Activité intérieur De La Themiame
Posté le : 01 fév. 2025 à 18:48:14
55
Ici se trouveront toute les activité intérieur De La Themiasme.
Posté le : 01 fév. 2025 à 21:36:06
2028
Ouest Du Themiasme, zone sous influence de la faction fasciste
Une dizaine d'individus en tenue antiradiation assez sale son en train de creuser une ligne de terre puis de mettre un câble dedans avant de l'enterrer. Un d'entre eux prend la parole avec un ton d'agacement.
- Putain, mais quelle idée de merde cette ligne téléphonique.
- Enfin, il faut ça pour apaiser les Novais. Lui répond une autre personne.
- Mouais, bon, enfin on aurait pu tout simplement s'ignorer, mais non, il faut construire une ligne téléphonique direct entre notre dirigeant et le leur.
- Ils ont été sympas en nous donnant le matos.
- Sympa, sympa, c'est tout de même nous qui devons leur poser leur putain de câble. Et en plus, on doit traverser des territoires ennemis. Heureusement qu'on a un véhicule blindé pour se barrer si on tombe sur une patrouille. Mais quand même, je suis inquiet de devoir rester autant de temps chez les fascistes.
- Soit encore heureux que ce ne soit pas les Drovolskiens qui ont demandé cette ligne, car on aurait dû passé en territoire Von Carten.
Un frisson traverse la colonne vertébrale du râleur.
- Finalement, je préfère les fascistes.
- En plus, on est en zone irradiée, donc je pense qu'il ne doit pas avoir des masses de patrouille ici.
- Oui...
Mais je soutiens que c'est une idée de merde.
_____________________________________________________________________________________________________________________
Ville Souterraine de Franckgrad, capitale De L'état Communiste Du Themiasme.
Deux types habillés avec des vêtements usés et sale, portant aussi des manteaux longs tout aussi usés et sale, ils creusent tous les deux
- À ton avis, tu penses qu'on a bientôt terminé ? Demande l'un des types.
- Ho, je pense qu'il nous reste moins de deux heures à creuser ce tunnel. Réponds l'autre type
- Génial, on pourra aller à la cantine après, je commence à avoir faim moi.
- Oui, on y ira, ne t'inquiète pas p....
Que-Quoi ?????
Merde !!!
À l'emplacement où le deuxième type creusait, un liquide noir commence à s'échapper.
-Merde du pétrole ! S'exclame le premier type
- Passe-moi vite le morceau de tissu !
Le premier type passe un bout de tissu qui était posé à côté et le passe au deuxième type. Celui-ci l'enfonce dans le petit trou duquel coulait le pétrole.
-C'est bien notre veine, un gisement pétrole, quelle calamité.
- Mais du coup, on peut aller à la cantine en laissant les pompeurs s'en occuper.
- Oui, c'est vrai. Allons y.
Les deux individus se dirigent dans la direction inverse de la direction de creusage.
- J'espère qu'ils ont encore des conserves de soupe à la tomate.
Une dizaine d'individus en tenue antiradiation assez sale son en train de creuser une ligne de terre puis de mettre un câble dedans avant de l'enterrer. Un d'entre eux prend la parole avec un ton d'agacement.
- Putain, mais quelle idée de merde cette ligne téléphonique.
- Enfin, il faut ça pour apaiser les Novais. Lui répond une autre personne.
- Mouais, bon, enfin on aurait pu tout simplement s'ignorer, mais non, il faut construire une ligne téléphonique direct entre notre dirigeant et le leur.
- Ils ont été sympas en nous donnant le matos.
- Sympa, sympa, c'est tout de même nous qui devons leur poser leur putain de câble. Et en plus, on doit traverser des territoires ennemis. Heureusement qu'on a un véhicule blindé pour se barrer si on tombe sur une patrouille. Mais quand même, je suis inquiet de devoir rester autant de temps chez les fascistes.
- Soit encore heureux que ce ne soit pas les Drovolskiens qui ont demandé cette ligne, car on aurait dû passé en territoire Von Carten.
Un frisson traverse la colonne vertébrale du râleur.
- Finalement, je préfère les fascistes.
- En plus, on est en zone irradiée, donc je pense qu'il ne doit pas avoir des masses de patrouille ici.
- Oui...
Mais je soutiens que c'est une idée de merde.
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Ville Souterraine de Franckgrad, capitale De L'état Communiste Du Themiasme.
Deux types habillés avec des vêtements usés et sale, portant aussi des manteaux longs tout aussi usés et sale, ils creusent tous les deux
- À ton avis, tu penses qu'on a bientôt terminé ? Demande l'un des types.
- Ho, je pense qu'il nous reste moins de deux heures à creuser ce tunnel. Réponds l'autre type
- Génial, on pourra aller à la cantine après, je commence à avoir faim moi.
- Oui, on y ira, ne t'inquiète pas p....
Que-Quoi ?????
Merde !!!
À l'emplacement où le deuxième type creusait, un liquide noir commence à s'échapper.
-Merde du pétrole ! S'exclame le premier type
- Passe-moi vite le morceau de tissu !
Le premier type passe un bout de tissu qui était posé à côté et le passe au deuxième type. Celui-ci l'enfonce dans le petit trou duquel coulait le pétrole.
-C'est bien notre veine, un gisement pétrole, quelle calamité.
