Activités étrangères en Maximus
Posté le : 26 jan. 2025 à 12:02:44
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Posté le : 26 fév. 2025 à 21:50:57
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Adjudant chef : Mon Commandant, nous seront atterrit dans dix minutes.
Viktor Zimov : Parfait, vous pouvez disposer.
Viktor Zimov regarda discrètement sa montre, on allait bientôt entamer la phase d'approche. Il devait écourter son discours.
Il dit "nos" en pointant sa poitrine.
Sur ce, soldats, camarades, frères d'armes de toujours, en mission.
Après cela, l'avion atterrit, la longue mission qui s’annonçait pouvais enfin commencer.

Posté le : 27 mars 2025 à 20:15:03
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Posté le : 02 mai 2025 à 19:49:32
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Ceci a bien entendu attiré l'attention de beaucoup de puissances étrangères, et surtout étrangères au continent aleucien. Il paraît en tous cas ridicule à tous les experts en géopolitique que nous avons interrogé d'évoquer l'idée de placer un eurysien, qui n'a pas le moindre lien avec l'Aleucie, à la tête d'un État de notre continent. Personne ne connaît mieux les réalités locales et la politique régionale qu'un aleucien. Laisser Maximus être dirigé par ces candidats morakhanien ou novais serait une erreur.
L’impératrice akaltienne dispose cependant d’un atout face à ses concurrents : sa grande popularité auprès de bien des populations autochtones. Un eurysien qui dirigerait de nouveau la Fédération de Maximus serait pareil à un retour à l’époque de la colonie listonienne, durant laquelle beaucoup de massacres ont été commis. Une souveraine native aleucienne est une tout autre chose. Elle sera bien plus à même de mettre en valeur le passé et le présent culturel de Maximus, en prenant autant les ethnies locales que coloniales en compte. Personne ne sera ainsi délaissé, par méconnaissance totale des peuples d’origine de la terre maximilliane.
Pour toutes ces raisons donc, et afin de les rappeler à nos lecteurs qui nous suivent depuis la Fédération de Maximus, le choix d’une monarque locale sera bien plus à l’avantage de la nation maximilliane ainsi que des autres peuples qui en partagent le sol que celui d’un étranger, qui n’a jamais mis ne serait-ce qu’un seul orteil sur le continent aleucien.
Posté le : 02 mai 2025 à 22:08:37
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MAUSSADE
Union et Empire des Cités d'Akaltie
Services impliqués : Akaltie
L’opération consisterait en l’action de suggérer au plus grand nombre possible de citoyens maximilliens la bonne idée que serait l’accueil de l’impératrice akaltienne sur leur trône.
Pour commencer, un grand nombre d’agents vont devoir être mobilisés pour entrer sur le territoire de la Fédération discrètement, en étalant leurs arrivées sur plusieurs semaines et en provenance de plusieurs pays afin que personne ne remarque d’anomalie.
Une fois ces agents en place, ils devront tout faire pour ressembler à des locaux, et donc maîtriser parfaitement les principales langues locales, le portugais et le zartu.
Ces agents, sur le terrain, devront constamment faire la promotion de la candidate akaltienne, ou à l’inverse, diffuser de mauvaises rumeurs (même fausses), à propos des autres candidats. Cela se fera aisément en faisant la tournée de bars, de lieux publics propices aux discussions et dont les occupants sont plus faciles à convaincre de certaines idées. Ils recevront avant de partir une rapide formation dispensée par des experts afin de connaître les fondamentaux de la persuasion et les biais cognitifs humains qui pourront les y aider. Ces mêmes experts leur prépareront également des formulations toutes prêtes à utiliser afin de facilement manipuler l’opinion des gens.
Dans les rues et places publiques des plus grandes villes, à savoir en priorité celles d’Aros, de Pasario, de Yeroplov et d’Aripelas, des tracts faisant la promotion de l’impératrice akaltienne par divers moyens. Ils se serviront notamment des modèles de tracts du parti du Renouveau Akaltien, traduits et adaptés à Maximus, à ces fins.
