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Ministère des Affaires Étrangères - Page 2

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Drapeau de Dgondu


Ecrit le 18/02/2016

Aux nations Afaréennes,


Chers frères et soeurs d'Afarée,

Aujourd'hui, nos états peuplant le continent mère sont menacés par des puissances impérialistes et néocoloniales qui se rêvent en puissances mondiales et dominatrices en Afarée. Cette situation, qui perdure entre autre au Gondo, pour ne citer que lui, n'est pas tolérable et ne doit pas être tolérable pour des nations comme nous, qui vivons sur ces terres depuis des générations et des générations.

Nous devons nous renforcer collectivement, nous devons nous unir comme un seul continent fédéré autour de nos valeurs et nos idées. Le Dgondu a toujours promu une vision Pan-afaréiste et refuse de laisser des puissances étrangères dicter leurs lois sur le sol des Afaréens. C'est pour cela que je vous invite à un sommet à Mpanga, capitale du Dgondu, le 25 Février 2016. Durant cette rencontre, nous parlerons de diverses sujets, allant d'une coopération économique poussée entre nos nations, à travers peut être la création d'une seconde monnaie commune, à des traités militaires dans les situations les plus favorables, comme des pactes défensifs, à la création d'un institut promouvant nos cultures afaréennes dans le monde entier.

Egalement, il sera envisagé de fonder une potentielle organisation afaréenne, bien que cette possibilité soit ouverte aux débats de part la présence du Forum de Coopération de l'Afarée du Nord déjà existant dans le nord de l'Afarée.

Avec toutes mes salutations les plus distinguées et avec espoir de recevoir une réponse favorable de votre part,

Malandela Gudmada
Sa Majesté Malandela Gudmada,
Roi des rois du Dgondu, état fédéré de Yukanaslavie
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Némédie a écrit :
Ministère des affaires étrangères


Drapeau

Messieurs,

C’est d’Epidion, où l’ombre des colonnes antiques veille sur nos pas, que je vous adresse la présente lettre, pour ouvrir entre nos deux pays une voie claire, stable et respectueuse.

La Némédie et votre pays relèvent d’une même géographie, d’une frontière commune et d’un même vent qui nous traverse. Cette proximité naturelle appelle naturellement entre nous des relations franches et organisées, comme le font les nations qui se respectent. C’est pourquoi, au nom de Sa Majesté le Roi, je me permets de vous faire connaître notre désir d’ouvrir une ambassade némédienne sur votre sol et de même pour vous, dans votre capitale si cela convient, pour donner à nos deux peuples une barrière permanente de dialogue, de coopération et, si les cieux le permettent, d’amitié sincère. Cette ambassade serait un bien plus qu’un bâti : elle exprimerait notre volonté de ne pas rester étrangers, alors que nos routes sont voisines et nos peuples parfois mêlés, nos intérêts appelés à se croiser.

Nous sommes ouverts à toute condition, à toute forme de collaboration sur les modalités pratiques et nous serions honorés de rencontrer vos émissaires à ce sujet.

Philippos Adrastos
Ministre des Affaires Étrangères de la Némédie

Fait à Epidion, ce jour, en l’an 2016
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À l'attention de son excellence représentant les autorités diplomatiques de l'Iveri - 08/12/2016



Bonjour,

J'ai le plaisir de vous contacter en ce jour au nom de Sa Majesté Impériale dans l'optique de construire les bases d'un dialogue constructif entre nos deux nations.
L'Empire Démocratique et Parlementaire du Nord est une monarchie constitutionnelle parlementaire du continent aleucien dont elle est désormais la première puissance. Notre économie, semblable en de nombreux points à la vôtre, a su se développer en un peu moins d'une décennie pour atteindre son niveau actuel, de même que sa défense et que son réseau diplomatique.

