11/05/2017
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Everia-Novyavik une première rencontre tant attendue - Page 2

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Alexeï IV réfléchi à sa réponse. À vrai dire, il ne s'attendait absolument pas à un refus. Il pris donc quelques instants pour réfléchir à une réponse cohérente qu'il n'avait pas prévu. Il parla sur un ton calme.
Alexeï IV :
Tout d'abord, concernant le pacte d'assistance militaire, je dois dire que je suis surpris du refus de votre part. Non pas que je ne suis pas satisfait de votre réponse, mais je trouve étrange d'un tel refus de votre part alors même que vous ayez demandé vous même un pacte d'assistance matériel et que vous avez justifié. Mais je passe au delà étant donné que, il est vrai, comme je l'ai dit et vous également, nos deux états ne sont pas des puissances et encore moins des puissances navales, et c'est d'autant plus vrai pour la République de Novyavik qui a dû se tourner vers l'armée de terre et de l'air en raison de ses voisins instables ou belliqueux. J'accepte donc le pacte d'assistance militaire, que j'estime comme justifié pour nos nations si proches depuis l'an 2015. Ensuite, je me questionne sur vos insinuations concernant le traité de Manticore : Souhaiteriez vous que nous mettions fin au traité ? Que nous le contournons d'une façon ou d'une autre ? Sachez que ce traité assure la survie et l'émancipation de la République de Novyavik en Eurysie de l'est, une région très instable et parcourue par les guerres. Mais au delà de ce traité qui est assez avantageux à cours et moyen terme pour l'empire que pour Teyla, vu la monté en puissance de l'empire, il semble d'autant plus avantageux pour eux sur le long terme, mais l'empire tient au respect des traités quels qu'ils soient.

Président Alexeï Rurikov :

Alexeï Rurikov, Président de la Seconde République de Novyavik
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Alexeï IV avait pris l'interrogation sur la réalisabilité du projet que Eleander VII Velpe pensait justifié, comme un refus, mais ce n'etais pas le cas, cette incompréhension se devais d'être résolu directement pour éviter des complications dans la suite des discussions.

Eleander VII Velpe : Nous ne refusons pas votre proposition ne vous inquiétez pas même si pour l'istant il semble compliqué de le mettre en place sur le terrain, la création d'un accord maintenant ne seras pas un problème. En ce qui concerne ma remarque sur le traité de Manticore, je vous demande donc si cet accord avec Teyla ne vous prive pas de votre indépendance sur le terme de l'armement et si elle ne vous rend pas trop dépendent de Teyla pour tout ce qui concerne votre défence nationale et celle de vos intérêts car votre complexe militaro-industrielle qui est à peu près comme le notre ne suffit pas à fournir le nécéssaire pour tout les besoins, en tout cas pas tout de suite, et vous rend donc victime du temps. Et sachant que les diponibilités des industries Teylaise sont assez prise, cela n'impacte t'il pasvos commande en cas de besoin ? Tout ceci ne ralenti pas votre développements militaires ? surtout quand vous avez besoins de haute technologie qui ne sont pas disponible vous n'avez donc pas le choix mais de vous plier à l'attente et au prix de Teyla. Ne trouver vous pas que cela à l'air d'etre désavantageux pour voux d'un points de vue extérieur ?
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Le Président répondit juste après les paroles de l'Empereur d'Everia. Alexeï manquait d'arguments en réalité, et savait que Eleander VII Velpe s'engouffrait dans un problème que le Président lui même a longtemps réfléchi. En réalité, Novyavik ne comptait pas dépendre d'armement étrangers, et misait sur sa souveraineté : Pour la Seconde République, l'importation d'armement était une perte d'argent inutile. Mais, cela n'empêchait pas au pays, en cas de besoin, d'acheter occasionnellement du matériel de pointe.

