03/07/2017
01:04:48
Index du forum Continents Aleucie Akaltie

Activités étrangères en Akaltie - Page 2

Voir fiche pays Voir sur la carte
0
.
Privatisations : tout doit disparaître !
Jouez, vous gagnerez peut-être !

https://i.imgur.com/iX48bjZ.jpeg

.
3705

Déclaration officielle
***
SITUATION INTERNATIONALE :
Comportement akaltien sur la scène internationale
& champs de mines dans le détroit Icamo-Akaltien


Cette déclaration officielle est donnée, dans sa version écrite, aux autorités étrangères concernées et demeure publiquement consultable en ligne, sur le site internet du Ministère des Relations Internationales de la République de Poëtoscovie.


Retrouvez ci-dessous la déclaration prononcée par Monsieur le Ministre des Relations Internationales, Piotr Vassia.


Mesdames, Messieurs,

Estimés représentants de l'Icamie,

Estimés représentants de l'Akaltie,


Laissez-moi, dans un premier temps, exprimer mes sincères préoccupations quant aux tensions aleuciennes dont il apparait que cela se répercute sur l'ensemble du globe. En effet, nul n'ignore la situation dans laquelle est plongée l'ASEA, et il demeure incontestable que des États tels que l'Akaltie sont en train de se préparer à un après. Je ne souhaite en aucun cas outrepasser le pouvoir qui incombe à mes fonctions, mais seulement rappeler les limites qui ne doivent pas être franchies.

En premier lieu, l'Akaltie a survolé une base militaire poëtoscovienne en Everia. Je prends le parti d'assumer cela, qui, il faut bien le rappeler, n'est pas contraire au droit international, et ne justifie pas les exactions qui ont eu lieu. Le fait, pour l'Akaltie, d'user d'un drone de reconnaissance sur le territoire national d'un État souverain voisin est en revanche bel et bien répréhensible. Nous appelons les autorités akaltiennes à formuler immédiatement des excuses publiques auprès de la diplomatie de l'Everia comme de la Poëtoscovie. La communauté internationale a besoin de savoir quel état d'esprit est celui de l'Akaltie afin d'envisager la suite de ses partenariats avec le Pays au Toucan.

En second lieu, des concertations avec mon homologue kartien m'ont fait comprendre que le passage du détroit Icamo-Akaltien présentait de sévères risques liés à la pose de mines navales. Je tiens à affirmer, au nom de la diplomatie poëtoscovienne, que ce comportement est tout à fait inacceptable, et que l'on ne saurait empêcher le passage de navires internationaux sur des détroits simplement par caprice. Nul n'est sans savoir que la Poëtoscovie a pris les mesures de sûreté qui s'imposent, et a notamment fait cesser le passage de ses navires sur le détroit, pénalisant ses relations privilégiées avec Stérus.

Cette situation ne peut plus durer, et la République de Poëtoscovie ne tolèrera pas longtemps le petit jeu auquel se livre le régime akaltien. Il faut, de toute urgence, que celui-ci adopte un comportement de raison, ou que la communauté internationale sache répondre à ses multiples provocations.

J'ai appris que la Poëtoscovie n'était pas la seule nation pénalisée par ces enfantillages, puis qu'un convoi kartien aurait été retenu sur ce territoire maritime plus que d'accoutumée. Cela n'est tout bonnement plus recevable. J'engage ici la voie diplomatique afin de résoudre ces problèmes auxquels la communauté internationale entière fait face, mais je n'exclus pas l'usage d'autres moyens dans un avenir plus proche que quiconque ne saurait le présumer.

Je ne doute pas, comme je n'ai jamais douté, de l'esprit de coopération et de solidarité internationale avec l'Icamie, ce pourquoi nous la prions de bien vouloir apporter une réponse adéquate à nos demandes. Il est à bien considérer que les difficultés ne se posent pas de ce côté-ci du détroit, et que seule l'Akaltie semble opposer une résistance aux principes fondamentaux d'une relation internationale apaisée.

En cela, notre patience ayant déjà été mise rudement à l'épreuve, nous ne saurions attendre encore longtemps, et compter en semaines l'échéance à laquelle nous agirons serait déjà très optimiste pour mon homologue akaltien, qui sait pertinemment quel rapport de force est susceptible d'engager la Poëtoscovie – rapport de force qu'elle gagnera.

Je somme donc les autorités locales compétentes de retirer les mines au centre du canal de manière à ce que les navires puissent y transiter sans le moindre risque, en plus des excuses demandées au pouvoir akaltien.


Recevez, estimés homologues, l'expression de toute la considération de la Nation Littéraire.
Monsieur Piotr Vassia,
Ministre des Relations Internationales,
République de Poëtoscovie.


