1 - Le recyclage :
Le tri sélectif est très variable selon les provinces. Dans les grandes villes, il y a une volonté collective de s’améliorer et de pratiquer le recyclage.
Dans les provinces rurales, le recyclage est moins présent, cependant, il y a également moins de déchets de créés.
Des usines de traitements des déchets se construisent un peu partout sur le territoire. Là encore, elles sont beaucoup plus présentent autour des agglomérations car le besoin est immense en comparaison aux provinces rurales.
Le tri sélectif est obligatoire dans les administrations, écoles et entreprises impériales. Il est fortement recommandé dans les restaurants et les PME par exemple. Dans la sphère privée, ce sont plutôt les jeunes qui semblent attachés à la nécessité du tri sélectif afin d’envisager du recyclage.
En moyenne c’est presque 40% des déchets qui sont recyclés.
Note de 7/10
2 - Les plastiques :
Le plastique est un matériau qui n’est plus fabriqué dans l’Empire depuis 2008. Cependant, de nombreux objets plastiques sont encore utilisés au sein de l’Empire et leur recyclage n’est pas optimal.
Chaque mois, d’anciennes décharges publiques sont ainsi nettoyées et font apparaître que la majorité des éléments polluants sont d’origine plastique.
Il faudra plusieurs années encore afin d’éradiquer cette pollution engendrée durant des décennies.
Note de 4/10
3 - Pollution des eaux :
La gestion de l’eau est un des points forts de la conscience écologique karpokienne.
Depuis toujours, l’Empire est tournée vers la mer et l’eau est un élément sacré et vital aux yeux des karpokiens.
Il existe 2 réseaux de distribution d’eau.
1) Le premier dit « potable » qui s’adresse à la confection des repas et peut être bu.
2) Le deuxième réseau distribue de l’eau nettoyée mais sans garantie qu’elle soit potable. En effet, il était impensable pour des karpokiens que l’on puisse par exemple gâcher de l’eau potable dans des toilettes en les souillant.
Leur traitement respectif est maîtrisé depuis de nombreuses années.
Il en est de même pour la mer, les océans, lacs et rivières. La pollution civile ou industrielle est passible de peines d’emprisonnement ferme.
10/10
4 - Les gaz à effet de serre :
L’Empire Karpok est un pays industriel. Dans la région centre par exemple, le taux de pollution atmosphérique est un réel problème. La présence d’usines à charbon et à gaz n’arrange pas le phénomène.
Bien qu’il y ait une vraie conscience de l’effet néfaste du gaz à effet de serre, la croissance du pays et l’absence pour le moment de choix alternatifs véritablement fiables ne favorisent pas l’arrêt de cette courbe exponentielle.
Il faut ajouter à cela l’industrie pétrolière dont les effets sont importants.
Par ailleurs, la circulation automobile est là aussi une source importante du problème, même si ce dernier paramètre n’est observable que dans la mégalopole du centre du pays.
Tous ces paramètres sont heureusement équilibrés par le fait que les facteurs décrits ci-dessus ne sont réellement présents que dans la région centre du pays et que le reste de l’empire, rural où la nature est prédominante, contrebalance ce constat.
5/10
5 - L'agriculture :
L’agriculture karpokienne est globalement raisonnée et maîtrisée. Ce sont principalement les provinces du sud qui fournissent les fruits et légumes alors qu’au nord, ce sont principalement des exploitations céréalières.
Même si l’utilisation de quelques produits est constatée, elle n’est pas véritablement problématique.
L’élevage est quant à lui un peu plus polluant mais sans excès en considération avec ce type d’activité.
8/10
6 - Les aires protégées :
Des aires protégées, parc nationaux labellisés ou des réserves dites naturelles n’existent pas officiellement. En effet, près de 70% du territoire est naturel et jamais le besoin ne s’est fait sentir de vouloir le préserver tant il semble élémentaire et logique de vouloir le faire.
7 - Le CO2 par tête :
Là aussi de grosses disparités s’observent selon où se trouvent les habitants de l’empire.
Pour autant, il n’est pour l’heure pas possible de savoir réellement quel est la quantité réelle de CO2 émise par tête d’habitant.