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Great Universal Encyclopedia

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 Graphique Le monastère de Calw, où fut initié l’encyclopédie.
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La Grande Encyclopédie Universelle sur la Principauté de Saint-Alban (en latin :Great Universal Encyclopedia) est une œuvre rassemblant les informations les plus pertinentes et vérifiées concernant la principauté. Comme son nom l’indique, il s’agit d’une encyclopédie universelle, conçue pour être accessible au plus grand nombre dans plusieurs langues, notamment le français, l’anglais, le hongrois, l’allemand et le chinois, en autres.

Fondée en 1920 par Arnaud de Clermont, poète et moine de la Principauté de Saint-Alban, auprès du monastère de Bernau, sous l’autorité de l’archevêché de Calw, cette encyclopédie avait pour vocation de compiler dans un ouvrage universel et intemporel toutes les données et informations liées à la principauté. Après la mort d’Arnaud de Clermont en 1957, la fondation qui porte son nom, fut créée en son honneur afin d’entretenir et de mettre à jour cette grande encyclopédie, mission qu’elle poursuit encore aujourd’hui.

La présente encyclopédie a pour objectif d’apporter des informations détaillées sur la Principauté de Saint-Alban, notamment son régime politique, ses institutions, sa culture et sa géographie, entre autres. Toutefois, ces informations ne sont pas nécessairement classées dans un ordre précis. Si vous souhaitez naviguer rapidement entre les différentes fiches, veuillez cliquer sur les liens correspondants.

- Géographie

- Histoire

- Politique

Des Co-Princes

- Économie

- Société

- Religion
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Des Co-princes

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Monseigneur Armel Chagnon, Co-prince épiscopale.
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Sa majesté Catherine Courvoisier, Co-prince séculier.

La Principauté catholique de Saint-Alban est un régime politique bien particulier au sein de l’Eurysie et même du monde, car il se caractérise par la présence de deux personnages à la tête de l’État : les Co-princes, dont l’un est forcément épiscopal, c’est-à-dire membre de l’Église catholique et archevêque, actuellement Monseigneur Armel Chagnon, et l’autre est le prince séculier, dont le rôle est associé au règne des rois ou reines Teylais et à leur descendance légitime, actuellement Catherine Courvoisier.
C’est un régime parlementaire où l’Assemblée générale a la préséance sur le pouvoir exécutif, qui est également responsable devant elle. Le régime repose sur une séparation stricte des pouvoirs : l’exécutif est entre les mains du gouvernement, le législatif est exercé par l’Assemblée générale, et le judiciaire relève de la Cour suprême. Un quatrième pouvoir, qui appartient exceptionnellement à la Principauté, s’ajoute à ce système de séparation des pouvoirs : le pouvoir principautaire (ou royal), confié aux deux Co-princes en raison de leur fonction conjointe de chefs de l’État et de l’armée et qui n’appartient à aucun des 3 autres pouvoirs mentionnée précisément auquel il vient se superposer et s’ajouter.
Ce régime prend la forme d’une monarchie constitutionnelle parlementaire fédérative, comprenant trois régions fédérées métropolitaines : Laas, Kussaberg et Lymock, deux territoires autonomes : le Grand-duché d’Ardon et les Bordes ainsi que le territoire autonome de la Reine Mareau et une entité ou État consécutif : la seigneurie de Briarres.

La figure des Co-princes reste très populaire au sein de la Principauté, en raison de la fierté liée à son particularisme politique unique. De plus, la présence de deux chefs d’État, dont l’un est également le souverain d’un État voisin, renforce ce sentiment d’originalité qui plaît tant au sujets des Co-Princes qui trouver en l’institution de la monarchie un élément d’unité au-delà des rivalités régionales et permettant d’assuré l’unité de la principauté au-delà des divisions ethniques, linguistiques et culturelles. La monarchie st-Albois encore très interventionniste joue un rôle très important dans la vie culturelle et sociale de la Principauté. Les co-princes déclarent, en effet, l’ouverture des sessions parlementaires de l’assemblée générale avec un discours sur l’état de la nation, participent aux événements culturels et festifs de la principauté, et entretiennent un lien étroit avec les citoyens au gré des fêtes et événements.