À Hernani-centre, le 2 février 2017.
18194
Bêtise Akaltienne, premier tome

Auteur: Askinia Meldovara.
Parution: 10/02/2017.
Catégorie: Historique, géopolitique, philosophique et analytique.
Lieu: Académie et bibliothèque de Volkingrad.
Code: KA-02017-MI


Akinia Meldovara


Sommaire
Incipit, introduction et préambule
Un monde de frontières.
Une incarnation de souveraineté.
Une enfant de l'Empire.
Du monde vers l'Akaltie.
L'Empire aux cités brisées
Une machinerie Akaltienne.
Une frontière dans l'âme.
Une asphyxie institutionnelle.
De l'extrémisme à l'interventionnisme.


Incipit, introduction et préambule

Un monde de frontières.
AlinéaLa surface de notre globe est bien peuplée de plus de frontières que de poèmes, un bien triste résultat. En ces temps de savoirs tendant à la technocratie, une pratique prétendument pacifique et socialisatrice, le paradoxe de l'apologie à la haine est devenue une bien triste et pâle réalité. Il suffit de lever vos yeux, regardez ces cartes et planisphères, voyez le carnage de ces crayons. Le monde n'a jamais été des plus divisés qu'aujourd'hui, les couleurs se touchent, s'affrontent et guerroient mais ne s'embrassent jamais. Une infinité de nations, reconnues par certains et blâmées des autres, une question persiste. Aussi doté par son intellectuel que soit l'Homme, comment a-t-il fait pour avoir tant de séparations ?

Il est le travail manifeste, créature splendide, dotée de vertus parmi celles que sont la mémoire, la pensée et le rêve. Lui qui a su nommer les astres, lui qui a théoriser la magnificence de notre univers, lui qui a tant exploré l'infiniment petit que l'infiniment grand, lui qui a parcouru contrées et plaines. Et pourtant c'est ce même Homme, qui verse le sang de son frère comme s'il purgeait l'eau d'un puit. Un être divin qui s'est lui-même perverti, tombé par la joyeuseté du carnage. Les conflits ne sont plus un facteur à plaindre non, ils sont devenus la réalité de ce monde. Ce ne sont plus des accidents, ce sont biens des outils réguliers qui assouvissent la perfidie et l'envie de ces quelques gens. La guerre, il ne faut guère plus la remettre en question, mais bel et bien s'interroger sur la façon dont elle est si facilement tolérée. La guerre est le malheur de ceux qui la subissent, elle est le bonheur de leurs instigateurs et des vendeurs de sang1. La guerre, pour terminer, est devenue une saison que l'on attend, tel l'hiver rude dont on est obligé de se parer par le feu des cheminées.

Au sommet de ce désormais système que l'on nomme société, la grande et réduite tablée des monarques. Ainsi marche le monde, pris et coincé de son propre piège. Des puissances qui s'épient, d'autres qui sourient par intérêts et d'autres qui brandissent un poignard aiguisé derrière leur devanture. Dans ce théâtre livide de faux semblants, règnent ces institutions que l'on nomme pays. Parmi eux, certains essaient de s'opposer, d'autres s'ancrent et d'autres profitent. Ces derniers hurlent plus fort que les autres, non pour clamer vérité mais pour rependre le tissu de leur propre imbécilité. L'Akaltie est de ceux-là, mais avant d'y venir, il faut comprendre qui sommes-nous. Nous, Kartiens ?

1. Vendeur de sang. Référence aux marchands d'armes.
Une incarnation de souveraineté.
AlinéaIl fut un Royaume conversé d'un Empire, sous les stèles de son tout premier monarque, Friedrich Ier. Comme à toute nécessite d'identité nationale, Karty possède sa propre histoire, une qui épouse les marches militaires aux gloires culturelles. Par les flammes des révolutions des trois peuples1, la citoyenneté Kartienne s'est soulevée face à cette jadis ère d'absolutisme despotique2. Par la déclaration impériale de l'an 1909, un nouvel Etat naquit. Par la phase de transition démocratique, une patrie s'est transformée. Et enfin par le suffrage, accédant le Tsar Stanislas I, le Saint Empire de Karty prévaut.

Ultérieurement de cette période autocratique, précédemment de cette autre et actuelle période démocratique, le Kaisorat3 fut cette étape transitoire. En tout et pour tout, quatre Empereurs germaniques4 se succédèrent, répondant au nom des Von Flitch5, de Von München et Von Blonski. Prenons donc le dernier des Kaisers, mort d'un survivant rouge6 en l'an 2015. Ce fut cet homme qui ouvrit les frontières de sa patrie, "la force d'un état ne réside point dans ses accomplissements passés mais potentiels"7. La diplomatie Kartienne fut finalement ouverte au monde, ses premiers contacts suivants, tout en particulier avec les nations Assadiennes et Antériniennes. Stanislas Valaski vint par le travail des foules clôturer celui de son prédécesseur, assassiné des mouvements rouges Kartiens. En bref, le Saint Empire de Karty est une patrie née de la révolution, ancré tel un code génétique.

