11/05/2017
22:36:51
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale Archives des Rencontres Internationales Rencontres achevées

Par-delà l'océan : Saint-Marquise - Pharois Syndikaali - Page 2

1245
Les propositions du Capitaine Mainio lui semblaient plus que concevables, Henry Peters était d'accord et il voulait assurer auprès de son homologue :

HENRY PETERS
"Monsieur le Capitaine, ce que vous avez dit, il y a quelques instants, porte son sens. Évidemment que si un lire-échange serait décidé cela veut forcément dire qu'il y aurait des libres circulations des personnes et des biens entre nos deux nations.
Pour ce qu'il concerne des visas d'entrée territoriale nous pourrions diminuer nos moyens de surveillance afin de faciliter les passages pharois en Saint-Marquise et saint-marquois dans le Pharois Syndikaali.
Nous serions très heureux, et je parle au nom du gouvernement, d'avoir des port d'attache chez vous aussi.
Tout ceci n'est, pour l'instant, qu'hypothèse mais si ceci se s’avérerait véridique alors je devrais me concerter avec la Présidente afin qu'elle puisse avertir le parlement saint-marquois.
Pour terminer, vous parliez de taxes sur des domaines économiques stratégiques, je peux vous dire que cette question serait évidemment poser lors d'une séance devant la Grande Assemblée."

La soif prit la gorge du Premier Conseiller qui, pour l'étancher, reprit un verre d'eau qui était devant lui, puis une fois sa soif atténuée, il reprit :

HENRY PETERS
"Je peux vous assurer que notre partenariat sera fructueux dans les années qui vont suivre, enfin c'est ce qu'espère la Présidente en tout cas, mais je la suis dans cette voie."

Bienvenue à Port-Hafen


Mainio : « Eh bien monsieur Peters, il semble que rien ne s'oppose à renforcer notre proximité politique ! Nous semblons de bout en bout sur la même longueur d'onde. J'ai négocié pas plus tard que la semaine dernière une augmentation de la durée de séjour sans visas avec la Communauté d'Izcalie. Deux années pleines avant de devoir engager des démarches administratives. Qu'en pensez-vous ? Cela peut sembler beaucoup mais si ça ne tenait qu'à moi, toutes ces petites frontières, tout ces petits papiers, pouf, balayés. Soufflés dans le vent. Enfin, j'imagine qu'on ne peut pas faire sans. »
Il sourit.

Mainio : « En ce qui concerne les taxes, il faudra voir au cas par cas. Je vous propose de mettre en contact nos ministères respectifs et de travailler avec les équipages chargés de l'économie et du commerce extérieur afin de dresser une liste de nos intérêts respectifs et d'en discuter point par point dès que vous aurez reçu la validation auprès de votre gouvernement ? Cela vous semble une démarche acceptable ? »
Henry Peters avait écouté attentivement les paroles du Capitaine Mainio qui lui paraissaient concrètes et concises.

HENRY PETERS
"Je dirais pareil que vous, si on pouvait enlever les frontières on le ferai mais ceci serait impossible, car cela serait la porte ouverte à toutes sortes de d'individus qui seraient potentiellement une menace pour la démocratie longtemps acquise.
Mais ne soyons pas pessimistes car il est vrai que nos deux nations jouissent d'un commun accord : le libre-échange."

Il sourit au Capitaine Mainio et reprit pour répondre aux dernières paroles de son homologues :

HENRY PETERS
"Pour ce qui est des taxes, je suis d'accord avec vous, il faudrait voir ceci au cas par cas,donc j'en parlerai à la Présidente ainsi qu'au Grand Délégué chargé à l'économie nationale pour avoir au moins plan détaillé de cette démarche qui me paraît convenable pour être entrepris."

Bienvenue à Port-Hafen


Mainio : « Ma foi, il me semble que nous avons donc fait le tour de la question. Dès que les parlements auront ratifié ces mesures, celles-ci entreront en activité et je laisse à mes collègues de l'économie le soin de gérer le détail de l'affaire. »
Il sourit.

Mainio : « Sachez en tout cas monsieur Peters que c'est un plaisir de négocier avec vous. Avez vous d'autres sujets que vous souhaitez aborder ? »
Haut de page