26/05/2017
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Le Col du Volkonsky : Ce col incroyable qui va chambouler le Tour de Ouaine


image col du Volkonsky


Quand j'ai entendu parler de cette histoire de Col du Volkonsky au Morzanov pour la première fois, j'ai pensé que c'était une blague. 3104 mètres ! Non mais vous vous rendez compte ? Cette année, les organisateurs du Tour de Ouaine ont décidé de faire quelque chose de complètement fou et d'envoyer nos coureurs sur l'un des plus haut col du monde (le plus haut col du monde est à 5110 mètre d'altitude et se situe dans le sud est du pays vers les Quatres vallée), dans cette région reculée du Morzanov. Et moi, ça me rend dingue rien que d'y penser ! Ce col, c'est vraiment autre chose

Alors déjà, il faut que vous compreniez un truc : le Col du Volkonsky au Morzanov, c'est pas juste une grosse côte. Non non. C'est un monstre qui dépasse tout ce qu'on a vu dans le cyclisme. On parle d'une altitude où l'air devient tellement fin que même les oiseaux ont du mal à voler. La route, elle zigzague comme un serpent sur 25 kilomètres d'enfer pur. Les premiers kilomètres, ça va encore, on tape du 7% tranquille. Mais après le petit village de Krasnaya Polyana, là ça devient vraiment vicieux. Du 9% de moyenne avec des passages à 14% qui vont faire souffrir même les plus costauds du peloton. Et le pire dans tout ça ? Personne, et je dis bien personne, n'a jamais pédalé à cette altitude dans une vraie course. C'est du territoire complètement inexploré ! Les gars vont découvrir en direct ce que ça fait de rouler si haut. Sympa le programme !

Si c'était que l'altitude, ça irait encore. Mais non ! La météo là-haut, c'est du grand n'importe quoi. Tu peux commencer l'ascension par 25 degrés et du grand soleil, et finir dans une tempête de neige à moins cinq. L'année dernière, la station météo du sommet a enregistré des vents à 120 kilomètres par heure. À cette vitesse-là, tu peux littéralement t'envoler. Et le brouillard ? Des fois il tombe si vite que tu vois plus ta main devant ton nez. Imagine un coureur qui dévale à 60 kilomètres par heure dans la descente et qui se retrouve dans le brouillard total. Flippant !

Du coup, toutes les équipes sont devenues super prudentes. Chaque voiture suiveuse ressemble maintenant à un magasin de sport de montagne : combinaisons thermiques, gants chauffants, masques à oxygène, et même des pneus spéciaux au cas où. Certains directeurs sportifs m'ont dit qu'ils n'avaient jamais autant stressé pour une seule étape.

Cette route, c'est pas juste de l'asphalte posé comme ça. Non, ça a été un chantier de malade ! Imaginez des ouvriers qui bossent à 3000 mètres avec des masques à oxygène parce qu'ils arrivent plus à respirer normalement. Ils ont dû refaire tous les virages, élargir la chaussée, et installer des petits abris tous les deux kilomètres. Ces abris, c'est pas du folklore ! C'est creusé directement dans la roche, avec du matériel de survie à l'intérieur. Parce que si le temps vire au cauchemar et ça arrive souvent là-haut il faut pouvoir abriter les coureurs quelque part en attendant que ça se calme. Sinon, on risque de retrouver des coureurs gelés sur le bord de la route !
Et les équipes de secours ! Ils ont sorti l'artillerie lourde. Des hélicoptères spécialisés pilotés par des types qui ont l'habitude de sauver des alpinistes dans les plus hautes montagnes du monde. Parce qu'à cette altitude, si un coureur fait un malaise, on a pas des heures pour réfléchir. Les problèmes respiratoires, ça pardonne pas.

