18/12/2016
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NK-News est le principal média de la Nouvelle-Kintan. Sa fondation date à peu près de celle de la ville, à la fin du dix-neuvième siècle. Son nom anglais comportant "news" provient du grand nombre d'immigrants de l'île celtique qui travaillaient dans la rédaction à ses débuts, puisque les akaltiens et autres aleuciens qui peuplaient la ville étaient bien plus présents dans les secteurs portuaire et commercial.


Mise en forme (pour Kami) :[center][img=https://i.goopics.net/rdkdu8.png]NK-News[/img][/center]
[right][i]Numéro 1 du 23/09/2015[/i][/right]
[center][b]Titre[/b][/center]

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Numéro 1 du 23/09/2015
L'indépendantisme, une nouvelle mode par chez nous

Ces derniers mois, suite à l'ouverture diplomatique de notre cité-État sur le monde, un nouveau courant a pris de l'ampleur, il s'agit de l'indépendantisme natif d'Eurysie.
Nous avons donc interrogé deux spécialistes de la question : l'historien Xihuitl Ueman et l'économiste Tecpatl Yoloxochitl, également enseignante à l'université de la ville.

Tout d'abord, qu'est-ce qui a permit à ce mouvement de prendre de l'ampleur ? Les descendant des habitants originaux de notre territoire citadin ne sont qu'une infime fraction de la population me semble-t-il.
X. Ueman : En effet, ils ne sont quelques milliers selon les dernières analyses génétiques réalisées dans le cadre d'études statistiques. La majorité de la population de la ville vient à l'origine d'Akaltie et d'Icamie. Un autre groupe majeur est l'ethnie celtique : un grand nombre de pêcheurs achosiens par exemple sont venus s'installer à la fondation de la cité. Mais les rares villages implantés ici (des francophones et des flamandophones pour la plupart) ont laissé leurs traces. Les communes extérieures à la cité ne comptent que peu d'aleuciens d'ailleurs. C'est donc dans ces zones que l'autonomisme est le plus prononcé.

Bien, merci M. Ueman, et maintenant, une question pour Mme Yoloxochitl : l'appartenance de la Nouvelle-Kintan à l'Empire Anticolonial Akaltien est-elle bonne pour notre commerce ? Ou serait-ce mieux en le quittant, pour devenir complètement indépendants de tout ou pour rejoindre de nouveau l'Akaltie elle-même ?
T. Yoloxochitl : Pour introduire à ce propos, il est vrai que l'Empire Anticolonial prit dans son ensemble n'est gère reluisant : avec ses presque soixante millions d'habitants (en écrasante majorité des chandekolzans, les trois autres États sont infimes par rapport à nos compatriotes nazumis), le PIB par habitant de notre pays ne s'élève qu'à un peu moins de 900 $ internationaux. Pour vous donner un ordre de grandeur, c'est quarante fois moins qu'en Akaltie ou ici ! Notre cité peut donc se targuer d'être la région la plus riche de l'Empire Anticolonial.
Maintenant, quant à savoir si notre présence dans l'Empire Anticolonial nous freine économiquement, ce n'est pas ce que les statistiques montrent. L'absence de barrières douanières entre notre port et le Chandekolza, l'Uuqtinut, l'Anaistésie et l'Akaltie fait de la cité un point d'entrée sur l'Eurysie (surtout occidentale) privilégié par les entreprises de ces pays (et vice-versa : les imports de ces pays depuis l'Eurysie passent souvent par ici). Cela dynamise donc le commerce qui transite par chez nous, et perdre ces avantages économiques enlèverait son avantage à notre port. Même si une sortie de l'Empire Anticolonial ne voudrait par forcément dire un isolement complet de celui-ci, il y aurait dans tous les cas une perte de confiance des investisseurs et grandes entreprises, et ce ne serait vraiment pas bon pour la cité.
Le PIB par habitant faible de notre pays dans son ensemble n'est donc qu'un argument aussi facile qu'infondé utilisé par des populistes, encore une fois, notre cité n'aurait rien à gagner à prendre une totale indépendance.
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Numéro 2 du 25/11/2015
L'armée organise une grande parade

Hier s'est tenue une grande parade militaire des Forces de Défense Néo-kintanaises, accompagnées de plusieurs divisions de l'armée de Kintan (principale armée akaltienne chargée de la protection de notre ville). Les soldats protecteurs de notre cité ont défilé pendant plusieurs heures tout au long de l'avenue principale avant de longer le port, pour finalement aboutir à la citadelle qui défendait jadis ce dernier.

