16/12/2017
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Activités étrangères en Retsvinia - Page 2

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Je suis dans vos murs :

Mercenaire de l'AFRE dans une des rudes régions du sud de la Veltava.



Des montagnes aux plaines.⮕ Premier Concerto.

Plus l'on attend des renforts, plus la Junte se renforcera. Voilà la réalité des choses. Tandis que l'Estalie est occupée ailleurs, il est évident que le simple soutien des Confédérés ne suffira pas à endiguer ni le renforcement de la Junte, ni la puissance militaire que Slaviensk peut offrir à ses partisans sur place. Slaviensk n'est peut-être pas de taille pour un affrontement direct avec les chouchous du moment des Estaliens mais peut-être qu'ils y croiront pendant que l'Estalie se divertit avec ses petits copains en Eurysie Centrale. L'AFRE a très bien compris que le conflit en Retsvinia est une question d'initiative, de rapidité, de prise de décision. Il était certes nécessaire de se renforcer avant de lancer une quelconque opération, le succès de l'établissement de la FOB Ferhammer démontre la capacité logistique de l'AFRE à acheminer du matériel lourd en quantité suffisante par voie aérienne et disposer depuis l'Estalie d'une solide base d'opérations. D'un territoire insurgé complètement isolé, cette FOB a permis au moins à l'insurrection de disposer d'un centre logistique névralgique important pour la quasi-totalité de ses opérations. Il faut dire que l'AFRE avait beaucoup investi dans la défense de sa base et sa position rendait tout assaut direct de la Junte un véritable suicide entre le relief montagneux, la triangulation du territoire par l'artillerie, les positions défensives furieuses construites par les hommes de l'AFRE et le peu d'espace pour se déployer pour les attaquants rendait la tâche défensive d'autant plus simple pour les mercenaires de l'AFRE. Refuge sûr, la FOB Ferhammer joua donc son rôle premier, celui d'assurer une cohérence logistique au territoire insurgé et donner une zone sûre pour devenir un centre de formation pour les combattants locaux eux-mêmes. Les Veltaviens étaient de piètres combattants mais personne ne naît soldat après tout, les soldats de l'AFRE se sont donc chargés d'accueillir les insurgés veltaviens pour les rôder aux techniques de combat professionnelles. Mais l'AFRE ne pouvait pas se contenter de ravitailler et d'entraîner car compte de son nombre d'hommes et de son matériel, l'AFRE dispose de forces supérieures aux forces insurgées elles-mêmes, quasiment le double des effectifs de l'insurrection. Dans une telle situation, ne pas utiliser cette force militaire est un véritable gâchis et chaque jour qui passe sans passer à l'offensive est un jour de plus où la Junte recrute un autre jeune naïf dans ses rangs, où un nouveau fusil est importé par la Junte, où un nouveau conscrit reçoit un entraînement militaire. Il faut frapper.

L'ennemi est supérieur en nombre ? Qu'il en soit ainsi, nous n'aurons qu'à les disperser, telle une masse difforme que l'on décolle de sa propre pourriture. C'est là tout le plan de l'AFRE : prétendre frapper quelque part et frapper à plusieurs endroits en même temps au lieu de l'endroit convenu par l'ennemi. Après, si l'ennemi s'attend à ce que nous attaquions dans une zone précise, quid des autres zones de la ligne de front ? Ou pire, de leurs arrières ? La sécurisation de la Veltava étant essentielle à la poursuite des opérations, ce sera la ville de Kuusykylä qui sera principalement visée. Bien que la ville agisse comme point névralgique des forces armées de la Junte dans toute la Veltava, la simple nature urbaine du lieu ainsi que la proximité potentielle que peuvent avoir les habitants de la ville avec la cause du mouvement communiste (ou au moins indépendantiste) rend la prise de la ville plus aisée. Cela étant dit, comme il a déjà été souligné, la Junte reste en supériorité numérique et matérielle, l'assaut frontal est donc par défaut écarté des options de l'AFRE. Mais que reste-t-il dans ce cas-là ? L'infiltration et la tenaille.


De l'autre côté de cette vallée, il y a l'ennemi.