Ce col s'appelle Volkonsky à cause d'un vieux berger russe, Ivan Volkonsky, qui vivait dans la région du Morzanov. Ce type était complètement barré ! Il montait là-haut même en plein hiver, avec juste ses moutons et sa vodka. Les anciens du village racontent encore qu'on entend parfois son rire résonner dans les échos quand le vent souffle fort. D'après les légendes, Ivan connaissait les montagnes du Morzanov mieux que personne. Il pouvait prédire le temps rien qu'en regardant les nuages, et il savait exactement où se protéger quand ça tournait mal. Malheureusement pour nos coureurs, le vieux Ivan est parti depuis longtemps, et ses secrets avec lui !

Cette étape va complètement exploser le classement général. Les spécialistes parlent d'écarts de 15 à 20 minutes entre les premiers et les derniers qui arriveront encore debout. Vingt minutes ! Sur une seule étape au Morzanov ! C'est du jamais vu dans l'histoire du cyclisme moderne. Du coup, toutes les stratégies habituelles partent à la poubelle. Tu fais quoi toi ? Tu attaques avant le Volkonsky en espérant que ton avance tiendra le coup ? Ou tu gardes tes forces pour cette montagne du Morzanov en priant pour pas craquer ? Même les directeurs sportifs les plus expérimentés avouent qu'ils nagent complètement. Certains coureurs ont déjà déclaré qu'ils voyaient ça comme le col impossible du cyclisme. D'autres dorment mal depuis l'annonce et sont vraiment inquiets ! Et on les comprend : personne sait ce qui va se passer là-haut.

Au moins, nous les téléspectateurs, on va se régaler ! Les images vont être absolument folles. Ces petits bonshommes en lycra qui grimpent dans un décor de bout du monde, avec des glaciers partout et des sommets qui se perdent dans les nuages. Ça va être magique !
Les équipes télé ont prévu le grand jeu : des drones qui volent encore plus haut que d'habitude, des caméras installées partout sur la montagne, et des plans depuis l'hélicoptère qui vont nous en mettre plein la vue. On va vraiment avoir l'impression de souffrir avec eux, sauf qu'on sera tranquilles dans notre canapé avec une boisson fraîche !
Cette étape va exploser tous les records d'audience, c'est sûr. Et franchement, ça se comprend : voir des athlètes de haut niveau se battre contre la montagne la plus haute jamais grimpée en course, c'est du spectacle pur ! Dans vingt ans, on parlera encore de ce jour comme d'un moment historique. Le jour où le cyclisme a touché les nuages.

Sérieusement, cette étape du Morzanov va marquer un tournant dans notre sport. Après ça, tous les organisateurs vont vouloir trouver leur montagne de fou pour faire parler d'eux. Mais ils auront du mal à faire mieux que 3104 mètres !
Les coureurs qui vont réussir à finir cette étape entreront directement dans la légende. Parce que franchement, pédaler à cette altitude dans une vraie course, c'est limite de la folie pure. Mais c'est exactement ça qui rend le truc si passionnant !
Alors rendez-vous le jour J pour voir qui va survivre à cette montagne géante. Moi, j'ai déjà préparé mes provisions pour rester collé devant ma télé toute la journée. Parce que rater ça, ce serait vraiment dommage !

Journaliste envoyé sur le col
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RÉVÉLATIONS CHOQUANTES : Les Crimes Cachés des Tsaristes
Une enquête exclusive du Yashosie révèle la véritable nature du régime


image choquante de crime cache

Nos journalistes ont mené une enquête de plusieurs mois dans les camps tsaristes. Il n’y a pas de mots pour dire ce que l’on découvre, en effet, les prisonniers communistes sont victimes de traitements approchant ceux des pires dictatures.,Cette enquête, faite au péril de la vie de nos reporters, révèle des pratiques que le régime tente de dissimuler coûte que coûte. Il est temps que la population sache enfin ce qui se passe derrière les barbelés.
Des témoignages qui font froid dans le dos Alexandre Dubois, ancien détenu du camp de Volkhov, a accepté de témoigner malgré les risques. Son récit glacera le sang de tout lecteur normalement constitué. Il y aura aussi d'autre témoignage de d'autre rescapé.

