur la scène politique internationale. Elle gère sa propre politique diplomatique, toutefois celle-ci est particulièrement liée à son grand frère Teyla, qui assure sa défense militaire, car la principauté ne dispose pas de force armée.
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Généralités :



Nom officiel : Grand duché d’Ardon et les Bordes
Nom courant : Ardon et les Bordes
Gentilé : Ardois et Bordois

Inspirations culturelles : île féroé, Catalogne, grand-duché médiévale

Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Le Grand-Duché n'a pas vraiment de langue officielle. De jure, on y parle majoritairement le velsnien, mais on y trouve également une grande communauté francophone et allemande. Le Grand-Duché a toujours aspiré à être reconnu comme une région à part entière de la principauté, sans véritable succès.

Drapeau :
Drapeau

Emblème :
 Drapeau

Devise officielle : onore nella libertà (l’honneur dans la liberté)

Hymne officiel : L’hymne du Grand peuple

Capitale : Vivaro (capitale exécutive), siège du gouvernement et du grand-duc, est farouchement loyaliste. Elle se situe dans le comté d'Ardon. Priverno (capitale législative), siège du parlement, est farouchement indépendantiste et se trouve dans le marquisat des Bordes, à la frontière Velsnienne.

Population : 362 940 habitants dont 136 100 habitants à Ardon et 226 840 habitants dans les Bordes.


Aperçu du Territoire:



Présentation du Territoire:

Le Grand-Duché d’Ardon et les Bordes (Granducato di Ardon e Bordes) est un territoire ultramarin de la principauté de Saint-Alban, d’une superficie de 6 407 km² pour 362 940 habitants. Il se situe à l’ouest de la Manche Blanche, à la frontière nord de la Velsna. Ses doubles capitales représentent la profonde division interne entre les partisans de la principauté, situés à Vivaro, la capitale exécutive, et les indépendantistes à Priverno, la capitale législative. La rivalité entre ces deux villes s'étend à tous les domaines, du sport et de l’économie à la politique, et ainsi de suite. C’est un territoire autonome de la co-principauté de St-Alban qui se caractérise par son éloignement géographique de la métropole. Il fonctionne comme une monarchie parlementaire unitaire au sein d’une Co-principauté épiscopale fédérative. Les co-princes épiscopaux de la principauté règnent également en tant que Grand-duc d’Ardon et les Bordes, considérés comme leurs territoires personnels.

Géographiquement, c’est un territoire largement montagneux au nord, qui marque sa frontière avec l’au-delà du territoire sauvage et inhospitalier. Ce sont de vastes et puissantes montagnes qui, au fil du temps, ont formé une véritable barrière protectrice envers le Grand-Duché et l’ont protégé de nombreuses invasions, sauf celles venues par la mer, par lesquelles il fut conquis par l’ordre des chevaliers du Nord au 10e-11e siècle après notre ère, avant de devenir un territoire des princes-évêques en 1200. Ensuite, après les montagnes, s'étendent de vastes plaines qui se prolongent à perte de vue, très pauvres en flore, à l'exception de quelques grandes herbes et buissons qui ont réussi à s’adapter au territoire. Ici, de nombreux ranchs abritent des milliers de troupeaux de chevaux, de vaches et de moutons, faisant la renommée du Grand-Duché. Enfin, au sud, près de la mer, se trouvent les centres urbains où vit l’écrasante majorité de la population. Les deux capitales rivales y sont respectivement situées : Vivaro dans le comté d’Ardon et Priverno dans le marquisat des Bordes, entourées de vastes conurbations urbaines sans fin.

Culturellement, la société du Grand-Duché est particulièrement proche de la Velsna, que ce soit par la langue, le velsnien étant la langue locale la plus parlée, bien qu’il ne soit pas officiellement reconnu, et les locuteurs exigent qu’il soit reconnu au même titre que le français et l’allemand, espérant qu’il soit protégé face à l’expansion du français sur le territoire mais aussi en termes d’alphabet, de religion catholique, bien qu’il existe de profondes divisions à ce niveau, car la population du Grand-Duché est largement plus croyante que celle de la Velsna, perçue souvent comme déviante ou hérétique sur certains dogmes. Enfin, économiquement, son territoire est peu fertile pour mettre en place une véritable agriculture, ce qui rend le Grand-Duché fortement dépendant de l’économie de ses voisins velsniens et de sa métropole. Le trafic transfrontalier avec la Velsna est un argument supplémentaire pour les partisans de l'indépendance, qui affirment que l'indépendance permettrait au Grand-Duché de gérer son propre commerce, sans dépendre des décisions d’une métropole trop éloignée de ses besoins, qui impose des taxes élevées sur les exportations et les importations.