Dans cette même idée, réside un ressentiment clair envers un mouvement, un qui déchira cette patrie. L'exemple le plus concret parmi l'ensemble présent, serait sans nul doute la guerre du Comecon. Précédée d'une guerre civile interne, les communistes défaits se sont retirés à l'arrière pays en déclarant l'autonomie de certaines provinces, déclarant de cette occasion l'Etat du Comecon. Ces événements s'ancrent dans le contexte monarchique, et se perpétuent sous le Kaisorat. Il a fallu attendre de nombreuses années avant le lancement d'une guerre de réunification, redéfinissant les réelles frontières Kartiennes. C'est durant cette même période belliqueuse que l'art se développa considérablement, celui musical tout en particulier. Le paradoxe est par conséquent clair, la guerre est porteuse d'inspirations pour l'Homme. Aujourd'hui, la musique de la guerre est devenue folklore, sans doute les Kartiens eux-mêmes se rappellent les dérives belliqueuses passées. La beauté a su se glisser dans l'horreur, telle fleur poussant sur tombe. La guerre n'est plus seulement un fait, elle en est une nécessité, une ivresse dont on se délecte par maintes8. C'est le cas du chant Polyushko-Polye, repris des brigades blindées Kartiennes.

1. Trois peuples. Référence aux trois cultures Kartiennes, slave, germaine et italienne.
2. Absolutisme despotique. Référence à la période historique de 389 à 1909 de monarchie absolue continue et permanente.
3. Kaisorat. Référence à la période historique dite de transition entre la dictature monarchique et la démocratie impériale.
4. Empereur germanique. Référence aux Kaisers.
5. Des Von München. Référence au père et son fils qui se sont succédés dans un laps de temps assez court, raison de la succession.
6. Survivant rouge. Référence aux communistes-Kartiens qui ont outrepassé la guerre du Comecon.
7. La force d'un état [...] mais potentiels. Référence au Kaiser Von Blonski.
8. Par maintes. Référence à une expression ancienne signifiant à nombreuses reprises.

Une enfant de l'Empire.
AlinéaA la présente, ces quelques points historiques à la multiple facette amenés, le choix d'une autobiographie introductive me semble fort nécessaire. Je me nomme Askinia Meldovara, philosophe de renommée nationale selon les dires de mes pairs. Ces mêmes personnes s'accordent à nommer mon principal raisonnement intellectuel, dont je prendrais le temps d'en résumer les fondements ci-dessous, le courant du Meldovarisme. Bien que peu recherchée, cette nomination se suffit et illustre bien son autrice, évidemment. Les débuts de ma reconnaissance, d'un ordre national tout du moins, furent largement dus à une interview sur les plateaux de La Nouvelle, journal indépendant et principal du Saint Empire de Karty.

J'en viens donc à ce courant dit du Meldovarisme, dont je serais l'autrice. En écourtant le raisonnement, tout individu, tout système ou toute institution n'est point maître de ses propres choix. Non, réellement, le résultat de la réflexion de ces trois acteurs émergent d'une influence de leur environnement. Ce même raisonnement semblerait s'appliquer à toutes les échelles, en passant de la simple personne au grand groupe du pays. Je prends l'exemple d'un fait, l'anticonstitutionnalité du communisme en Karty, dont ma personne a par ailleurs théorisé l'inefficacité par un total de quatorze thèses. Si ce mouvement fut interdit à la représentation par la voix même des citoyens1, une volonté populaire donc, elle n'en est que l'intermédiaire de l'histoire. De fait, si le peuple a tranché par la défaveur, c'est bel et bien par les actions passées du communisme en Karty, se mêlant véritablement au terrorisme ainsi qu'à l'ingérence. Ainsi, cette décision ne fut point porteuse d'un raisonnement sur le fonctionnement réel du communisme, non, elle fut porteuse de l'analyse simple de ce qu'il en est sorti, à savoir des dizaines de milliers de morts2.

J'ai, encore et tout du long de ma carrière dans les matières dites de réflexion, cherché à expliquer les fonctionnements du système Kartien. Parmi eux, mon principal travail demeure à prouver et attester de la réelle démocratisation impériale. S'il faut avouer que le Saint Empire de Karty s'est fondé sur une monarchie absolue, et que le régime le suivant n'est guère plus réjouissant, il en résulte tout de même d'une amélioration. L'actuel et troisième régime, à savoir le Saint Empire, se construit encore. Cependant, il est clair que la démocratisation est un fait, je prendrais par conséquent le temps d'en communiquer les faits.

Tout d'abord, le Saint Empire de Karty se veut antimonarchiste, à l'étonnement parfois général. En effet, si la révolution de 1909 s'est déroulée, ce fut bel et bien pour détrôner un tyran nommé roi. J'ai moi-même eu l'occasion de jouir de correspondances avec une philosophe de la République d'Antares, dénommée Petra Scudier. Lorsque le public entend République, il l'entend d'égal à démocratie. Nonobstant il n'en est rien, la République n'est-elle pas que seulement une forme de démocratie parmi tant d'autres ? Lorsque le public entend Autocratie, il pense nécessairement à dictature, et pour cause. Lorsque le public entend Empire, il y voit une sorte d'entre-deux aux dérives autoritaristes. Ayant donc conversé longuement avec l'Antarienne Scudier, il en est la preuve fondamentale d'un monde aux multiples visages, où plusieurs formes de démocratie peuvent cohabiter, en Antares et en Karty par exemple.

