11/05/2017
16:10:21
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale Archives des Rencontres Internationales Rencontres achevées

Rencontre Loduarie - Inglie - Page 2

1444
Après une nouvelle petite balade en voiture, ils arrivèrent à destination. Les civils Loduariens présents là avaient l'air d'être en stand-by, comme des gens qu'on aurait évacué d'une zone de guerre. Bien entendu, d'une certaine manière, c'était le cas, mais c'était troublant quand même.
Quelques Loduariens s'approchèrent du Secrétaire Général quand ils le virent, certains comme émerveillés.

Camarade Secrétaire Général, quel honneur de vous voir ici... , commençais une femme qui avait dans la cinquantaine. Que faites vous donc ici, en terre capitaliste ?

Simple visite de courtoisie, camarade. J'étais de passage en Inglie pour régler quelques problèmes d'ordre assez important, si vous voyez, répondit Lorenzo.

Quel bonheur de vous voir ici ! lanca alors un homme, assez imposant, qui devait avoir 40 ans. J'ai servi en tant que conducteur de blindés sur le front de Galaisie pendant la guerre civile, et jamais je n'aurais pensé pouvoir vous voir en personne ! Et ces Ingliens, ces traîtres capitalistes... Ne ne vous inquiétez, nous, Loduariens, nous restons avec vous !

Et ce fut ainsi pendant 30 bonnes minutes, Lorenzo discutant avec les Loduariens, les Loduariens discutant avec leur secrétaire général, parlant de tout et de rien, de la guerre surtout, de la situation économique de la Loduarie, de l'avenir, et surtout de leur départ d'Inglie. Après ces moments chaleureux avec son peuple, Lorenzo se décida à repartir, non sans avoir salué tout le monde une dernière fois.

Il se dirigea vers Marc Peterson, et venant vers lui, lui dit : Merci de faire évacuer au plus vite ces civils. Ils ont le mal du pays, et très peu d'entre eux souhaitent rester dans un pays qu'ils désignent comme traitre au valeurs du communisme.
520
Mark, pendant ces moment de complicité entre Lorenzo et son peuple, sourit malgré les remarques venant des civils loduariens.

Je les ferait évacuer. Je trouve la complicité entre vous et votre peuple charmante. Je pense que notre entrevue est terminée, je vais vous guider à l'aéroport.

Les deux chefs d'état rentrent dans la voiture et se dirigeant vers l'aéroport. Au moment pour Lorenzo de partir, les deux dirigeants se serrent la main et se disent au revoir au son de l'Internationale.

Quel regret d'avoir tenu une vaine rencontre, j'espère qu'un jour nous pourrions trouver un terrain d'entente. Faites un bon voyage.
Haut de page