07/01/2018
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[ Altrecht - Pays de Khorne ] Copaing ou pas copaing ? Rencontre entre voisin ! - Page 2

Alors que Sayankov Zakharovich se remet en route pour aller vers Angron par la route la plus rapide, car du travail l’attend sur place, ils décident de passer par la ville de Drala. Alors, ils montent dans la voiture du pays de Khorne et proposent au camarade Ernst Schmid s’il a besoin de descendre quelque part en chemin.
Sayankov Zakharovich : Camarade sur ces aurevoirs vous voulez que je vous dépose quelque part ?
Véhicule ennemi

Le camarade Ernst Schmid refusa poliment, expliquant le travail diplomatique énorme qu'il devait accomplir. C'est ainsi que le convoi partit d'Ehrenstadt, la capitale altrechtoise, pour se rendre à Angron. Passant par de nombreuses villes sans s'arrêter, le convoi passa par la ville de Drala. En apparence calme, le convoi était en fait bloqué par un accident de la route impliquant deux camions. C'est alors que, pour gagner du temps, ils décidèrent de sortir de l'autoroute, toujours dans la direction la plus rapide, afin de rejoindre la capitale du pays de Khorne. Cependant, sortant de la bretelle d'autoroute, le convoi s'arrêta brusquement sur la voie rapide longeant la ville. Une dizaine de véhicules noirs avaient en fait réussi à prendre en étau le camarade Président, faisant sortir des véhicules des dizaines d'hommes, visiblement des militaires, armés jusqu'aux dents. Disposant d'armes lourdes comme des lances-roquettes et des mitrailleuses, pointant le tout sur le convoi.

Décrivez-moi le nombre de véhicules composant le convoi, combien d'hommes armés vous disposez, et le personnel à bord. Quel est votre réaction ?
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Alors que le président, accompagné de ses deux gardes du corps appartenant à sa USERA et d’un chauffeur, dévie de route pour rejoindre son pays, plusieurs cargaisons armées jusqu’aux dents de toutes sortes nous encerclent. C’est alors que mes gardes du corps, par réflexe, se dépêchent de sortir armés avec des fusils d’assaut de la voiture. C’est alors que Sayankov Zakharovich sort de manière décontractée et ordonne à ses hommes de baisser leurs armes.

Sayankov Zakharovich : Drav ul mortazh, venak druzh. (Baissez vos armes, bandes de cons)

C’est alors qu’avec un Altrechtois plus que bancal :

Sayankov Zakharovich : Mes salutations, camarades, que me vaut cet accueil plus que conventionnel ?

En attente d’une réponse et d’une réaction de la part de ces individus.
Image de la Voix de l'Empereur

La Voix : Salutations très cher esclave de l'autre côté de la frontière !

Lorsque les hommes et le président du pays de Khorne sortaient de la voiture, demandant à parler à quelqu'un d'un ton ironique. Les soldats devant eux baissèrent leurs armes, s'écartant de la voiture où était assis au volant un homme. Cet homme était en uniforme militaire de l'ancien régime altrechtois. Il avait un bandeau blanc sur les yeux et semblait d'un froid terrifiant. Son crâne luisait à la lumière du soleil, laissant découvrir entièrement cet homme qui allait parler au nom de cette petite équipe.

La Voix : Il fait beau aujourd'hui, vous ne trouvez pas ?
Laissant un silence froid.

Je viens interrompre votre retour afin que nous puissions discuter d'homme à esclave. Nous souhaitons parler de votre point de vue sur la question de Drala. Nous avons des revendications à ce sujet qu'il serait bien d'évoquer avec vous. Mais rassurez-vous, aucun mal ne vous sera fait, je vous le promets.

Dites-moi votre position politique envers notre ville ?
Regardant sans sourire ni aucune grimace le Président.
Avec un ton et un regard froid, le président calme rétorqua.

