11/05/2017
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Parlons château [Péronas/Svobansky-Normanie] - Page 2

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- J’entend bien entendu ce que vous dites, nous souhaitons reprendre les châteaux que vous avez énuméré. Concernant ceux que vous avez nationalisés, je tiens à faire le clair. Ils n’ont jamais étés à vendre ! Alors comment se fait-il qu’ils soient l’une de vos possessions ?
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Montel Ricci : Comme je l’ai évoqué lorsqu'ils ont été récupérés, ils étaient dans états très vétustes, et ils ont subis des travaux de restructuration car ces derniers se situaient des zones densément peuplée. Nous ne pouvions pas nous permettre d’avoir des bâtiments en ruines là où des Perons s’installent. Cette démarche s’est faite sous la présidence Sensei que beaucoup jugent dictatoriales, je suis d’accord pour dire qu’il y a eu des erreurs. Cependant nous ne voulons pas en refaire de nouvelles en vous les rendant sans conditions préalables.
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- J’écoute vos conditions.
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Montel Ricci : Avant tout, la condition sine qua non est de laisser ces bâtiments ouverts au public en les laissant libre à la visite comme ils le sont déjà tous. Enfin, comme je l'ai déjà évoqué, il ne faut pas reproduire les erreurs du passés, et vous devrez continuer à en prendre soin afin que la façade extérieure reste en symbiose avec l'architecture du paysage avoisinant. De plus, les revenus du château sont actuellement intégralement récupérés par l'État Péron dans l'unique but d'investir dans le patrimoine de celui-ci. Dans le cas où vous en récupériez la propriété, nous pouvons vous proposer un taux de 80/20. C'est à dire que 80% des revenus continueraient à revenir à l'État Péron, et cela, permettrai de vous exonérer de payer mensuellement le terrain, et vous, vous recevrez 20%.
Je vous laisse me dire si ces conditions vous conviennent, auquel cas les contrats sont d'ores et déjà prêts.
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- J'espère que c'est une blague. Vos conditions sont totalement acceptables mais cette histoire de 20% et inacceptable. La couronne normanienne exige 40% minimum.
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Montel Ricci : Les négociations ne sont pas en votre faveur. Des erreurs ont été commises dans le passé et comprenez qu'on ne souhaite pas les refaire. Je peux vous proposer 75/25 pendant 10 ans, puis 50/50 uniquement si l'entretien du bâtiment est effectué et si les conditions sont validées. En attendant, nous ne pouvons pas proposer de meilleurs propositions.
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- Vous me mettez dans une position bien délicate. Vous profitez des biens et des revenus de la couronne et plus globalement des normaniens. Ce serait une injure que signer ce document. J'espère que vous le comprenez.
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Montel Ricci : Je comprends tout à fait vos réclamations, si je peux ainsi tendre le bras, je suis prêt à baisser le délai à 5 ans. Maintenant, comprenez également que malgré qu'historiquement ces châteaux furent les vôtres, la situation internationale a évoluée depuis, je pense que vous avez de la chance que Péronas ait changé récemment, sinon, ces châteaux ne seraient jamais redevenus vôtres. Il est donc important que vous fassiez un geste, tout en sachant qu'à terme vous aurez un taux meilleur que ce que vous demandez.
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Signe le document rapidement
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Montel Ricci : Je suis ravi que nous ayons pu procéder un accord. J'en suis certain que cela, à terme, améliorera les relations Normano-Pérone. Souhaitez-vous débattre d'autres sujets pour lesquels nous n'aurions pas passés du temps dessus ?
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- Il me semble que nous ayons fait le tour.

Dit il en se levant et en tendant la main à son homologue péron.
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Montel Ricci tendit sa main, et les deux se serrèrent la main. Tous les membres de la salle en firent de même avec leur voisin d'en face. Malgré les échanges qui ont chauffés dès le début, de nombreux accords ont été mis en place, et la présence de Sir Sámuel Kornél lui aura permis ainsi donc, au nom de la couronne Normanienne de récupérer la possession intégrale des châteaux avec des conditions pour 3 d'entre eux. Même si les négociations duraient sur la fin, c'est finalement assez spontanément que l'accord se fie sur la base des conditions fixées par Péronas.

La rencontre pouvait ainsi donc se terminer là, après que des accords économiques et militaires ont pu également être trouvés. C'est donc dans un château Péron que la rencontre commença mais dans un château Normanien que celle-ci se termina.