La dernière méthode, bien qu’elle soit la moins digne des trois, consistera en la discréditation des pays envoyant des candidats en déguisant des agents afin qu’ils ressemblent le plus possible, de la manière la plus évidente possible à des touristes morakhaniens ou novais. En se comportant ostensiblement très mal avec la population, et en faisant à chaque fois en sorte que le plus de monde possible puisse être témoin des altercations qu’ils créeront, ils donneront ainsi des préjugés envers les est-eurysiens aux maximilliens et les orienteront d’autant plus en direction de la candidate akaltienne.
C’est donc au moyen de tout ceci que l’Akaltie pourra avec plus de chances arriver à ses fins, à savoir de renforcer son influence sur la Fédération de Maximus en installant son impératrice sur le trône du pays.
Posté le : 03 mai 2025 à 15:32:47
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Le marquis Séverin Boyle et la marquise Éléonore Boyle, née de Fresney
L'aéroport de Aros, capitale de la Fédération Maximiliane, bourdonnait d'une activité inhabituelle en ce jour particulier de juin. Les drapeaux de la monarchie flottaient fièrement, et une foule impatiente se pressait derrière les barrières de sécurité, espérant apercevoir l'impérial candidat au trône du royaume. Parmi la foule, quelques drapeaux nordistes flottaient. Au sein des candidats connu à l'accession au trône, l'un des plus attendus était Séverin Boyle, marquis d'Amessor et cousin de l'Empereur Maximilien II de l'Empire du Nord. Sa candidature était l'une des plus visibles. Pays le plus proche de Maximus, seconde plus grande puissance du continent, sa position était prédominante sur la scène médiatique.
Lorsque l'avion impérial affrété au marquis Séverin Boyle pour le voyage atterrit sur le tarmac, un silence respectueux, mêlé d'une excitation muette, mais bourdonnante s'installa parmi les spectateurs. La porte de l'appareil s'ouvrit lentement, révélant la silhouette élégante et imposante du marquis de près de deux mètres. Vêtu d'un costume sombre parfaitement taillé représentatif de la mode impériale, confectionné par la maison de couture d'ailleurs spécifiquement réservée à la noblesse d'Empire, il descendit les marches avec une assurance naturelle, saluant la foule d'un geste de la main à la fois noble et chaleureux. Les yeux et le sourire ne trompent pas, cet homme était heureux de voir le peuple maximus, et sa chaleur allait embraser cette foule.
Séverin Boyle était accompagné d'une délégation restreinte, mais non moins prestigieuse, composée de conseillers et de membres de sa famille proche, notamment son épouse, la marquise Éléonore. Son regard balaya la foule, s'attardant sur les visages curieux et admiratifs. Il prit le temps de serrer quelques mains tendues le long de l'allée, échangeant quelques mots et sourires chaleureux avec eux, renforçant son image de proximité avec le peuple.
Une garde l'accueillit avec les honneurs militaires dus à sa filiation, soulignant indirectement l'importance de sa visite. Séverin Boyle rendit hommage à ses hôtes avec une courtoisie que l'on attend d'un noble nordiste. Il prononça quelques mots de portugais à l'officier supérieur, exprimant sa gratitude pour l'accueil chaleureux et un certain enthousiasme à l'idée de découvrir la Fédération Maximiliane. On lui tendit un micro afin de s'exprimer aux nationaux présents, dans un portugais avec un accent trahissant son origine.
- Chers maximilians, chères Maximilianes, bom dia !
Il fit une pause le temps des applaudissements.
- C'est pour moi une immense joie, par ce temps radieux qui préfigure je l'espère un avenir tout aussi ensoleillé, d'être accueillis par une foule si chaleureuse et amicale. Le peuple maximilian est à l'image de mes plus belles attentes et je suis impatient de découvrir plus de celui-ci. Je viens aujourd'hui avec un message que je veux porteur d'espoir et d'amitié. Au nom de l'Empire du Nord, nos meilleurs vœux de prospérité à votre si belle nation.