La fonction de Co-prince a toujours été catholique, au moins en apparence. La Constitution stipule que les deux Co-princes doivent être de foi catholique ; toute conversion, avant, pendant ou après leur règne, entraîne la perte de leur titre, de leurs honneurs et de leur prestige, les rendant comme « morts » aux yeux de l’État et de la constitution. Toutefois, seul le Co-prince épiscopal est, par sa fonction, un véritable pratiquant de la foie catholique. Il participe aux messes au sein de son archevêché et aux fêtes catholiques dans sa cathédrale lorsqu’il s’y trouver ou par l’intermédiaire de sont représentants . Le Co-prince séculier, quant à lui, n’est pas forcément un fervent croyant, mais sa fonction (la couronne prime sur la personne) l’oblige à assister à certains événements religieux dites obligatoires chaque année.

L’origine exacte de la fonction de Co-prince est incertaine. Le premier mentionné dans les archives de la bibliothèque nationale de la principauté autrefois connu sous le nom des archives épiscopales conserve à Lymock, est attribué à Léon de Saint-Louen, primat de Saint-Alban et archevêque de Buchenbach entre 1100 et 1130. Il fut élevé à la dignité de prince-évêque par le souverain pontife de l’époque en reconnaissance de son rôle dans la pacification du nord de l’Eurysie et la propagation de la foi catholique dans une région encore fortement païenne.
Tous ses successeurs exercèrent ensuite cette fonction et étendirent leur autorité sur un vaste territoire, qui devint la Principauté épiscopale de Saint-Alban à sa plus grande étendue au 19eme siècle. Ils s’opposèrent aux barons et nobles locaux qui luttait pour la suprématies, ils possédaient une armée permanente et formés capables de tenir tête à ces puissants nobles et barons et créèrent un ordre de chevalerie consacré à la propagation de la foi catholique : l’Ordre des Chevaliers du Nord, qui conquit au XIe siècle la république Ardoise de l’autre côté de la Manche Blanche.
La fonction de Co-prince séculier quant à lui remonte au comte de la Villière, puissant noble de la Principauté, dont la lignée s’éteignit avec le comte Thibault de la Villière. Son titre fut alors transféré à son suzerain direct, le roi de Teyla, qui fut intégré comme Co-prince séculier lors de la fondation de la Principauté moderne au XIXe siècle.

La Constitution de 1920, puis celle de 2010, limite considérablement les pouvoirs des souverains à un rôle purement honorifique et cérémonielle mais toute fois nécessaire à la principauté. Comme le dit l’adage : « Les Co-princes règnent mais ne gouvernent pas. » Leur rôle est avant tout symbolique : ils assurent la stabilité et la continuité de l’État, garantissent le respect de la constitution et agissent en tant qu’arbitre et médiateurs des institutions politiques. La nature de leurs fonctions les rends inviolables et irresponsables.

Pouvoirs conjoints des Co-princes:
- Convocation des élections générales et des référendums.
- Signature du décret de dissolution de l’Assemblée générale auquel ils sont tenus d’accéder seulement et seulement si le gouvernement actuelle ne dispose pas de la majorité au sein de l’assemblée générale auquel cas les co-princes peuvent refuser d’accéder à la demande du camerlingue.
- Nomination des diplomates de la principauté sur conseil du gouvernement auprès des puissances étrangères et les deux co-princes reçoivent conjointement les représentants et chef d’Etat étrangers au sein de la principauté. Les Co-princes doivent veiller aux intérêts de la nation.
- Les co-princes nommés les hauts fonctionnaires de l’Etat : civils et militaires sur recommandation du gouvernement.
- Les co-princes sanctionne et promulguer la lois après qu’elle a été voté par l’assemblée général. Les co-princes disposer également du droit de veto, c’est à dire qu’ils peuvent s’opposer à un projet de loi mais seulement s’il considère que la lois est anticonstitutionnel et saisissant donc la cour suprême pour qu’elle y statuer ou pour demander à l’assemblée générale de révisé la loi ce qu’elle peut refuser en forcent l’acceptation de la loi avec 2/3 des députés pour contourne le veto des co-princes. Cependant si un des deux co-princes exerce sont droit de veto sans l’autre l’autre co-prince, le gouvernement demandera alors a l’assemblée générale d’y statuer.

