11/05/2017
16:05:18
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Journal Royal - Page 2

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Une nouvelle tragédie

Il y a plusieurs heures maintenant des images troublantes se sont diffusé venant de la Côte d'assad. Des terroristes sont rentrée dans les locaux d'une chaine télévisé lors du journal télévisé et se sont revendiqué comme "Soldats d’AJARA" et veulent la liberté. En plus de cela le Chancelier Lahis Isaac à déposer sa démission et d'après des sources du palais royal lors de la réunion des conseillés et de Sa Majesté il y aurait étais dis que c'est la goute d'eau qui fait déborder le verre et que à cause de cela la Côte d'Assad connaitra des jours encore plus sombre que actuellement car d'après les spécialistes si en plus un mouvement anarchique voir terroristes se forment lors d'un moment de flottaisons au niveau de la succession de pouvoir pour gouverner la Côte d'Assad comment cette crise va être gérer. D'après des sources Sa Majesté Louis II serait prêt à agir pour le peuple de la Côte d'Assad pour éviter de connaitre les heures sombre que l'on a pus déjà voir dans d'autre état.
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Drame en mer : Un navire percute un rocher au large de Finejouri


Un tragique accident maritime s’est produit ce matin au large des côtes de Finejouri, lorsqu’un navire a violemment percuté un rocher immergé. L’incident a entraîné une intervention d’urgence des autorités, mobilisant un patrouilleur et un hélicoptère pour secourir l’équipage en détresse.À bord du navire, 50 membres d’équipage étaient présents au moment du choc. Malheureusement, 10 d’entre eux ont perdu la vie, tandis que les 40 survivants souffrent de blessures de gravité variable. Les blessés ont été pris en charge et évacués vers les hôpitaux les plus proches, où des soins leur sont prodigués.

Les premières analyses effectuées par les équipes de surveillance maritime se veulent rassurantes : aucune pollution majeure n’a été détectée pour l’instant, et la faune ainsi que la flore marine ne semblent pas menacées. Les autorités restent néanmoins vigilantes et poursuivent les investigations pour évaluer d’éventuels impacts environnementaux à long terme.

Face à l’ampleur du drame, un Conseil de Sécurité exceptionnel sera organisé au Palais Royal pour déterminer par quel moyen l'épave sera enlevé.
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Des Propos Douteux



Ce matin, lors de la réunion des différents conseillers des bureaux qui a eu lieu au Palais Royal, nous avons pu poser des questions à certains membres de la politique royale.

Tout d’abord, nous avons échangé avec le conseiller M. Guiguelone, en charge de l’économie et du travail, à qui nous avons demandé si les salaires allaient être revalorisés.
Il nous a répondu que cette option avait effectivement été proposée, dans la mesure où le développement de notre royaume le permet. Toutefois, il a précisé que cela n’était pas encore certain, car il souhaitait d’abord mettre en place un seuil minimal et un seuil maximal pour les salaires.

Après cette première intervention, nous avons eu l’honneur d’interpeller Sa Majesté Louis II, qui nous a accordé un peu de son temps précieux.
Nous l’avons alors interrogé sur plusieurs sujets préoccupants, notamment les propos récents de l’Amiral-Président de l’Ouwanlinda, tels que :

« Tant qu’ils ne seront pas partis, voilà ce que je prévois : un missile par semaine sur l’une de leurs installations, jusqu’à ce qu’ils acceptent de se retirer entièrement et définitivement de nos terres. »

« Le gouvernement mafieux du Gondo a commis une lourde erreur en refusant de baiser la main de ses maîtres eurysiens, qui lui offraient une porte de sortie honorable. C’était sa seule chance de s’en sortir de ses crimes. Eh bien, j’ai envie de dire : tant mieux ! Qu’ils refusent, cela nous convient très bien. Nous allons régler nos affaires sur un champ de bataille. Si ce lâche ne veut pas venir m’affronter en duel singulier à la machette, alors nous allons faire venir la guerre à lui. »

Voici la réponse de Sa Majesté Louis II, que nous retranscrivons fidèlement :

Sa Majesté Louis II :

« Tout ce que je peux vous dire, c’est que ce dirigeant belliqueux, qui prétend vouloir la liberté des peuples afaréens, ne fait en réalité qu’attiser la haine et déclencher une guerre entre Afaréens eux-mêmes. Je me demande même s’il n’est pas aveugle face à la situation actuelle de notre continent. Trop de guerres, trop de conflits ont déjà coûté la vie à nos peuples afaréens.