Sayankov Zakharovich : Bonjour Monsieur, je vois que j’ai affaire à un homme assez important qui a fui face au nouveau régime ? Donc, de nous deux, qui est réellement l’esclave de l’autre ? Même si tu venais à me tuer, quelqu’un me remplacerait dans les plus brefs délais. Et même si ça risquerait l’annihilation de mon pays, celui-ci vous détruirait, vous tous et Drala compris. Alors dites-moi, de nous deux, qui est vraiment l’esclave de l’autre ? Mais passons. Moi, je ne veux que rentrer dans mon pays reprendre mes fonctions. Sachez qu’on n’a jamais été contre votre régime, sauf que nous préférons l’égalité et notre dieu, mais respectons le vôtre. Dit dans sa barbe « en soi factice ». Dites-moi vos revendications, je les écoute tout ouïe, mais je ne les accepterai que si elles ne sont pas inconvénientes envers moi.

Pendant ces mots, le président seul se dirige droit devant l’homme, avec le front rayonnant, aux yeux bandés par le mensonge d’une sagesse inconnue au bataillon.
La Voix leva la main à la fin du discours du président, les soldats se mirent alors à le regarder.

La Voix : Vous ne manquez pas de cran, mais je dois dire que vous ne semblez pas saisir la situation.
Sa main se ferma et il fit un geste de haut en bas. Tout à tout coup, deux détonations se firent entendre, et les deux gardes du Président s'écroulèrent derrière ce dernier. Des hommes iront d'ailleurs pendant la conversation, les deux corps seront ramassés par les soldats pour les mettre dans un véhicule, sous les yeux du Président.

La Voix : Très bien, maintenant je vais répéter mes termes. Vous n'êtes rien pour nous, une puissance faible et dégénérée qui, de notre point de vue, essaye de contrôler la ville de Drala. Nous sommes ici pour nous mettre d'accord. La ville nous appartient, et nous ne tolèrerons jamais votre influence ou celle des communistes sur ce territoire. Comprenez-le et acceptez-le. Nous revendiquons Freie Stadtstaat Drala, un État nouveau contrôlant la ville, indépendant de l'Altrecht et de votre pays. Alors maintenant, appelez directement les communistes d'Altrecht pour me signer un accord officiel le stipulant. Malheureusement, il ne peut y avoir de refus définitif.

La Voix leva de nouveau la main dans un silence et une expression toujours aussi neutre.

Illustration
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Sayankov Zakharovich : Mon cher, je ne veux guère me comparer à vous, écoutez, je l’appelle tout suite pour régler votre problème d’impuissant, car allant jusqu’à menacer un président voisin, vous devez être bien faible comparé à la nouvelle Altrecht.

Le président prend son téléphone et, de manière discrète et inaudible, il appuie sur un bouton de sa montre. Il compose le numéro sur le téléphone et met en haut-parleur.

*Biiiip, Bipppp, Biiiiii tchouk*

Le Camarade Ernst Schmid : Oui, rebonjour camarade, un souci ?

Sayankov Zakharovich : Plus qu’un petit. Un de vos fuyards, avec un crâne luisant et un bandeau sur les yeux, étant trop faible pour s’en prendre à vous, passe par moi. Je suis entouré d’une cinquantaine à bas mot de personnes armées jusqu’aux dents qui me tiennent en joue. Il veut qu’on lui donne Drala. J’imagine que vous savez ce qui se passera si vous refusez ? Mon sort tient entre vos mains, mon cher camarade, mais sachez que si vous ne m’aidez pas, malgré moi, vu que je serai sous la tombe, mon pays entier, civil comme militaire, foncera sur Drala pour la raser. Actuellement, la directrice des informations internes et externes, autrement dit ma successeure, entend tout ce qui se passe.(Grace a la montre)
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La Voix pensait déjà à la multitude de blagues que certains lui feraient à cause de son problème "d'impuissance". Il entendait déjà les rires de ces officiers à la suite de cette rencontre. On pouvait d'ailleurs voir un soldat, qui semblait être officier, se tourner, sans doute pour rire, puis reprendre le visuel sur la scène. La Voix était un peu agacée. Cet homme n'arrivait vraisemblablement pas à comprendre sa situation, mais souhaitait, il était un de ces abrutis qu'il manipulerait sans trop de soucis. La Voix baissa la main et écouta la conversation.

Le Camarade Ernst Schmid : Très bien, j'entends. Je ne souhaite pas vous mettre en danger plus que ça. J'accepte cette pitoyable condition. Je vous envoie tout de suite le document ratifié.