Voici par extension des exemples, bien moins abstraits et des plus factuels. La personnalité du Tsar tout d'abord, Empereur de Karty. Si ce dernier siège théoriquement à vie de son rôle, il est nécessaire de rappeler qu'il en a été choisi par le peuple via l'intermédiaire de ses députés. Des élus qui par ailleurs, changent tous les premiers de l'an afin de respecter la volonté populaire et la pluralité politique. Le Tsar n'est pas même détenteur absolu du pouvoir exécutif, il se le voit scindé avec le rôle du Chancelier. Chancelier qui se voit, comme le désirent nos chartes3, d'un parti autre que celui du dirigeant, respectant encore une fois de plus la pluralité. Sous ces jours, dame Angèle Orlovski demeure en ce rôle de Chancelière, elle qui fut choisie sous des combats électoraux.

1. La voix même des citoyens. Référence à la décision des neuf consuls/magistrats du Conseil Constitutionnel, élus au suffrage.
2. Morts. Référence à l'assassinat du Kaiser Von Blonski, tué par le Vice-Président du Parti Communiste Kartien.
3. Chartes. Référence à la constitution.

Du monde vers l'Akaltie.
AlinéaLe monde géopolitique résumé, les fonctionnements du Saint Empire de Karty expliqués ainsi que ma personne présentée, il est fin temps d'entrer dans le cœur du sujet. Il convient de se pencher sur cet Etat précédemment évoqué sans l'être franchement, celui nommé Akaltie. Il est réellement nécessaire de se pencher sur ce morceaux d'histoire, dans le lieu où la réalité touche au tragique. Le travail de philosophie se veut éclairer les individus, je m'en remets donc à ma plume afin de vous communiquer ces analyses. Ce pays est une faille, un paradoxe, une ineptie, une énigme, un mensonge, il est tant de choses à la fois. Passons donc, et sans détour, au cas du Pays Toucan1.

1. Pays toucan. Référence au dialecte Kartien, signifiant Akaltie.
L'Empire aux citées brisées

Une machinerie Akaltienne.
AlinéaOfficiellement dénommé Union et Empire des cités d'Akaltie, le pays toucan se forme sur une arche politique d'une remarquable complexité, digne de mathématiciens qui en sont sûrement à l'origine. Au fil des siècles et par maintes, le régime subissait de nombreux changements, modifications qui n'ont guère simplifiées ce même régime. Au trône de ce Empire-Union, le Conseil des Ministres, qui régit comme une sorte d'institution suprême. Ce dernier est présidé classiquement d'un Premier Ministre, changeant toutes les quatre années. Les citoyens votent pour le programme du parti qui leur conviendrait, le parti en tête choisit les ministères à constituer, leur attribution se réglant aux résultats électoraux. Chaque ministère devient donc un outil, une enclave politique façonnée par la vision du parti qui l'a obtenu.

Il est clair que ce système donne la main mise sur le pouvoir exécutif, en assurant théoriquement la pluralité par l'équilibre électoral. Afin de contrebalancer cette prise sur l'exécutif, un second ministre du parti opposé est nommé, toutefois il en demeure nécessairement moins imposant. Au nombre total de douze, les ministères sont disséminés dans tous les recoins de l'Akaltie, au sein des cités les plus influentes dit-on. Nous observons donc une première dérive notable, la non-centralisation des institutions. Ce qui à première vue peut paraître un bon facteur, si l'on y réfléchit, le risque de coup d'état en est que des plus réduits. En effet, les infrastructures étant dispersées, il est difficile de toute les prendre d'assaut. Nonobstant, cette sécurité se fait au détriment de l'efficacité. Effectivement, le temps de réaction des différents ministères doivent être anormalement élevés, le temps de se coordonner notamment. La question est donc la suivante, choisir entre sécurité et efficacité, choisir entre décentraliser et centraliser. Lorsque le Saint Empire de Karty opte pour centraliser ses pouvoirs à Volkingrad1, l'Akaltie elle choisit de disperser ses infrastructures.

Le pouvoir exécutif présenté, il est de nature de passer au législatif, le Parlement des Cités. Comptabilisant 967 sièges, il se voudrait représentatif des disparités démographiques de ses 41 cités. De surcroît, le vote des députés est fort particulier, la deuxième dérive Akaltienne. En effet, si la plupart des pays opte pour un système électoral se basant sur la géographie de ses citoyens, l'Akaltie opte pour l'équité démographique. Chaque quartier de 20 000 habitants élit son député, un système d'autant plus complexe. Ladite réforme s'est effectuée sous le mandat du Premier Ministre Ibach Ajtzac, redéfinissant clairement les dessins de sa géographie.