Ma présence ici se veut aussi porteuse de l'idéal que ma terre natale défend avec ardeur : un continent en paix où la démocratie brille, où les libertés ne fléchissent pas et où chacun a le droit de prospérer et mérite une vie décente. Mon engagement, tout comme celui de ma terre d'origine, reste le même et sera aussi le mien ici ! Paix, amitié, solidarité. Tels sont les mots qui doivent résonner, à l'heure où des nations tentent de répandre l'ombre et la tyrannie sur notre monde. La Fédération Maximiliane est à un tournant de son histoire où elle peut se placer à l'avant-garde du combat pour ces valeurs que vous partagez avec autant de sincérité que moi, j'en suis convaincu.
Ma volonté est inébranlable et continue, et je m'engagerai autant que possible et par tous les moyens possibles à défendre ces valeurs de démocratie, de dignité et de paix. Aujourd'hui, la providence me permet de prétendre, si vous le voulez bien, au trône de cette si belle nation. Je m'y engagerai de toutes mes forces pour que chacun d'entre vous se retrouve dans un règne qui consolidera la démocratie de cette nation, la solidarité entre ses citoyens et la solidarité entre Maximus et le continent aleucien tout entier.
Ma promesse est d'être un souverain de dialogue, de compromis, résolument démocrate qui fait passer son peuple avant lui et qui laisse la souveraineté politique entière à celui-ci. Mon règne sera le vôtre, mes amis.
À travers moi, dites non à la tyrannie ! Non à l'instabilité ! Non à l'égoïsme ! Oui à la démocratie, oui à la prospérité, oui à la paix !
Povo e nação Máximo, procura um soberano? Você encontrou!
Posté le : 03 mai 2025 à 16:20:55
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Sous le ciel étoilé de la capitale, le soir de l'arrivée de Sévérin Boyle, il est 22 heures 30, les rues habituellement animées de Aros se teintaient d'une atmosphère plus sereine bien que la vie nocturne de l'été commence à s'activer. Ce soir-là, une initiative particulière se déroulait dans les quartiers les plus défavorisés de la ville : une maraude alimentaire, financée et orchestrée par Séverin Boyle, marquis d'Amessor, le cousin de l'Empereur Maximilien II.
Vêtu plus simplement qu'à son arrivée à l'aéroport, désormais recouvert d'une veste plus décontractée, en bras de chemise compte tenu de la chaleur encore présente malgré la nuit tombée, Séverin Boyle se fondait parmi les bénévoles dont certains venaient de l'Empire du Nord et faisaient partis des associations d'aides sociales créées par le marquis, celui-ci portant à présent des sacs remplis de nourriture et de boissons chaudes ainsi que de quelques produits d'hygiène. Son visage, souvent empreint de la rigueur de ses fonctions, affichait une expression de bienveillance. Il avait tenu à participer directement à cette action, convaincu que le contact humain et la solidarité étaient essentiels pour comprendre et aider les plus démunis. Bien-sûr, cela le permettait aussi de montrer son engagement dans un contexte de prétention au trône, mais le fait est que son action restait sociale et engagée.
Accompagné d'une équipe de bénévoles dévoués, Séverin Boyle arpentait les ruelles de la capitale qu'il découvrait pour la première fois, s'arrêtant auprès de chaque personne en difficulté. Le symbole était fort : il allait à la rencontre du peuple et des quartiers plus modestes avant de découvrir les grands batiments de la monarchie. Le potentiel futur souverain s'affichait clairement comme proche du peuple et favorable à l'action. La première rencontre de la soirée fut avec une femme âgée, assise sur un carton usé, les mains tremblantes et sales, le visage marqué par de nombreuses années dans la rue. Le visage de la femme était pourtant gravé d'une gentillesse profonde. Séverin s'approcha doucement, s'accroupissant pour être à sa hauteur.
— Bonsoir, madame, dit-il d'une voix douce. Je m'appelle Séverin. Puis-je vous offrir quelque chose à manger ?