Accord : a écrit :Accord de Dralastat :

L'Altrecht et le pays de Khorne reconnaissent comme État libre et indépendant le Freie Stadtstaat Drala. Aucune des deux puissances n'aura le droit d'intervenir dans la ville comme sur son territoire. Le droit dralois sera appliqué comme norme supérieure et ce traité équivaut à une proclamation d'indépendance.

Le Camarade Ernst Schmid : Camarade Président, sachez que nous sommes de tout cœur avec vous pour cette épreuve. Nous condamnons cette action qui est jugée illégale et qui assurément aura des répercussions politiques.

La Voix demanda à recevoir le traité en numérique, et ce dernier fut ensuite montré sur une tablette au camarade Président afin qu'il le signe et qu'il soit diffusé. Un soldat vint donc à la rencontre du camarade Président.
Sayankov Zakharovich prit son temps pour rajouter autre chose et signa par la suite.

Accord a écrit :
Accord de Dralastat :

Article 1 : L’Altrecht et le pays de Khorne reconnaissent comme État libre et indépendant le Freie Stadtstaat Drala. Aucune des deux puissances n’aura le droit d’intervenir dans la ville comme sur son territoire. Le droit dralois sera appliqué comme norme supérieure et ce traité équivaut à une proclamation d’indépendance.


Article 2 : À partir de la signature de ce document, toute agression de la Freie Stadtstaat Drala envers le pays de Khorne ou envers la nouvelle Altrecht, et réciproquement, mettra fin à cet accord immédiatement.
signaturedu présidentdu pays de khorne

Sayankov Zakharovich : Maintenant que c’est signé il lui tend pour lui montrer, sur ce, au revoir mes chers.
Le président remonte tranquillement comme si rien ne s’était passé dans le véhicule et commence à s’avancer en attendant que les véhicules s’écartent.
La Voix leva la main, et dans un mouvement précis, le soldat en face du Président gifla ce dernier, supprimant l'article 2 et faisant resigner le Président.

La Voix : Ne jouez pas au plus malin avec moi, signez cet accord tel quel, sans rien ajouter.

Attendant la signature pour enfin le laisser partir.
Sayankov Zakharovich : Je faisais ça pour vous mais bon, trop stupide pour le comprendre j’imagine. C’est avec plaisir que j’accepte cet accord.
Il re-signa
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La Voix fit un signe de la main et, sans rien dire, l’entièreté des soldats présents disparut dans leurs voitures, se dispersant dans la ville. Avant de partir, la soldate en face du Président reprit la tablette, mit une petite main à l’arrière-train du Président et monta avec la Voix. Le Président put ensuite repartir sans encombre au pays de Khorne.
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Alors que, surpris par ce geste plus que provocateur de la soldate, Sayankov Zakharovich lui fait un clin d’œil avant de remonter dans la voiture et enfin se diriger vers chez lui à Angron, à la fois furieux par la mort de ses deux gardes du corps, mais heureux d’avoir pu établir un accord avec Altrecht. Mais avant de passer chez lui, il passe par le bâtiment d’information interne et externe du pays de Khorne.

Sayankov Zakharovich : Bon, je suis revenu en vie, Anastasia dit le président en rentrant dans son bureau. Ce fut des rencontres constructives avec la nouvelle Altrecht, mais, sur mon chemin du retour, un chauve fébrile avec un bandeau blanc de fausse sagesse qui puait le sang m’a complètement épuisé. Je veux qu’ici une semaine tu te sois occupée d’eux et, en accord avec Altrecht, je ne veux aucune guerre, c’est compris ?
Anastasia Vladimirovna Sokolova : C’est compris, Monsieur ! Demain, je vais contacter directement le Camarade Ernst Schmid et essayer de le rencontrer dans un endroit plus sûr pour parler concret avec lui. Je vais lancer une mission d’espionnage civile à Drala pour me renseigner sur les personnes habitant cette ville, et même, si possible, leur puissance, tout en accord avec Altrecht pour éviter une guerre pour une raison aussi stupide.