Le défilé s'inscrit dans une politique de renforcement des liens entre la Nouvelle-Kintan, les autorités de l'Empire Anticolonial et l'Akaltie, alors que des mouvements autonomistes prennent petit à petit de l'ampleur dans notre cité, sans que nous sachions réellement ce qui a incité les militants à se manifester sur cette période plus que sur une autre. Le gouverneur de la cité a également donné un court discours rappelant les origines aleuciennes de la grande majorité de notre ville, ce qui fait de la Cité-Libre une terre surtout rattachée à l'Eurysie par son emplacement géographique, et très peu par des liens culturels.

Cela ne fera cependant certainement pas taire les revendications de groupes nationalistes eurysiens, qui réclament que le territoire de la Nouvelle-Kintan soit rendu à son continent, et veulent en chasser les colons.

Une photo prise lors du défilé.
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Numéro 4 du 05/12/2015
Sortie à Velsna et dans toute l'Eurysie d'un nouveau livre sur l'Histoire, les avis sont partagés

Il y a de cela quelques semaines à peine, une maison d'éditions velsnienne a sorti un livre traitant en apparence simplement de l'Histoire de la région, mais cachant selon certains "une propagande honteuse" :

« Grande Histoire de l'Eurysie récente : Envahisseurs des rochers de Nouvelle Kintan (qui écorche déjà le nom de notre presqu'île rien que de part son titre) est une véritable injure à l'Akaltie et à nos ancêtres qui se sont installés sur le rocher ! nous confie une critique littéraire. Le livre les dépeint comme des monstres assoiffés de sang, débarquant en Eurysie pour envahir le continent, comme si ce n'était pas le cas des eurysiens.
Les colons akaltiens n'ont pas tué la moindre personne en s'installant ici, le rocher était pratiquement vide. Les seules peuplades importantes de la région étaient les Naajaats du Territoire de la Reine Mareau (rattaché à la principauté de Saint-Alban), et ce sont des nomades qui étaient rarement de passage sur la presqu'île. Ils vivaient (et vivent toujours) plutôt dans les plaines plates, plus à l'intérieur des terres, qu'autour de l'actuelle Nouvelle-Kintan et ses reliefs très inégaux. Leurs incursions ici étaient donc relativement peu courantes. Il y avait bien également des pêcheurs qui utilisaient le rocher comme point d'attache durant l'été, mais ce n'étaient là aussi pas des habitants permanents. Ils venaient de pays de la côte ouest et ne restaient pas pendant l'hiver.
Certains n'ont choisi de s'implanter définitivement ici que lorsque la cité-État s'était bien installée, pour commercer avec la ville et disposer de bâtiments plus solides et chauds pour passer l'hiver que leurs cabanes en bois. Une fois de plus, il n'y a donc pas eu de violences lors de l'installation de la cité.
»

Certains passants interrogés dans la rue ont un avis complètement différent :

« Je pense que ce livre, même s'il est peut-être un peu orienté politiquement à en croire certains, a tout de même un grand fond de vérité historique. Les akaltiens n'avaient pas à s'implanter ici, ces terres reviennent aux eurysiens de droit ! D'après ce qu'on nous enseigne à l'école, ils n'ont jamais été colonisés en plus, ils n'ont donc rien à dire à ce sujet. »