Alexeï Alexeïevitch Rurikov : Il est vrai que cet accord nous limite, mais nous avons eu un important gain en échange : La Seconde République voit ses caisses d'états être renflouées à hauteur de 6000 unités internationales, ce qui je vous l'accorde, est relativement peu, mais la République y gagne aussi et surtout une alliance militaire avec Teyla. Cet accord permet donc à la Seconde République, par le biais de Teyla, d'assurer sa souveraineté en attendant qu'elle puisse se militariser à un niveau satisfaisant, et l'alliance se poursuivrai après. D'ailleurs, la diplomatie teylaise est ouverte aux changements dans l'accord au terme de négociations. Je préfèrerai également que l'on change de sujets, car vous n'avez pas de légitimité pour contester un accord pris dans le cadre de la souveraineté de la République sur le plan diplomatique, mais aussi un accord entre deux états tous plus puissant que le votre et situés à des milliers de kilomètres de votre territoire national. En tout cas, ne prenez pas mes paroles comme des insultes, je trouve simplement déplacé de parler d'accords pris par la Seconde République avec un état tier dans le cadre de sa souveraineté diplomatique. Pour relancer la discussion sur un autre sujet, je me permet d'aborder le domaine du tourisme, des flux humains et de l'éducation. Novyavik et l'Everia disposent déjà d'accords de base là dessus, comme une liaison aéroportuaire. J'aimerais donc étendre les liaisons aériennes en reliant également Catan à Rusalka et Novosavodsk, respectivement Seconde et troisième ville du pays, en plus des lignes existantes. Ligne existantes, qui relient actuellement Catan, Nyrvalen et Lormensk à la ville de Novyavik. Ensuite, toujours dans le même domaine, j'ai trouvé intéressant de développer nos relations dans le domaine universitaire, en ouvrant une université novaise à Catan et une université everienne à Novyavik. J'ai d'autres propositions que je vous énonce plus tard, commençons par négocier sur celles-ci.


Président Alexeï Rurikov :

Alexeï Rurikov, Président de la Seconde République de Novyavik
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Bien que cette affaire concernait une nation proche et allié qu'est le Slaviensk l'Everia n'avait bel et bien pas de légitimité à agir sur cette affaires, mais tel n'êtais pas l'intention de Eleander VII Velpe. Il etais vrai que bien que l'Everia est une force militaire plus grande que Slaviensk, il ne pouvait pas etre comparé à Teyla, il n'était donc pas la question de le remettre en question mais de savoir comment Slaviensk le vit. Il passa donc à la suite que le représentant slavis, Alexeï Alexeïevitch Rurikov avait aborder, il ne voyait aucun inconvénients à ces propositions.

Eleander VII Velpe : Et bien diversifié les villes ayant une liaison aéroportuaire serait une bonne idée qui serait peu difficile à instauré, permettant une meilleure connexionentre nos deux pays. Et un échage d'université serait un bon moyen de présenter nos systèmes éducatif et nos cultures aux jeunes générations, un programme d'échange entre ces deux université pourrait même être prévu afin de mieux lié nos nations. Je vous prie de bien vouloir continuer de me partager vos propositions, pour celles déjà présenté je n'y voit aucun inconvénient.
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Le Président de la République Alexeï Alexeïevitch Rurikov n'avait plus grand chose à proposer. Il devait maintenant terminer la rencontre diplomatique, sauf bien sur si son homologue, Eleander VII Velpe, avait encore des propositions à faire pour le futur traité. Après trois secondes de pause, il parla :

Alexeï Alexeïevitch Rurikov : Parfait, Je pense que nous pouvons désormais passer à la suite. Concernant les derniers accords sur le sujet que je souhaitait vous proposer, figure la reconnaissance mutuelle des diplômes. Novyavik est en retard sur le plan de l'éducation par rapport à l'Everia mais dispose malgré tout d'un niveau de vie nettement supérieur. Je pense ainsi qu'une telle reconnaissance permettrai d'améliorer les flux de travailleurs entre nos deux pays et donc de chercher de l'emploi, comme à Novyavik, qui manque de main d’œuvre et d'éviter le chômage. Ainsi de permettre de soulager vos finances en évitant de payer des gens ayant perdus leur emploi tout en renforçant notre attractivité économique. Je dit que notre niveau de vie est supérieur et que vous avez une meilleure éducation car cela implique qu'il risque d'y avoir des gens qui irais étudier chez vous et vivre chez nous en raison de la qualité de l'éducation en Everia et de la richesse de Novyavik, richesse qui fait d'ailleurs figure d'exception en Eurysie de l'est. D'ailleurs, si vous acceptez, je pense que nous avons un accord ! Je vous laisse donc si vous le souhaiter rédiger le traiter. Dans le cas contraire, mon équipe diplomatique peut s'en charger.
Président Alexeï Rurikov :

Alexeï Rurikov, Président de la Seconde République de Novyavik
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Eleander VII Velpe : Je ne vois pas d'inconvénient à ce que nous rajoutons une reconnaissance mutuelle des diplômes cela ne ferais que renforcer la logique de partage éducatif et favoriserais les échanges scolaires et universitaires entre nos deux pays, cela nous permettras de renforcer nos lien culturel tout en gardant un coté pratique ancré dans les besoins réel contemporain. Je suis sur que nous saurons trouver un équilibrage entre nos différent diplôme et le niveau qu'il garantie aux élevés permettant des échanges égaux lors de mouvements de diplômé afin qu'ils soient reconnus à hauteur de leurs qualifications.
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Alexeï Alexeïevitch Rurikov : Excellent ! Eh bien mon équipe va s'occuper tout de suite de rédiger le traité.