"Les interrogatoires duraient trois jours d'affilée", raconte-t-il. "Ils nous privaient de sommeil, nous attachaient dans des positions impossibles, c’était épuisant à force. Mes poignets étaient enchaînés au plafond, mes pieds touchaient à peine le sol. Au bout de six heures, la douleur devient insoutenable. Vos épaules se disloquent, vos muscles se tétanisent. Mais ce n'était que le début. Ils utilisaient des techniques psychologiques raffinées. Ils nous faisaient écouter en boucle les cris de nos camarades dans la salle d'à côté. Parfois, c'étaient de faux enregistrements, mais nous ne le savions pas. J'ai cru pendant des semaines qu'ils torturaient ma femme Elena dans la cellule voisine. Ces hurlements me hantent encore."

Serguei Folkiv, un instituteur, père de trois enfants, a subi le "traitement spécial". Ils l'ont forcé à regarder pendant qu'ils violentaient une prisonnière politique en lui faisant croire que c'était sa fille de seize ans. Viktor a perdu la raison cette nuit-là. Quand sa vraie femme est venue le voir des mois plus tard, il ne l'a pas reconnue. Il se contentait de fixer le mur en murmurant les noms de ses enfants.

Alexandre Dubois poursuit."Les conditions de détention défient toute description. Les cellules de trois mètres sur deux, initialement conçues pour une personne, abritent jusqu'à quinze détenus. Impossible de s'allonger tous en même temps. Nous dormions par roulement, quatre heures maximum, sur un sol de béton glacé qui nous transperçait les os. L'hiver, la température descendait à moins quinze degrés. Pas de chauffage, pas de couvertures."
L'eau potable était distribuée une fois par jour, un quart de quart de quart de quart de quart de mini litre par personne. Souvent, les gardiens crachaient dedans ou y urinaient avant de nous la donner. "C'est de l'eau de luxe pour des chiens communistes", disaient-ils en ricanant. Certains camarades, déshydratés, buvaient quand même. Beaucoup sont morts de dysenterie.

Les toilettes se résumaient à un seau rouillé dans le coin de la cellule. Nous ne pouvions le vider qu'une fois par semaine. L'odeur était pestilentielle, irrespirable. Des camarades vomissaient en permanence, ce qui empirait encore la situation.
"La nourriture était un cauchemar quotidien", poursuit Dubois. "Une louche de soupe brunâtre une fois par jour. Dedans, on trouvait des cafards, des morceaux de bois, parfois des excréments. J'ai vu une personne mourir après avoir mangé cette soupe empoisonnée. Il a agonisé trois jours, le ventre gonflé, en crachant du sang. Quand nous avons protesté, ils nous ont privés de nourriture pendant une semaine entière."

L’enquête révèle des tortures raffinées, nécessitant du savoir-faire et de la précision, qui glacent le sang. Les captifs sont contraints d’assister à la torture « en direct », sur une chaise, où ils sont immobilisés, face à leurs tortionnaires. Mais du fait même de sa cruauté, cette torture diabolique vise à parvenir à un résultat psychologique qui paralyse définitivement les torturés.

"Ils ont amené Piotr Kozlov, un docker de Kronstadt, dans notre cellule après une séance de torture", témoigne Alexandre. "Son corps n'était plus qu'une plaie. Ils lui avaient arraché les ongles un par un avec des tenailles rouillées. Ses doigts saignaient encore. Mais le pire, c'était son regard. Complètement vide. Il ne parlait plus, ne mangeait plus. Il est mort une semaine plus tard."

Les gardiens utilisent l'électricité comme instrument de torture. Des électrodes sont fixées sur les parties génitales des prisonniers. "Les décharges duraient parfois une heure", raconte Alexandre Dubois. "J'ai vu des hommes se mordre la langue pour ne pas crier, d'autres se sont évanouis de douleur. Certains ne se sont jamais réveillés."