Engagé au sein de l'Organisation des Nations Démocratiques, nous avons à cœur la défense de la liberté, des droits humains et de la démocratie partout dans le monde, et Estham voit en vous un partenaire de choix. Votre nation est une démocratie pleine et résiliente aux perspectives économiques florissantes, engagée, elle aussi, pour la liberté et la démocratie. Nous pensons fermement que de nombreux peuples, de part et d'autre des océans, sont unis par ce même idéal d'un monde pacifié, démocratique et libre.

Pour ce faire, il nous est apparu évident que la diplomatie, le dialogue et la coopération sont les meilleurs leviers d'actions pour parvenir à ce futur tant espéré. C'est par l'ouverture sur les peuples, la compréhension mutuelle et les partenariats que nous parviendrons, pierre par pierre, à la coprospérité. Nous sommes convaincus que votre nation est un partenaire fiable et qu'établir un dialogue avec vos autorités ne peut être que bénéfique pour nos deux peuples. Pour cela, nous vous demandons l'autorisation de procéder à un échange d'ambassade dans le but de fluidifier nos communications et d'engager ce dialogue.

Nous suivons avec attention votre développement économique et technologique, c'est pourquoi nous formulons la proposition d'entamer des discussions ayant pour finalité de penser des partenariats économiques mutuellement avantageux pour soutenir votre développement économique et celui de l'Empire.

En espérant vous lire au plus vite, veuillez agréer, excellence, l'expression de mes sentiments distingués,
Amicalement,
François-Adolphe Rouzet, Ministre des Affaires Extérieures de l’Empire



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Communiqué solennel du Grand Royaume du Roi des Rois Kémimide
Maître de nombreuses nations, Souverain des peuples d’Afarée, des rives du Nadir aux hauts-plateaux de Tembouk, et des confins du monde

À l’attention de toutes les satrapies extérieures, enfants de l’Afarée

Peuples afaréens, souverains et conseils des royaumes et républiques qui bordent nos fleuves et nos montagnes, écoutez la parole qui émane du Trône : le Roi des Rois vous adresse, une invitation dont la dignité impose d’elle-même le respect, car elle procède de la responsabilité que nous partageons envers l’Afarée tout entière. Que nul n’y voie une main qui s’impose sur sa juridiction : vous demeurez extérieurs à l’Empire dans l’exercice de vos lois et de vos sceptres ; mais vous n’êtes pas étrangers à sa protection, car l’Empire vous tient en satrapies extérieures, membres reconnus d’un même corps historique et moral que le Roi des Rois s’est juré de garder. C’est en cette qualité, qui n’amoindrit ni votre honneur ni votre souveraineté, que Sa Majesté vous convie, avec solennité et bienveillance, à vous joindre sous son égide pour délibérer ensemble de ce qui, désormais, exige l’attention unanime de l’Afarée : le destin de la Kabalie.

Depuis des mois, la Kabalie endure l’épreuve, et chacun sait, sans qu’il soit besoin d’en noircir davantage l’encre, que la main de Carnavale pèse sur elle avec une brutalité dont le souvenir souillera quiconque aura détourné le regard. La Kabalie n’est pas une marge lointaine ni un litige d’érudits : elle est une part sensible de notre monde, un pivot de nos mémoires, un peuple dont la voix s’affaiblit sous la poussière des ruines et le vacarme des armes. Quand la Kabalie s’étiole, c’est l’Afarée qui se disperse ; quand la Kabalie est menacée, c’est la personne même du Roi des Rois qui est atteinte, car le souverain impérial n’est pas un simple monarque de frontières, il est le protecteur sacré des siens. Dès lors, persister dans le mutisme ou la solitude serait trahir l’évidence : aucun État afaréen ne peut, sans se renier, laisser ce peuple affronter seul la nuit qui se referme.