Si le territoire possède une certaine autonomie politique par rapport à l’État central, celle-ci est inférieure à celle des trois entités fédérées, en raison du fait que la nature trop indépendantiste et l’éloignement de la métropole risquent de mettre en danger la souveraineté de la principauté sur le territoire. Toutefois, ce dernier a obtenu une reconnaissance d’autonomie en 1927 avec l’installation d’un parlement et d’un gouvernement local capables de légiférer sur des politiques locales. Cependant, ces institutions ne peuvent faire quoi que ce soit au-delà de ce qui leur est autorisé par l’État central. Beaucoup considèrent ce parlement comme une marionnette, destiné à apaiser le territoire sans avoir réellement de poids sur la politique nationale et locale. La volonté indépendantiste du territoire s’est manifestée en 2012, avec la mise en place par le gouvernement pro-Velsna d’un référendum d’indépendance, jugé illégal par l’autorité princière, qui a arrêté tous les meneurs et écrasé toute rébellion. La volonté indépendantiste se manifeste également par la renaissance d’une culture antique locale, en opposition à celle de la principauté, qui est particulièrement populaire parmi la jeunesse mais peine à se faire accepter au sein de la classe politique.


Mentalité de la population :

Le Grand-Duché est peuplé par une population profondément différente de celle de la métropole, tant sur le plan ethnique, culturel que linguistique. C’est un territoire où le velsnien est largement parlé, ce qui le distingue de la métropole, où le français et l’allemand dominent. La non-reconnaissance du velsnien comme langue équivalente aux deux autres langues de la principauté et le refus d’accorder au territoire le statut de région fédérée ont créé un profond sentiment d’injustice chez les locuteurs de velsnien, qui se sentent ignorés par la métropole et souvent exploités par elle. Cette situation a donné naissance à de nombreux mouvements indépendantistes et identitaires, porteurs d’une volonté nationaliste de fonder un État-nation de langue et culture Velsnien. Tous ces mouvements ont été réprimés par l'autorité st-albois, qui considère le territoire comme une partie intégrante de sa souveraineté.
Le territoire, longtemps colonisé par Saint-Albois en tant que domaine de l’ordre des chevaliers du Nord, puis par les grands-ducs, a été intégré au royaume en 1815 en tant qu’entité autonome. Ce passé colonial et l’organisation socio-politique qui en a découlé ont fortement bouleversé le Grand-Duché. Sa culture velsnienne, longtemps réprimée par l’ordre des chevaliers du Nord puis par les grands-ducs, a été officiellement reconnue en 1800, mais sans pour autant lui accorder le même statut que les régions de la métropole. Le territoire a été fortement centralisé, contrairement aux régions métropolitaines, autour du pouvoir grand-ducal, représenté localement par de petits seigneurs locaux. Cette centralisation du pouvoir, mêlée à une politique de nationalisation du territoire, a entraîné la disparition de nombreuses pratiques culturelles locales et une altération de l’identité culturelle du Grand-Duché pendant de nombreuses années. Aujourd’hui, la jeunesse recherche activement cette identité velsnienne, qu’elle considère comme la sienne, une identité qu’elle estime n’aurait jamais dû être perdue ou oubliée face à l’oppression st-alboise, et elle est au cœur du mouvement nationaliste du Grand-Duché.


Place de la religion dans l'État et la société :

Le Grand-Duché, avant sa conquête par le christianisme, était une terre païenne où une multitude de croyances polythéistes, d’une nature diverse, occupait une place centrale dans la vie des sociétés préchrétiennes du territoire. L’arrivée de la christianisation, aux alentours du 9e et 10e siècle de notre ère, bouleversa complètement la place de la religion dans l’État. Les croyances païennes furent interdites et leurs pratiquants persécutés. Peu à peu, une christianisation du territoire s’instaura, entraînant quasiment l’extinction des anciennes croyances locales. Cependant, ces dernières survécurent partiellement, en s’intégrant de diverses manières dans la croyance chrétienne locale. Ainsi, bien que le Grand-Duché ait été le territoire de l’ordre catholique du Nord, puis le siège des princes-évêques, il a conservé des traces païennes, au grand dam de ces derniers.
La religion catholique occupe la fonction de religion d’État, bien que l’exercice d’autres confessions soit autorisé et protégé. Cependant, seule l’Église catholique peut être subventionnée par l’État, recevoir des aides et est exempte d’impôts.

