Pour soutenir ma bonne volonté de retour sur Geokratos, je vous partage mon idée d'Etat :Création de pays : CCPT – Union des Républiques Socialistes de Translavya
Généralités :
Nom officiel : Union des Républiques Socialistes de Translavya
Nom courant : Translavya / CCPT (merci d'écrire " CCP de Translavya " en nom sur la page du pays).
Gentilé : Translavique (suivi des adjectifs qualificatifs romanien-ne/transrom-e/lettovien-ne/botchévien-ne si le but est de désigner un habitant d’une des Républiques en particulier).
Inspirations culturelles : russe et socialiste soviétique, turque non-musulmane.
Situation géographique :Carte des Républiques de l’Union :
Langue officielle : translavique (dérivé du russe et du turc)
Drapeau :Devise officielle : « Человек думает. » (« L’Homme pense. »)
Hymne officiel :[youtube]https://youtu.be/zNtouitiNhA?list=RDzNtouitiNhA[/youtube]Monnaie nationale : soïouz [[o
Capitale : Anslav
Population : 10 400 000 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Caractéristiques raciales/ethniques du Translavique :
Turc à la peau claire. L'homme mesure en moyenne 1m75 et la femme 1m70. Largement de stature normale, l'on recense environ 20 000 cas d'obésité, et 12 000 cas de maigreur alarmente, tous traîtés avec la plus grande vigilence et les soins les mieux adaptés (dont un accompagnement psychologique évident). La principale cause de ces dérèglements est la dépression (à 80%).
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Histoire des Républiques et de l'Union :
Située sur la route intercontinentale liant l'Afarée et l'Eurysie au Nazum, la Translavya était peuplée, jusqu'aux XVème/XVIème siècles, de cavaliers nomades, qui, à partir de cette période, se constituèrent progressivement en trois nations. Nations qui avaient pourtant tout en commun : culture, ethnie, histoire et traditions. Celles-ci se constituèrent face à l'arrivée de marchands venus de l'Ouest... marchands qui, avec eux, amenèrent les pillards du nord-ouest. Ainsi, pour se défendre et garantir le passage des marchands qui les enrichissaient (économiquement et culturellement), les cavaliers nomades s'agglomérèrent en trois grandes régions, fondant trois grandes cités (qui avaient, en toute logique, l'apparence de camps nomades sans fin) : Letjsa de Boutchouvarie, Oklanuu de Letvigur, et Anapul de Romaniia. Ils ne restent archéologiquement de cette période, que des fours, des forteresses, et de longues murailles de terre censées encercler les cités-camps. Ces peuples communs divisés en trois nations, tinrent ainsi juqu'au XVIIIème siècle, suivant les avancées technologiques qui passaient par ici. En 1722, Mekir Pavlov Gulgunur, khan d'Oklanuu, maria ses filles Pania et Chana aux fils des khans de Letjsa et d'Anapul, pour rappeler aux puissances voisines qu'ils ne formaient toujours qu'un même peuple translavique. Bien que cela puisse paraître ennuyeux, nul n'a pourtant pris acte d'envahir les terres translaviques... peut-être à la fois pour ne pas se retrouver nez à nez avec les cavaliers qui gardaient la voie depuis trois-cents ans, et parce que ces steppes, ces plaines et ces montagnes, si elles étaient envahies, n'apporteraient rien sans le peuple qui les dompte. A la fin du XIXème siècle, [alors que le système d'habitation en tentes à étages spécifique à notre culture devenait de plus en plus complexe et ingénieux,] la terre, par la fin du petit âge glaciaire, se faisait davantage propice à la culture. Les plaines aux herbes courtes laissèrent place aux champs, et l'élevage put se diversifier. Les idées nouvelles, venues de l'Extrême-Occident, se confrontèrent à la productivité grandissante des trois nations. Mais cette productivité fut accaparée par les riches propriétaires, que les Khans entretenaient et dont ils profitaient aussi en échange. Une famine toucha la Boutchouvarie dans les années 1920. Celle-ci se propagea vers le sud, jusqu'à engloutir les trois khanats en 1928, pour ne cesser qu'en 1931. Résultat : cent-mille morts sur une population initiale de 4 millions d'individus. Un million restait en sous-nutrition, et un autre million étaient cas à une maigreur tenable. Face à ce meurtre dont les riches et puissants se rendaient complices, la Révolution Socialiste éclata : ceux qui tenaient encore debout marchèrent sur les palais, entraînés par les idées de Kavak Kotchev et Illian Podgorov (deux grands penseurs translaviques de ce temps). Le Khan de Romaniia, Juk Liviv Guriyur, tomba le premier, les rangs révolutionnaires ayant été gonflés par des Grecs volontaires ! Ceux-ci prirent la route du nord, et participèrent à la chute de la dynastie Gulgunur. Le Khan de Boutchouvarie, réfugié en la forteresse de Letjsa, n'eut d'autre choix que de se rendre, avant que l'édifice soit rasé par les canons montés