21/02/2015
17:54:09
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[PRESSE] Le Lion - Page 2

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QUE LA FÊTE COMMENCE !
Ouverture Historique du Premier Festival de Musique.

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Feu d'artifice, Lykhaon de Pierre.


Dans un geste historique, le Chancelier de Gauche a inauguré hier le tout premier Festival de Musique de la Côte d'Assad. Cet événement tant attendu s'est déroulé au Lykhaon de Pierre. Cette fête est le début d'une grande avancée, un grand pas pour le gouvernement et les citoyens assadiens qui rêvaient de ce festival, même s'il a été très critiqué par le Grand Imam, qui a qualifié cette fête de "fête du diable qui attirera la ruine à la Côte d'Assad si nous continuons à être moins sévères et droits en nous déstabilisant."

Sous un ciel éclatant, la cérémonie d'ouverture a rassemblé une foule de plus de 50 000 personnes, venues des quatre coins de la Côte d'Assad. L'atmosphère était électrisante alors que les citoyens, de tous âges et horizons, ont afflué pour assister à cet événement inédit. On y croisa aussi des touristes d'autres nations, comme celle de l'Empire de Karty, un nouvel allié de la Côte d'Assad, ou encore plus proche : la Fédération centrale d'Antegrad. La cérémonie d'ouverture a également été télévisée dans tout le pays gratuitement. Les chaînes nationales Assad TV et CulturePlus ont diffusé en direct la cérémonie, permettant à ceux qui n'ont pu se rendre sur place de participer à cet événement historique depuis chez eux. Les réseaux sociaux ont également été inondés de vidéos et de photos, capturant chaque moment clé de la soirée.

La scène du Lykhaon de Pierre, habituellement dédiée aux œuvres théâtrales, a été transformée en un espace vibrant de musique et de lumière. Les décorations somptueuses, réalisées par plusieurs agences de musique locales, ont captivé les spectateurs dès leur arrivée. Le coût de cette transformation s'élève à près de 10 millions de Ass, une somme considérable mais jugée nécessaire pour l'occasion par le Chancelier de Gauche qui a organisé ce festival.

Le Chancelier de Gauche, lors de son discours d'ouverture, a réaffirmé l'objectif central du festival : la création d'un nouvel hymne national, modernisé pour refléter l'ère contemporaine. "Notre pays est à un tournant. Nous devons avancer avec notre temps et cela commence par la musique," a-t-il déclaré sous les acclamations du public.

Parmi les artistes présents, Naga, la plus grande chanteuse assadienne, a exprimé sa fierté de participer à cet événement. "Fière de mon pays, fière de ma patrie. Les artistes vont pouvoir se réunir pour chanter pour leur peuple, pour chanter pour le pays tout entier," a-t-elle déclaré avant de monter sur scène pour une performance inoubliable.

D-Fresto, le roi du rap assadien, a également partagé son enthousiasme : "Le rap est très aimé par les plus jeunes. L'ancien hymne était pour le moins ennuyeux, je ne l'ai découvert qu'à l'âge de vingt-quatre ans. Nous allons tous, autant que nous sommes, artistes de tous styles musicaux, nous affronter pour savoir qui représentera la musique à l'étranger."

Les citoyens présents ne cachaient pas leur enthousiasme. "C'est un rêve devenu réalité de voir un festival de musique ici, à Isdam," a confié Yara, une étudiante en art. "Cela montre combien notre culture évolue."

Un autre participant, Farid, un commerçant local, nous a montré sa joie et l'importance de l'événement : "C'est une bénédiction pour notre économie locale et une chance pour nos jeunes de s'exprimer."

Ce premier festival de musique marque le début d'un nouveau chapitre, d'une nouvelle avancée dans les têtes assadiennes pour la Côte d'Assad. Le Lykhaon de Pierre, désormais témoin de cette transition, accueillera tout au long de l'année des concerts et des événements musicaux, pour montrer que la musique a aussi sa place dans la culture assadienne.

Avec des fonds publics et privés injectés dans l'organisation, l'avenir s'annonce prometteur pour les artistes locaux et la scène musicale en général. Le Chancelier de Gauche a conclu la cérémonie avec des mots d'espoir : "Ce festival est le symbole de notre unité et de notre ambition. Ensemble, nous créons un avenir où la musique joue un rôle central."

Les prochains jours du festival promettent encore plus de performances spectaculaires, avec des artistes de renommée nationale. Les citoyens de la Côte d'Assad attendent avec impatience de découvrir quel artiste aura l'honneur de composer le nouvel hymne national.