Les renseignements au cœur du conflit :

Pour poser les bases d'une opération d'infiltration dans Kuusykylä, la première étape repose nécessairement sur un travail méthodique de renseignement et de cartographie urbaine car il s'agit pas juste de disposer de plans civils de la ville mais de bâtir une grille de lecture spécifiquement militaire et politique de l'espace urbain de la ville en identifiant à la fois les points d'appui de la Junte au sein de la ville et les zones susceptibles de servir de catalyseur à un potentiel soulèvement urbain. Les cellules clandestines veltaviennes doivent certainement disposer d'informations en ce qui concerne les zones susceptibles de rejoindre la cause, ce sont ces cellules qui constitueront l'ossature de ce dispositif d'infiltration puisqu'elles possèdent une fine connaissance des dynamiques sociales locales, des habitudes des forces de sécurité et des flux économiques et logistiques qui alimentent la ville. Ce savoir doit être systématisé, centralisé et actualisé en permanence pour devenir exploitable par les cadres de l'AFRE. Concrètement, plusieurs catégories de cibles doivent être répertoriées. Les commissariats et garnisons de la Junte représentent des objectifs prioritaires, non pas nécessairement pour être détruits systématiquement mais pour en analyser d'abord les horaires de rotation, les capacités de réaction, les zones d'influence et les dépendances logistiques. De la même manière, les dépôts de carburant, d'armement ou de vivres doivent être localisés, évalués en termes de sécurité et mis en perspective avec les axes routiers ou ferroviaires qui les relient au reste de la Retsvinia. La cartographie doit également intégrer les infrastructures critiques comme les centrales électriques, les sous-stations, les réseaux téléphoniques ou les antennes relais afin de constituer davantage de leviers pour semer le désordre dans les rangs ennemis au moment opportun. Le recensement ne se limite pas aux infrastructures visibles : il doit inclure aussi des itinéraires des convois, les entrepôts dissimulés derrière les façades civiles ainsi que les nœuds de communication qui relient les unités locales avec l'état-major de la Junte à Severopol.

Parallèlement, une autre dimension de ce travail porte sur la sociologie des quartiers. La Veltava n'est pas homogène, comme tout pays, et Kuusykylä concentre des clivages internes que la junte connaît mais ne maîtrise pas totalement (auquel cas, il n'y aurait certainement pas d'insurrection dans la région). Certains quartiers ouvriers, marqués certainement par des traditions de lutte syndicale ou par des réseaux familiaux locaux fortement implantés, sont plus susceptible de répondre favorablement à un appel à l'insurrection. D'autres, dominés par des commerçants liés directement au pouvoir militaire, risquent au contraire de basculer rapidement dans la collaboration ou l'autodéfense. Le travail de renseignement de l'AFRE devra donc consister à établir une cartographie sociale parallèle qui distingue les zones de lancement potentielles d'émeutes, les espaces favorables à l'organisation de caches ou de regroupements et les quartiers à éviter car trop perméables au contrôle de la Junte. Enfin, ce travail de terrain doit préparer la logistique clandestine. Des caches d'armes doivent être constituées à l'avance (l'AFRE est en surplus d'armes légères d'infanterie, elle peut aisément équiper une force insurgée spontanée avec des caches), idéalement dans des lieux offrant à la fois discrétion et accessibilité rapide : caves d'immeubles (de préférence abandonnés), ateliers artisanaux, sous-sols de bâtiments publics peu surveillés ou encore des sections des égouts qui échappent aux patrouilles. Chaque cache doit contenir non seulement des armes légères mais aussi du matériel de communication crypté, des explosifs artisanaux et des rations de combat pour que l'insurrection puisse tenir au moins quelques jours sans besoin de contacts extérieurs. La distribution de ces caches doit suivre un principe de compartimentation stricte : chaque cellule ne connaît que ses points d'accès et ne peut remonter vers les autres, de façon à limiter l'effet d'une infiltration ennemie.

