Après des échanges de missives il y a déjà quelques mois de cela, madame Sweltana Volkov, ministre des affaires étrangères de la république, était chargée d'accueillir une rencontre avec le royaume de Pravoslavnyy invité en territoire novais. Pour Sweltana Volkov, ce sera une rencontre probablement compliquée. En effet, les récentes revendications du Tsardom de Navgrokra-Sovonograd à l'encontre des paroslaves rendait la situation d'autant plus difficile pour les deux délégations. Et Sweltana Volkov le savais très bien, si les paroslaves était ici, c'était bien entendu pour un rapprochement, mais aussi pour s'assurer d'un soutien de la part de la République de Novyavik. L'avion atterrit et les représentants paroslaves descendirent.
Sweltana Volkov : Salutation à vous, c'est un honneur de vous rencontrer.
La dirigeante était accompagnée de deux gardes de sécurités à lunettes de soleil noir, avec leur habituelle expression neutre. Le Roy de Pravoslavnyy quand à lui était accompagné de son premier conseiller, Donchenka Shevshenko.
Klymenko Khosvil : Salutation, nous vous remercions pour cette accueil en votre capitale.
Sweltana Volkov : Votre nation est pour ainsi dire, sous pression depuis quelques temps. Suivez moi, nous nous dirigeons vers le palais présidentiel.
La Ministre des affaires étrangères se dirigea alors vers une grosse voiture noire blindée. Les deux gardes suivirent. Elle ouvrit la porte arrière droit en invitant le Roy à entrer.
Sweltana Volkov : Votre excellence, permettez moi de vous inviter à prendre place dans la voiture.
Le Roy pris place en voiture et la ministre le rejoignis. La voiture roula et s'arrêta devant le palais présidentiel, les deux représentants descendirent de la voiture devant le chant de Mars, les deux délégations marchaient dans le froid de la capitale, ils arrivèrent devant le palais Présidentiel. Le Roy, Sweltana Volkov et le Premier Conseiller du Roy montèrent les marches du palais Présidentiel. Ils arrivèrent devant une grande porte luxueuse en chêne. Y était écrit sur un panneau d'or "Bureau du Président de la République." Sweltana Volkov toqua. Elle ouvrit la Porte, le Président était Présent à son bureau. Il se leva.
Viktor Vladimirovitch Mirov : Вітаємо вас, шановні партнери, Ми раді з Вами познайомитися.
Le Président savait parler l'Ukrainien, une langue minoritaire, mais que tout haut placé savait parler à Novyavik, car seconde langue du pays.
Klymenko Khosvil : Все задоволення для мене, я вітаю вас.
Viktor Vladimirovitch Mirov : Madame Volkov, laissez nous seuls s'il vous plait.
Sweltana Volkov partit de la pièce, d'un pas assuré mais délicat.
Le Président de la République invitât le Roy et son conseiller à s'assoir. Ils s'assirent alors sur les deux chaises présentes devant le bureau.
Klymenko Khosvil : pourrions nous débuter par le Tsardom de Navgrokra-Sovonograd et leurs menaces ?
Le Président de la République savais très bien que ce sujet serais le premier abordé. En effet, la possibilité d'un conflit ne peux que préoccuper un dirigeant et mérite d'être un sujet rapidement traité.
Viktor Vladimirovitch Mirov : Avant toute chose, sachez que Novyavik est à vos cotés pour vous appuyer en cas de conflit. Nous souhaiterions bien entendu, ne pas nous risquer dans une guerre, mais si une coalition venait à être formée pour contrer le Navgrokra-Sovonograd, nous n'hésiterions pas à intervenir. Reste à traiter de la forme de l'aide que nous sommes prêts à accorder.
Klymenko Khosvil : Nous ne souhaitons pas cette guerre. Elle nuirait au nations alentours ainsi qu'au Tsardom de Navgrokra-Sovonograd et notre nation. Cependant ces menaces doivent être prises au sérieux en vu du tempérament de cette nation. En plus de cela, le gouvernement cache leurs idéologie plus que néfaste derrière la religion chrétienne. Vous nous avez déjà proposés de l'aide pour de potentielles migrations du peuple et de la famille royale en cas de guerre et nous vous remercions. Cependant, notre nation ne possède qu'une petite armée et ne pourrait supporter une guerre. Pourrions nous parler d'un accord militaire ?
Viktor Vladimirovitch Mirov écoutait son interlocuteur. Il savait que son objectif était, bien entendu d'avoir le plus de soutien possible de la part de Novyavik. Et il était certain que Novyavik était favorable à un soutien, mais le Président devrait modérer son aide.
Viktor Vladimirovitch Mirov : Je vous écoute ?
Le Roy hésitait, il ne souhaitais pas en demander trop par peur de refus catégorique, mais sa nation avait besoin de cette aide.
Klymenko Khosvil :Comme je vous l'ai dis, notre nation ne pourrait supporter une guerre avec son équipement actuel. Nous pourrions parler d'offre d'armes, disons 5 000 d'armes légères de première génération ainsi que quelques mines et mitrailleuses.
Il espérait ne pas en avoir trop demandé pour éviter d'irriter son homologue.
Viktor Vladimirovitch Mirov fut impressionné de la modestie de la demande, il c'était préparé à des besoins bien plus importants.
Viktor Vladimirovitch Mirov : Nous acceptons votre demande, vous serez fournis si la guerre commençait de façon immédiate. Nous allons donc vous préparer la livraison. Nous avions à vrai dire, prévu une commande presque double. Nous avions souhaités vous livrer en plus de vos besoin des camions de seconde génération pour votre logistique ainsi que 10000 armes légères d'infanterie de première génération. Les 10000 armes légères ne sont pas encore prêtes mais le seront d'ici peu.