depuis le port d'Oklanuu. La Révolution victorieuse, les trois nations étaient plongées dans un chaos institutionnel. Face à la terreur qu’inspirait le chaos et l’anarchisme, une paix des peuples fut moralement admise (appelée « la Mirna Roda »). Les localités choisirent nécessairement des chefs parmi les grandes figures de la Révolution, et ceux-ci se réunirent dans la plaine d’Anslav pour discuter de l’avenir du « grand peuple révolutionnaire des trois nations libérées ». Ils décidèrent de constituer trois républiques unies, sur les bases de l’ancien temps des khanats. En revanche, les représentants de Romaniia dont les localités se situaient sur la rive gauche du fleuve Rom, exigèrent, avec une majorité relative concernant cette question, de se constituer en une République distincte : la Transrom. La « question Transrom » n’avait pas vraiment d’opposants, mis à part les quelques révolutionnaires nostalgiques des traditions des khanats. Ainsi, les représentants des quatre républiques élurent dans la foulée un gouvernement provisoire et un président de la nouvelle Union. Le 24 septembre 1933, l’Union des Républiques Socialistes de Translavya naissait par ses quatre composantes réformées. Il fut décidé à l’unanimité (les opposants ayant été arrêtés, puisque jugés complices des khans) que les Républiques changeraient de noms pour que ceux-ci annoncent l’ère nouvelle qui s’offrait à la Translavya. Les représentants des républiques s’en retournèrent chez eux pour organiser les nouvelles entités. [Ces suites débouchent sur l'organisation actuelle de la CCPT.]
En 1946, la plaine d’Anslav fut choisie pour accueillir la « cité administrative de toute l’Union ». Ainsi, des immeubles de bétons sortirent de terre par la force des convictions, et le drapeau de l’Union flottait enfin sur une « cité du peuple, nouvelle et révolutionnaire ». Entre guillemets sont marquées les différentes appellations utilisées par le premier président de l’Union, Illian Podgorov (présidence datée officiellement du 24 septembre 1933 au 18 novembre 1975, date de son décès).
Vous remaquerez que les noms et les dénominations font l'oeuvre d'une slavicisation, due à l'influence politique socialiste qui s'est développée durant et après la révolution.
L’histoire politique complexe n’est ici pas exposée, pour des raisons de fluidité et de concision.Avenue routière, Anslav, 2010.
Certaines avenues sont en fait des parcs verts piétons, et d'autres, des routes. Anslav est en pleine transition : ses avenues routières sont progressivement transformées en axes de métro depuis les années 1990. Celle-ci est la dernière avenue routière d'Anslav. Ses travaux débuteront en 2012 et s'achèveront en 2014.
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Célébrations, jours fériés, et travail :
La Célébration de l’Universelle socialiste est une célébration translavique et mondiale, mettant en avant les vertus de l’Etat socialiste et de l’Avenir humain. Les Sections des Travailleurs défilent alors devant les présidents des Républiques et le président de l’Union, précédées des Sections Exceptionnelles de Sûreté Générale.
« Universelle socialiste » : ce terme translavique désigne l’universalisme de notre régime populaire, démocratique et social.
En héritage bien utile de notre passé, les citoyens doivent choisir 2 jours et une demie journée de repos par semaine, qu'ils sont libres d'appliquer ou non : dans tous les cas, un citoyen ne peut être obligé de travailler à ces périodes de repos que si la demande vient de la présidence de la République ou de l'Union. Des périodes de vacances sont organisées, constituées de 3 semaines par période : une semaine de garde publique des enfants dans les clubs de vacances (libérant les parents), puis deux semaines de vacances en famille. La famille peut choisir l'une de ces deux semaines pour partir en voyage (en CCPT ou à l'étranger). Elle passera donc l'autre des deux semaines chez elle. Ainsi, par ce système de vacances, tout le monde peut en profiter, et renforcer et nouer des liens sociaux. Là est la paix sociale en CCPT. Entre chaque période de vacances s'écoule sept semaines. Les vacances d'été sont plus longue de deux semaines. Ainsi, durant ces cinq semaines de vacances, les familles sont libres de choisir les combinaisons vacancières qu'elles veulent ! Chaque République est divisée en trois zones de vacances : quatre zones de l'Union (une par République) ont des vacances alignées. Et ainsi, selon une logique temporelle de superposition ou de suite, les trois grandes zones de l'Union ont leurs périodes de vacances. Un sondage est réalisé à chaque fin de période pour savoir si oui ou non, cette période a convenu aux Translaviques. L'économie translavique ne s'arrête donc jamais, et l'Union est toujours prête à faire face !