Infiltration de l'AFRE :

L'infiltration constitue la seconde étape critique du plan puisqu'elle assure la présence physique de l'AFRE au coeur même de la ville avant le déclenchement des opérations. Contrairement à une opération militaire frontale, il s'agit ici de s'insérer dans le tissu urbain sans déclencher l'alerte, ce qui impose une approche en petits groupes dispersés, discrets et autonomes. La logique est d'éviter toute concentration visible : plutôt que de faire entrer une compagnie entière par une brèche, on privilégie la pénétration progressive de détachements de cinq à dix hommes, chacun doté de son propre itinéraire, de ses caches et de ses contacts avec la résistance locale. L'objectif n'est pas seulement de cacher des combattants mais de les dissoudre directement dans la masse humaine. Le choix du mode d'entrée est donc très important dans ce cadre. Les grandes routes surveillées sont à proscrire, tout comme les points de contrôle routiers où les forces de la Junte filtrent l'accès. L'AFRE a intérêt plutôt à utiliser trois vecteurs principaux : les sentiers périphériques empruntés par les contrebandiers et les paysans, les zones industrielles en friche qui offrent des points d'accès discrets aux faubourgs et enfin les zones montagneuses ou boisées difficiles à sécuriser pour les unités militaires de la Junte. Les combattants de l'AFRE se déplacent en tenue civile, habillés de manière à se fondre dans la masse, mais toujours en binôme ou en petit groupe resserré pour limiter les risques d'isolement.

Une fois infiltrés, ces groupes ne cherchent pas à se rassembler. Chacun a pour mission de se connecter avec une cellule veltavienne locale prédéfinie. Ce maillage garantit un cloisonnement maximal : un groupe neutralisé ne peut pas compromettre les autres. La communication se fait par relais humains ou messageries cryptés, avec des délais intégrés pour éviter la traçabilité. Dans un premier temps, les combattants de l'AFRE se contentent de repérer les zones d'action, d'identifier les planques potentielles et d'étudier la vie quotidienne du quartier où ils sont implantés. L'AFRE fonctionne ainsi comme une série de noyaux dormants, un peu à l'image des tactiques d'infiltration du SRR, préparés à s'activer simultanément lorsque l'ordre viendra. L'armement constitue un autre élément de discrétion. Les armes lourdes, encombrantes et impossibles à dissimuler (lance-roquettes, mitrailleuses, mortiers portatifs) restent hors de la ville, stockés dans les caches où le relief assure une certaine discrétion ou dans des dépôts clandestins des faubourgs. Au sein même de Kuusykylä, seuls les armements compatibles avec le combat urbain furtif sont iintroduits : pistolets-mitrailleurs (PMAR-40), fusils d'assaut (Colt-ESH), grenades à main, charges légères, IED (voir armes légères estaliennes). Chaque cellule dispose également de moyens basiques de communication (radios portatives, téléphones cryptés) ainsi que des petits stocks de matériel médical étant donné qu'en zone urbaine, l'accès aux soins reste difficile dans le cadre de combats clandestins.

Inondez-les de propagande :

La préparation psychologique et la propagande clandestine représentent le liant qui doit transformer cette simple infiltration en déclencheur insurrectionnel. A Kuusykylä, la fatigue générale de la guerre civile constitue un terrain fertile : la population, qu'elle soit veltavienne ou retsvinienne, aspire d'abord à la fin des hostilités. Cette lassitude est une arme à double tranchant. D'un côté, elle réduit la résistance spontanée à une action de subversion car peu de civils sont prêts à défendre activement la Junte ; de l'autre, elle rend plus difficile la mobilisation immédiate pour une nouvelle phase de lutte armée. Il s'agit donc pour l'AFRE et ses relais du mouvement communiste de reformuler la guerre civile en termes politiques plus clairs : l'ennemi n'est pas la guerre elle-même mais le régime militaire qui la perpétue en cherchant à l'allonger en faisant intervenir des acteurs extérieurs comme le Bloc Nationaliste Eurysien dont la Junte cherche désespérément les faveurs. Cette rhétorique vise à transformer la résignation populaire en colère active en faisant apparaître la Junte non comme garante de l'ordre mais comme responsable de la prolongation du chaos et des souffrances de la guerre. La propagande doit être calibrée pour frapper l'imaginaire collectif. Les tracts clandestins et les émissions de radios pirates doivent associer la présence de la Junte en Veltava à sa dépendance croissante vis-à-vis d'Etats fascistes étrangers. Dans un pays où la population n'a pas encore perdu espoir quant à la justice et à la démocratie, comme le démontre les émeutes post-électorales, cette accusation a un double effet : elle délégitime la Junte aux yeux des patriotes retsviniens (en théorie, la base de soutien la plus fidèle à la Junte) et elle légitime la lutte indépendantiste veltavienne comme une continuité de sa résistance historique face à Severopol. Le message doit être simple mais martelé en permanence : se soulever contre le régime, c'est à la fois défendre la dignité du peuple veltavien et retsvinien et hâter la fin d'une guerre qui n'a que trop duré. La lassitude est ainsi retournée : au lieu de dissuader l'action, elle devient une motivation pour en finir rapidement.