Après le serrage de main, Montel Ricci et Sir Sámuel Kornél quittèrent la pièce pour se rendre dans la salle de la conférence de presse. Là, deux pupitres présents étaient positionnés avec les drapeaux des deux pays respectivement adossés au mur derrière. Montel Ricci et Sir Sámuel Kornél se positionnèrent, puis les questions fusèrent.

Journaliste a écrit :Sir Sámuel Kornél, êtes-vous satisfait de votre venue ici ? avez-vous satisfait les conditions fixées par la couronne normanienne ?
Journaliste a écrit :Sir Sámuel Kornél, pouvez-vous nous éclaircir sur les raisons de la non-venue du roi Alexandre V ?
Journaliste a écrit :Sir Sámuel Kornél et Montel Ricci, pourriez-vous nous éclairer sur ce que cette journée a permis comme avancée ? quels accords ont été signés ?
Journaliste a écrit :Sir Sámuel Kornél, est-ce que l'invitation de Montel Ricci en Svobansk-Normanie est envisageable ?
Journaliste a écrit :Montel Ricci, même question, pourriez-vous inviter de nouveau un représentant de la Svobansk-Normanie ?
Journaliste a écrit :Montel Ricci, pouvez-vous expliquer pourquoi tant de décisions que vous prenez vont à revers de ce que les Sensei ont fais ?
Journaliste a écrit :Question commune, Messieurs, pensez-vous que la journée d'aujourd'hui a permis de refléter la longue amitié existant entre vos deux pays ?
Journaliste a écrit :Enfin, Montel Ricci, dernière question, pourriez-vous détailler d'autres pays avec lesquels vous entreprendriez des relations diplomatiques ?
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- Bonjour, je suis en effet satisfait de ma venue au Péronas qui est un état modèle, j’ai pu exposer, en effet, les idées de la couronnes ce qui a pu déboucher sur des débats productifs et concluants.

- Sa majesté Alexandre VI de Svobansky-Normanie a décliné poliment la proposition du président péron de se rendre en personne en ces lieux en raison du climat politique tendue en Normanie, qui nécessite toute son attention et sa présence. C’est pour cela qu’il m’a missionnee en ma qualité de Gouverneur général de la Couronne afin de le représenter.

- Tout d’abord, cette journée a permis de réaffirmer l’amitié normano-peronne aux yeux du monde et à dire que la Normanie n’est pas seule, loin de là. Des accords militaires et financiers ont été signés, je ne peux malheureusement vous en dire plus.

- Montel Ricci est maintenant un ami du peuple normanien, comme tout les pérons il sera bien entendu accueilli en Svobansky-Normanie. À la fin des élections, le prochain premier ministre l’invitera sans doute, ne serait-ce que pour l’aspect symbolique .
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Montel Ricci : Il est tout à fait envisageable, oui, d'inviter à nouveau un représentant Svobansk-Normanien ici. Je n'ai aucune raison de vouloir me fermer des portes, qui plus est, avec ce que je considère comme notre plus grand ami à l'international. Aller à l'encontre de cela me semblerait totalement insensé et mettrait à mal Péronas à l'international. Car notre amitié se doit de resplendir.

Montel Ricci : C'est exactement pour cela que je me suis présenté. J'ai porté ce programme haut et fier et je pense donc que c'est la raison pour laquelle les Pérons m'ont élus. J'ai pour objectif de respecter mes engagements, et si cela doit aller à revers de décisions prises par le passé, tel est le destin. Je fais le maximum pour respecter la démocratie et pour satisfaire les changements provoqués par les Pérons.

Montel Ricci : Oui, pour sûr oui. Cette journée à permis de grands avancements. Je les annoncerais prochainement pour la plupart, et nul doute que vous penserez comme moi, que tout cela resplendit sans aucun doute l'amitié qui lie nos deux pays.

Montel Ricci : Tous. Je l'ai déjà dit et mon opinion n'a pas changée. Tous les pays sont éligibles à entrer en communication avec Péronas, que cela plaise à certains ou non. Péronas se place dans une politique de pays non-aligné et donc ne doit pas fermer des potentielles relations... sous prétexte que.

ll n'en fallu pas plus ensuite pour que les deux dirigeants montent dans une voiture blindée escortée par la police jusque l'aéroport. Là, les deux présidents firent une dernière poignée de main devant les caméras des journalistes rassemblées sur le parvis de l'aéroport.

Les membres de la délégation étrangères montèrent alors dans leurs avions qui, du décollage jusqu'à la sortie de l'espace aérien Péron, fut escorté par des avions de chasses.
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