Il fit signe à son équipe qui s'occupa immédiatement de rédiger le traité, puis ils le déposèrent devant Alexeï IV, qui le signa après l'avoir examiné, puis le donnèrent à l'Empereur Everien pour qu'il le lise à son tour.

Président Alexeï Rurikov :

Alexeï Rurikov, Président de la Seconde République de Novyavik




Traité de coopération de Catan



Préambule : La Seconde République de Novyavik et l'Empire d'Everia affirment, par leur droit souverain et légitime de négocier par des moyens diplomatiques, leur coopération et leur amitié dans les domaines économiques, politiques et potentiellement militaires.

Titre premier -- De la souveraineté

Article premier : La Seconde République de Novyavik et l'Empire d'Everia se reconnaissent mutuellement dans le cadre de leur pleine souveraineté, leur intégrité territoriale et leur droit mutuel à déterminer librement leur régime politique dans le cas où les changements sont apportés de manières légales.
Article Second : Les états signataires s'engagent à ne pas mener ni a soutenir aucune action visant à influencer, renverser ou déstabiliser les institutions en place. Tout coopération se fera avec le consentement explicite de toutes les parties.
Article troisième :Les états signataires s'engagent à ne pas agresser le(s) autre(s) état(s) signataire(s) par des moyens militaires, que ce soit par l'envoi d'armes à des états en guerre avec les états signataires, ou par l'agression militaire directe.
Alinéa Premier : L'article du présent alinéa n'est valable que du Premier Février de l'an de grâce 2016 au Premier Février de l'an de grâce 2020.

Titre Second -- De la coopération économique

Article Premier :
Novyavik et l'Everia échangent les produits de l'alinéa du Présent article dans la limite des besoins et des capacités de production des deux états.

Alinéa Premier : Novyavik fourni Sarrasin, Seigle, Groseilles et fraises tandis que l'Everia fourni sucre, cacao, café, Maïs, fruit exotiques, Fromages frais et Soufre.

Titre Troisième -- De la Liberté de Circulation et de la coopération étudiante

Article Premier : Novyavik et l'Everia ouvrent de nouvelles lignes aériennes entre les villes de Catan, Rusalka et Novosavodsk au rythme de 1 avion par jour pour chaque liaison aérienne.

Article Second : Toutes les parties reconnaissent les diplômes et niveaux de qualification de chaque états signataires comme valable pour exercer les professions dans leur pays.
Article Troisième : Une Université novaise sera construite à Catan (capitale de l'Everia) aux frais de la Seconde République de Novyavik et une université everienne à Novyavik (capitale de Novyavik) aux frais de l'Empire d'Everia.

Titre Quatrième -- De la coopération militaire

Article Premier : Les états signataires doivent protection matérielle aux autres états signataires en cas d'agression armée à l'encontre des états signataires agressés.
Alinéa Premier : L'article du présent alinéa ne s'active que lorsque l'état agressé en fait la demande explicite, par missive diplomatique réceptionnée depuis les ambassades prévues à cet effet.

Alinéa Second : L'aide matérielle devra avoir une valeur minimale de 1 MDS de $*, sauf si l'état agressé rabaisse cette valeur plancher.

Alinéa Troisième : Après l'agression, l'état fournisseur d'armes est en droit de réclamer des compensations, qui ne doivent pas dépasser la valeur de l'armement fourni. Si plus d'un milliard de dollar** d'armement ont été fournis, l'état auparavant agressé est en droit de ne pas rembourser plus d'un milliard de dollar, considérant qu'au delà d'un milliard de dollar, le soutien matériel n'entre plus dans le cadre du traité, cela n'excluant pas qu'un autre traité soit conclu au moment de l'agression.

*HRP : 1 Usine de coût d'entretien.
**HRP : 3000 points de développement = 1 MDS de $
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