Vient enfin le pouvoir judiciaire, qui n'est point détenu par une institution de l'échelle d'Etat. Non, l'Akaltie se veut un pays fédéral sur ce point, chaque cité ayant son propre fonctionnement. Chacune dispose de sa gouvernance, parfois proche de l'autonomie complète pour quelques unes d'elles. C'est la troisième dérive Akaltienne. Lorsque la plupart des nations du globe optent pour une justice commune, l'Akaltie laisse l'embarras du choix à ses institutions systémiques2.

1. Volkingrad. Référence à la capitale Kartienne, qui concentre très majoritairement les pouvoirs politiques.
2. Institutions systémiques. Référence aux cités.

Une frontière dans l'âme.
Alinéa Empire et Union, deux Akalties en une seule. Ce ne sont point deux entités géographiques, ce sont bel et bien deux visions de souveraineté sur un même territoire. Evidemment l'Union se réfère aux cités, facteur point remis en question au sein de la patrie toucan. L'Empire cependant, approuvé par la majorité parlementaire mais critiquée par les cités elles-mêmes. L'Akaltie s'est fendue de deux bords distincts. Une frontière bien que non bordées de barbelés, elle sillonne l'allée des institutions, les discussions et pensées. C'est sous ces optiques où le schisme s'observe, certaines cités partisanes et d'autres révolutionnaires. Kintan ou encore Jeklum, toutes deux favorables à l'essor impérial, prêtant le serment à Itotia 1ère. Napalawie ou encore Xamanac, toutes deux largement opposées à l'Empire, revendiquant le fonctionnement passé de l'Union.

La séparation s'explique géographiquement, mais aussi politiquement au sein même du Parlement. Le Renouveau Akaltien demeure le parti avec une quasi majorité absolue, fort de ses 454 sièges. Face à lui, une sorte d'alliance entre tous les partis restants, coordonnés par le Parti de l'Entente, fort de ses 235 sièges. Bien que le RA soit seul face à une alliance de partis, il en demeure majoritaires à l'assemblée nationale. A la tête du parti majoritaire se trouve Itotia Neztli, cumulant les rôles d'impératrice et de Première Ministre.

La séparation est par conséquent géographique et politique, mais aussi symbolique par ce personnage controversé de l'impératrice-ministre1. Les provinces républicaines refusent catégoriquement d'afficher ne serait-ce qu'un pâle portrait de cette femme, tandis que les territoires impériaux brandissent sa bannière comme une idolâtrie. Une figure controversée mais aussi paradoxale, une impératrice autoproclamée qui n'est que reconnue par une partie de son peuple. C'est ce paradoxe qui mine les fondations, les socles et bâtisses de l'Akaltie.

1. Impératrice-ministre. Référence à la dirigeante Akaltienne, qui cumule paradoxalement deux titres.
Une asphyxie institutionnelle.
AlinéaLa démocratie, un bien beau concept, avancée indéniable de nos philosophes aux travers des Âges. Dans sa définition des plus pures, elle consiste en l'exercice du pouvoir par le peuple selon les règles qu'il s'est lui-même données. Essentiellement, nous ne pouvons retirer ce facteur à l'Akaltie, le vote s'y exerce, le pouvoir est légitimé par ses élections. Comme présenté, ces élections sont encadrées selon les lois, le principe de démocratie est par conséquent théoriquement respecté. Derrière cette façade, se terrent de biens plus sombres vacillements. La transformation impériale fut certes validée par le Parlement, aucunement par les cités elles-mêmes. La loi prévoyait d'écouter le Parlement sur ce point, la légalité est donc respectée, la volonté ne l'est guère. C'est une blessure juridique qui cautérise l'arche légale, mais qui infecte la volonté populaire, y réside le quatrième paradoxe Akaltien.

Le point culminant du ridicule réside dans le système électoral lui-même, dans sa pleine impossibilité. Dit-on qu'un élu représente 20000 êtres, comment ciel un quartier peut-il garantir telle exactitude ? Que devient l'institution lorsque sa population explose d'un sens ou l'autre, qui cartographie au jour le jour un travail qui demanderait des années, qu'il faudrait pourtant actualiser au rythme des nouveaux et jeunes électeurs. Par dessus, comment répartir tel ou tel individu à telle circonscription ? Nous nous heurtons au cinquième paradoxe Akaltien, le découpage des circonscriptions. Etant donné qu'un nid électoral1 est d'obligation de 20000 habitants, qu'advient-il de ces mêmes territoires si la population s'accroît ou descend ? Nécessairement il faut redéfinir régulièrement ces circonscriptions, offrant le réel choix du pouvoir à ceux qui les définissent. Dit-on que certains s'accordent à prier avant les élections, ces mêmes systèmes qui s'apparentent désormais à des découpages et lancés de dès plus qu'au réel suffrage. voilà le mode opératoire que nos bons amis anglophones nomment "gerrymandering1".

