01/01/2018
23:42:09
Index du forum Continents Nazum Confédération Socialiste Barvynie

〔📠〕- Bureau du PrĂ©sidium - Page 2

Voir fiche pays Voir sur la carte
1163
Le Présidium porta son oreille au télephone et au bout de quelques secondes, entendit enfin une légÚre musique se détacher...

[i]đŸŽ¶ C'est moi, le prĂ©-si-dent, de la RĂ©-pu-bli--que... J'aime biien l'argent, j'aime biiien le fri-que. Oui, c'est moi le.. crr crr Allo Camarade ?,

Enfin, la voix du président ouanais se faisait entendre

Oui quelques secondes, qu'est ce qu'il y a ?, mais non mais non c'est important...crr crr

Un bruit de fond de pluie que le prĂ©sident ne parvenait pas Ă  localiser se faisait entendre en arriĂšre plan. On entendait aussi la voix d'un homme assez Ă©nervĂ© en arriĂšre plan. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce une rencontre amoureuse ? Tant d'interrogations se poussaient aux lĂšvres du PrĂ©sidium:

Allo Camarade ? OU ĂȘtes-vous ? On s'inquiete ici, les rumeurs vont bon train, on parle mĂȘme de trahison... Que faites-vous ?

Il y eut un petit temps d'attente puis Dekhalov répondit enfin

Ecoutez, je ne peux pas vous dire ou je suis, vous comprendrez plus tard que je ne pouvais pas me permettre que le monde sache ce que je suis en train de faire. Je ne peux vous dire que ca: notez-bien...en premiÚre A Vous, Eclairé Camarade L' Endroit TrÚs Secret Arrivera Rapidement.. Compris ?

Le prĂ©sidium nota fĂ©brilement la phrase que venait de lui dire Dekhalov, comme demandĂ©, il regarda en premiĂšre, ce vieux code marchait toujours, mĂȘme si il crĂ©ait des phrases alambiquĂ©es. En recopiant les premiĂšres lettres, la vĂ©ritĂ© apparut devant lui: AVEC LE TSAR
696
Le 2/08/2017 Ă  7h12
Dans le Bureau du Présidium, Velzmegrad, Barvynie.
Confédération Socialiste du Nazum.



Le Présidium mis quelques minutes à comprendre ce que voulait dire le Président Ouanais, et alors qu'il réalise que le Président Ouanais est avec le Tsar, il lui dira calmement.

> ☎ « Je vois, je vous fait confiance camarade, si cela peux vous aider pour les nĂ©gociations, la Barvynie est prĂȘt a payer les 30 milles UNI ... Pour les dĂ©dommagement, si vous pouvez garantir la libertĂ© des communiste en Khardaz je vous en serait trĂšs reconaissent, cependant je dois vous mettre en garde ! L'Organe de sĂ©curitĂ© de la C.S.N a lancer une enquĂȘte sur votre disparition... Il risque d'y avoir des rĂ©percution lors de votre retour, surtout avec cette histoire de rencontre avec le Tsar. J'espĂšre que tout ira bien cependant, avez vous des choses a me dire ? »


Texte rédigé par : Draco
527
Suite Ă  ces paroles, Dekhalov reprit rapidement:

Ne vous inquiĂ©tez pas camarade, vous les retrouverez vos troupeaux de vache... si les gens ne savent pas ou ils sont et s'inquietent, dites qu'ils sont avec vous, ca marche toujours. Ah oui, et dites-leur qu'ils reviennent bientĂŽt, ils ont toujours besoin d'une Ă©table pour manger non ?. Mais non, nous ne les avons pas vu. Bon camarade, je ne veux pas ĂȘtre expĂ©ditif avec d'aussi importans problĂšmes mais peut-ĂȘtre pourrions nous nous rappeler dans une heure pour finir cette conversation car je ne vous cache pas que mon bateau pour traverser le fleuve va bientot arriver et je ne voudrai pas le rater...
327
Le 2/08/2017 Ă  7h14
Dans le Bureau du Présidium, Velzmegrad, Barvynie.
Confédération Socialiste du Nazum.



> ☎ « TrĂšs bien Camarade, fait attention Ă  vous. Prenez soin de vous. »

À la suite de ses mots le PrĂ©sidium va raccrocher, et va par la suite continuer Ă  s'occuper de ses documents, il espĂšre que le PrĂ©sident de l'Ouaine va bien dĂ©clarer que la Barvynie est prĂȘte Ă  payer les dĂ©dommagements.


Texte rédigé par : Draco
2621
Le 2/08/2017 Ă  18h49
Dans le Bureau du Présidium, Velzmegrad, Barvynie.
Confédération Socialiste du Nazum.