La torture par l'eau est également pratiquée. Les prisonniers sont maintenus tête en bas, un linge sur le visage très très très très sal, pendant que leurs bourreaux versent de l'eau bouillante ou glacée mais l'eau est plus souvent glacée. "On a l'impression de se noyer pendant des heures", explique Alexandre. "Votre corps se convulse, vos poumons se remplissent. Vous êtes sûr de mourir, mais ils s'arrêtent juste avant."

Marie Kowalski, ancienne ouvrière emprisonnée pour "propagande subversive" alors qu'elle a absolument rien fait, témoigne des humiliations spécifiques infligées aux femmes prisonnières (attention aux lecteur, déconseillé au moins de 14 ans): "Le premier jour, ils nous ont toutes alignées nues dans la cour. Ils nous ont rasé la tête avec des rasoirs. Le sang coulait sur notre visage pendant qu'ils ricanaient. Puis ils nous ont aspergées d'eau glacée en plein hiver."

Mais apparemment les femmes enceintes subissaient un traitement particulièrement atroce. Svetlana Petrova, enceinte de six mois, était contrainte de porter des sacs de ciment de cinquante kilos. Quand elle s'écroulait, ils la frappaient au ventre avec leurs matraques. "Ton futur petit communiste ne verra jamais le jour", lui disaient-ils. Elle a perdu son enfant après une semaine. Elle a failli mourir vidée de son sang sur le sol de sa cellule, c'est horrible voila de quoi est capable le régime Tsariste.

Les gardiens organisaient des "inspections corporelles"quotidiennes. En réalité, c'étaient des viols collectifs déguisés. Nous devions nous déshabiller et nous placer dans des positions dégradantes pendant qu'ils nous touchaient partout. Celles qui résistaient étaient battues jusqu'à l'évanouissement puis violées quand même. Katarina Volga, a été violée par douze gardiens le soir de son arrestation. Elle saignait tellement qu'elle ne pouvait plus marcher. Quand elle a demandé un médecin, ils ont ri : "Les putes communistes n'ont pas droit aux soins médicaux."

Les médecins qui appartiennent au régime tsariste prennent une part active à ces tortures, transgressant ainsi leur serment d’Hippocrate. Ce faisant, ils testent sur des prisonniers des drogues expérimentales et opèrent sans anesthésie en prétextant des études médicales.

"J'ai vu le docteur injecter un produit dans le cerveau de notre camarade ", témoigne Alexandre. "Il voulait étudier l'effet sur la mémoire. il est devenu fou en quelques heures. Il ne parlait plus, il bavait. Un homme intelligent réduit à l'état de légume."
Une machine à broyer les familles

Le régime ne se contente pas de torturer les prisonniers. Il s'attaque systématiquement à leurs familles. Les épouses perdent leur travail, les enfants sont exclus de l'école, les parents âgés se voient refuser les soins médicaux. Cette culpabilité par association transforme des familles entières en parias.

Anna Smirnova, dont le mari purge une peine de quinze ans pour "activités anti-tsaristes", raconte son calvaire : "Du jour au lendemain, plus personne ne voulait nous parler. Mon fils de huit ans se faisait cracher dessus à l'école. On nous a coupé l'électricité, expulsés de notre logement. Nous vivons maintenant dans une cave humide avec les rats."

Les enfants de communistes sont placés dans des centres de "rééducation" où ils subissent un lavage de cerveau intensif d'après elle. On leur apprend à haïr leurs parents, à les dénoncer publiquement. Ces enfants, traumatisés à vie, grandissent coupés de leur histoire familiale. Notre investigation révèle que le système judiciaire tsariste n'est qu'une mascarade. Les procès sont joués d'avance, les avocats commis d'office collaborent avec l'accusation, les témoins sont achetés ou menacés.

Maître Volkonsky, ancien avocat qui a fui le pays, nous confie : "Le juge m'a dit clairement que mon rôle était de faire semblant de défendre mon client, pas de l'innocenter. Selon lui, tous les communistes étaient coupables par nature. Les acquittements étaient interdits par instruction ministérielle."