C’est pourquoi Sa Majesté vous invite à paraître, par délégation dûment accréditée, à une grande réunion tenue sous l’autorité du Trône, afin que l’Afarée, rassemblée, parle d’une seule voix. Il ne s’agit pas d’une tribune eurysienne (creuse) ni d’un décor de protocole, mais d’un moment grave où les souverains, dirigeants et leurs envoyés prendront, face et avec le Roi des Rois, la mesure des devoirs qui s’attachent aux liens de parenté politique que nous revendiquons depuis des siècles. Chacun sera entendu dans l’ordre, chacun exposera sans feinte la vérité de sa position, et tous, à la fin, auront à cœur d’ordonner leurs volontés pour que, de l’assemblée, sorte une parole ferme : une parole qui fixe la ligne d’action commune, qui établisse le secours immédiat, qui dessine la restauration possible, qui préserve la Kabalie des appétits étrangers et l’enracine, après l’orage, dans l’espace naturel de l’Afarée. Ainsi, l’on ne se contentera pas de commenter la douleur ; l’on se disposera à la soulager, par des voies concrètes de soutien humanitaire, de coordination logistique, d’accueil raisonnable des familles déplacées, de protection des routes, des ports et des greniers, et, si la sagesse collective l’ordonne, par l’appui diplomatique et économique susceptible de rompre l’étau qui l’écrase.

Que nul ne s’inquiète cependant d’y voir un empiètement sur ses prérogatives : l’Empire ne revendique ni vos sceaux ni vos lois ; il affirme la primauté d’un devoir de protection, et rappelle la hiérarchie morale qui unit l’Afarée autour du Trône et de vos indépendances. Cette hiérarchie n’humilie personne : elle ordonne, elle stabilise, elle garantit que la parole du Roi des Rois, lorsque les temps sont dangereux, demeure le point fixe vers lequel se tournent les regards. En conséquence, les échanges relatifs à cette réunion devront être adressés directement à Sa Majesté, selon le protocole impérial, dans les formes respectueuses qui sont dues à son rang ; pour ce qui touche à la sûreté des déplacements, à l’acheminement des délégations, à l’usage éventuel et strictement neutre des ports impériaux, il reviendra au Triumvir de la Guerre, Baruk Altemar, d’en fixer les modalités pratiques ; pour l’hébergement, l’intendance et la comptabilité des dépenses, le Triumvir du Trésor, Zakhna Mendel, arrêtera les dispositions nécessaires ; et pour l’ordre public, la circulation, la tenue des salles et la police des cérémonies, le Triumvir de l’Intérieur, Hadrien Sulkar, veillera, avec ses services, à ce que rien ne vienne troubler la dignité des travaux. Vous recevrez, en temps utile, les indications de date, de lieu et de rite, transmises par la diplomatie, et chacune de vos chancelleries saura reconnaître, dans l’invitation scellée du Sceau d’Or, l’empreinte du Trône.

D’ici là, Sa Majesté vous enjoint, avec la fermeté douce d’un père à ses enfants, de préparer la substance de vos positions : non des slogans, mais des engagements ; non des prudences qui masquent l’inaction, mais des offrandes de bonne volonté qui puissent être tenues sans péril pour vos peuples. Il s’agira d’envisager, avec lucidité, l’accueil provisoire d’une part mesurée des déplacés kabaliens selon les capacités de chacun, l’ouverture de couloirs humanitaires sous garantie commune, la création de fonds d’assistance placés sous la garde conjointe des satrapies extérieures et de l’Empire, la préservation absolue de la neutralité des zones mises à disposition par l’Empereur, neutralité sans laquelle toute aide se transformerait en prétexte de discorde, et enfin l’harmonisation des démarches diplomatiques afin que l’Afarée ne parle pas en chœur dissonant, mais comme une seule puissance aux voix multiples. Que nul n’ignore, en outre, que la dignité de cette œuvre tient à l’attitude de chacun : la courtoisie entre délégations sera observée avec une rigueur comparable à celle que l’on exige sur un champ de manœuvre ; toute offense au Trône, au peuple kabalien, ou à l’un quelconque des peuples afaréens, sera tenue pour une faute contre l’unité.