L'opinion de la majorité des lecteurs à la Nouvelle-Kintan reste néanmoins que ce livre ne contient pratiquement pas de vérités historiques, mais uniquement des mensonges destinés à faire monter les mouvements anti-néokintanistes.
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Numéro 5 du 27/12/2015
De nouvelles voix s'élèvent contre la "colonisation" à la Nouvelle-Kintan, cette fois officielles

Il commence à devenir habituel pour les néo-kintanais d'entendre parler aux nouvelles d'un nouvel acte de protestation contre la "colonisation" des akaltiens, ou surtout d'une nouvelle prise de parole à l'étranger s'élevant contre l'Empire Anticolonial auquel notre cité prend part et dont elle est même la capitale politique et économique.

Malheureusement pour certains, heureusement pour d'autres, la toute dernière prise de parole contre nos institutions actuelles n'est pas celle anodine d'un politicien isolé, ou d'un quelconque influenceur sur Internet. Il s'agit du vote d'une loi au gouvernement teylais, grande puissance voisine du rocher, qui déclare la Nouvelle-Kintan comme étant une colonie.

Tous les intellectuels s'accordent en effet à qualifier la cité à ses origines de colonie akaltienne, là n'est pas le problème puisqu'il y a consensus entre historiens de tous pays et de tous bords. La seule problématique ici est le fait que la métropole akaltienne a très vite décidé de donner son indépendance à la cité, qui est devenue la Cité-Libre de la Nouvelle-Kintan. Cité-État qui, comme le rappelle son nom complet, est libre de sa gouvernance, démocratique et donc ne se laisse théoriquement rien dicter par le gouvernement de Kintan.

Il est évident que la cité conserve une certaine dépendance vis-à-vis de son ancien pays, puisque nous partageons avec une monnaie (l'Ima) et donc de très nombreux échanges économiques, puisque le but recherché avec la fondation de la Nouvelle-Kintan était de construire à l'Akaltie une porte ouverte sur le marché eurysien, pour y exporter plus, puisque c'était là que se trouvaient les pays les plus riches de la planète en cette fin de dix-neuvième siècle.
Les liens culturels ne sont pas non plus à négliger, puisque sur le million d'habitants de la cité, plus de 600.000 se déclarent d'origine aleucienne, et plus précisément akaltiens ou icamiens (suivent ensuite les yukanaslaves, les itzamatulis, les malistais…). Beaucoup de néo-kintanais ont donc encore de la famille là-bas, et attachent en tous cas beaucoup d'importance à ce qu'il s'y passe et s'y dit.
Enfin, les liens défensifs sont les derniers mais pas les moindres : la Nouvelle-Kintan dispose bel et bien d'une armée, mais bien trop réduite pour pouvoir assurer la pleine défense du rocher. Les armées de Kintan, de Jeklum et de Kahitz sont donc nos principaux boucliers contre les actes étrangers hostiles, avec bien évidemment un important soutien zélandien.
La participation de la cité à l'Empire Anticolonial est également un facteur de rapprochement avec son ancienne métropole.

Tout ceci ne signifie néanmoins pas que le rocher est encore une simple cité akaltienne, suivant les ordres d'un lointain gouvernement central en Aleucie. La preuve étant que la cité a fait partie des voix qui se sont élevées contre la nomination de l'impératrice d'Akaltie, Itotia Neztli, en début d'année, au lieu de se "soumettre" à elle. Il faut aussi garder à l'idée que les cités aleuciennes sont elles-mêmes déjà très indépendantes, puisque l'Union et l'Empire des Cités est une fédération. La Nouvelle-Kintan est pour sa part entièrement détachée du gouvernement akaltien, et ne s'aligne généralement sur sa politique que de part sa majorité culturellement et idéologiquement semblable, qui conduit à des résultats d'élections globalement rarement divergents.