La femme leva les yeux, surprise. Elle accepta timidement le repas chaud, le lot de pansements, de savon et de lingettes ainsi que la couverture que Séverin lui tendait.
— Merci, murmura-t-elle, visiblement émue. C'est si rare de voir quelqu'un s'intéresser à nous. Ça fait chaud au cœur de voir les jeunes qui se soucient des anciens et des pauv' gens.
Séverin lui sourit chaleureusement.
— C'est important pour moi d'être ici ce soir. Comment vous appelez-vous ?
— Je m'appelle Maria, répondit-elle.
— Puis-je vous demander comment vous êtes-vous retrouvé dans cette situation ?, demanda-t-il.
— J'ai perdu mon emploi et j'ai vécu une histoire sentimentale compliquée il y a d'ça pas mal d'années. Mère célibataire sans emploi à un moment où l'économie allait pas fort, j'ai tout donné pour que mon enfant soit placé et puisse grandir sereinement, et je n'ai pas réussi à remonter la pente...
— Vous êtes une femme extrêmement courageuse Maria, dit-il en frottant doucement l'avant-bras de celle-ci. Quel âge avez-vous ?
— J'ai 60 ans, et mon enfant à sûrement 24 ans aujourd'hui, sa voix chargée de tristesse.
— Et où l'avez-vous placé ?
— Une maison de sœurs, Sainte-Barthe si je me souviens bien.
— On va essayer de retrouver votre enfant madame, d'accord ? J'aurais besoin de son nom et de la date à laquelle vous l'avez placé, et peut-être pourrons-nous vous le ramener ici ?
— C'est... c'est possible ?
— On fera tout pour, et peut-être pourra-t-il vous aider plus que nous.
— Il s'appelle Amando... Amando Peres, et il a été placé le treize aout 1996.
— Alors, restez ici, et nous reviendrons vous voir, nous vous le promettons.
Il se releva, échangea une accolade émue et prolongée avec la femme puis le groupe de bénévoles repris son chemin. Un peu plus loin, un groupe de jeunes sans-abri s'était rassemblé autour d'un feu de fortune. Séverin s'approcha, distribuant des sandwichs et des boissons chaudes. Les jeunes, d'abord méfiants, finirent par le reconnaître.
— Vous êtes vraiment le marquis ? demanda l'un d'eux, incrédule. C'est vous qu'on voit dans les journaux ?
— Oui, répondit-il avec le sourire. Mais ce soir, je suis juste quelqu'un qui veut aider. Pas le marquis d'Amessor, juste Séverin, d'accord ?
Il s'assit avec eux, écoutant leurs préoccupations et leurs rêves. Il leur parla de projets communautaires et de programmes de réinsertion, des choses qui lui tenaient à cœur, qu'il avait déjà organisé dans son marquisat et qu'il pourrait réaliser si sa candidature au trône aboutissait, leur offrant un espoir tangible.
— Vous savez, dit-il, tous ces bénévoles et moi, on croit tous que chaque personne mérite une chance de s'en sortir. On fera tout ce qui est en notre pouvoir pour que cela soit possible.
Les jeunes hochèrent la tête, un peu plus d'enthousiasme se lisant dans leurs yeux.
La maraude se poursuivit tard dans la nuit. Séverin rencontra un homme qui avait perdu son emploi et sa maison, une mère célibataire luttant pour nourrir ses enfants autour d'elle, et bien d'autres encore. Chaque rencontre était l'occasion d'un échange sincère, où il recueillait des témoignages poignants et offrait des paroles de réconfort. Ils distribuaient de la nourriture, des produits de première nécessité, des numéros et adresse de lieux d'aides.
À un moment, il croisa un vieil homme assis seul dans un coin sombre. Séverin s'approcha et lui tendit un repas.
— Bonsoir, monsieur. Comment allez-vous ce soir ?
Le vieil homme leva les yeux, surpris.
— Ça fait longtemps que personne ne m'a demandé comment j'allais, dit-il d'une voix rauque.