Pouvoirs parlementaires:
- Les Co-princes nomment un formateur après chaque élection générale de l’assemblée générale.
- Les co-princes proposent les membres de la Cour suprême avec l’avis du gouvernement à l’assemblée générale notamment à son comité judiciaire. Si ce dernier approuve les propositions alors ceux-ci sont transmis à la session plénière de l’assemblée générale afin qu’un vote général ai lieux.
Compétences personnelles des Co-princes
- les Co-princes disposent du droit de grâce à titre individuel, d’amnistie et de réduction de peine. Toute fois, ils exercent leurs pouvoirs que sur recommandation du gouvernement et par tradition lors du couronnement de l’un des co-princes.
- les co-princes nomment les membres de leur personnel administratif sur recommandation du gouvernement que les co-princes ne sont pas tenus de suivre.
- Les co-princes peuvent saisir la Cour suprême en cas de violation de la Constitution par une proposition de loi, un acte gouvernemental ou un traité internationaux.
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Géographie physique de Saint-Alban


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Carte topographique de Saint-Alban

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Introduction au canton de Boigny :


Drapeau

Nom officiel : Canton de Boigny
Nom courant : Boigny
Gentilé : Boinois(e)s

Langue(s) officielle(s) : le français est la seule langue officielle du Canton.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : aucune

Devise Canton : Des actes, pas des mots.

Hymne Canton : A l’or des grands Bois.

Capitale : Montbarmont (180.430 habitants) dans une province de 212 580 habitants.
Autre(s) grande(s) ville :
Charlin (capitale de la province de Corvilly) et Montvilles (capitale de la province de Baroy)

Forme politique :
Régime directorial parlementaire au sein d’une région fédéré de la principauté de Saint-Alban.
Gouverneur : Pascal Cazenave (primus inter-pares et directeur aux affaires extérieurs), Noé Grosjean (directeur à l’économie et aux finances), Basile Beaumont (directeur à l’intérieur et à la sécurité), Nathan Delon ( directeur au développement cantonal et à la transforme économique), Hector De Guignes ( directeur à l’éducation au sport et à la culture), Pierre-Marie Jacquard (directeur aux infrastructures et aux transports), Nadège Beauvilliers (directrice à la santé à la famille au affaires sociaux ), Élodie Bonnel (directrice a l’environnement, a l’agriculture et aux ressources naturelles)
Fête du Canton : fête de la le 30 juin

Population : 723 580 habitants
Densité de population : ???
PIB du Canton : ???
PIB par habitant : ???

superficie : 21 222 km2

Présentation : Le Canton de Boigny, d’une superficie de 21 222 km² pour 723 580 habitants, est la plus faiblement habité de la région de Laas mais aussi la plus pauvre économiquement, étant la province qui a le plus souffert de la désindustrialisation de la principauté. En effet, elle était autrefois le cœur économique et industriel où étaient exploités nombre de minerais comme le charbon, le fer et le zinc, qui étaient ensuite transformés dans les usines du canton. Mais face à la mondialisation et à l’épuisement progressif des ressources, la province a perdu de sa compétitivité et a rapidement décliné. Toutefois, depuis, elle cherche à se reconvertir à d’autres activités afin de faire face à la crise, tant bien que mal, notamment dans le secteur de l’industrie automobile et celui des industries secondaires comme l’électroménager, la chimie, l’électronique, la pharmacie, entre autres.