Dans le concret, la propagande ne peut pas s'appuyer cependant et uniquement sur les canaux traditionnels de la clandestinité comme les tracts, les affiches ou les graffitis car ceux-ci risquent d'être ignorés par une population saturée en temps normal de discours politiques. L'AFRE et ses relais doivent investir des formes de communication plus diffuses qui imitent la manière de propagation des rumeurs populaires. Il peut s'agir de fausses nouvelles sur l'imminence de la chute de la Junte, de récits exagérés de désertions massives dans les rangs de l'armée retsvinienne ou de récits héroïques qui amplifient les victoires de la guérilla communiste veltavienne. Dans une ville où l'économie stagne et donc où les files d'attente, les marchés (souvent noirs par ailleurs, ça reste un pays en guerre) et les tavernes sont des lieux de sociabilité quotidiens, la rumeur circule plus vite que les pamphlets. Elle crée une atmosphère d'incertitude qui mine le moral de l'ennemi et rassure les hésitants : si tout le monde en parle, alors l'insurrection n'est plus perçue comme un pari isolé ou une déviance idéologique mais comme un mouvement irrésistible auquel on aura envie de participer pour ne pas être laissé sur le banc de touche. Enfin, la propagande doit préparer l'instant de basculement. Avant même le déclenchement des opérations armées, elle doit donner des signes de coordination : messages codés diffusés à heure fixe sur des radios pirates, graffitis codés dans plusieurs quartiers, slogans repris lors des manifestations et émeutes qui secouent régulièrement la ville. Ces signaux ne cherchent pas à convaincre quiconque de manière rationnelle mais à créer un sentiment d'inévitabilité, pour donner aux habitants le sentiment que la révolution aura lieu dans tous les cas, qu'elle est inévitable quoi qu'ils en pensent. Et ne sous-estimez pas le pouvoir de la conformisation des masses, surtout en temps de crise. Au moment où les premières attaques éclateront et que les premiers quartiers seront pris par les insurgés, une partie de la population, même si elle n'y participe pas activement, sera psychologiquement conditionnée à les interpréter non comme des actes isolés de quelques communistes fous du bus mais comme l'expression d'une force organisée et inébranlable. C'est cette perception qui peut faire basculer les indécis et priver la Junte du soutien passif dont elle a besoin pour contrôler ou même reprendre la ville une fois insurgée.
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Construction d'une base aérienne secrète en terre vetlavienne



Vue de la piste de Yaltavotÿ


Dans un objectif, toujours identique d'aide militaire et logistique au Vetlava, l'armée ouanaise a décidé du lancement de la construction de la base aérienne de Yaltavotÿ.
Cette base aérienne, située à environ 25km au sud du GQG des forces ouanaises au Vetlava répondra à plusieurs objectifs... Tout d'abord, il permettra de résoudre le problème de l'approvisionnement des soldats et du transfert de ceux-ci. De plus, cela permettra la pause d'avions permettant une défense plus efficace du ciel du Vetlava en cas d'incursion dans celui-ci de la part des forces de la Junte Enfin, il permettra stratégiquement de réagir plus rapidement en cas d'offensive de ceux-ci.
Le travail de construction a cependant pris, et prend encore pour plusieurs jours, du temps. En effet, les ingénieurs ouanais et veltlaviens ont cherché à assurer un camouflage des plus efficacs à la base. Car sa position doit rester secrète pour éviter de servir de cible à une possible offensive. Ainsi, la piste est, lorsqu'elle n'est pas utilisée, recouverte d'un tapis de feuilles collées et de diverses bâches imitant la végétation de la région.
La base devrait être totalement opérationelle d'ici environ 2/3 semaines (objectif pour le premier septembre)