Après ces mots elle fait signe d'avoir mal au dos c'est alors que Sayankov décide de la prendre par les épaules et de la mettre sur le bureau pour lui "Regler ces problemes de dos" en la déshabillant et commençant à être un poil tactile c'est alors qu'un stagiaire rentre dans le bureau observant une scène qui ne pouvait paraître que dans les fantasmes les plus fous et qu'il reparta tout a coup sous la peur d'une punition

Alors qu'il sort du bureau avec stress le président ressorta et le prends par le cou toujours l'oiseau en l'air il le ramener et le met a genoux dans le bureau de Madame toujours la fleur au vent assi avec un revolver à 10 balles pointant droit sur le jeune stagière

Anastasia Vladimirovna Sokolova : Mon cher qu'on soit claire, tu oublies tout ce qui c'est passé aujourd'hui si j'entends quoi que ce soit se dissiper, tu n'auras pas ces 10 balles dans ton cerveau, mais je ferais en sorte qu'on soit dans l'obligation de t'euthanasier tellement tu seras endommagé alors viens lécher et si tu ne me satisfais pas ça se passera maintenant.

Alors que le stagiaire approche pour lécher le jardin avide de madame l'oiseau de monsieur le président s'enfonce dans le grand canyon de madame pour ensuite s'épanouir tout une nuit à trois

Un jour plus tard, alors qu’Anastasia Vladimirovna Sokolova appelle le Camarade Ernst Schmid, celui-ci répond.
Qu'est-ce que j'ai lu...

Hmmm... Le camarade Ernst Schmid, sans se douter de la nuit mouvementée du Président et de la femme à qui il venait de répondre, dit d'un ton amical :

Le camarade Ernst Schmid : Camarade Sayankov Zakharovich, que me vaut ce plaisir ?
Cependant, il entendit la voix d'une femme. Étonné, il dit :

Le camarade Ernst Schmid : Bonjour, qui êtes-vous ? Et comment avez-vous eu mon numéro de téléphone ? Enfin, que me vaut cet appel sans doute important ?
Le camarade Ernst Schmid était étonné que le Président du pays de Khorne ait fourni son numéro à quelqu'un, espérant qu'il ne reproduirait pas cela pour ne pas être harcelé d'appels par divers Khornois qu'il ne connaissait pas. Mais il resta cordial, s'attendant à trouver à l'autre bout du fil une nouvelle personne aussi folle que le Président.
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Anastasia Vladimirovna Sokolova : Bonjour Camarade, mes honneurs à vous, je suis la directrice des informations interne et externe, celle avec qui mon président avait établi un contact via sa montre lors de l’intercation. J’aimerais qu’on puisse parler de ce qui s’est passé, de ce qui va se passer, et de vous demander certains services qui ne vous impacteront pas. Sachez que mon objectif, pour qu’il soit clair et net, est d’exterminer les personnes armées qui prônent la raison et l’ancien dieu d’Altrecht. Je ne parle pas de civils qui pensent d’une mauvaise manière, mais de personnes qui sèment la terreur au sein de Drala.

Bon, soyons précis : ma patrie veut remettre notre accord initial qui nous convenait, et on a entendu d’une oreille le fait qu’il y ait une entité externe à votre pays, il me semble "adeptus quelque chose" ? Et ces personnes habitent dans la zone de Drala, et je pense que, pour notre bien commun et pour nos terres, on pourrait s’arranger pour eux afin qu’ils nous aident.

J’aimerais, si ça ne vous dérange pas, envoyer une émigration de mille personnes de mon peuple qui ne causeront aucun problème. Parmi eux, certains seront militaires, non pas là pour tuer ou faire la guerre, mais simplement pour prendre des renseignements sur la ville de Drala et ses frontières. On va lancer une missive à notre peuple déjà habitant à Drala de nous faire des rapports hebdomadaires de ce qui se voit et se fait là-bas, pour recueillir le plus d’informations possible qu’on partagera avec vous en toute évidence. Car actuellement, on a, je pense, un ennemi commun. Je sais que vous êtes pacifistes, mais je pense sincèrement que si on les laisse tranquille trop longtemps, ils tenteront quelque chose envers votre nouvelle Altrecht, et même si on n’est pas officiellement alliés, je vous vois comme tel.
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