Informations générales :Nom de l'État : République Fédérative d'Icamie
Capitale de l'État : Tàvusu Pyàhu (
District Fédéral)
Chef de l'État : Anahí Ñasaindy, Présidente de la République Fédérative d'Icamie
Drapeau de l'État :Informations de l'ambassade :Adresse de l'ambassade : n°19,
Eindchemmarcket, District Gouvernemental,
Blankenvoorde.
Nom de l'Ambassadeur : Moina Nheengaçupé
Illustration de l'Ambassadeur :Courte biographie :Moina Nheengaçupé, l'ambassadrice de la République Fédérative d'Icamie auprès de Zélandia, est une habituée de la diplomatie icamienne qui représente l'une des principales - et plus expérimentées - promotrices d'une méthode plus douce, compréhensive et moins revendicatrice. Née en 1950 à Rio Formosa, encore à l'époque sous le joug de la botte coloniale listonienne, Moina Nheengaçupé est la fille d'un couple de petits détaillants origine d'Akakor qui a connu très jeune la rigueur de la guerre et la cruauté de tous les belligérants de la guerre d'indépendance entre l'ancienne Confédération d'Icamie et l'Empire Listonien.
La guerre, de 1959 à 1969, ainsi que la "dictature" de Petúlio Ishii de 1969 à 1984 l'ont durablement marqué, au point d'en faire une figure incontournable du militantisme pacifiste, internationaliste et égalitariste en Icamie. En exil en Zélandia de 1978 à 1984 après sa mise en accusation pour des faits de "dissidence politique", elle rédigera de nombreux textes de théorie politique et des pamphlets dénonçant le Président Ishii ainsi que sa politique étrangère complaisante nuisant, selon elle, à l'émergence d'une Icamie prospère et indépendante sur la scène internationale, qui pourrait alors aider de plus petites nations à s'élever à leur tour.
Mentor politique de la présidente icamienne
Anahí Ñasaindy de par sa grande proximité avec les cours royales de la cité-état d'Akakor, Moina Nheengaçupé a refusé le poste de Ministre des Relations Extérieures au profit de la "jeune génération" représentée par des figures comme la doctoresse
Yara Jaci. Elle a néanmoins accepté le poste d'ambassadrice auprès de Zélandia, qu'elle a appris à très bien connaître lors de son exil.
La grande importance de Zélandia dans le paysage des relations internationales icamiennes en font un "pilier" dans sa stratégie international. Son historique colonisateur beaucoup plus "doux" que celui de nombre de nations eurysiennes, ainsi que l'aide matérielle, politique et diplomatique que la nation batave a apporté à la Confédération Icamienne d'alors, lui confèrent un statut particulier qui motive la présence d'une figure aussi importante que Moina Nheengaçupé. Celle-ci peut en effet non seulement officier auprès de ses compatriotes en Zélandia, mais aussi faire bénéficier de son savoir et de son expérience l'intégralité de l'appareil diplomatique icamien en Eurysie, agissant comme une sorte de "sous"-ministre à même d'aider ses collègues à naviguer le périlleux paysage politique du Vieux Continent.