Séverin s'assit à côté de lui, écoutant son histoire de solitude et de désespoir, son addiction à l'alcool et à la cigarette pour essayer d'oublier. Il lui parla de centres d'accueil et de services sociaux, lui promettant que cela pourrait l'aider à retrouver un logement.
— Vous n'êtes pas seul, lui assura Séverin.
Malgré la fatigue, Séverin Boyle resta jusqu'à très tard, comme à son habitude lorsuq'il s'investissait dans un projet. À chaque arrêt, il insistait pour écouter les histoires des gens et marteller ses engagements de la solidarité et de l'entraide, rappelant que la grandeur d'une nation se mesurait aussi à la manière dont elle prenait soin de ses citoyens les plus vulnérables.
Au terme de cette soirée, les bénévoles espéraient non seulement avoir nourri des corps, mais aussi des âmes.
Posté le : 03 mai 2025 à 16:51:28
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La Fédération Maximiliane recherche un nouveau souverain ! Etonnement généralisé en Lermandie!
Par Catherine Marboulin
Depuis quelques jours, le gouvernement de la Fédération Maximiliane a débutéune recherche pour trouver un digne successeur au trône de la Fédération Maximiliane. Ce choix politique de notre voisin a surpris nombre de citoyens et politiciens lermandiens, car ils avaient en tête que la Fédération Maximiliane avait clos son épisode monarchique. Par conséquent, près de 70 % des personnes consultées en Lermandie ont une perception très négative de cette décision.
En fait, nombre des personnes interrogées estiment que c'est une décision inconséquente et stupide de vendre sa souveraineté à une potentielle dynastie royale, qui plus est à une dynastie n'ayant aucun lien historique avec notre voisin du nord.
En effet, à ce jour, il y a trois candidats approuvés par le gouvernement maximilien :
• Le Tsar Alexeï IV, souverain du Second Empire constitutionnel de Slaviensk,
• Itotia (Ière) Neztli, un membre de la dynastie régnante de l'Union des Cités d'Akaltie,
• Le Grand-duc Michel Vladimirovitch Bizanov, fils de Vladimir Ier de Morakhan, souverain de la Double Fédération des États de l'Empire de la Morakhan et des Peuples de la Morakhan.
À ce jour, aucun de ces prétendants au trône n'a une justification historique solide pouvant convaincre les Lermandiens.
Actuellement, le gouvernement investit une partie de son économie en Fédération Maximiliane dans le but de remettre en état ses infrastructures ferroviaires et industrielles. Et au vu de leurs intérêts très importants dans ce pays, le gouvernement va sans doute garder un œil très attentif sur ce qu'il se passe en Fédération Maximiliane, notamment pour éviter une réémergence des tensions par un futur souverain hégémoniste ou d'un souverain qui agirait comme une marionnette en faveur d'une puissance étrangère.
Posté le : 05 mai 2025 à 16:25:07
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Maximus à récemment annoncé une séléction d'un nouveau rois ou reine pour représenter le pays à titre symbolique, cette annonce ayant attiré la curiosité des pays avoisinent ou en relations avec Maximus. Et parmis ces pays des nations qui n'ont presque aucune relation avec votre beau pays, ce fait à interrogé la population Everienne.
-Ollia Guéran, Politologue
Nous comptons donc sur vous pour venir à notre renconte et nous partagé vos questions et attentes, pour que nous puissions y répondre. Pour finir, sachez que votre choix sera important pour cette sélection, il seras donc à vous de faire le choix qui vous correspond et répond à vos attentes. Car vos voisin comme la Lermandie seront affecté directement par vôtre décisions.
Merci d'avoir lu cet article, toute l'équipe de la rédaction vous souhaite une bonne journée.
Posté le : 05 mai 2025 à 21:00:21
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Novyavik et Maximus, une histoire d'amour diplomatique.

La course au trône et la place de Slaviensk.

