Visio conférence entre Saint-Marquise et la Tchérie [terminé] - Page 2

Geneviève Kulbrath
Je comprends. Je ne peux pas me réjouir de votre réponse mais la Tchérie s'en contentera.
Mais j'aimerais aussi aborder un autre sujet si vous me le permettez. Il s'agit du port des armes en Tchérie. Nous avons peurs que vos citoyens si jamais ils passeraient sur le sol Tchére. Nous voulons donc discuter de ce sujet avec vous.

Geneviève savait que la question allait être a double tranchant.

HENRY PETERS, PREMIER CONSEILLER DE LA RÉPUBLIQUE

ISABELLE DEPREY, PRÉSIDENTE DE LA RÉPUBLIQUE

20/09/2009
BUREAU DU PREMIER CONSEILLER,
CAPITOLE NATIONAL,
MONT-LAW
La Présidente donna une réponse qui pourrait changer la donne.

ISABELLE DEPREY
"Sachez, Madame Kulbrath, le port d'arme pour les citoyens est interdit et sévèrement réprimandé par la Législation saint-marquoise. Vous n'avez pas d'inquiétude à avoir si un citoyen saint-marquois se rendrait en Tchérie. Les saint-marquois ne sont pas un peuple violent."
Cela prouvait à la Présidente que la Tchérie était méfiante et elle comprenait car la Cherchérie, récemment indépendante, pourrait être une menace pour cette nation.
Elle attendit la réaction de la Ministre.

Geneviève Kulbrath
Ce que je voulais dire, c'est que les Tchéres qui peuvent être trop dangereux pour l'ordre social pourrait blesser des Saint-Marquois. Nous sommes en train de limité l'accès aux armes à feu mais il faut du temps

Geneviève avait complètement échouer à faire comprendre du premier coup. Un de ses collègues de travail ne pu s'empêcher de pouffer.
Elle lui lança aussitôt un regard furieux mais se reprit rapidement.

Geneviève Kulbrath
Excusez moi de m'être mal exprimée.

HENRY PETERS, PREMIER CONSEILLER DE LA RÉPUBLIQUE

ISABELLE DEPREY, PRÉSIDENTE DE LA RÉPUBLIQUE

20/09/2009
BUREAU DU PREMIER CONSEILLER,
CAPITOLE NATIONAL,
MONT-LAW
La Présidente était surprise de voir la Ministre dans un état de gêne.

ISABELLE DEPREY
"Ne vous inquiétez pas, Madame Kulbrath, je ne vous en tiens pas rigueur. Est-ce que cela devrait devenir une loi chez vous pour interdire le port d'arme ?"

Geneviève Kulbrath
Nous aimerions, mais cela pourrait se retourner contre nous malheureusement.

Geneviève savait que ce serait impossible mais elle voulait y croire.

Geneviève Kulbrath
Sinon, je voulais vous prévenir que si jamais les Chérchéres tenterait quelque chose contre vous, nous réagiront sans hésiter.

HENRY PETERS, PREMIER CONSEILLER DE LA RÉPUBLIQUE

ISABELLE DEPREY, PRÉSIDENTE DE LA RÉPUBLIQUE

20/09/2009
BUREAU DU PREMIER CONSEILLER,
CAPITOLE NATIONAL,
MONT-LAW
La Présidente savait que la Cherchérie était une potentielle menace pour la République de Saint-Marquise mais elle savait aussi que cela ne pourrait pas venir tout de suite.

ISABELLE DEPREY
"Ne vous inquiétez pas, nous avons un système d'alerte qui est au niveau 2 depuis le 29 juin 2008. Si la Cherchérie nous menacerait, la République de Saint-Marquise saura se défendre, mais votre proposition de réagir nous fait plaisir à entendre."

Geneviève Kulbrath
Enfin, c'est tout à fait normal entre allié, enfin, je suppose.

Après avoir dit cela, elle entama la fin de cet appel

Geneviève Kulbrath
je vous remercie de pouvoir nous permettre de parler d'affaires importantes entre nos pays, j'espère que nous nous rencontrerons de nouveau bientôt.

Sur ce, elle arrêta l'appel après que le premier conseiller et la présidente de saint-Marquise l'avaient quitté et ferma son ordinateur. Enfin une journée qui se terminait sans trop de problème.

Terminer