Mais la base aérienne ne se contente pas d'être une simple piste d'atterrissage et de décollage. La base disposera en effet d'ici peu, de diverses infrastructures. Tout d'abord, une station radar sera mise en place pour tenter de controler l'espace aérien du Vetlava. L'Ouaine n'étant pas spécialiste dans ce domaine, ce système ne sera pas infaillible mais fera le job pour le moment
La base disposera aussi de vastes baraquements permettant le repos des soldats loin de la zone de front et l'installation de plusieurs autres unités à l'avenir. Couplée à plusieurs terrains d'entrainement, elle permettra d'accélérer la formation de la population et de l'habituer à la collaboration avec les troupes ouanaises
La base servira aussi de garage et de lieu de stockage pour les divers véhicules et armes présentes sur le territoire retsvinien. Situé à une petite heure des fortifiactions les plus éloignées, elle est à la fois à l'abri et assez proche pour assurer un soutien rapide en cas d'attaque.
Enfin, la base permettra à terme l'installation de pièces d'artillerie...mais chut... c'est un secret


Carte des positions ouanaises en Vetlava mises à jour

Légendes de la carte
    :
  • Bandes jaunes, lignes de fortifications ( voir schéma dessous)
  • Partie rouge: territoire tenu par l'armée ouanaise en soutien des Vetlaviens
  • Hexagone: GQG des forces ouanaises
  • Œil rouge: QG de l'opération "premier domino"
  • Cercle marron foncé: Zone de la base aérienne, son emplacement précis n'apparait pas sur les cartes
  • Route grise: Route permettant de se rendre de la base aérienne au GQG


Effectif et matériel envoyé sur la base aérienne
  • 64 soldats du génie (ils serviront aussi de travailleurs pour construire et entretenir la base)
  • 64 armes d'infanterie niveau 1 AI-10
  • 4 mitrailleuses lourdes niveau 1 ML-1O
  • 2 lance-missiles antichar niveau 4 LM-4O
Rappel de l'effectif et du matériel envoyé sur place dans le cadre de l'opération "Deuxième Domino"
  • 776 armes d'infanterie niveau 1 AI-1O
  • 512 soldats professionnels
  • 32 transports d'infanterie blindés niveau 1 TIB-1O
  • 110 mitrailleuses lourdes niveau 1 ML-1O
  • 20 lance-missiles antichar niveau 4 LM-4O
Rappel des effectifs et du matériel de l'opération "Premier Domino"
  • 64 soldats
  • 264 armes d’infanterie niveau 3 AI-3O
  • 1 véhicule radio niveau 1 VR-1O
  • 10 mitrailleuses niveau 1 ML-01
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Encore une armée à la Frontière... Le Géant est réveillé