Le Renouveau Akaltien s'est glissé aux rênes du pouvoir par l'intermédiaire de ce système frauduleux, bien que démocratique en apparence. Seul parti qui clame les louanges de l'Empire, il est vecteur de la majorité au Parlement. Nonobstant comment en sommes-nous arrivés à ce cas présent d'Empire, si la population elle-même y est majoritairement contre par l'intermédiaire de ses cités ? Finalement, le RA est couronné d'un extrémisme politique par les institutions Akaltiennes elles-mêmes. Chauvinisme, souverainisme, interventionnisme et impérialisme, rien ne manque à l'appel de l'extrême droite. Lorsqu'un pays est malade, l'extrémisme vient à son chevet, nonobstant, ce n'est pas pour prendre de ses nouvelles3.

1. Gerrymandering. Référence à l'anglais, se traduisant littéralement en charcutage électoral. Ne peut être résumé en quelques mots, demeure un principe de manipulation des circonscriptions en faveur d'un parti et défaveur d'un autre.
2. Nid électoral. Référence à la circonscription.
3. Lorsqu'un pays est [...] de ses nouvelles. Référence au discours d'un ex-militaire Kartien.

De l'extrémisme vers l'interventionnisme.
AlinéaLe régime et les machinations Akaltiennes résumés, l'extrémisme du parti au pouvoir mis à la lueur du jour, il est fort temps de se pencher sur la doctrine diplomatique Akaltienne. Une qui par maintes a su faire virer au ridicule, des pays Aleuciens oui mais pas seulement. L'idiotie Akaltienne est de tout continent, impactant jusqu'aux Eurysiens lointains. L'ultra interventionnisme1, voilà le fin mot de la doctrine Akaltienne.

1. Ultra interventionnisme. Référence à la doctrine diplomatique Akaltienne qui consiste à se glisser dans chaque affaire internationale dès qu'elle en a l'occasion.
/!\Ce rp n'est absolument pas fini et n'en est qu'au stade de l'introduction, priez donc de ne pas le prendre en compte. J'ai pris la liberté de le mettre ici afin de ne pas le perdre, ainsi qu'alléger sa lecture qui peut donc se faire progressivement.

Bien à vous, Kartyusha le Kartyran.
114
Vous avez reçu vos cartons ! Rendez-vous ici pour les remplir.

Vos cartonsCarton n°8
https://i.imgur.com/5B8EcWQ.png
Carton n°9
https://i.imgur.com/5B8EcWQ.png
144
Les Casinos Nérème ont décidé de vous remercier en vous offrant un carton gratuit !


Votre carton cadeau !Carton n°12
https://i.imgur.com/5B8EcWQ.png

Remplissez-le dès maintenant en cliquant ici !
0
Grand Forum des mercenaires de Volterra

Engagez vous !



a
La vraie liberté t'attend...

Toi, jeune entrepreneur, oui c'est à toi que je parle. Tu en as marre de payer l'équivalent de la fiscalité tanskienne en impôts et taxes destinées à financer des feignants au chômage, des boomers et des assistés ? En as tu marre que l'on te fasse la morale sous n'importe quel prétexte prompt à ralentir tes extraordinaires capacités, de la même façon que ton gouvernement socialiste entendent faire main basse sur le fruit de TON travail ? Alors la vie de condotierre et de mercenaire est faite pour toi dans mon utopie de Volterra.

Mais qu'est-ce que Volterra ?


Volterra n'est pas seulement un lieu en pleine Dodécapole Fortunéenne...non, c'est une idée, portée par moi même, Salvatore Lograno, qui t'écris à toi, et rien qu'à toi, car tu es spécial. Oui, lève toi, arrête tout ce que tu fais, ouvre la fenêtre et hurle le à pleins poumons: je suis spécial ! Et maintenant, regarde toi dans le miroir...oui, tu auras bien compris: mon utopie te ressemble, mon utopie porte ton nom, mon utopie, c'est toi...potentiellement.


Ils ont testé la liberté pour vous:
a
Jamal Ben Sayed, condotierre au service de la République libertarienne: "Argent, alcool et Lograno-coins à volonté. Meilleure expérience de ma vie. Environnement de travail top puisque pas de règles, patron top, rendements financiers top..."


Imagine donc...une cité où les foudres de la censures ne s'abattent sur personne, une cité où les impôts n'existent pas, où l'expression et le blasphème n'ont pas de limite. Une société où il n'y a aucun filtre entre ta pensée et tes mots. Une cité où le concept de contrôle fiscal n'existe pas. Oui...cette ville là est faite pour toi, si tu es amoureux de la liberté absolue et sans la moindre entrave. Alors rejoins moi, et prends part à mes côtés à cette incroyable aventure qu'est la République libertarienne de Volterra ! Rendez vous au Grand Forum des Mercenaires de Volterra !



Ceci était une publicité sponsorisée par le Gouvernement de la République libertarienne de Volterra.

