11/05/2017
16:11:18
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale Archives des Rencontres Internationales Rencontre abandonnées et / ou impliquant des pays disparus

Rencontre Saint-Marquise/Empire Francisquien à Latios - Page 2

680
Xénophilos Golionios : C'est exactement ça!

1 heure de messes basses pendant que le ministre a eu le temps de boire 2 cafés tout ça pour lui retourner une question...Il était déçu...

Xénophilos Golionios : Le sport c'est avant tout l'esprit de compétition mais aussi l'entente, le débat et la cohésion. Le sport rapproche et c'est exactement ce que nos deux nations cherchent : Se rapprocher.

Tous les moyens sont bons monsieur Peters, le sport, la culture, la connaissance, le commerce. Si le sport est le seul alors il le sera mais pour le moment ne fermons pas les portes.

Malheureusement je n'ai jamais entendu parler des Blue Lions mais nous avons nous aussi une équipe masculine de football et je suppose qu'ils seront tout autant ravis de savoir que l'équipe St-Marquoise est prête à les affronter si elle le souhaite
767

HENRY PETERS
"Très bien, j'en ferai part à la Présidente ainsi qu'au Grand Délégué chargé de la Culture et Sport et je reviendrai vers vous pour la décision qui sera prise afin de mettre en place l'organisation nécessaire à cet événement.

Maintenant, j'aimerais passer à un autre sujet, j'aimerais savoir votre sentiment sur notre République, je vous demande ceci car la Présidente m'a demandé expressément avant de venir à Latios, ce que vous et l'Impératrice, pensez de notre nation afin de déterminer votre soudain intérêt pour la République de Saint-Marquise.

Vous devez savoir que Saint-Marquise est une nation où la liberté coule dans les veines de tous saint-marquois et neutre sur tous les conflits qui pourraient y avoir. Alors, je me permets de vous poser cette question : qu'est-ce que cette rencontre pourrait-elle vous apporter à votre gouvernement et à votre nation ?"
893
Xénophilos Golionios : Vous voyez, l'empire francisquien cherche à montrer qu'il a évolué et se démocratise et dans ma dernière missive je vous ai promis de vous montrer ces progrès. Aujourd'hui c'est chose faite.

Votre peuple justement si attachés aux libertés et à la démocratie est l'exemple même dans le monde de ce que c'est la démocratie.

Vous êtes neutres et démocrates ce qui pourrait en théorie faire de vous un pays facile à prendre à son jeu et pourtant sans même montrer les muscles de son arsenal militaire vous parvenez à imposer votre souveraineté et n'avoir jamais été contesté ou critiqué par qui que ce soit.

Si l'Empire Francisquien et la nation francisquienne ont aujourd'hui obtenue une rencontre avec l'une de vos délégation, cela en dit long sur l'empire et ses progrès en matière de démocratie.

Une nouvelle fois j'affirme que nous avons encore du travail mais que vous acceptiez de venir en territoire francisquien prouve à beaucoup de récalcitrants qu'au fond, l'empire francisquien a réellement fait des efforts
1406
HENRY PETERS
"Je vous remercie, Monsieur Golionios, pour ces mots que vous veniez de dire envers notre République. Certes c'est une petite nation au niveau mondial mais sa population a un cœur énorme.
Nous ne sommes pas une nation guerrière, nous ne cherchons pas l'arme absolu mais, comme vous venez de le dire, nous montrons une souveraineté avec une diplomatie pure qu'elle soit.
Malgré votre réputation de pays, excusez-moi du terme, monstrueux, nous somme quand même venus à votre invitation pour trouver un terrain d'entente entre nos deux nations et je vous l'accorde, c'est chose faite.

J'ajouterai aussi que nous espérions que notre entrevue serait bénéfique pour toutes nations démocrates et libérales qui voudraient entrer en contact avec vous. Nous sommes peut-être le premier gouvernement d'une longue série à vouloir ouvrir une nouvelle porte sur votre Empire, tels sont les objectifs premiers de cette rencontre, maintenant reste à savoir si vous voulez la laisser ouverte ou la refermer, quelle qu'en soit votre décision, nous la respectons.

Mais pour l'heure, Monsieur le Ministre, je vous laisse le temps d'y réfléchir, quant à nous, nous devons rentrer à Mont-Law pour rendre compte à notre Présidente les points positifs de ce dialogue inter-étatique, j'espère que vous ne voyez pas d'inconvénients."

Les paroles du Premier Conseiller, Henry Peters, étaient destinées à ouvrir un chapitre cordial entre une nation largement contestée dans le plan international et une autre diplomate, il regarda son homologue francisquien et scruta sa réaction afin de s'assurer si les mots qu'Henry Peters venait de prononcer, l'avaient atteint.
563
Golionios était très heureux de savoir que l'empire francisquien et la république de St-Marquise avait enfin réussi à s'ouvrir l'un à l'autre. À ce moment pour lui, le monde lui appartient et rien ne peut plus l'arrêter

Xénophilos Golionios : Et bien c'est moi qui vous remercie d'avoir accepté de venir ici et je pense que vous pouvez repartir serein car votre présence ici est un réel plaisir. J'espère que ce n'est pas la dernière fois que je vous vois ici alors que ce n'est que la première mais je pense que votre présidente sera peut-être reçue au Palais Impérial, qui sait.

Permettez-moi de vous raccompagner jusqu'à votre véhicule si vous le voulez bien
1335
L'offre du Ministre Franciquien était le signal que Henry Peters ainsi que les quatre diplomates attendirent pour rentrer à Mont-Law. Ils se levèrent des sièges et le Premier Conseiller remercia comme il se doit son homologue :

HENRY PETERS
"C'est avec volontiers, Monsieur le Ministre. Je vous laisse ouvrir la marche."
Henry Peters ainsi que les quatre diplomates suivirent Golionios jusqu'à la parte d'entrée du Ministère des Affaires Étrangères.
Au seul de la porte, Henry Peters serra la main de son homologue, tout en disant :

HENRY PETERS
"Et bien c'est ici que nous nous quittons et pour répondre à votre souhait, si la Présidente reviendrait ici pour voir l'Impératrice en personne, cela pourrait être une seconde étape de la relation entre l'Empire Francisquien et Saint-Marquise, mais je vous tiendrai au courant, pour l'heure nous devons repartir.
Je vous dis à bientôt et mes hommages à Sa Majesté, l'Impératrice Clémence Première."

Après ses mots, la délégation saint-marquoise se dirigea vers les voitures qui attendaient depuis le début de la rencontre.
Tout en marchant, le diplomate de départ revint à la charge avec une ironie décapante :

LE DIPLOMATE
"Cela s'est très bien passé, on a signé un accord avec le diable."
HENRY PETERS
"On n'a pas signé d'accord, on en reparlera dans l'avion, maintenant plus aucuns mots et en avant."
Les membres de la délégation de la République de Saint-Marquise ainsi que les agents de protection montèrent dans les voitures, direction l'Aéroport de Latios afin de rentrer au pays.
RENCONTRE TERMINÉE
Haut de page