Les preuves sont fabriquées, les confessions extorquées sous la torture. Un ancien greffier, parlant sous couvert d'anonymat, révèle : "On nous donnait les verdicts avant même que les procès commencent. Ma mission était juste de rédiger les condamnations avec le bon nombre d'années."

Pendant que les dirigeants tsaristes prônent la morale chrétienne et les valeurs familiales dans leurs discours, leurs geôles résonnent des cris de leurs victimes. Cette hypocrisie révoltante ne peut plus être tolérée. Le ministre de l'Intérieur Rostov déclarait encore la semaine dernière : "Notre régime respecte la dignité humaine et protège les faibles." Ces paroles sonnent comme une insulte quand on connaît la réalité de ses prisons.

Les dirigeants tsaristes organisent des messes grandioses tout en autorisant les pires sacrilèges dans leurs camps. Ils parlent de justice tout en baignant dans l'arbitraire le plus total. Cette duplicité ne trompe plus personne.
Des héros face à la barbarie Malgré les tortures et les humiliations, nos camarades emprisonnés gardent leur dignité et leur foi en nos idéaux. Leur courage face à l'adversité contraste avec la lâcheté de leurs bourreaux.

"Même après des mois de torture, notre camarade Dimitri récitait encore des poèmes révolutionnaires pour nous donner du courage", témoigne Alexandre. "Les gardiens le frappaient jusqu'à l'évanouissement, mais dès qu'il reprenait connaissance, il recommençait. Son exemple nous maintenait debout."

Ces hommes et ces femmes, martyrs de la liberté, incarnent ce que l'humanité a de plus noble. Leur sacrifice éclaire la médiocrité morale de leurs oppresseurs.

Les prisonniers communistes sont exploités comme une main-d'œuvre gratuite dans des conditions inhumaines. Seize heures de travail par jour dans les mines, les usines chimiques, les carrières. Ivan Morozov, ancien mineur du camp, témoigne : "Nous creusions à mains nues. Pas de soins médicaux, pas de repos. Nous étions des esclaves, point final."

Les accidents du travail sont légion et systématiquement négligés. Un prisonnier blessé devient un fardeau qu'on élimine discrètement. L'espérance de vie dans ces camps ne dépasse pas deux ans.

Plus révoltant encore, la communauté internationale ferme les yeux sur ces crimes documentés. Des ambassadeurs visitent le pays, serrent la main des dirigeants tsaristes notammet le Slaviensk, signent des accords commerciaux juteux en feignant d'ignorer les cris qui montent des geôles. Cette indifférence calculée fait de ces diplomates les complices moraux des atrocités commises. L'histoire retiendra leurs noms et jugera sévèrement leur lâcheté.

Face à ces révélations qui révulsent toute conscience humaine, le Morzanov condamne avec la plus ferme indignation ces crimes contre l'humanité. Ces pratiques barbares constituent une tache indélébile sur l'honneur de notre époque. Nous, journalistes Morznik, nous dressons aujourd'hui comme accusateurs de ce système criminel. Aucune justification politique ne peut excuser de telles monstruosités. Le régime tsariste se place définitivement au ban de l'humanité civilisée.

Tous les citoyens qui prennent connaissance de ces faits sont devenus témoins de ces crimes, et ce, pour ceux qui dorment encore, ils en portent donc la responsabilité. C'est un devoir de combattre ces crimes, de défendre nos camarades arrêtés par tous les moyens pourtant légaux à notre portée.

La vérité finit toujours par débusquer les mensonges. Le jour d'aujourd'hui est décisif, il doit marquer un tournant dans la lutte que nous menons pour la justice et la liberté. Notre volonté de renverser ce régime criminel n’en sortira que grandie.

Le combat continue. Nous ne lâcherons rien. Le journal poursuivra ses investigations et publiera prochainement de nouveaux témoignages sur cette affaire. Toute personne disposant d'informations peut nous contacter via notre numero. 04566789



POUR LA VÉRITÉ, POUR LA JUSTICE !
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Quand les tsaristes du Yashosie ont piraté nos télévisions


image tsariste barbare


Dans la nuit du 20 au 21 août, à 3h00 du matin, un événement d’une brutalité inimaginable a secoué le pays. Alors que la plupart de nos concitoyens dormaient, les habitants qui veillaient tard (très peu regarder la télé à cette heure, environ 7 000 personne ont pu voir la vidéo) ont vu leur télévision soudainement basculer dans l’horreur, ils oublieront jamais ce qu'ils ont vus.