Les prochaines élections municipales (des pouvoirs exécutif et législatif) sont d'ailleurs prévues pour le début d'année 2016, et rebattront peut-être les cartes de la politiques néo-kintanaise.
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Numéro 6 du 01/04/2016
À deux pas de la Nouvelle-Kintan, le plus grand champ de ruines d'Eurysie

Juste au sud de la presqu'île de la Nouvelle-Kintan, en traversant à peine quelques dizaines de kilomètres de mer, on peut apercevoir ce qui est certainement le plus grand champ de ruine d'Eurysie, et même du monde. Il s'agit d'un "pays", qui se fait appeler Velsna. Ses malheureux habitants vivent au milieu de bâtiments délabrés, délaissés par le gouvernement local qui n'a les moyens que pour s'occuper de son sénat et de ses tensions chroniques avec l'Achosie.

Pour obtenir des avis extérieurs, nous sommes allés dans les rues de la cité, et avons montré quelques clichés de villes velsniennes à des néo-kintanais. Voici les témoignages spontanés qu'ils nous ont donné :

« Ce... C'est sensé être habité là ? Un jour, il y a peut-être bien eu une maison. Mais aujourd'hui, je ne suis vraiment pas sûre... »

« Une vieille ville rhémienne qu'on a découvert y a pas longtemps ? Quoi, des gens vivent là ?! C'est inhumain un truc pareil. ca fait réfléchir sur la belle vie qu'on mène à la Nouvelle-Kintan. Au moins, ça sensibilise à la condition des pays pauvres. »

« C'est au Chandekolza ces baraques en bois ? Je vois pas trop où ça peut être sinon. »

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Ceci était un poisson d'avril, destiné à répondre à un récent article bourré de fake news et de propagande contre notre belle cité. Cet article a été publié par un média velsnien, nommé "Quotidia". Il est évident, au vu du caractère complètement faux de l'article, que le gouvernement velsnien n'a pas exercé de contrôle de la véracité de sa presse. nous ne voulons pas encore faire discréditer le média Quotidia, mais si de nouveaux écrits aussi faux que celui-ci venaient à y sortir, sa réputation serait réellement entachée.
C'est pourquoi nous en appelons la Grande République de Velsna à montrer la vérité à ses citoyens, et à les sensibiliser plus fermement à la détection des fake news, qui font des ravages dans les sociétés actuelles. Il est malheureusement probable qu'après la diffusion de cet article diffamatoire, que de nombreux velsniens se fassent désormais une vision complètement fausse de la réalité qui est ici.
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Numéro 7 du 10/05/2016
Escalades de tensions venant de Mareau, le gouvernement réagit

Suite au communiqué officiel émanant du gouvernement du Territoire saint-albois de la Reine Mareau, à l'allure véritablement belliqueuse, les autorités de la Nouvelle-Kintan ne pouvaient cette fois pas rester sans voix.

« Ce qui est le plus triste dans tout ceci, c'est que quelques mois plus tôt à peine, nos voisins avaient des volontés uniquement coopératives. Ils sont passés tout à coup d'un bon début de relations à des tensions qui s'annoncent longues.

Pour justifier leurs mesures aussi peu constructives qu'utiles à nos deux pays, les représentants officiels ont évoqué des "exercices militaires" conduits par l'Akaltie, sur le territoire de notre cité ! Tout ceci est évidemment faux. Si l'Akaltie dispose d'une base militaire à quelques kilomètres de notre ville, les troupes stationnées là-bas n'en sortent pratiquement jamais, si ce n'est lorsque les soldats obtiennent des permissions.

Dernièrement, la seule chose qui s'est produite est un défilé militaire destiné à montrer la fierté qu'a notre cité d'être en lien avec ses soeurs akaltiennes. Tout ceci a été mal interprété, et perçu comme des volontés guerrières. Je puis vous assurer qu'il n'en est rien. La Nouvelle-Kintan n'a jamais eu la moindre prétention d'élargir son territoire, ni même de soumettre ses voisins. Nous n'en avons de toute façon pas les moyens militaires.