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Politique sociale-écologique et de transport :
Le territoire translavique est parcouru par plus de 9 000 kilomètres de voies ferrées principales, amplifiés de lignes de métros au niveau local (intra et inter-Polesvida). Cela permet une minimisation de la possession d’engins motorisés de locomotion (9 voitures/motos pour 200 habitants !) et un usage individuel des vélocipèdes de premier plan (1,2/habitant !).
Il n’existe qu'un aéroport civil, situé à Anslav (Aéroport International Anslav-de-l'Union).
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Politique énergétique et de ressource :
Les 30 réacteurs nucléaires installés à des endroits sûrs de notre territoire, permettent d’alimenter les transports ferroviaires ainsi qu’une partie des foyers permettant une maximisation de l’utilisation de cette ressource (immeubles + infrastructures publiques). Ainsi, la large majorité des maisons translaviques sont fournies en énergie par les barrages hydroélectriques locaux ou par leurs propres sources d’énergie (installations énergétique écoresponsables sur terrain privé). Ces dépenses sont permises aux particuliers par la gratuité totale du réseau ferré, bien que son entretien et cette gratuité se ressente dans l’imposition générale. Les ressources matérielles utilisées pour la réalisation de ce réseau proviennent des sols pures et des fonds marins de l’Union.
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Politique d’instruction publique :
L’école est obligatoire de 3 à 18 ans. De la naissance au troisième anniversaire de l’enfant, une inspectrice éducationnelle est chargée du suivi du développement de l’enfant (suivi évidemment offert inconditionnellement par la République). Le reste de sa scolarité se fait selon l’organisation translavique scolaire (développée sur la future page du ministère de l’Instruction publique).
A 16 ans, l’individu se voit légèrement réduire son nombre de matières pour débuter tranquillement sa spécialisation tout en gardant une instruction généralisée. A 17 ans, son nombre de matières est encore réduit. Si, dès ses 16 ans, l’individu ne veut plus suivre la voie générale, il peut choisir une spécialisation plus brute. Vient, après 18 ans, la possibilité de rejoindre une Ecole pour approfondir et élargir son instruction.
Les musées sont accessibles, certains gratuitement (musées d’Histoire), d’autres au frais de 1 à 15 [[o (musées autres que d’Histoire).
Les zoos sont considérés comme des parcs, et sont donc gratuits.
Durant leurs vacances, les Translaviques peuvent bénéficier de stages d’Instruction près de chez eux, pour s’instruire (ex : circuit de l’Eau, un stage qui fait découvrir tout ce qui a rapport à l’eau, à son utilité et à son utilisation). Ces stages coûtent 20 [[o pour une personne, 30 [[o pour deux.
Les stages et les visites de musées payants sont déductibles des impôts.
Mentalité de la population :
La population, dans un esprit de communion universelle, préfère la parole, la réflexion, et la remise en question, pour résoudre les différends. La liberté d’expression est pleine, dans la paix. Ainsi, seuls les fanatiques sont un réel danger pour la stabilité et la paix sociale. Pour minimiser l’impact de ce cas extrême, la république a opté pour une éducation basée sur l’indépendance d’esprit, la réflexion, et la philosophie. Chaque individu est pris en charge, notamment par les mesures sociales de revenu universel, de logement pour tous, et d’égalité devant la loi.
Place de la religion dans l'État et la société :
Les pratiques religieuses sont prohibées auprès des individus de moins de 15 ans, que ce soit dans la vie privée ou publique. Il n’existe pas d’établissement d’enseignement privé. Il est interdit de faire de la publicité religieuse (affiches, manifestations). La religion est naturellement abordée en enseignement philosophique (dispensé dans nos écoles dès 13 ans).