Klymenko Khosvil était ravis, sa demande était acceptée et même augmentée
Klymenko Khosvil : Nous vous remercions pour cela, nous voilà rassurés. Vous avez dans vos missives, évoqués une autoroute ainsi qu'une voie de chemin de fer entre nos deux nations et notamment entre Rusalka et Bellevue. Pourriez vous m'en dire plus s'il vous plait ?
Viktor Vladimirovitch Mirov avait vaguement entendu parler de cet ancien projet monté par l'ancien gouvernement. Il pensa que le reprendre serais une bonne initiative pour la coopération entre le Royaume de Pravoslavnyy et Novyavik
Viktor Vladimirovitch Mirov : Nous pensions, dans l'ancien gouvernement, à une autoroute d'environ 300 km entre bellevue et Rusalka. Doublée d'un chemin de fer; Ces infrastructures auraient surtout des motivations économiques pour faciliter les échanges entre nos états. Rusalka est une grande ville commerciale grâce à son grand port et dispose d'une économie tournée vers les ressources de la mer. Bellevue est deux fois plus peuplée. C'est donc également probablement une ville importante économiquement n'est-ce pas ?
Klymenko Khosvil : la ville de Bellevue est très peuplé notamment car elle abrite les délégations étrangères et l'avenue nationale des ambassades. Avec cet autoroute, votre culture serait alors découvert par de nombreux pays grâce au délégations étrangères et leurs familles. Cela développerait votre économie ainsi que la notre. Nous acceptons volontiers cette offre d'autoroute.
Viktor Vladimirovitch Mirov : Nous avons également diverses surplus qui pourraient vous intéresser. Nous disposons de diverses surplus en métaux ferreux et non ferreux, en ressources énergétiques et de nombreux produits industriels comme des automobiles de tout type, des machines industrielles, des engrais des semi conducteurs ainsi que certaines céréales, bien que nous n'en disposons que peu..... et avons besoin de lithium, de soufre et de polymères. Avez vous des échanges privilégiés avec nous à proposer contre des réductions ?
Klymenko Khosvil : Et bien nous disposons d'un patrimoine agricole très développé pouvant donc couvrir vos besoin de soufre, très présent sur notre sol. Alors nous pourrions effectuer des échanges entre nos deux nations. Je vous propose 5t de métaux ferreux contre et 8t de soufre.
Les quantités faibles de la transactions firent sourire le Président. Mais il décida de ne pas le montrer ouvertement.
Viktor Vladimirovitch Mirov : Très bien, nous prenons en compte ses quantités modestes mais intéressantes. Nous avions également préparés comme proposition un ajout mutuel de nos pays sur les passeports de nos deux nations dans le but de faciliter le commerce, le tourisme, et pourquoi pas, les échanges de travailleurs.
Klymenko Khosvil : Nous acceptons volontiers cet ajout mutuel sur nos passeport.
Il reçoit un message sur son portable
Je pense que nous avons tous dis. Ou avez vous autre chose à proposer ?
Le Roy semblait pressé
Le Président regarda l'heure. Il se dit intérieurement "Déjà ?". Mais il se retint de ses commentaires.
Viktor Vladimirovich Mirov : Vous semblez bien pressés. Dites moi si vous avez encore du temps à m'accorder, dans le cas contraire, j'aimerais retenir votre attention sur un point. Pour améliorer notre coordination militaire et faire pression sur le Navgrokra-Sovonograd, pourquoi ne pas faire un exercice commun sur la frontière novaise en Kovgorie ?
Cette proposition l'intéressa grandement lui faisant gardé l'envie de rester, malgré ce message.
Klymenko Khosvil : Un exercice à la frontière montrerait fermement nos positions face à ce pays agresseur. J'accepte volontiers et je pense même que je m'y tiendrais présent.
Viktor Vladimirovich Mirov : Parfait, Novyavik y enverra 2000 hommes. Professionnels et bien équipés ainsi que 5000 hommes en entraînement. Novyavik ayant une avance sur l'armée pravoslave et sur son équipement, nos militaires se donneront à cœur joie d'entraîner directement à la frontière vos soldats. Votre corps militaire sur place ferais donc combien d'hommes ?
Klymenko Khosvil : Nous enverrons 1500 professionnels ainsi que 2500 encore en formation.
Viktor Vladimirovich Mirov : Très bien, nous aurons donc une importante force capable de faire pression sur le Navgrokra-Sovonograd en Kovgorie. L'entraînement inclura une participation civile pour les familiariser avec les comportements à avoir, ainsi que montrer des techniques pour résister et entraîner au tire avec des armes de poing. Nos blindés et notre aviation seront présents. Maintenant ceci reglé, Souhaitez-vous goûter à nos spécialités majesté ?
le Roy surpris pars cette transition plus que rapide esquissa un petit rire
Klymenko Khosvil : Je ne refuse jamais à manger !
Le Président appuya sur un bouton camouflé sous le bureau. Un serveur arriva.
serveur : vous désirez ?
Viktor Vladimirovich Mirov : Des Novaïski kolsta ainsi que du sbitène pour moi et sa majesté s'il vous plaît. Sauf si sa majesté y voit une opposition ?
Les Novaïski Kolsta sont des anneaux frits à base de pommes de terre d'oignons et de fromage Novais. Quant au sbitène, c'est une sorte d'hydromel.
Klymenko Khosvil : Ces Novaïski kolsta m'ont l'air très appétissants, cependant je ne pourrais prendre de sbitène à cause de l'alcool.
Le serveur servit alors des Novaïski Kolsta au Président et au Roy.
Serveur : Vous ne désirez rien d'autre majesté ?
Klymenko Khosvil : Non merci c'est gentil
Ils mangèrent à sans remplir le ventre
Novyavik-Pravoslavnyy, futurs alliés ?