Posté le : 05 mai 2025 à 22:06:54
1326

Posté le : 05 mai 2025 à 23:34:02
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Actualisation sur les scores :
Posté le : 06 mai 2025 à 01:27:28
981
Ahhh l'Akatlie.... Euh quoi ? Pardon l'Aklatie. Bref, cet état, qui ne sais lutter contre l'impérialisme que par l'impérialisme se serait lancé dans une opération de désinformation massive à l'encontre du peuple de Maximus. Mais Maximus ne se laissera pas manipuler ! Ils ne veulent qu'un trône pour mieux manipuler l'Aleucie, leur "terrain de jeu" mais bien entendu, notre media s'y oppose fermement. Comment peut-on donner un trône à des manipulateurs ? L'Akaltie ne veut laisser aucune accalmie à l'Aleucie, d'abord l'Everia, victime de son interventionnisme extrême, maintenant Maximus, et qui ce sera après ? Slaviensk ? Un autre pays ? C'est intolérable ! Pour le Maximus libre ! Pour Slaviensk ! Pour le trône du peuple de Maximus ! Car oui, ce ne sera pas à Alexeï IV qu'appartiendra ce trône ! C'est à vous, citoyens de Maximus ! Et ne l'oubliez jamais, alors que pour vous prendre votre trône, L'Akaltie vous manipule, mais Slaviensk vous paye ! Nous vous aidons, et nous vous aideront !
Posté le : 06 mai 2025 à 19:16:22
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Objectif : Largage de prospectus biodégradables au-dessus d’Aros, capitale de Maximus
Organisé par : Everia
Approbation officielle : Gouvernement de Maximus
Durée de mission : 7h30
Base de départ : Aérodrome tactique de Darnovel
Date de l’opération : 27/06/2016
03h45 – Briefing stratégique – Salle Opérative 3, Base de Darnovel
Le Commandant Velkor Anithël entre dans la salle, mains derrière le dos, ses galons de soie noire brodés d'argent scintillant sous les néons froids.
Velkor Anithël (ton ferme) :
"Silence. Opération Pluie des feuilles d’automne est à T-15 minutes du lancement logistique. Tous les éléments sont confirmés par le Haut Conseil et le gouvernement maximilien. Cette mission vise un déploiement symbolique, sans intrusion hostile. Il s'agit d'un ballet de précision. Si vous ratez une minute, vous ratez la symphonie entière."
Lieutenante Kelyanë d’Irnostril (officier logistique)
"Trois appareils cargo type C-léger sans identification formelle seront préparés. Chaque appareil portera le blason discret d’Everia. Les modules de dispersion sont chargés avec 250 000 prospectus biodégradables, fabriqués en fibre de selacine traitée, se désagrégeant sous la pluie. Tous marqués du sceau d’Eleander VII Velpe."
04h00 – Préparation des aéronefs – Hangars Est, Darnovel
Sergent opérationnel Thorandel :
"Équipe Delta, vérification des points d’arrimage ! Les containers doivent être verrouillés comme les serments des Vents Nocturnes !"
Technicien Miranel :
"Distribution confirmée. Les valves de largage sont calibrées à 300 mètre d’altitude. On n’a pas droit à un seul enrayement."
Velkor Anithël (à la radio interne)
"Tour de Darnovel, ici Commandement Opérationnel. Préparez la piste 07L pour roulage à T+60. Surveillance météo confirmée ?"
Tour de Darnovel :
"Météo claire, vents du sud-est, 10 nœuds. Fenêtre ouverte pour les 8 prochaines heures. Bonne chasse, Everia."
05h00 – Décollage
Les trois aéronefs décollent dans une synchronisation parfaite, leur sillage nocturne brille d’une pâle lumière azur émanant des bandes de guidage en verre chantant.
Velkor Anithël (dans l'appareil Alpha-1, en radio) :
"Alpha-1 en tête. Formation flèche inversée. Maintien cap 217, vitesse 460. Aros estimée à H+4."
06h00 – Croisière tactique – Altitude 12 000 mètres
Silence professionnel à bord. Les membres d’équipage vérifient chaque voyant. Le chef de navigation ouvre une carte plissée où des runes elfines indiquent les vecteurs aériens autorisés par Maximus.