Disclamer :) Le texte suivant parle d'un début de "dépression psychologique".

Alors que le PrĂ©sidium de la RĂ©publique Socialiste de Barvynie continuer tranquillement son travaille dans son bureau, ce dernier qui continue de rĂ©flĂ©chir perpĂ©tuellement Ă  la dĂ©centralisation et la dĂ©mocratisation progressive de sa nation, pendant qu'il lit tranquillement la missive rĂ©cemment reçue du Tsarat parlementaire du Khardaz, et en revoyant les horribles images des manifestations pacifistes en Gondavie d'AfarĂ©e sauvagement rĂ©primander par le sang par les colonialistes Gondave... les agissements capitaliste du prĂ©sident Gondave. En se souvenant des vilaines rumeurs des camps de rééducation du Morzanov, les menaces militaires de l'Ouaine, ainsi que leur comportement lors de la rencontre avec les Kartyiens, les annonces belliqueuses du Premier ProlĂ©taire de Namarnov, le PrĂ©sident Barvynie a-t-il encore des amis ? MĂȘme un Tsar semble plus proche de ses convictions et ses objectifs, comment peut-il agir chaque jour aux noms de la paix, de l'Ă©galitĂ©, de l'internationale, comment peut-il subir la responsabilitĂ© de 8 millions de personnes sur ses Ă©paules, comment peut-il tous les reprĂ©senter ? Son fils et sa fille, ses proches, son gouvernement et une partie du peuple croient en lui, mais mĂȘme lui commence Ă  croire que rien ne peut rĂ©gler ses situations, alors que ce dernier observe de ses yeux le reptile, Jörmungand, qui dort paisiblement, il finit par se questionner sur tout un tas de points diffĂ©rents, et aux lieux de les garder dans son esprit, il les dira Ă  voix haute, bien que personne ne puisse lui accorder une rĂ©ponse.

Nikolai MikhaĂŻlovitch Bowsarev : 💬 « La vie n'a tel pas de sens, quand on voit que l'humain a perdu la facultĂ© de vivre ensemble, de s'entendre, de se comprendre les un des autres. Pourquoi diable se bat-il pour dĂ©fendre un systĂšme ou un seul homme peut dĂ©cider du sort de millions de personnes, m'enfin
 Quelle diffĂ©rence cela fait avec leur systĂšme Ă©conomique... La ou le fruit du combat que chaque citoyen de classe pauvre ou de classe moyenne effectuer tous les jours, ne sont rĂ©coltĂ©s que par une classe supĂ©rieure, oĂč est la libertĂ© quand on voit les privilĂšges et le pouvoir que possĂšdent ses humains qui pense ĂȘtre supĂ©rieur... Tous les hommes revendiquent une parcelle de la terre pour leur propre intĂ©rĂȘt, mais aucun d'entre eux ne pense Ă  la partager avec les autres. N'est-il pas beau de voir ses nations, aussi diffĂ©rent soit-il, s'unir contre la C.S.N, les voir lutter contre nous, qui sommes tout aussi incapables qu'eux de vivre harmonieusement... Ce monde n'a plus vraiment de sens, quand on voit les riches se rĂ©jouir du malheur des pauvres... »

Alors que ce dernier arrĂȘte son monologue inutile, il regarde le plafond de son bureau, le seigneur daignera-t-il Ă  lui accorder une rĂ©ponse ? Le PrĂ©sidium commence progressivement Ă  dĂ©velopper une dĂ©pression mentale quant aux tĂąches que la vie lui demande de franchir chaque jour, et prĂ©fĂšre conserver cette chute psychologique pour lui, et lui seule.

1164

Le 27/11/2017 Ă  15h58
Dans le Bureau du Présidium, Velzmegrad, Barvynie.
Confédération Socialiste du Nazum.



Le 27ᔉ jour du mois de novembre, Ă  15 h 58, le PrĂ©sidium de la Barvynie qui continuer Ă  lire la nouvelle Loi sur l’éducation inscrite dans la RĂ©forme sur la LibertĂ© Individuel et Collective, rĂ©diger par le Ministre de l'Éducation, Bayğa Byamanovich Kylayarov, Nikolai a un point de vue trĂšs neutre, il n'arrive pas Ă  imaginer les consĂ©quences de la rĂ©forme sur la population, il indiquera donc que son positionnement sera neutre quant Ă  cette nouvelle loi.

