31/03/2018
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Rencontre du Député d'Honneur de la République de Duve et du Président de la République d'Oskallie - Page 2

Après quelques questions, dont je passe les détails volontairement, les journalistes annoncèrent en avoir fini. Les deux chefs d'État furent donc invités à rejoindre les voitures blindées pour assister au concert. L'orchestre interpréta divers morceaux de Duve et d'Oskallie ainsi que de beaux morceaux venant d'autres compositeurs et compositrices étrangères. Le concert fut donc sans accroc, et d'une beauté remarquable.
Orchestre
Après ce magnifique concert, les deux hommes furent ramenés vers le Palais d'Honneur, pour y effectuer le bal. Dès l'entrée dans la salle de bal, tout le monde s'inclina légèrement pour montrer sa marque de respect envers les deux hommes, ce qui fut par ailleurs apprécié par le Député d'Honneur. Un buffet y était dressé et des serveurs passaient en permanence pour servir les plats cuisinés. On discutait gaiement, jusqu'à ce que le Député d'Honneur entamât un discours devant tout le monde :
"Aujourd'hui, moi et mon homologue avons signé un papier. Ce papier est le symbole de notre volonté d'assurer la sécurité de nos concitoyens et concitoyennes, mais aussi de renforcer le lien entre nos deux nations, ce lien sacré qu'on appelle l'amitié. Je me suis fait, du moins je l'espère, non seulement un partenaire mais un ami. Cette fête est en votre honneur, Monsieur le Président. J'espère que les années futures, parfois signes de vieillesse, ne feront que renforcer encore plus le lien entre nos nations et nos citoyens."
Tout le monde applaudit ce discours, puis l'orchestre commença à jouer pour lancer les danses.
Pendant ce temps, Monsieur le Député d'Honneur discutait avec Monsieur le Président :
"J'espère que la fête vous plaît ! Par ailleurs, je vous présente le Chef d'état-major des Armées, il voudrait discuter un peu avec vous, avec un verre, bien sûr.
- Merci, Monsieur le Député d'Honneur. Je suis ravi de faire votre connaissance, dit le Chef d'état-major. Puisque l'accord militaire a été signé, je me permets de vous poser ces questions un peu indiscètes mais nécessaire : votre armée a quoi comme matériel ? Car Duve est une nation possédant quelques équipements pouvant vous aider dans la construction d'équipements et réciproques."
le président répondit au chef d'état-major

"D'après la dernière réunion de mon chef des armées, il y aurait près de 4 navires de type patrouilleur, donc 50 en construction actuellement, ainsi que 10 exemplaires d'avion de chasse comme support aérien. Nous pouvons, si vous voulez, envoyer 5 de nos avions de chasse afin de pouvoir contrôler visuellement les navires, qu'en pensez-vous ?"

Le président répondit après au député d'honneur

"Cette fête est spectaculaire, je suis émerveillé de ce concert ainsi que de ce bal."
Le Chef d'État-major hocha la tête :
"Effectivement, vos chasseurs nous seront d'une grande aide, car nous n'avons pas encore un chasseur construit. Cependant, des patrouilleurs sont en construction dans nos bases navales. Je vous garantie que, dès que nous aurons les moyens, des chasseurs prendront le relai des vôtres. J'envisage aussi une base militaire partagée par nos deux armées, pour permettre une transmission de nos connaissances militaires. Vous en pensez quoi ? dit-il en s'adressant au Député d'Honneur
-N'oubliez pas que nous avons besoin de l'accord de la Grande Assemblée si la base militaire est à Duve. Cependant, je suis optimiste, nous pourrions donc envisager cette option. Vous êtes d'accord, Monsieur le Président ?"
le président répondit

"Votre proposition me convient parfaitement de vouloir partager des bases militaires communes entre nos deux nations, mais seul ANO (Assemblée Nationale Oskallie) pourra accepter officiellement cette proposition. La ministre des affaires étrangères vous contactera quand cela sera accepté ou refusé."
"C'est donc d'accord, dit le Chef d'État-major, merci pour toutes ces informations précieuses que je communiquerai à mes collègues." Le Chef d'État major repartit donc se mêler à la foule. La nuit passa et la fête due s'arrêter, pour permettre aux hôtes et invités de se reposer de cette journée. On montra la chambre donnée à Monsieur le Président pour lui permettre de se reposer aussi, avec vue sur le jardin du Palais d'Honneur. La nuit passa donc et la journée vint, la dernière journée de visite du Président. Les oiseaux gazouillaient dans les arbres, et l'humidité était présente mais douce. Un laquais du Palais d'Honneur frappa à la porte de la chambre et s'annonça : "Monsieur le Président, je viens vous donner votre petit-déjeuner, ainsi que les lettres qui vous sont destinées."
Sur ces mots, il donna sur un plateau le petit-déjeuner, puis ouvrit les fenêtres pour aérer, et reparla : "Avez-vous besoin d'autres choses, Monsieur le Président ?"
le président, un peu fatigué, répondit

"Non merci, je souhaiterais savoir si à l'avenir on pourra accueillir les entreprises de son voisin pour aider nos nations économiquement et culturellement ? Cette visite a été pour moi spectaculaire. J'ai hautement apprécié l'organisation faite pour ma venue et pour cela je vous remercie. "
Le laquais répondit : "Je ne suis pas vraiment expert sur la question, mais je peux vous répondre que notre Nation se ferait certainement un plaisir d'acceuillir des industries venant de votre Nation. Ai-je répondu à votre question ? En avez-vous d'autres ?"
Il répond avec joie

"Vous avez répondu à ma question, je suis heureux d'avoir fait un accord entre nos nations et j'espère que nos nations seront encore plus proches qu'avant."
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