Aujourd’hui, les croyances post-chrétiennes connaissent une résurgence en raison de la recherche identitaire et des vagues de mouvements indépendantistes qui secouent le territoire. Les jeunes sont de plus en plus nombreux à rechercher une identité différente de celle de la principauté, sur laquelle ils appuient leurs revendications séparatistes.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Les princes-évêques de la Principauté de Saint-Alban sont également les Grands-Ducs (Granduca) d’Ardon et les Bordes depuis 1240, après la christianisation du territoire. Initialement placé sous la domination de l’ordre des Chevaliers du Nord, il passa ensuite sous l’autorité des princes-évêques après la dissolution de l’ordre, qui en firent leurs territoires personnels. Ainsi, les différents princes-évêques successifs se sont transmis ces titres jusqu’à aujourd’hui. Officiellement, celui qui occupe la position de prince-évêque est également Grand-Duc, les deux titres étant inséparablement liés. Cependant, le territoire jouit d’une large autonomie face à l’État fédéral quoique limité, n’étant pas une entité fédérée comme les régions de Laas, de Kussaberg et de Lymock, mais bénéficiant d’une autonomie interne dans les affaires locales. Il demeure toutefois soumis au gouvernement central.

Le Grand-Duc détient officiellement les pouvoirs exécutif et législatif de la région, tandis que le pouvoir judiciaire est indépendant et lié à la Cour Suprême. Le Grand-Duc confie le pouvoir législatif à un parlement (Parlamento di Ardon e Bordes) après les élections législatives et le pouvoir exécutif à un gouvernement élu par le parlement local. Il est de manière honorifique placé la tête du gouvernement, le Grand-Duc peut également les renvoyé sur demande du parlement par une motion de censure. Le Grand-Duc est également à la tête de la police grand-ducale, des services d’intervention rapide et des entreprises publiques. Il sanctionne la loi et peut opposer son veto (symbolique) et dispose également du droit de grâce. La fonction grand-ducale, à l’aube du nationalisme ardois et bordois, est largement critiquée. Sa position est considérée comme particulièrement pro-Saint-Alban en raison du fait que le Grand-Duc est également le co-prince évêque de la principauté, ce qui est vu par les indépendantistes comme une occupation du territoire et un obstacle à son indépendance. Ainsi, de nombreux habitants souhaitent l’abolition de l’institution, bien qu’ils n’aient jamais véritablement réussi à y parvenir.

Le Parlement d’Ardon et des Bordes (Parlamento di Ardon e Bordes) est l’organe monocaméral du territoire du Grand-Duché. C’est une dévolution de l’administration centrale, et contrairement aux trois entités fédérées de la principauté, les capacités législatives du Grand-Duché sont particulièrement limitées, ce qui est perçu comme une injustice par les partisans de l’indépendance et de l’autonomie. Cette situation se heurte à une opposition féroce de la part de l’État fédéral. Le parlement est composé de 36 députés élus au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans dans les 36 circonscriptions électorales du territoire. Le parlement élit également le gouvernement, qui est responsable devant lui.

Le Grand-duché élit également 10 député pour l’assemblée générale de la principauté.

Principaux personnages :
- Filippo di Monteverde, ministre-President du gouvernement du Grand-Duché.
- Chiara Bellucci, secrétaire d’état au affaires étrangères.
- Jean-Baptiste Leroy : procureur générale du Grand-Duché, nommé par le gouvernement centrale de la principauté.
- Caterina Rinaldi : Président de l’académie Grand-ducale des arts, sciences et des technologies.
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Généralités :



Nom officiel : Territoire autonome de la reine Mareau.
Nom courant : Mareau
Gentilé : Morois(e)

Inspirations culturelles : île Féroé , Groenland, inuits , sames et autres cultures du nord.

Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Le Naajaat est la langue officielle du peuple autochtone, tel qu'il est reconnu par la Principauté. Le français et l'allemand bénéficient également d'une large facilité linguistique sur le territoire.