Et voilà qu’un soi-disant "libérateur" prétend rétablir l’ordre par le massacre, par simple orgueil et rivalité personnelle. Moi, je vous le dis : Finejouri, comme je l’ai déclaré dans mon annonce, ne prendra pas part au conflit.

Toutefois, je me permets de vous dire que je n’hésiterai pas à révéler la vérité sur nos voisins les plus douteux. Si ce dictateur met ses menaces à exécution, je crains le pire pour la sécurité de l’Afarrée tout entière. »
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Ce jour restera gravé dans l’histoire du Royaume, l’avion royal, arborant fièrement les couleurs de notre nation et l’emblème de la Couronne, a atterri ce matin sur le sol du Dgondu, marquant le début de la participation officielle de Sa Majesté Louis II au très attendu Sommet des Nations Afaréennes.

Arrivé à bord de l’appareil présidentiel du royaume, le Roi Louis II a été chaleureusement accueilli à l’aéroport international de Mpanga, centre diplomatique temporaire d’une Afarée qui cherche son unité et son avenir. La délégation finejourienne, composée de hauts représentants du gouvernement, de la diplomatie et de la défense, reflétait l’équilibre et la rigueur de notre politique extérieure.

Dès la descente de la passerelle, les photographes étrangers présents n’ont cessé d’immortaliser ce moment, le souverain de Finejouri avançant avec prestance et humilité vers le cœur battant de l’unité afaréenne. Dans sa tenue d’apparat, et malgré la chaleur accablante du Dgondu, le Roi est resté calme, le regard tourné vers l’horizon, comme pour y lire l’avenir des peuples frères.
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Le Royaume de Finejouri célèbre aujourd’hui l’achèvement du Palais Royal, joyau architectural tant attendu, fruit de plusieurs décennies de volonté, de labeur et de fidélité à l’idéal fondé par nos ancêtres. Érigé sur les hauteurs symboliques de Karoun, berceau de la dynastie, ce palais n’est pas un simple bâtiment, il est l’héritier de rêves formulés par les Rois fondateurs, les mères-reines bâtisseuses, et les souverains modernes qui ont porté le Royaume à son ère d’or. C’est dans ce lieu que le Roi Saliar III voulu construire son palais, arraché trop tôt par les troubles du Siècle Obscur, et que le plan originel fut restauré sous le règne du Roi Mérovan V, grand-père de notre actuel Souverain. Aujourd’hui, Sa Majesté le Roi pourra enfin s’y établir, à l’endroit même que ses aïeux avaient rêvé pour incarner le cœur battant de l’unité finejourienne.

Le palais allie l’élégance néo-classique à une vision futuriste de la gouvernance. Son vaste Hall des Ancêtres, orné des bustes des rois passés, débouche sur les salons de réception ouverts à la diplomatie internationale, tandis que des jardins suspendus rendent hommage à l’héritage agricole de la région d’Uvanné. Dans les profondeurs du palais, une Salle de Gestion de Crise à la pointe de la technologie assure la sécurité de l’État, pouvant accueillir le Haut Commandement et les conseillés en cas de menace ou de bombardement. Le Palais est conçu non seulement pour représenter le pouvoir, mais pour le protéger et le faire durer.

L’urbanisme alentour a été repensé pour ouvrir le Palais à la population, par des parcs, des axes monumentaux, et une esplanade ouverte pour les grandes célébrations nationales.

Aujourd’hui, Finejouri n’écrit pas une page, elle en tourne une.

palais royal
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Troublante disparition à Ekanori : un commerçant introuvable depuis six jours

L’inquiétude grandit dans le quartier de Madiri, à Ekanori, après la disparition inexpliquée de Yared Kounda, 46 ans, commerçant bien connu pour sa boutique de pièces mécaniques située en bordure du marché central. En effet selon ses proches, M. Kounda aurait quitté son domicile lundi matin pour se rendre à son échoppe, mais ne serait jamais arrivé. Son épouse a alerté les autorités locales en fin de journée, et une enquête a été immédiatement ouverte par la garde royale territoriale. Les premiers éléments laissent penser qu’il n’y aurait pas eu d’effraction ni de signes de lutte à son domicile. Son téléphone a cessé d’émettre à la sortie de la ville, sur la route secondaire menant vers la commune de Nyaforo. Un témoin affirme l’avoir vu discuter avec deux hommes à la carrure militaire peu avant sa disparition, mais cette information n’a pas été confirmée.