TrĂȘve de bavardage, le PrĂ©sidium a donnĂ© rendez-vous avec le Premier ProlĂ©taire de Namarov Ă  16 heures, il se lĂšve donc et va s'assurez que tous est bien en ordre, il se rassoit donc et attend la venue du Premier ProlĂ©taire, tandis qu'Ă  cĂŽtĂ© de son bureau, sur un petit pilier qui s'arrĂȘte Ă  la hauteur du bureau, un coussin somptueux chauffĂ© sur lequel un Orthriophis hodgsoni noir, est tranquillement installĂ©, le PrĂ©sidium, fatiguer de ses conflits interne de la ConfĂ©dĂ©ration, c'est spĂ©cialement laver le visage avant l'entrevue pour cacher sa mine affreuse qu'il tire en lisant des tĂ©moignages de citoyens d'AfarĂ©en ou Turc vivant en Gondavie. Et les persĂ©cutions des minoritĂ©s sexuelles en Morzanov, toutes ses tensions, ses diffĂ©rences, et il commence progressivement Ă  envisager la chute de la ConfĂ©dĂ©ration.
538

Le premier prolétaire, escorté de deux gardes du corps, montait l'escalier marche aprÚs marche, légÚrement stressé. Des cernes étaient visibles sur son visage car ce dernier avait passé une trÚs mauvaise nuit. Il arriva donc en haut de l'escalier et toqua à la porte. Le Président tonna :

-Entrez chers amis, faites comme chez vous.

Le premier prolétaire rentra donc et referma la porte, ses deux gardes du corps se positionnant devant la celle-ci. Il lança en s'efforçant de sourire au Président qui s'était levé :

-Bonjour Camarade, je suis ravi de venir dans votre bureau.

Puis son regard se posa sur le serpent :

-Quel beau spécimen que vous avez là !

740

AprÚs que le Présidium de la Barvynie, a cordialement invité son cher camarade Namarovien à rentrer dans ladite piÚce, Le Présidium va se lever et se déplace en face de son camarade, il lui tend sa main pour acceuilir son camarade, aprÚs cela, il retourne s'assoir à ça place, et constatant que son camarade ne s'assoie pas, il et répond à la remarque du Premier Prolétaire au sujet de Mizushi, l'un des deux symboles de la Barvynie, avant d'inviter son camarade à s'assoir, tout en lui proposant subliment quelque en-cas.

Nikolai MikhaĂŻlovitch Bowsarev : 💬 « Je vous remercie Ă  sa place, il s'agit d'un Orthriophis hodgsoni noir, une espĂšce trĂšs populaire en Barvynie. Celui-ci se nomme Mizushi, Je vous pris, asseyez-vous camarade ! Sinon, comment c'est dĂ©rouler votre voyage ? Avez-vous fait bonne route ? Souhaitez-vous une boisson, un cafĂ©, peut-ĂȘtre un petit remontant ? Quelques biscuits ? Cher camarade. »

389

Le premier prolétaire serra chaleureusement la main du président, puis il alla s'asseoir sur le siÚge devant le bureau, puis répondit : 
-Le voyage en avion était long mais ne vous inquiétez pas, il m'a permis de dormir un peu. Et sinon oui, je ne refuserais pas un petit café, cher ami.
Le président alla donc faire deux cafés natures puis les rapporta. Il en tendit un au premier prolétaire qui le remercia chaleureusement. Puis il dit : 
-Alors commençons sans plus attendre.

1066

Nikolai MikhaĂŻlovitch Bowsarev : 💬 « Tant mieux ! il est important de bien se reposer, avec toutes les charges que l'on a sur les Ă©paules, un peu de temps de repos ne fait jamais de mal. »

Alors que le Présidium se lÚve pour aller faire les deux cafés, il laisse quelques instants le Premier Prolétaire, seule dans son bureau, Mizushi va l'observer, l'invité, d'un neutre regard.

AprÚs une minute, Mr. Bowsarev revient et va déposer le café du
Premier Prolétaire, et va se rassoir en tenant dans ses mains sont propres café, aprÚs avoir fait tourner dans le sens horaire le courant du café à l'aide de la cuillÚre à café, il dira aprÚs avoir bu une petite cuillÚre de café, à son camarade Namarovien.

Nikolai MikhaĂŻlovitch Bowsarev : 💬 « Je souhaite discutailler de votre situation, vous ĂȘtes l'un des exemples les plus dĂ©mocratiques de notre ConfĂ©dĂ©ration, nĂ©anmoins vous partagez un avis extrĂȘmement belliqueux, vos rĂ©centes menaces envers toutes les nations non-communiste du Nazum, va nous conduire Ă  notre propre chute, aprĂšs tout, c'est probablement la raison du dĂ©ploiement des forces Navales de Pöetoscovie, n'oubliez pas une chose, vous pouvez parler de tout ce que vous voulez, ne vous restreignez pas Ă  la politique, je constate que vous avez une mine fatiguĂ©e, que vous arrive-t-il ? »

789

Le Premier Prolétaire regarda le présidium, puis fit un immense effort pour trouver une voix professionnelle. Puis il répondit :

-Je n'ai jamais menacé tous les pays non communistes, seulement ceux qui ont en nombre conséquent de la vermine fasciste et impérialiste. Et puis il faut savoir parler franchement : qu'est-ce qu'un communiste s'il ne se bat pas contre l'impérialisme ? Un égoïste qui veut protéger ceux de son paradis, en oubliant ceux qui sont dans l'enfer.