Sa capitale, Montbarmont, autrefois ville importante du sud de la principauté, était d’abord un remarquable bourg commerçant et cosmopolite au Moyen Âge, où transitaient les marchandises d’Eurysie centrale, en plus de ses grandes foires qui s’étendaient sur plusieurs jours. Elle s’est rapidement transformée durant la révolution industrielle au XIXe siècle en une ville industrielle et minière, attirant nombre d’ouvriers venus travailler dans ses usines et ses mines. Mais durant la seconde moitié du XXe siècle, l’ouverture à la mondialisation puis l’abandon progressif des industries minières au profit du secteur des services, en plein effervescence, a profité davantage à la région de Kussaberg avec sa longue façade maritime qui est rapidement devenue un nouveau pôle économique. C’est la désindustrialisation qui a durement frappé la ville de Montbarmont, capitale du canton et plus grande ville minière de la région. Malgré cela, elle reste stratégique pour la principauté, notamment avec sa frontière pour le royaume de Teyla, où passe une grande partie des échanges économiques de la principauté et des échanges universitaires, bien qu’elle fasse pâle figure face au canton du nord allemand, qui a récemment profité des accords signés avec la Drovolski pour investir dans plusieurs infrastructures économiques. Le canton de Boigny en est exclu et n’a rien profité de ces investissements.

Le canton de Boigny, aux côtés de celui de Trimory, forme ce que l’on appelle le « grand sud », les cantons les plus conservateurs, catholiques et anti-progressistes, qui ont toujours voté à droite pour le parti libéral. C’est également le canton le plus pauvre de la principauté, comparé aux autres cantons, toujours situé en dernier et celui qui possède le plus de chômage, avec près de 20 % de sa population au chômage, dont 45 % de jeunes qui émigrent vers les autres cantons de la région ou même vers les grands pôles du sud. Le taux de chômage de la région est 12 % fois plus élevé que la moyenne nationale.

Pourtant, depuis les années 2000, avec l’arrivée à la tête du canton du directeur du directorat, le canton connaît un nouveau tournant, promesse de campagne du nouveau directorat. Il connaît un certain regain d’activité économique avec l’implantation du géant national de l’automobile, Wolfsmotor, mais également d’autres entreprises du secteur chimique et sidérurgique. Ensuite, la province profite également de l’aide au développement mise en place par le gouvernement fédéral pour lutter contre la désertification rurale, la désindustrialisation et la lutte contre les inégalités et le chômage, aux côtés de la région de Laas.

Géographiquement, elle se compose de 3 provinces : la province de Montbarmont, avec ses 7 183 km² pour 312 483 habitants. C’est le cœur économique du canton en plein déclin, mais aussi en restructuration, et elle abrite sa plus grande ville du même nom. C’est également le centre politique du canton et elle domine le reste du territoire. Puis, la province de Corvilly, de la même superficie pour une population de 215 932 habitants, et enfin, la province de Daroy, de 6 855 km² pour 195 165 habitants. Sa géographie est très montagneuse, avec les contreforts montagneux des Ormats, obligeant la population à se concentrer dans les rares mais grandes vallées fertiles qui existent. Le canton possède sa propre administration avec ses trois pouvoirs : exécutif, législatif et judiciaire. Le pouvoir législatif est exercé par l’assemblée du canton de 80 membres élus au suffrage universel, largement dominée par le parti libéral avec 54/80 sièges, suivis du parti catholique conservateur et enfin de divers groupes mineurs ou indépendants du canton.

Le directorat, à la tête du canton, exerce le pouvoir exécutif et se compose de 8 directeurs élus au suffrage universel direct sur une liste pour un mandat de 5 ans renouvelable indéfiniment.
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