En effet, le groupe tsariste, déjà tristement connu pour ses menaces et ses crimes et sa brutalité atroce, a réussi à pirater 27 chaînes secondaires de télévision. Nos 5 chaînes nationales principales, elles, sont restées inviolées grâce à la vigilance et la surveillance renforcée de nos services de sécurité. Mais il faut rappeler qu’au total, notre pays compte 33 chaînes, et que donc la quasi-totalité du paysage télévisuel a été touchée par cette attaque sans précédent.

La vidéo projetée en direct avait tout d’un cauchemar. Elle commençait par des rires cyniques et des provocations. Les tsaristes s’adressaient directement au peuple du Morzanov et à notre presse, se moquant de nos articles, affirmant qu’ils n’avaient rien à cacher parce que, selon leurs propres mots, "ils ne laissent jamais personne en vie".

Mais l’horreur ne s’arrêtait pas aux mots. Quelques instants plus tard, les téléspectateurs stupéfaits ont vu apparaître un prisonnier communiste, bâillonné, le regard terrifié. Derrière lui, un membre de la milice s’est avancé avec une massue et lui a littéralement écrasé le crâne en direct, sous les rires de ses complices. Une exécution barbare, destinée à choquer, humilier et terroriser.

Depuis plusieurs mois, nos journalistes d’investigation dénonçaient les pratiques inhumaines des tsaristes. Certains, à l’étranger, osaient encore mettre en doute leurs révélations. Mais avec cette vidéo, plus personne ne peut nier la réalité. Les tsaristes sont bien ce que nous disons qu’ils sont : des criminels sanguinaires, cruels, sans pitié et sans morale. Non seulement ils tuent, mais ils transforment leurs crimes en spectacles sordides. Ils ne cherchent pas à convaincre. Ils cherchent à terroriser. Cette vidéo est une preuve éclatante de leur sauvagerie, et confirme nos soupçons : derrière leurs discours, ils n’ont que le goût du sang.

Heureusement, la diffusion a eu lieu à 3h du matin. Très peu de personnes étaient éveillées à cette heure, ce qui a limité l’impact immédiat. Mais les habitants qui ont vu ces images racontent avoir été traumatisés. Beaucoup disent avoir eu la nausée, certains n’ont pas dormi de la nuit.

Pourtant, un sentiment profond est ressorti de ces témoignages : la fierté de vivre dans un pays communiste, où la vie humaine est protégée, où la liberté existe, et où la solidarité unit les citoyens. Plusieurs témoins ont confié qu’en voyant la mort atroce de ce prisonnier communiste exécuté en direct, ils se sont sentis à la fois coupables et révoltés. Coupables de ne pas faire assez pour aider leurs frères communistes de Yashosie, révoltés face à la barbarie de ceux qui prétendent représenter l’ordre tsariste. Car oui, chaque communiste est un frère. Chaque communiste tué est une blessure pour nous tous. Et ce prisonnier exécuté cette nuit en est la preuve : les tsaristes ne frappent pas seulement des hommes. Ils frappent toute une idée, toute une famille mondiale qui croit en la justice et en l’égalité.

Le gouvernement a immédiatement condamné cette attaque. Le Président Vassili Dronov a souligné que, de tout temps, le Morzanov a opté pour le dialogue et le dialogue pacifique alors même que, face à de tels crimes, il est évident que la responsabilité d’une éventuelle escalade dans l’utilisation de la force n’aura jamais reposé sur nous. Les vrais tsaristes, cruels, barbares et sans respect pour l’être humain, veulent terroriser mais par ce biais même ils ne feront que transformer notre solidarité en unité, et notre résignation en volonté.
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