Politique et institutions :
Institutions politiques :
- La Supra et les présidents : assemblée populaire et ministérielle. Techniquement, les Républiques n’ont pas de parlement décisionnaire : celui-ci est commun à toute l’Union. La Supra est chargée de la législation générale et est composée de 300 membres des ministères (nombre égal par ministère), et de 250 juristes et spécialistes en sciences économiques, sociales, pédagogiques, naturelles et civilisationnelles.
- Les Républiques sont quant à elles chargées de l’encadrement de la politique écologique et économique locale. Il n’est permis aucune compétitivité de quelque sorte entre républiques. La Supra y veille. Les présidents des Républiques les représentent et constituent la plus haute juridiction locale. Ces Républiques sont considérées comme présidentielles, bien que des parlements de gestion y constituent la garantie démocratique.
L'Union est en revanche considérée comme semi-présidentielle : les cinq présidents (Républiques+Union) assurent son unité, face à / avec la Supra. En effet, pour maintenir l’idée d’universalisme, il est interdit d’ériger des statues à l’effigie des élus (y compris des présidents). Cette politique est faite pour lutter contre les déviances observées dans d’autres Etats. Une loi ne peut être adoptée que si le sondage effectué auprès des parlements des Républiques donne une résultat favorable en chacun d'eux, ce sondage étant effectué suite au vote favorable de la loi par la Supra.
- La Polesvida : organisme pour la vie générale locale. La Polesvida est constituée de tous les citoyens d'une même cité. Une cité accueille entre 5000 et 10 000 individus. Un citoyen est un individu âgé de 16 ans et plus. La Polesvida est administrée par des citoyens élus (1 pour 100 environ). Ces citoyens-administrateurs peuvent travailler en complément, si leurs charges ne sont pas trop importantes.
- La Lova universelle : organisme de redistribution et de gestion des ressources. En complémentarité locale de la Polesvida, elle permet une redistribution sans perte des ressources, maximisant ainsi leur utilisation. Constituée d’un service local affilié aux lieux de distribution (supermarchés, etc.), les ressources sont transférées par voies ferrées entre républiques pour permettre une redistribution dans absolument toute l’Union, en minimisant tout de même les trajets, bien que nos trains fonctionnent à l’énergie verte.
- La Saniska : organisme médical général. Se servant du système ferroviaire quasi-permanent pour assurer une liaison entre les localités et les hôpitaux, ce service assure 24/7/365 une solution aux urgences médicales. La Poltsa (police) y est rattachée en tant que service d’intervention spécial, bien qu’aussi déployée sur tout le territoire en permanence.
Principaux personnages :
Pietr Vadovsky : président de l’Union [des Républiques Socialistes de Translavya].
23 ans, penseur, non-diplômé, Chef suprême des Armées.
Gorgov Kievko : président de la République de Romanie.
43 ans, penseur, non-diplômé.
Sergeï Kakarin : président de la République de Transrom.
32 ans, penseur, non-diplômé.
Arman Tsukov : président de la République de Lettovie.
25 ans, penseur, non-diplômé.
Yegor Kolka : président de la République de Botchévie.
22 ans, penseur, non-diplômé.
Peter Maderov : commissaire de l’Union pour les affaires continentales.
41 ans, diplômé de l’Ecole Ouverte translavique de Géopolitique générale (EOGG, 3ans).
Vadar Korbatcha : ambassadeur général.
35 ans, diplômé de l’Ecole Ouverte translavique d’Histoire sociétale (EOHS, 5ans).
Toma Petrov : général des Armées de la république.
28 ans, diplômé de l’Ecole translavique de Sécurité et d’Intervention (ESI, 5ans).
Feredor Vigorov : général-directeur de l’Armada de la république.
51 ans, diplômé de l’Ecole translavique de Marine (EM, 2ans) et de l’Ecole translavique de Sécurité et d’Intervention (ESI, 2ans).
Erik Dobrov : ingénieur général des infrastructures sociales.
36 ans, diplômé de l’Ecole générale d’Ingénierie et de Sciences physiques (EGISP, 5ans).
Politique internationale :
Incitant au bien-être de tous, nous offrons notre aide aux peuples dans le besoin, et nous agissons dans l’intérêt général de l’Humanité et des Hommes.
Nous ne déléguons pas d’ambassadeur à chaque entité : l’ambassadeur général est chargé de toutes les affaires extérieures (sauf organisations internationales). Ainsi différentes sections ministérielles de gestion sont spécialisées pour chaque entité externe. Sont délégués aux organisations internationales des Représentants nommés par le président de l’Union.
Pour entretenir des relations avec l'une des Républiques en particulier, il est nécessaire de passer par les services de l'Ambassade générale de l’Union.