Drapeau :
Drapeau

Emblème :
 Drapeau

Devise officielle : Par les Grandes frontières du nord

Hymne officiel : Voici le grand nord

Capitale : Officiellement, aucune ville n'a de statut de capitale du territoire. Toutefois, la ville portuaire de Nunarssit, avec ses 97 640 habitants, abrite l'écrasante majorité de la population. Elle est le principal port permettant d'approvisionner le territoire et de faciliter les échanges commerciaux.

Population : 147 050 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

Le territoire de Mareau, ou "territoire autonome de la reine Mareau", est une entité de la principauté de Saint-Alban, d’une superficie de 2.941 km2 pour 147 050 habitants par sa superficie, c’est l’entité de la principauté de la plus faiblement habité . Il est situé au nord de la Manche Blanche et est principalement habité par les populations autochtones Naajaat. Le territoire est constitué en grande majorité de steppes, vastes plaines herbeuses au sol noir et très fertile, excepté durant les saisons rigoureuses. C’est une terre de nomades, élevant cerfs et chevaux solides des plaines.

Une autre grande partie du territoire, en dehors des montagnes du nord, est composée de forêts mixtes avec des marais et de dépôts d’argile et de sable, ainsi qu’un sol particulièrement pauvre et difficile à cultiver.
Mareau bénéficie d’une large autonomie, même supérieure à celle du Grand-Duché d’Ardon et des Bordes, à l’exception des domaines de politique défensive, de la police, de la justice, de la monnaie, et partiellement en diplomatie. Toutefois, elle a la permission d’établir ses propres relations commerciales. Sa capitale officieuse, Nunarssit, est également la plus grande ville du territoire, située près de la mer. C’est là que réside l’écrasante majorité de la population. La mer représente également la principale source de ressources alimentaires et énergétiques. Le territoire est fortement dépendant de la métropole, en important la majorité de ses besoins, mais possède une économie de subsistance marquée par l’agriculture durant les saisons favorables. Les hivers sont longs, rigoureux et caractérisés par un froid brutal et d’immenses chutes de neige, rendant l’utilisation des axes routiers, encore peu développés, particulièrement difficile. Les printemps sont courts, suivis de courts étés très chauds, propices à l’agriculture. Les automnes sont froids et humides. Les températures dépassent rarement les 30°C et descendent souvent jusqu’à -20°C.
Les fleuves et les rivières forment l’axe principal d’échanges et de communication du territoire, permettant de naviguer sur de vastes distances. Les voyages à pied sont dangereux au printemps à cause du dégel et en automne à cause du verglas. Les populations locales utilisent ces rivières pour les échanges, soit en été par bateau, soit en hiver via des traîneaux.

Le territoire a été acquis par la principauté en 1640 par un explorateur, Oliver Nesselrode, au nom de la principauté, et a été intégré officiellement en 1815 en tant que territoire autonome non souverain. Il dispose d'institutions locales en raison de la reconnaissance de l’ethnie Naajaat, majoritaire (représentant environ 89 % de la population). Ces derniers détiennent obligatoirement 25 sièges sur les 50 de l'assemblée locale, qui exerce à la fois les pouvoirs exécutif et législatif. L'assemblée détient également la fonction de haut commissaire des co-princes, fonction réservée à l'ethnie Naajaat.
Le territoire est relativement peu fertile pour une agriculture à grande échelle, mais il regorge de ressources naturelles importantes notamment minière et halieutiques ainsi qu’en hydrocarbures, qui explique pourquoi la principauté le garde sous sa souveraineté. Les montagnes sont particulièrement riches en matières premières de toutes sortes, telles que charbon, fer, cuivre, plomb et titane tandis que la mer est riche en ressources halieutiques et en hydrocarbures. Ces ressources sont exploitées par la principauté, bien que l'exploitation soit officiellement limitée en raison de l’environnement naturel. En dépit de ces richesses, le territoire reste sous-développé en dehors de sa grande ville, Nunarssit, la seule véritable ville, tandis que le reste du territoire est composé de modestes villages et quelques communes.