Le capitaine Kémo Talassi, en charge de l’enquête, a déclaré : « Toutes les pistes sont étudiées, y compris un possible différend commercial. Nous invitons toute personne ayant vu ou entendu quelque chose à se rapprocher de nos services. »
Les habitants, eux, redoutent que cette affaire ne soit liée aux tensions économiques croissantes dans la région.

Trois jours après la mystérieuse disparition de Yared Kounda, la stupeur s’est muée en mobilisation populaire. Alors que l’enquête de la garde royale se poursuit, les habitants du quartier Madiri et des environs se sont organisés pour mener des recherches parallèles, convaincus que chaque minute compte.
« C’est un homme droit, honnête, toujours prêt à rendre service. On ne peut pas rester les bras croisés », témoigne Fatima N’Diali, cliente régulière et voisine de longue date. Comme elle, plusieurs dizaines de citoyens arpentent les sentiers et les zones boisées autour d’Ekanori depuis mardi, espérant retrouver une trace du commerçant.

Une marche silencieuse a été organisée hier soir dans les rues du centre-ville. Plus de 200 personnes y ont participé, brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire "Yared, on te cherche" ou encore "La vérité pour Madiri". Certains habitants s’inquiètent d’un possible acte criminel lié à des trafics de pièces détachées dans la région. D’autres redoutent un message d’intimidation contre les commerçants indépendants. « Depuis que Yared a refusé de vendre son terrain à un groupe privé, il disait recevoir des menaces voilées », confie sous anonymat un proche.

Une cellule de soutien psychologique a été mise en place à la mairie. Le maire d’Ekanori, Léonce Zama, a demandé la venue d’un enquêteur spécial de la capitale. Les recherches, elles, continuent.
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Journal Royal

Le Conseil des Ministres, réuni dans la Salle des Lances, a unanimement salué la signature prochaine de ce pacte historique. Les termes de l’accord stipulent une assistance mutuelle stricte en cas d’agression caractérisée, dans un cadre défensif clair et respectueux de la souveraineté de chacun.
Les diplomaties des deux pays poursuivent désormais les échanges en vue de mettre en œuvre des exercices conjoints, des échanges de savoir-faire militaire, et l’harmonisation de leurs doctrines stratégiques.

Le peuple de Finejouri est invité à accueillir cette annonce avec la fierté qu’elle mérite notre Royaume avance, fort de ses alliances, fidèle à sa parole, et déterminé à garantir à ses citoyens une paix durable, ancrée dans la coopération et la dignité.
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Interview de fin d'année

Interview de fin d'année de Sa Majesté Louis II, souverain du Royaume de Finejouri

Dans le cadre de cette fin d'année, Sa Majesté Louis II a accepté de se prêter au jeu de l'interview afin de présenter son bilan et partager sa vision pour l'avenir du Royaume.

Journaliste : Majesté, permettez nous tout d'abord de vous remercier, au nom de toute l'équipe, mais aussi, je crois, du peuple de Finejouri, pour le temps que vous nous accordez en dépit d'un emploi du temps que nous savons très chargé. Dans cette interview, nous aborderons six thèmes clés.

Commençons par les questions d'ouverture et de contexte.

Journaliste : Majesté, comment décririez-vous l'année écoulée pour le Royaume de Finejouri ?

Sa Majesté Louis II : Je vous remercie pour cette opportunité, car elle me permet de m'adresser directement à l'ensemble de mes sujets. L'année écoulée fut riche en bouleversements, porteurs à la fois d'espoir et de réflexion. D'un côté, nous avons connu une avancée militaire remarquable, faisant rayonner Finejouri sur la scène continentale. J'ambitionne que notre Royaume soit un jour reconnu et respecté à l'échelle mondiale. Nous avons également multiplié nos efforts diplomatiques, en participant à diverses conférences et en établissant des liens solides avec d'autres nations. Toutefois, nous avons été frappés par des événements tragiques, notamment l'écroulement de la Némédie, qui nous rappelle la fragilité des équilibres régionaux.

Journaliste : Quelles ont été, selon vous, les plus grandes réussites du Royaume cette année ?

Sa Majesté Louis II : Sans doute notre capacité à négocier et à faire entendre notre voix sur la scène internationale, tout en préservant notre indépendance militaire, économique et culturelle. Cela témoigne de la solidité de nos institutions et de la volonté de notre peuple.