Armée slavis


Après le coup de pression du chef politique du Front Légitimiste Dmitri Vassilievitch Arkanov, l'Empire slavis s'est retrouvé "mis à nu" par rapport à ses obligations et ses revendications en Retsvinie. En effet, la constitution oblige l'Empereur de Slaviensk à protéger son peuple. Mais s'il revendique la Retsvinie comme slavis, il doit protéger les Retsviniens ! C'est donc en réaction à la menace planant sur la Veltava que Slaviensk aurait mobilisé ses hommes à la Frontière, se préparant à une éventuelle entrée sur les territoires de l'opposition. Après le Navgrokra-sovonograd, au tour de la Retsvinie ! Slaviensk, opposé au communisme en théorie, semble plutôt s'opposer au fascisme...
L'Empire aurait mobilisé deux divisions de son armée, soit 30 000 hommes sur la frontière : La première division mécanisée et la Seconde Division Alpine (La troisième étant celle qui s'est retrouvée de l'autre côté de la frontière) 30 000 hommes bien armés, tous professionnels, bien commandés, bien motorisés, avec une bonne logistique pour les assurer, le tout avec une protection au dessus de leur tête : il serait aisé pour l'aviation slavis de prendre le ciel retsvinien. En bref, si Slaviensk venait à traverser la frontière, la victoire serait presque garantie. Mais si Slaviensk hésite à aider l'opposition, ce n'est pas par peur de la Junte, mais plus par peur du Bloc Nationaliste Eurysien et de l'Estalie. Slaviensk se prépare donc au conflit, comme à peu près tout les Retsviniens.

Bien sûr, Slaviensk espère encore pouvoir régler la crise pacifiquement, mais comme le dit l'adage : "si tu veux la paix, prépare la guerre".

Forces terrestres déployées :

Front Nord (mécanisés) :

15 000 soldats professionnels
15 000 armes légères d'infanterie lv11
300 mortiers légers lv8
500 lance roquettes lv9
100 lances missiles antichar lv6

30 mortiers tractés lv4
10 cannons tractés lv5
10 cannons tractés lv4
10 lances roquettes multiples lv5

5 cannons antiaériens mobiles lv3
20 cannons antiaériens lv1
5 lances missiles antiaérien mobile lv3

70 véhicules blindés légers lv6
10 transports de troupes blindés lv5
50 transports de troupes blindés lv4
50 véhicules de combat d'infanterie lv4
60 chars légers lv4
3 chars d'assauts lv2

50 véhicules légers tout terrain lv5
50 véhicules utilitaires lv8
100 camions de transport lv7
100 camions de transport lv6
5 camions citernes lv4
5 camions citernes lv2
5 bulldozers lv5
2 ponts mobiles lv3
8 chars de dépannage lv2
3 véhicules de déminage lv3
3 véhicules de transmission radio lv6
3 véhicules radars lv4

Front Sud (alpins) :

15 000 soldats professionnels
15 000 armes légères d'infanterie lv11
500 mortiers légers lv8
500 lances roquettes lv9
200 lances missiles antichar lv6

100 mortiers tractés lv4
20 cannons tractés lv5
10 cannons tractés lv4
5 lances roquettes multiples lv3
70 cannons antiaériens lv1
5 lances missiles antiaérien mobile lv3

30 véhicules blindés légers lv6
10 transports de troupes blindés lv5
20 transports de troupes blindés lv4
40 véhicules de combat d'infanterie lv3

50 véhicules légers tout terrain lv5
50 véhicules utilitaires lv8
60 camions de transport lv7
100 camions de transport lv6
5 camions citernes lv3
5 bulldozers lv5
2 chars de dépannage lv2
2 véhicules de déminage lv3
2 véhicules de transmission radio lv6
2 véhicules radars lv4
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Renforcement de l'opération "Second Domino" et de la base aérienne ouanaise en Vetlava