- Mais du coup, on peut aller à la cantine en laissant les pompeurs s'en occuper.
- Oui, c'est vrai. Allons y.
Les deux individus se dirigent dans la direction inverse de la direction de creusage.
- J'espère qu'ils ont encore des conserves de soupe à la tomate.
Posté le : 03 fév. 2025 à 22:28:45
1948
Themiasme, Territoires des charognards
Un groupe de soldats de l'état communiste s'approche d'un grand entrepôt fabriqué à partir de plaque de métal plus ou moins rouillé. Un homme avec plusieurs tôles de métal accroché à ces vêtements (ceux-ci totalement usés et pleine de graisse de moteur) s'approche d'eux et commence à déclarer avec un ton accueillant :
- Bienvenue, vous arrivez plus tard que prévue dites donc.
[i Un individu semblant être un officier s'avance vers lui [/i]
- On a subi une attaque de pillard.
- Et vous vous en êtes bien sortie ?
- Har, ils n'avaient pas vu tout de suite qu'on était trois fois plus nombreux et beaucoup mieux équipé. Une fois qu'ils l'ont remarqué, ils se sont rendus à la Novaise sans tirer un seul coup de feu. Une partie de mes soldats est partie les escorter jusqu'à la ville de l'état communiste la plus proche.
- Bon bah, vaut mieux qu'on rentre pour discuter de nos affaires.
- Ui.
Les deux individus rentrent dans le bâtiment, un grand véhicule ressemblant à un char fait de tôle plus ou moins bien attaché trône aux milieux du bâtiment. L'officier s'approche du char et l'observe attentivement.
- Joli hein dit le charognard , et on peut facilement vous en faire plusieurs comme ça, et même d'autres modèles de notre invention. Faudrait que je vous montre le manuel un jour. Bien sûr, pour qu'on les fabrique, faudra fournir des matériaux, plus un petit surplus pour le travail. Mais après, vous pourrez avoir des véhicules de qualité...
Le charognard tapote avec le milieu de son doigt le char. Le canon de celui-ci s'abaisse jusqu'à que le bout touche le sol et les chenilles tombent sur les côtés, laissant le bas du char cogner avec fracas le sol.
-HAR, C'était un petit accident dit le charognard, la tête recouverte de sueur, esquissant difficilement un sourire clairement forcé.
Cela ne montre en rien la qualité de nos modèles, rassurez-vous.
L'officier regarde le charognard avec un regard légèrement déprimé.
- Je vous crois Tu parles Pensa-t-il .
Les ressources pour la construction avec le supplément pour payer arriveront bientôt.
- Merci beaucoup pour cette commande.
-Comme si on avait le choix Au revoir.
- Au revoir.
L'officier quitte le bâtiment et s'en va vers le chemin vers la ville de l'état communiste la plus proche avec ses hommes.
- Har, au moins c'est mieux que rien
Un groupe de soldats de l'état communiste s'approche d'un grand entrepôt fabriqué à partir de plaque de métal plus ou moins rouillé. Un homme avec plusieurs tôles de métal accroché à ces vêtements (ceux-ci totalement usés et pleine de graisse de moteur) s'approche d'eux et commence à déclarer avec un ton accueillant :
- Bienvenue, vous arrivez plus tard que prévue dites donc.
[i Un individu semblant être un officier s'avance vers lui [/i]
- On a subi une attaque de pillard.
- Et vous vous en êtes bien sortie ?
- Har, ils n'avaient pas vu tout de suite qu'on était trois fois plus nombreux et beaucoup mieux équipé. Une fois qu'ils l'ont remarqué, ils se sont rendus à la Novaise sans tirer un seul coup de feu. Une partie de mes soldats est partie les escorter jusqu'à la ville de l'état communiste la plus proche.
- Bon bah, vaut mieux qu'on rentre pour discuter de nos affaires.
- Ui.
Les deux individus rentrent dans le bâtiment, un grand véhicule ressemblant à un char fait de tôle plus ou moins bien attaché trône aux milieux du bâtiment. L'officier s'approche du char et l'observe attentivement.
- Joli hein dit le charognard , et on peut facilement vous en faire plusieurs comme ça, et même d'autres modèles de notre invention. Faudrait que je vous montre le manuel un jour. Bien sûr, pour qu'on les fabrique, faudra fournir des matériaux, plus un petit surplus pour le travail. Mais après, vous pourrez avoir des véhicules de qualité...
Le charognard tapote avec le milieu de son doigt le char. Le canon de celui-ci s'abaisse jusqu'à que le bout touche le sol et les chenilles tombent sur les côtés, laissant le bas du char cogner avec fracas le sol.
-HAR, C'était un petit accident dit le charognard, la tête recouverte de sueur, esquissant difficilement un sourire clairement forcé.
Cela ne montre en rien la qualité de nos modèles, rassurez-vous.
L'officier regarde le charognard avec un regard légèrement déprimé.
- Je vous crois Tu parles Pensa-t-il .
Les ressources pour la construction avec le supplément pour payer arriveront bientôt.
- Merci beaucoup pour cette commande.
-Comme si on avait le choix Au revoir.
- Au revoir.
L'officier quitte le bâtiment et s'en va vers le chemin vers la ville de l'état communiste la plus proche avec ses hommes.
- Har, au moins c'est mieux que rien