Journaliste : Y a-t-il des événements marquants qui ont modifié votre vision du pouvoir ou du rôle de Finejouri sur le continent ?

Sa Majesté Louis II : Certainement. L'une des expériences les plus marquantes fut la réunion des chefs d'État du continent à propos du conflit impliquant l'Ouwanlinda. Face à l'imprévisibilité de certaines puissances, nous avons dû agir de manière déterminée, notamment par la mise en place d'un blocus, marquant notre première intervention militaire continentale. Ce fut un tournant.

Journaliste : Merci, Majesté. Passons à présent à la politique étrangère et à la diplomatie.

Journaliste : Des tensions sont apparues sur le continent. Quel rôle le Royaume entend-il jouer dans la stabilité régionale ?

Sa Majesté Louis II : Le continent traverse une période troublée, marquée par des conflits en Ouwanlinda, mais aussi par des tensions naissantes entre certains États, comme avec Cramoisie, et les luttes actuelles pour la décolonisation. Finejouri entend être un acteur de stabilité, prônant le dialogue, la souveraineté et le respect des frontières.

Journaliste : Souhaitez-vous développer davantage les ambassades et les échanges bilatéraux avec d'autres nations ?

Sa Majesté Louis II : Absolument. Il est impératif pour Finejouri d'étendre son réseau diplomatique, notamment par l'ouverture d'ambassades sur d'autres continents. La diplomatie est un pilier de notre grandeur future.

Journaliste : Passons à l'armée et la puissance militaire.

Journaliste : Le porte-avions Cléoptère a été inauguré cette année. Que représente-t-il symboliquement et stratégiquement pour Finejouri ?

Sa Majesté Louis II : Le Cléoptère incarne la maîtrise technologique de notre Royaume et sa souveraineté industrielle. Stratégiquement, il nous établit comme une puissance maritime incontournable, capable de dissuasion, de projection, et de protection de nos intérêts.

Journaliste : Peut-on s'attendre à d'autres grands projets militaires dans les mois à venir ?

Sa Majesté Louis II : Oui. Sous la conduite de mon Conseil militaire, nous travaillons activement au renforcement de notre renseignement stratégique, ainsi qu'au développement de missiles balistiques à portée dissuasive.

Journaliste : Parlez-nous à présent d'économie, d'industrie et de société.

Journaliste : Des réformes internes sont-elles prévues pour stimuler la croissance ou l'emploi dans le Royaume ?

Sa Majesté Louis II : Nous prévoyons en effet un projet de loi soumis prochainement au Parlement. Par ailleurs, une refonte structurelle du Royaume est en cours d'étude notre modèle trop centralisé montre ses limites. Je suis favorable à une décentralisation régionale afin de renforcer l'efficacité de l'administration et de favoriser un développement plus équilibré.

Journaliste : Venons-en à la vie royale et la gouvernance.

Journaliste : Avez-vous un héritier désigné ou une idée quant à votre succession ?

Sa Majesté Louis II : Ma vie privée demeure, et demeurera, hors de la sphère publique. Ce que je puis vous dire, c'est que j'ai 34 ans, et que la tradition veut qu'un souverain de Finejouri cède le pouvoir à l'âge de 40 ans, devenant alors "Roi Mémorial". Ce titre confère le privilège d'intervenir auprès du nouveau dirigeant en cas de besoin, mais aussi de s'impliquer dans les domaines sensibles tels que le renseignement ou la diplomatie d'influence.

Journaliste : Parlons enfin d'alliances et d'avenir.

Journaliste : Cette année a été marquée par de nombreuses réunions de dirigeants et la signature d'accords majeurs, comme le Pacte Afaréen de Sécurité (PAS). Pouvez-vous nous en dire davantage ?

Sa Majesté Louis II : Le PAS est une initiative décisive, conçue par nos alliés d'Azur et d'Antegrad. Elle vise à offrir aux nations d'Afarée les moyens de défendre leur souveraineté face à toute tentative de recolonisation ou d'agression. Je proclamerai très prochainement son application à Finejouri. Nous travaillerons avec nos alliés à son extension à d'autres États afin de bâtir un front uni et légitime dans les négociations diplomatiques.

Journaliste : Merci, Majesté, pour ce moment de partage, pour vos réponses, et pour le temps précieux que vous nous avez accordé.