Si l’on vous invite, c’est parce que l’instant n’admet plus les demi-mesures. L’Afarée est plus grande que l’addition de ses frontières ; elle est une famille politique, un espace spirituel et historique dont le Roi des Rois est le garant. Répondre à cet appel, c’est vous hisser à la hauteur de votre propre histoire ; y manquer, c’est vous résigner à voir se défaire, morceau par morceau, ce que des générations ont patiemment bâti. Que chacun vienne donc avec l’assurance de son rang, avec l’humilité de celui qui sait ce qu’il doit à plus vaste que lui, avec le courage tranquille des gouvernants qui préfèrent la charge du devoir aux commodités de l’inaction. La Kabalie nous regarde ; l’Afarée nous regarde ; et le monde, qui nous observe, apprendra aujourd’hui si notre unité est un mot d’apparat ou une réalité capable de secourir les siens.


Scellé sous l’autorité de Sa Majesté le Roi des Rois, Protecteur des Peuples d’Afarée.


" Scellé sous mon autorité, "
Sa Majesté le Roi des Rois

Le Corps des Scribes transmet et porte foi au présent communiqué, et demeure à la disposition des satrapies extérieures pour toute correspondance relevant du protocole Impérial.
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Missive diplomatiques


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Objet : Demande d'implantation d'entreprise Iverienne

Cher directeur de la Tel-Abiel Bank, de la Avir Airlines et de la Ikhoud Airways,
Si nous vous contactons aujourd'hui c'est parce que nous aimerions que vous vous implantiez dans notre nation.
Pour la Tel-Abiel Bank, nous aimerions que vous ouvriez cinq agences dans notre nation,si vous acceptez un contrat vous sera envoyé.
Pour la Avir Airlines et la Ikhoud Airways nous aimerions que vous ouvriez des lignes aériennes avec les villes de Maracaillbosse, Nuvos et San Cristabol pour la Avir Airlines et pour la Ikhoud Airways nous aimerions que vous ouvriez des lignes avec les villes de Monaus et Calarcas, comme pour la Tel-Abiel Bank, un contrat vous sera envoyé si vous acceptez notre demande.
En espérant recevoir une réponse favorable.


Cordialement
Clara Mendizabal, ministre des affaires étrangères du San Youté
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À l’attention du Ministère des Affaires Étrangères de l'Iveri,

Salutations

C’est avec le plus grand honneur que nous nous adressons à vous, Monsieur le Ministre, en vue d’exprimer notre désir de créer une ambassade officielle dans votre pays.
Nous pensons qu’une représentation diplomatique stable sera de nature à favoriser l’entente entre nos deux peuples sur le plan politique, économique, culturel et autre. Nous restons bien entendu à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.

je vous adresse mes salutations respectueuses.



Rodion Kerzhakov
Ministre des affaires étrangères


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Bonjour

C'est avec grand plaisir que nous entamons une discussion avec vous, honorables voisins, pour débuter une relation que nous voulons la plus cordiale et la plus amicale possible.

Comme vous le savez peut-être, l'Union des Corporations du Phéniskus sort tout juste d'un plan de relance économique après une guerre civile particulièrement destructrice. C'est pourquoi, marqué par les horreurs de la guerre, nous souhaitons désormais éviter tous conflits avec nos voisins, dont vous faites partie.

C'est dans ce but de nous préserver de la guerre et d'entamer une relation cordiale avec la République Hébraïque d'Afarée du Nord. Nous souhaitons établir une ambassade permanente chez vous pour discuter plus facilement de la relation entre nos deux pays que nous voulons la plus pacifique et coopérative possible. Par ailleurs, par principe de réciprocité et de fluidification des échanges entre la la République Hébraïque d'Afarée du Nord et l'Union des Corporations du Phéniskus nous serions ravis d'accueillir une ambassade sur notre territoire.

En attente d'une réponse que nous espérons favorable, veuillez agréer nos sentiments les plus distingués.
Cordialement
cabinet des affaires internationales, Grand Corporatiste
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