Mentalité de la population :

Mareau est le territoire du peuple autochtone des Naajaat, qui dispose de sa propre langue, le Naajaat, appartenant à la famille des langues proto-ouralique. Ces peuples ont préservé leurs cultures et traditions au fil du temps, représentant encore 89 % de la population du territoire. Contrairement aux habitants du Grand-Duché d'Ardon et des Bordes, les Naajaat n'ont pas subi la nationalisation forcée de la culture st-albanoise et continuent de vivre selon leurs modes de vie traditionnels, pratiquant principalement la pêche et l’élevage, tout en maintenant une existence nomade.

Les Naajaat se regroupent au sein de tribus, elles-mêmes divisées en clans composés de plusieurs familles. Les liens sociaux sont d'une importance capitale pour les habitants du Grand Nord, et être exclu de son groupe équivaut à un déshonneur profond. Dans ces conditions extrêmes, il est parfois considéré comme préférable de se donner la mort plutôt que de vivre seul, en raison des dangers que représente la vie dans les steppes, peuplées d’animaux sauvages comme des ours. Les relations entre clans sont variées et, bien qu’il y ait des rapports de force, les tribus échangent principalement et il existe peu de conflits entre les tribus.

Cependant, la culture Naajaat fait face à un déclin progressif avec l’arrivée de la modernité dans le territoire. De plus en plus de jeunes cherchent à fuir leur mode de vie traditionnel pour une existence meilleure ailleurs, rejetant parfois leur héritage et leur identité. Une grande partie de la population est devenue sédentaire et a abandonné le mode de vie nomade pour s’établir dans les villes, qui offrent plus de confort et de meilleures perspectives d'avenir que les plaines désolées du nord. Le départ d'un jeune membre de la communauté est vécu comme une perte irréparable par chaque tribu, car la population se reproduit beaucoup moins vite que celle des métropolitains, qui sont en constante progression. Face à cette situation, l’État fédéral a mis en place des régulations strictes pour l’installation sur le territoire de Mareau, en exigeant une autorisation préalable obligatoire. De plus, des conditions rigoureuses sont imposées pour les résidents issue de la métropole par le gouvernement centrale en ce qui concerne le droit de vote et l’éligibilité sur le territoire, afin de protéger et préserver la culture autochtone et les droits des Naajaat sur leur territoire.

Place de la religion dans l'État et la société :

La religion du territoire de Mareau, bien que officiellement catholique, a longtemps été influencée par le chamanisme local. Ces deux croyances se sont fortement entre-influencées malgré une politique de déchristianisation du territoire, qui a été abandonnée, mais poursuivie par des missions chrétiennes. Ainsi, la religion autochtone Naajaat reste encore profondément enracinée et pratiquée. Elle se caractérise par un polythéisme, un animisme et un panthéisme. Les croyances et les cultes locaux partagent de nombreuses ressemblances avec les religions slaves et nordiques.
Cette religion se divise en de nombreuses confréries, chacune avec des courants de pensée plus ou moins différents, mais toutes tolérantes. Elle est particulièrement proche de la nature, qu’elle vénère profondément, car c'est par la nature que de nombreuses divinités se manifestent, selon la croyance autochtones. C'est une religion centrée sur elle-même et ses pratiquants, qui ne cherchent ni à étendre leur foi ni à convertir d'autres peuples.

Le catholicisme, bien que la seconde religion présente sur Mareau, est en forte progression depuis le début du siècle, suite à la colonisation st-albanoise. Sa progression a été plus lente au cours des siècles précédents, mais elle connaît aujourd'hui un regain d'intérêt parmi les autochtones, qui se convertissent au christianisme tout en maintenant une partie de leurs anciennes croyances. Ce phénomène donne naissance à un catholicisme particulier, où des éléments païens se mêlent aux dogmes chrétiens. Cependant, ces convertis sont souvent mal vus et même exclus de la société autochtone, qui les considère comme des traîtres, des "vendus", ayant renié leur culture et leurs traditions au profit du confort de la modernité.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

En raison de l’autonomie politique dont dispose le territoire de Mareau, celui-ci bénéficie d'une capacité de législation presque équivalente à celle des régions fédérées de la métropole, sans toutefois en avoir le statut. Pour certains, il forme la quatrième région fédérale de la principauté. Le régime politique du territoire est celui d’une république parlementaire au sein d’une monarchie constitutionnelle fédérale.