Deploiement de nouvelles troupes ouanaises au Vetlava


Suite au nouvelles menaces se profilant en Retsvinie, l'état-major ouanais a décidé conjointement avec les forces du Vetlava de renforcer ses positions militaires en Vetlava. Alors que la Junte Retsvinienne reconnait avoir envoyé plus de 7000 hommes aux frontières du territoire du Vetlava, l'Ouaine a décidé de l'envoie de nombreux soldats ainsi que d'un soutien d'artillerie inédit.
Il a d'abord été décidé de doubler l'ensemble des effectifs de l'opération "Second Domino". Pour rappel, celle-ci comprenait la construction de tranchées le long de la ligne de front à l'ouest de la ville de Kuusikylä. Les effectifs tenant ces lignes et les soutiens présents dans le GQG seront doublés pour atteindre un total de 1024 hommes.
De plus, la garnison de la base aérienne passera à 264 hommes. Ceux-ci disposeront de 40 véhicules de transport d'infanterie blindé qui leur permettra d'intervenir n'importe ou sur le front en moins de 45 minutes pour réagir à toute attaque
Mais le plus gros changement sera l'installation de nombreuses pièces d'artillerie morzniques dans l'arrière pays. Deux pièces antiaériennes seront installées proche du front pour décourager toute tentative de bombardement. A cela s'ajouteront 20 lances roquettes multiples qui pourraient pilonner les lignes retsviniennes à bout portant en cas de danger.
La base verra aussi l'arrivée d'un chasseur ouanais qui se chargera de plusieurs missions de patrouilles au dessus de lignes pour pouvoir prévoir tout mouvement retsvinien à l'avance.
Ces dispositions ne signifient pas pour autant l'arret du progremme "Premier Domino" qui s'est même vu renforcé ces dernières semaines avec la coordination des forces ouanaises avec celles de l'AFRE. De nombreux mouvements de Résistance continuent d'être approchés et soutenus et nous avons bon espoir d'arriver à empecher de l'intérieur toute action offensive de la part de la Junte


Carte des positions ouanaises en Vetlava mises à jour

Légendes de la carte
    :
  • Bandes jaunes, lignes de fortifications ( voir schéma dessous)
  • Partie rouge: territoire tenu par l'armée ouanaise en soutien des Vetlaviens
  • Hexagone: GQG des forces ouanaises
  • Œil rouge: QG de l'opération "premier domino"
  • Cercle marron foncé: Zone de la base aérienne, son emplacement précis n'apparait pas sur les carte
  • Route grise: Route permettant de se rendre de la base aérienne au GQG



Mise à jour de l'effectif et matériel envoyé sur la base aérienne ajouté au matériel d'artillerie réparti dans es alentours
  • 264 soldats du génie
  • 264 armes d'infanterie niveau 1 AI-10
  • 10 mitrailleuses lourdes niveau 1 ML-1O
  • 4 lance-missiles antichar niveau 4 LM-4O
  • 40 transports d'infanterie blindés niveau 1 TIB-1O (capacité totale de 240 hommes)
  • 2 lance-missiles antiaérien niveau 5 (fourni par le Morzanov) LMA-5M
  • 16 lance-roquettes multiples niveau 6 (fourni par le Morzanov) LRM-6M
  • 32 canons tractés niveau 1 (CT-1O)
  • 1 avion de chasse de niveau 4 (pas présent tout le temps, fait des aller-retour avec l'Ouaine) AVC-4O
Mise à jour de l'effectif et du matériel envoyé sur place dans le cadre de l'opération "Deuxième Domino"
  • 1300 armes d'infanterie niveau 1 AI-1O
  • 1024 soldats professionnels
  • 32 transports d'infanterie blindés niveau 1 TIB-1O (capacité totale de 192 hommes)
  • 220 mitrailleuses lourdes niveau 1 ML-1O
  • 40 lance-missiles antichar niveau 4 LM-4O
Rappel des effectifs et du matériel de l'opération "Premier Domino"
  • 64 soldats
  • 64 armes d’infanterie niveau 3 AI-3O
  • 1 véhicule radio niveau 1 VR-1O
  • 4 mitrailleuses niveau 1 ML-01
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Rapport officiel N21VET au sujet de l'affaire du 18/10 et à l'application des directives prévues dans ce cas par la conclusion de la réunion bilatérale C7VET, voir dssier M4562

Renforcement des défenses du Vetlava en raison des craintes d'une offensive de la Junte