Pour toute information liée aux paiements et aux primes éventuelles, ou pour toute réclamation, merci de contacter le Bureau du Protecteur Salvatore Lograno.


j
0
Loterie de Messalie

Invitez un ami !
https://i.imgur.com/T3aA8FT.jpeg
Tout le monde aime avoir des amis ! Comme on dit, celui a des amis est déjà riche ! Et un ami, ça s'entretient. Profitez donc de notre offre exclusive Un Ami Pour La Vie* - Casinos Nérème et offrez 1 carton gratuit à l'un de vos amis** pour qu'il joue à la Grande Loterie ! 1 carton offert si vous saisissez l'offre !***

Indiquez nous ici le nom de votre ami, et nous lui enverrons son carton gratuit.

*Offre réservée aux clients des Casinos Nérème ayant déjà acheté au moins 1 carton.
**
HRP Seuls les joueurs qui n'ont pas encore acheté de carton peuvent être considérés comme des amis.
***Offre limitée à 1 ami. Un carton vous est offert si vous désignez un ami à qui un autre carton sera offert.
0
https://i.imgur.com/srsJpjA.jpeg


Ce message est le dernier que vous recevrez de nos brouteurs.
4353
[En cours]

L'Histoire, celle avec un grand H.

??? : C'est vrai, l'histoire se doit d'être correcte. Je me baladais sur un des "fameux" sites Akaltien à la recherche de mythe ou pépite à débunker, mais là, je crois que j'ai trouvé des joyaux.

Takoda : Bonjour, je me nomme Takoda, je suis historien. Lors de mes recherches sur akal-xan je suis tombé sur cette diffusion live_la-vraie-histoire-aleucienne/akal-xan.ak Je ne sais pas si elle sera toujours disponible lorsque vous la chercherez, je vous mets donc une retranscription ci-dessous :

retranscriptionSalut Internet ! Avec les amis passionnés d'histoire sur Akal-xan, on s'est dit qu'on pouvait pas laisser les everiens faire leur propagande même pas historique en toute impunité. On va donc reprendre calmement ce qu'ils ont dit, parce que dire que les everiens ont simplement combattu les colons eurysiens c'est un poil rapide comme résumé ! Et ça se voit à leur société actuelle. C'est pas des aleuciens ça, ils ont la peau d'une pâleur ! Ridicule ! Ils doivent se prendre des coups de soleil à chaque fois qu'ils sortent à la saison sèche. Ou plutôt en été, chez eux. Bref, on se disperse, là.

Les everiens ont clairement pas repoussé les sueñolejos, regardez, ils sont encore sur leurs côtes ! Est-ce que les teylais ou les youslèves contrôlent encore des bouts d'Akaltie ? Je crois pas, non. En Akaltie, on les a complètement bouté hors de leurs terres usurpées pour rendre ces colonies illégitimes (illégitimes comme toute colonie quoi) à leurs véritables propriétaires : les aleuciens. En l'occurrence, ce sont des akaltiens du nord, du sud et de l'est qui ont pu en profiter pour rentrer chez eux.
Et, au passage, l'Akaltie, ou en tout cas ses cités, se sont illustrés par d'autres faits d'armes que la simple reconquête du territoire national. En témoignent la Guerre des Sakkins et celles dans les pays de l'actuel Empire Anticolonial.

L'Everia, pendant ce temps, a préféré laisser tranquillement des eurysiens s'installer sur ses plages, en les regardant tranquillement débarquer et faire leurs petites affaires. D'autant plus que ce sont de féroces conquistadors sueñolejos qui y sont allés ! Pas des teylais tous mous même pas capable de tenir un territoire éloigné pendant un siècle ! Nous n'avons pas de statistiques précises, sûrement parce que le gouvernement everien actuel et ses prédécesseurs veulent éviter que ça se sache, mais il est sûr et certain que des familles, ou surtout des villages ont été massacrés et pillés par ces sauvages. Ces eurysiens ne sont pas restés sur la côte sans rien faire, c'est bien connu. Il n'a pas existé une seule nation coloniale de ce continent vieillissant qui n'ait pas enfoncé ses expéditions dans les terres dès qu'elle en avait l'occasion.

Voilà voilà. Tout ça pour dire que les everiens veulent pas montrer, ou veulent pas s'avouer à eux-mêmes qu'ils sont juste des collaborateurs de la colonisation eurysienne. Ils ont même adopté plein d'éléments de leur culture et se sont clairement métissés. Des aleucindiens pâles comme ça, ça s'est jamais vu. Même les uuqtinuts et les tuktuqivikains, qui voient le soleil que six mois par an quand ils ont de la chance, ils sont plus bronzés !

je vais donc revoir un peu tout ceci et faire en même temps un petit cours d'histoire pour vous en faire apprendre un peu plus sur cette période de l'Everia qui est visiblement inconnu à un pays géographiquement éloigné comme l'Akaltie. Tout d'abord le premier argument du toucan masqué :

La société actuelle Everienne, Euryanisé ? Mythe ou vérité ?