Image de l'interview

interview
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Communiqué de Sa Majesté Louis II

Face aux défis croissants que notre royaume doit affronter, il est de mon devoir sacré de veiller à sa prospérité, sa stabilité et son rayonnement. Aujourd’hui, je vous adresse cette parole solennelle pour vous faire part d’un projet ambitieux et nécessaire la restructuration profonde de notre royaume. Cette réforme vise à renforcer nos institutions, optimiser notre gouvernance, et mieux répondre aux besoins de chaque citoyen, qu’il soit au cœur de nos villes ou dans nos campagnes. Nous souhaitons moderniser notre administration, clarifier les responsabilités, et instaurer une organisation plus efficace et plus proche de vous. Ce modèle de restructuration s’appuiera sur des départements thématiques spécialisés, dirigés par des conseillers compétents, et sous ma supervision directe. Il garantira un équilibre harmonieux entre pouvoir royal, élus du peuple et institutions, pour assurer la justice, la sécurité, le développement économique et culturel de Finejouri. Je vous invite tous, nobles comme simples citoyens, à participer activement à cette grande œuvre de renouveau, dans l’unité et la fidélité à notre histoire commune. Voici le plan de restructuration

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Le Mandataire du Royaume :
Les Mandataire du Royaume est nommé par Sa Majesté Louis II. Il a pour mission de représenter le pouvoir royal de présider le conseil Provincial et il est chargé de l'application des lois royales, de l'ordre public, de la coordination des services provinciaux et de l'exécution des décisions du Consseille des conseillés. il supervise aussi les forces de sécurité, il coordonne les directions administratives provinciales. Il est donc chargé de dirigé la province et d'y faire appliquer les décisions royales.

Le Conseil Provincial :
Le Conseil Provincial est composé de conseillers provinciaux élus par les citoyens de la province. Élu pour un mandat de 6 ans. Le Conseil Provincial délibère sur les affaires locales comme l' infrastructures, les aides sociales, le développement économique, l'éducation, etc. Le conseille vote le budget provincial et peut proposer des projets de lois d’intérêt provincial au niveau de l’Assemblée Royale Peut émettre des avis sur les décisions du Mandataire.


Les Directions Provinciales de l’Administration Royale :
Sous l’autorité du Mandataire, elles exécutent les politiques royales.
• Direction Provinciale de l’Économie et de l’Industrie
• Direction Provinciale de l’Éducation et des Apprentissages
• Direction Provinciale de la Santé et du Bien-Être
• Direction Provinciale de l’Agriculture et des Terres
• Direction Provinciale des Travaux Royaux et de l’Aménagement
• Direction Provinciale de la Sécurité Civile et de l’Ordre
• Direction Provinciale des Affaires Sociales et de la Solidarité

Chaque direction est dirigée par un Directeur Provincial, nommé par le Mandataire sur proposition des ministères royaux.

Composition de chaque province

- Province d'Élarion
Capitale Administrative : Circago
• Mandataire : Dame Vaelina Tournesse
• Nombre d'habitant: 158 169
• Antenne du Renseignement: Oui

- Province Agrastel
Capitale Administrative: Puzui
• Mandataire : Seigneur Brénor de Falheïn
• Nombre d'habitant 1 054 003
• Antenne du Renseignement: Non

-Province Solharé
Capitale Administrative: Louisrixou
• Mandataire : Dame Ceryna Halthen
• Nombre d'habitant 527 011
• Antenne du Renseignement: Oui

-Province de Morvane
Capitale Administrative: Neyking
• Mandataire : Baron Arvik Jarn
• Nombre d'habitant: 1 010 784
• Antenne du Renseignement: Non

-Province de Valdrienne
Capitale Administrative: Cassabel
• Mandataire : Marquise Elenor de Tiscaire
• Nombre d'habitant: 533 861
• Antenne du Renseignement: Non

-Province d’Ylborée
Capitale Administrative: Gruite
• Mandataire : Seigneur Maëric Solven
• Nombre d'habitant: 116 628
• Antenne du Renseignement: Non

-Province de Thénoris
Capitale Administrative: Pekingoue
• Mandataire : Dame Jéssara Velcour
• Nombre d'habitant: 4 938 815
• Antenne du Renseignement: Oui

-Province de Zorimandre
Capitale Administrative: Rioty
• Mandataire : Comte Thédric Narlan
• Nombre d'habitant: 527 011
• Antenne du Renseignement: Non
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