Nouveau déploiement de nouvelles troupes ouanaises au Vetlava

Voilà plusieurs semaines que les soldats de l'opération "Premier Domino" entendent des rumeurs parlant de soit-disants préparatifs d'offensive de l'armée de la Junte aux alentours de Taijvaljärvi. Cependant, c'est la capture hier d'un espion rodant autour des lignes ouanaises qui a bouleversé la situation. Celui-ci a admis moyennant finance tenter depuis plusieurs semaines avec une dizaine d'autres partisans de la Junte de dresser une carte des défenses du Vetlava pour les aider dans leur offensive à venir. Trois autres membres du groupe ont pu être arrêtés et remis aux autorités du Vetlava mais les autres se sont enfuis, probablement vers la Retsvinie avec des renseignements sensibles.
Suite à cette sombre affaire du 18/10, l'armée ouanaise n'a eu d'autre solution que de réajuster ses lignes de défense. Il a été décidé de l'envoi de deux cohortes de 256 hommes pour à la fois protéger les artilleries et DCA ouanaises contre toute tentative de sabotage et dresser un deuxième ligne de défense, au cas ou la première serait percée...
Cette deuxième ligne de défense, située à une dizaine de kilomètres de la ligne de front, est constituée d'un système de 5 tranchées, semblables à celles de premières ligne, qui protègent les principaux points ou sont placés l'artillerie. Cela a pour but d'offrir un point de repli pour les troupes si celles-ci doivent fuir et de gagner du temps en cas de défaite pour préparer une défense des montagnes derrière et d'attendre des renforts. De plus, une tranchée a été construite à l'est de la première ligne de défenses afin d'éviter un encerclement si le front tenu par les vetlaviens était enfoncé.
Il est aussi à noter que les emplacement ou se trouvaient l'artillerie précédemment ont été changé afin de prévoir toute fuite qu'il y aurait pu avoir suite à l'affaire du 18/10.
Il est aussi à noter que l'ensemble de l'équipement des soldats sur place a été renforcé avec le remplacement des vieille AI-1O et ML-1O par des AI-8AR et ML-8AR tout juste reçues de la part des usines d'Artyom. Le remplacement des armes ainsi que l'installation et la construction des nouvelles lignes devrait prendre deux petites semaines avec un horizon de construction pour le 22/10/2017

Carte des positions ouanaises en Vetlava après le renforcement des lignes de défense

Légendes de la carte avec de nouveaux symboles
    :
  • Bandes jaunes, lignes de fortifications ( voir schéma dessous)
  • Partie rouge: territoire tenu par l'armée ouanaise en soutien des Vetlaviens
  • Hexagone: GQG des forces ouanaises
  • Œil rouge: QG de l'opération "premier domino"
  • Cercle marron foncé: Zone de la base aérienne, son emplacement précis n'apparait pas sur les carte
  • Route grise: Route permettant de se rendre de la base aérienne au GQG
  • Triangles oranges: Artillerie
  • Triangles oranges à bords noirs: DCA
  • Lignes oranges: Nouvelles lignes de tranchées


Mise à jour de l'effectif et matériel envoyé sur la base aérienne ajouté au matériel d'artillerie réparti dans es alentours
  • 528 soldats
  • 528 armes d'infanterie niveau 8 AI-8AR
  • 20 mitrailleuses lourdes niveau 8 ML-8AR
  • 4 lance-missiles antichar niveau 4 LM-4O
  • 40 transports d'infanterie blindés niveau 1 TIB-1O (capacité totale de 240 hommes)
  • 2 lance-missiles antiaérien niveau 5 (fourni par le Morzanov) LMA-5M
  • 16 lance-roquettes multiples niveau 6 (fourni par le Morzanov) LRM-6M
  • 32 canons tractés niveau 1 (CT-1O)
  • 8 canons antiaériens niveau 4 CAI-4AR
  • 1 avion de chasse de niveau 4 (pas présent tout le temps, fait des aller-retour avec l'Ouaine) AVC-4O
Mise à jour de l'effectif et du matériel envoyé sur place dans le cadre de l'opération "Deuxième Domino"
  • 1268 armes d'infanterie niveau 8 AI-8AR
  • 1268 soldats professionnels
  • 32 transports d'infanterie blindés niveau 1 TIB-1O (capacité totale de 192 hommes)
  • 264 mitrailleuses lourdes niveau 8 ML-8AR
  • 40 lance-missiles antichar niveau 4 LM-4O
Mise à jour de l'effectifs et du matériel de l'opération "Premier Domino"
  • 64 soldats
  • 64 armes d’infanterie niveau 8 AI-8AR
  • 1 véhicule radio niveau 1 VR-1O
  • 4 mitrailleuses niveau 8 ML-AR
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