Il fait une pause, reprenant son calme aprÚs avoir pris un ton légÚrement agacé. Puis il reprit d'un ton neutre :

-Pour les bĂątiments pöetoscoviens, c'est simplement que son dirigeant s'accroche. Il montre les crocs mais ne mangera pas. Il ne faut pas ĂȘtre apeurĂ© pour si peu. Et sinon ne vous inquiĂ©tez pas pour ma mine affreuse, les nuits ne me rĂ©ussissent pas. 

Puis il marqua une pause légÚrement plus longue que la précédente, invitant silencieusement le président à répondre.

1124

Alors que le Premier Prolétaire finie de répondre aux questions du Présidium Barvynien, qui commence progressivement à stresser, non pas à cause du ton employé par le Premier Prolétaire simplement qu'il imagine les conséquences d'une guerre frontale avec les forces impérialiste et fasciste, Nikolai Bowsarev va donc dire d'un ton un peu plus froid, et un peu moins amicale soudainement.

Nikolai MikhaĂŻlovitch Bowsarev : 💬 « Je suis, mais en adĂ©quation totale avec vos pensĂ©es, nĂ©anmoins... Vous connaissez la situation actuelle de la ConfĂ©dĂ©ration tout autant que moi, Entre les bourgeois et colonialiste Ă  la tĂȘte de la Gondavie qui se remplisse les poches, l'impĂ©rialisme militaire du Morzanov qui essaie d'installer des bases partout avec le rĂ©cent coup d'État, les conflits entre la C.S.N et le Khardaz et le conflit diplomatique entre le Jashuria. Sans compter notre infĂ©rioritĂ© militaire vis-Ă -vis des autres nations dĂ©jĂ  trĂšs bien Ă©tablies ! Avec les problĂšmes de corruptions et de non-cohĂ©sion interne, nous ne somme pas prĂȘt pour menacer les nations Fasciste ! et ImpĂ©rialiste que nous dĂ©testons tant ! Ne croyez pas que cela me fait plaisir de laisser les VĂ©lĂšsiens sous l'influence d'un rĂ©gime totalitaire religieux et, au fait, auriez-vous des idĂ©es pour rĂ©aliser une transition vers un rĂ©gime davantage dĂ©mocratique ? »

756

LégÚrement étonné par le léger stress que la voix du président trahissait, Dovli Poukov répondit d'une maniÚre plus calme et professionnel en prenant une grande inspiration :

-Je vois bien que vous avez raison et je me doute bien que cela ne vous fait pas plaisir. Mais je vous trouve alarmiste. La CSN n'est pas prĂȘte de se disloquer si nous nous unissons derriĂšre la haine naturelle et Ă©vidente du fascisme. Mais la meilleure personne pour cette discussion d'un point de vue le plus neutre possible serait avec le Premier ministre. Il sait mieux se conduire sur la scĂšne internationale que moi. Et je dois le reconnaĂźtre, il est meilleur diplomate que moi.

Il marqua un temps de réflexion avec une mine calme, voire triste. Puis il reprit plus naturellement.

-Sinon pour un rĂ©gime beaucoup plus dĂ©mocratique, il n'y a pas de secret. Écoutez le peuple et Ă©radiquez les perturbateurs.

Puis la discussion continua...

628

Dix minutes plus tard, l'entrevue se termina. Les principaux sujets avaient été abordés mais aucune conclusion n'avait été tirée. Dovli Poukov avait fait part de son projet de nommer le Premier ministre à sa place, il était donc inutile de continuer. Le Président raccompagna l'homme et lui serra la main avant de lancer :

-Et bien, ce fut un réel plaisir de vous avoir reçu. J'espÚre que tout se passera pour le mieux et que vous réussirez votre projet. Je vous souhaite bonne chance.

Le Premier Prolétaire acquiesça puis franchissa le pas de la porte :

-Pour moi aussi ce le fut. Bonne chance Ă  vous.

Le Premier Prolétaire fit quelques pas et arriva dans les escaliers, escorté par des gardes du corps. Le Président referma la porte et ce fut la fin de l'entrevue.

Haut de page