Navigateur Tyranweïr :
"Nous longeons l’arc de Vorëlin. Entrée dans l’espace aérien maximilien dans vingt-cinq minutes. Transpondeur diplomatique en veille active."
06h45 – Entrée de l’espace aérien de Maximus
Alpha-1 (radio) :
"Tour d’Aros, ici Flèche Everienne. Approche planifiée, autorisation confirmée selon l'accord 47-7. Salutations à la cité d’ambre et de marbre."
Tour d’Aros (voix calme et fière) :
"Flèche Everienne, ici Tour d’Aros. Bienvenue sous nos cieux. Coordonnées de passage actives. Veillez à honorer le ciel comme vous honorez vos serments."
Velkor Anithël (au micro interne)
"Que l’automne pleuve comme l’honneur descend sur les justes. Maintenir cap, début du ballet dans 45 minutes."
07h30 – Phase de descente – Préparation au largage
Les aéronefs entament une descente lente. Les modules de largage s’ouvrent comme des corolles d’acier. Chaque prospectus porte un poème court, un emblème d’Eleander VII, et une signature holographique codée.
Lieutenante Kelyanë (monitorant les écrans)
"Vents stables. Altitude de largage atteinte. Zone au-dessus de la Place de l’Olivastre dégagée. Début du déploiement dans 30 secondes."
08h00 – Largage des prospectus
À 300 mètres d’altitude, les valves s’ouvrent. Une pluie légère de feuilles argentées descend sur Aros. Doucement, elles se posent sur les balcons, les toits, les mains tendues des passants.
Velkor Anithël (à la radio)
"Ici Alpha-1. Opération de largage enclenchée. Pluie confirmée sur quadrants 3 à 5. Synchronisation parfaite. Bravo à tous."
08h30 – Fin de largage – Reprise d’altitude
Tour d’Aros :
"Flèche Everienne, vos feuilles ont dansé avec élégance. Le ciel vous salue."
Velkor Anithël :
"Tour d’Aros, que vos vents portent nos salutations à votre peuple. Retour vers Darnovel enclenché. Fin de transmission."
09h30 – Retour vers Darnovel – Silence radio opérationnel
À bord, les membres d’équipage rangent leurs instruments. Le Commandant observe les feuilles restantes se consumer lentement dans un compartiment auto-compostant.
10h15 – Atterrissage à Darnovel – Débriefing
Velkor Anithël (dans la salle tactique)
"Opération Pluie des feuilles d’automne accomplie. Aucun incident, respect total des protocoles maximiliens. Impact émotionnel attendu élevé. Vous avez tous honoré le nom d’Everia."
Posté le : 07 mai 2025 à 14:57:53
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Certes, dans tous les cas, un roi ou une reine venant de l'étranger risque de favoriser son pays d'origine. La première grande différence, qui existe cependant entre deux groupes de candidatures, est l'origine du candidat au trône. Les aleuciens sont bien plus à même de comprendre les enjeux locaux lors de leur accession à ce pouvoir symbolique, que d'obscurs eurysiens de l'est qui ne connaissent rien à notre beau continent, si ce n'est les plages tropicales de la Yukanaslavie, ou les villes touristiques du Lofoten qu'ils ont vues une fois dans leur vie et peut-être même uniquement en images.
La seconde grande différence, qui est véritablement capitale, est l'ethnie des candidats. Aucun empereur, prince ou roi candidatant ne compte le portugais ou le zartu parmi ses langues maternelles. Même l'empereur everien, qui se targue de parler des dizaines de langues, ne doit en vérité pas maîtriser suffisamment ces langues pour être immergés complètement dans un environnement les parlant. Mais, ce qui peut rapprocher le roi maximillien de sa population est la proximité culturelle. Itotia Neztli est de culture native d'Aleucie, et est donc bien plus proche de beaucoup de citoyens de la Fédération de Maximus que ne le sont la plupart des autres candidats.