Haut commissaire :
Le Haut Commissaire représente les co-princes sur le territoire. Il est nommé conjointement par ceux-ci après proposition du parlement local pour un mandat de 6 ans et peut être révoqué à tout moment sur demande du parlement local par ordonnance co-princière. La fonction de Haut Commissaire doit obligatoirement être occupée par un autochtone résident sur le territoire depuis plus de 10 ans. Il est chargé d’exercer les fonctions associées aux co-princes sur le territoire, telles que la nomination du gouvernement local après les élections générales, la dissolution du parlement et le commandement des forces locales, entre autres.

La réservation de cette fonction aux seuls autochtones est vue par certains comme une forme d’inégalité et de discrimination, notamment par les populations issues de la métropole, qui y perçoivent un manque d’égalité. Toutefois, pour les autochtones, cette règle est perçue comme un mal nécessaire pour garantir que leurs droits et intérêts soient respectés. Le sujet du Haut Commissaire est donc un point de discussion constant dans les débats publics, bien qu'il n'y ait pas eu de véritable évolution.

Parlement :
Le parlement local est une assemblée composée de 50 représentants élus au suffrage universel direct pour un mandat de 4 ans. Parmi ces 50 sièges, 25 sont réservés d'office aux autochtones résidents sur le territoire depuis plus de 4 ans, et sont élus dans des circonscriptions électorales spéciales. Les 25 autres sièges sont élus dans les 25 circonscriptions normales du territoire.

Le parlement exerce à la fois le pouvoir législatif, en légiférant sur la politique locale, et le pouvoir exécutif, puisque le gouvernement local est composé de députés élus par leurs pairs. Ce gouvernement est responsable devant le parlement, et chaque membre du gouvernement peut être révoqué à la demande des deux tiers des députés.

Principaux personnages :

- Inuq Mikigaq : Haut commissaire du territoire autonome de la reine Mareau issue de la tribu des Aklaq
- Ánne Márjá Utsi : président du conseil des ministres, urbaine
- Piitaq Tikiq : ombudsman pour les droits autochtones
- Mikkel Utsi : président du parlement
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Salut salut, vu que ton lore d'Ardon a l'air assez lié au mien, je tiens à te faire part de deux ou trois observations pour une bonne harmonisation. Premièrement, je trouve que le concept d'Etat à trois tête tient très bien la route et que ta validation ne devrait pas poser de problème outre mesure. Mais passons.

Il y a quelques dissonances entre la situation de la population velsnienne dans ton duché et le lore historique de Velsna. Y apporter un petit correctif pourrait rendre le RP plus qualitatif, mais tu n'es pas du tout obligé d'y souscrire:
- Je voudrais connaître l'origine de cette population velsnienne. Pour quelle raison ces gens parlent cette langue ? Est-ce qu'il s'agit d'une conquête temporaire, gagnée et reperdue ? Velsna a t-elle eu le contrôle de ce territoire à un moment donné de son Histoire ? Est-ce qu'il s'agit d'une immigration récente ou ancienne (sachant que les velsniens sont le résultat lointain de l'arrivée de commerçants fortunéens installés dans la région à la fin du VIIIème siècle dans la région). A toutes ces questions je te laisse la réponse (tu n'es pas obligé de l'ajouter sur ta fiche, pour moi tu as déjà le feu vert), mais tu peux te renseigner sur mon atlas historique pour plus d'infos sur l'Histoire de Velsna et peaufiner ça une fois en jeu.

- Ma deuxième remarque est au sujet de la mentalité de la population. A Velsna, le principe de monarchie comme celui que tu décris dans ton duché est très majoritairement rejeté pour des raisons historiques. Le système dans lequel évoluent les velsniens met l'accent sur un refus de la centralisation, une défiance vis à vis d'un gouvernement trop fort et l'organisation de la vie politique en cités-états qui ont des points communs avec ce que tu peux trouver en Grèce antique. Dans ce contexte, il ne serait pas illogique que ta population velsnienne soit animée par un certain républicanisme. Tu n'es pas non plus obligé de t'aligner, mais ce serait bien de connaître les raisons d'un tel décalage entre le système politique à Velsna et celui du duché (cela pourrait même être très intéressant).

- Pour ce qui est de la religion, on est plutôt raccords sur la période de christianisation, mais je voudrais juste faire un aparté sur les croyances pré-chrétiennes. Il existe encore un folklore qui en est issu à Velsna et à Fortuna qui est une figure appelée "Dame Fortune". N'hésite pas à en faire référence.


voili voilou
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Accepté. Il faudra régler ce soucis des liens youtube malgré tout
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