Takoda : Tout d'abord, il n'a pas inventé cet argument. Il est régulièrement revenu du côté Akaltien afin de mettre les Everien à part dans leur vision du monde. Tout d'abord, elle ne vient pas de nulle part, cette vision vient de la capitale. En effet, comme certains ont pu s'en apercevoir, celle-ci ressemble bel et bien à des villes eurysienne. Ce sont les quartiers d'habitation qui ont un style très eurysien. De nombreuses photos circulent en ligne, largement assez pour renforcer les Akaltiens dans leur croyance.

Mais en réalité, ils se trompent de route. Surtout s'il parle de la colonisation, ce toucan masqué fait le lien entre les deux et pourtant, cela n'a aucun lien. En effet, ce style eurysien existe bel et bien, comme dit plus tôt, mais il date de bien plus tard, vers 1980 environ. Il y a eu un crash économique immense et éclair, il a été causé par une sous production alimentaire très forte due à une combinaison de sècheresse et maladie qui ont touché les productions alimentaires Everienne qui était peu diversifié, ce qui est, par ailleurs toujours un problème aujourd'hui, même si cela est beaucoup moins fort aujourd'hui et qu'on a maintenant des pays allier qui peuvent servir de bouée de sauvetage si cela ce reproduit. Revenons à cette crise économique, celle-ci a causé une hyperinflation, qui est par ailleurs toujours visible dans l'organisation de la monnaie Everienne. Il y a donc eu une hyperinflation et une famine, ce n'étais pas le meilleur temps pour vivre dans les grandes villes, car oui, c'est celle-ci qui était de loin le plus touché, puisque la famine épargnait ceux qui produisaient ou habitait près des producteurs dans les campagnes, parce qu'ils étaient les premiers à pouvoir se servir dans les productions, et les producteurs gardait en général suffisamment pour eux. Ce qui nous laissait avec principalement les grandes villes et surtout la capitale, Catan qui comme aujourd'hui était la plus grande et la plus peuplée. Aujourd'hui, 2,5 millions d'habitants y vivent en plus, si on compare à la deuxième plus grosse ville, Darnovel. À l'époque, les proportions étaient à peu près les mêmes, on se retrouvait donc avec ce gros cœur urbain qui était largement plus isolé des producteurs agricoles que les autres villes.

On se retrouve donc avec un cœur dont on coupe tous les afflux de sang. Forcément, cela ne va pas bien se passer. Tout d'abord le gouvernement qui était déjà le conseil à tenter d'organisé l'approvisionnement en nourriture, mais la logistique n'était pas le problème, même en sortant toutes les réserves il n'y avait pas assez il a fallu donc importer en masse et qui était l'état le plus proche qui était dans de bonne relation avec nous ? Antares, les importations sont donc naturellement venues de ce pays ami du nôtre, vous allez me dire, pourquoi si loin ? Car la confiance était primordiale pour quelque chose de cette importance. Cella donc causé des coûts astronomiques pour ne pas laisser mourir de faim la population, c'est une des principales causes de l'hyperinflation mentionnée plus haut. Mais malgré les importations et les coûts monstres qu'elles généraient, cela ne suffisait pas à nourrir correctement la population. Dans la plupart des autres grandes villes, cela a causé un exode urbain, mais à Catan un autre phénomène a été observé. Dans un premier temps, le manque de nourriture causa des émeutes et des pillages visant tous les magasins et épiceries de la ville. Puis dans un second temps, après qu'il ne reste plus un seul magasin il y a eu des combats pour récupérer les importations qui était distribué et enfin lorsque la monopolisation par certains groupes des vivres se fit trop importante des attaques directes sur la logistique d'importation de vivre au cœur de la ville.

Six mois plus tard, lorsque les récoltes suivantes purent être récoltées, la crise a pu se calmer peu à peu. Mais les dégâts matériels étaient toujours là et il fallait les réparer. L'Empereur de l'époque, Eleander VI qui étaient conseiller du conseil Everien proposa de financer les réparations de la capitale en s'inspirant de model Eurysien dont il adorait l'architecture, le conseil de l'époque accepta majoritairement à cause de la proposition de financement important de la part de la famille impériale dans des temps relativement difficile pour les caisses de l'Etat.


[En cours]
Municipalités de Chalcédémone et de Messalie
30.06.2017

Votre demande de construction d'usine a été acceptée !

Merci d'avoir choisi Chalcédémone pour l'extension des capacités logistiques de Transeurysia ! Merci également d'avoir financé l'ouverture d'un musée dédié aux cultures aleuciennes dans le cinquième arrondissement de Messalie. Les profits perçus seront versés sur votre compte bancaire à la Banque Océane en fin de chaque trimestre (fin de chaque mois IRL).

Messalie remercie ses Bienfaiteurs.

Note : construire une usine crée de l'emploi à Chalcédémone, et donne un boost de faveur à la municipalité locale (Parti réformateur) pour les prochaines élections. Pas d'effet local à Messalie centre car aucun parti ne gère la mairie pour le moment.
Haut de page