Et c'est maintenant le gouvernement de Mareau, qui se dit le plus pacifiste dans cette histoire, qui souhaite se doter d'une armée. Cela est réellement injustifié et injustifiable. Cela a au moins le mérite de prouver l'utilité de nos défenseurs, mais ce n'était pas quelque chose que je voulais à tout prix prouver, malheureusement.

J'en appelle donc mes homologues de Mareau à arrêter ce cirque, qui ne fait que de décrédibiliser leur gouvernement, et de retourner sur les négociations que nous avions entamées, à propos d'infrastructures communes. Cela sera bien plus intéressant qu'une guerre meurtrière et injustifiée.

Sachez en tous cas que les "sanctions" qui ont été prises à l'encontre des ressortissants néo-kintanais ne connaîtront pas de réplique, et que nous conserverons l'image de notre cité comme d'une terre d'accueil et de libertés pour tous.
»
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Numéro 8 du 21/05/2016
Des tensions qui ne semblent pas se finir de si tôt

Suite aux dernières déclarations maroises, le gouvernement a une fois de plus dû réagir, car rester sans réponse face à de telles paroles était en effet difficile. D'autant qu'avec les élections législatives qui approchent à grands pas, les officiels en poste sont bien obligés de rester forts et de ne pas se laisser faire face à nos voisins agressifs.

Une série de mesures en rapport étroit avec les tensions qui ne sont pas prévues pour finir bientôt viennent donc d'être annoncées, avec des nouveautés sans doute assez inattendues pour Mareau.

Premièrement, la déclaration la plus marquante est très certainement celle annonçant la construction d'un grand centre culturel pour la Nouvelle-Kintan, dans lequel seront mis à l'honneur toutes les ethnies qui peuplent et ont peuplé le territoire de notre cité. Ce centre accueillera des surfaces d'exposition, de nouveaux locaux pour des organismes tels que l'Association pour l'Amitié Néo-kintano-Maroise (qui rencontre d'ailleurs des difficultés en ce moment des suites des propos du gouvernement naajaat), et également des bibliothèques et laboratoires de recherche en histoire et en ethnologie. Les principales ethnies concernées par ce centre culturel sont pour l'instant les naajaats, les gelbes et les néo-kintanais (dont la culture, existante seulement depuis un siècle environ, est un patchwork d'akaltiens, icamiens, eurysiens et locaux).

D'un point de vue moins motivant et plus pratique, alors qu'il y a peu de temps encore, des projets pour la construction d'une nouvelle gare dans le centre-ville étaient à l'ordre du jour, ils ont tous été mis en pause pour que la ville se reconcentre sur son port, semblant définitivement être le seul moyen sûr de contacts avec l'extérieur. Rien n'est cependant prévu pour l'aéroport.
Le port donc, a reçu une enveloppe de plusieurs millions pour la rénovation des infrastructures les plus obsolètes, ainsi que des financements pour la construction d'un terminal de ferries supplémentaire, afin d'accueillir plus facilement le grand nombre de navires de voyageurs qui transitent par la cité.

Enfin, bien que cela ne puisse décidément pas être classé parmi les bonnes nouvelles, le conseil municipal et le parlement ont fait voter un nouveau budget pour l'armée de la ville, ainsi que pour une aide financière aux troupes de la base militaire akaltienne. Ces dépenses seront malheureusement plus élevées que celles des années précédentes, avec les nouvelles craintes apportées par le gouvernement extrémiste voisin et ses politiques de renforcement de leurs armées. Leurs intentions déclarées ne sont pour le moment que défensives, tout comme dans le cas de la cité, mais risquent à tout moment d'évoluer vers des intentions de "reprendre" le territoire de la Nouvelle-Kintan, toujours dans des intensions défensives. C'est en tous cas un scénario qui n'est pas à écarter d'après les analystes en géopolitiques que nous avons interrogé.

Des plans de l'un des projets proposés pour la structure du centre culturel de la Nouvelle-Kintan.Des plans de l'un des projets proposés pour la structure du centre culturel de la Nouvelle-Kintan.
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