Voici le discours du Chancelier de Gauche :

Chers citoyens Assadien(nes),

Aujourd'hui, nous faisons un grand pas en avant. Ce festival de musique, le premier de notre histoire, est un moment de fierté pour nous tous. Nous sommes rassemblés ici, au Lykhaon de Pierre, pour célébrer la musique qui a longtemps été délaissée par nous-mêmes. Je veux commencer par remercier chacun d'entre vous d'être venus. Plus de 50 000 personnes, de tous âges et de tous horizons, sont ici aujourd'hui. Ce festival n'est pas seulement une célébration, mais aussi une déclaration de notre volonté de moderniser notre pays. Nous avons décidé de créer un nouvel hymne national, un hymne qui reflète notre époque et nos aspirations. La musique est un langage universel, et à travers elle, nous pouvons montrer au monde ce que signifie être assadien aujourd'hui. Je tiens à remercier les artistes qui participent à cet événement. Je suis convaincu que ce festival marquera le début d'une nouvelle ère pour la Côte d'Assad. Une ère où la musique renaîtra comme un phénix; elle renaîtra de ses cendres. Nous devons avancer avec notre temps, et cela commence ici, aujourd'hui. Je vous invite tous à profiter de cette journée, à célébrer et à soutenir nos artistes. Merci à tous, et que ce festival soit le premier de nombreux à venir.


Les citoyens présents ont réagi avec enthousiasme à ce discours, se sentant inspirés et motivés par les paroles du Chancelier de Gauche. La Côte d'Assad est désormais sur la voie d'une renaissance culturelle, avec la musique au cœur de ce renouveau.
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QUE LE FESTIVALS COMMENCE !Le Début du Grand Festival de Musique en Côte d'Assad .
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Photo du Lykhaon de Pierre prise sur scénes avant le début des présenatation .

Aujourd'hui, la Côte d'Assad célèbre un jour historique avec l'inauguration officielle du premier Festival de Musique. La compétition musicale peut enfin débuter après une cérémonie inaugurale remarquable organisée par le chancelier de gauche. Ce festival réunit 8 artistes de renom, représentant l'ensemble de la variété musicale assadienne. Le discours émouvant et inspirant du chancelier de gauche a donné le début de cet événement. Il a déclaré : "Nous sommes ici pour célébrer notre culture et composer un hymne national qui reflète notre époque", alors qu'une foule de plus de 50 000 personnes était réunie au Lykhaon de Pierre. Huit artistes de renom participent à la compétition, chacun avec son propre style musical. Leur défi consiste à recomposer les paroles de l'ancien hymne national en y apportant leur propre touche. Toutes les performances seront évaluées sur un total de 100 points, avec un vote à la fois au public et à un jury.


Le Système de Notation :

Vote du public : Les citoyens peuvent attribuer une note sur 50 à chaque performance. La moyenne des notes du public sera calculée.

Vote des juges : Un panel de cinq juges attribuera une note sur 10 chacun, totalisant une note sur 50.

Score final : La somme des notes du public et des juges donnera le score final de chaque artiste.



Les juges :

Zobuneish Katiroun est un célèbre créateur de mode de luxe en Côte d'Assad.

Ego Tente : Chanteur

Keifhgiu Isnan : Chanteuse

Al-Ronelh Yasbiz, directeur et co-fondateur de l'entreprise musicale qui produit la majorité des clips de musique.

Chancelier de gauche : Mohamed Al-Sey.



Introduction aux 8 artistes.

Avant d'entrer dans le concours, nous vous présentons les 8 artistes qui apporteront leur talent à ce festival :


D-Fresto - Le roi du Rap Assadien


Nom complet : Djamal El-Fresto
Âge : 34 ans
Genre musical : Rap

Description : D-Fresto, de son vrai nom Djamal El-Fresto, est sans doute la figure la plus emblématique du rap en Assad. Né dans les quartiers populaires de la capitale, il a su transformer sa vie de difficultés en une carrière couronnée de succès. Connu pour ses paroles percutantes et ses rimes incisives, il aborde dans ses chansons des thèmes comme la justice sociale, la corruption, et les aspirations des jeunes. Son style énergique et son flow unique ont conquis les cœurs des jeunes et des moins jeunes, faisant de lui une icône intergénérationnelle. Djamal a commencé sa carrière musicale à l'adolescence, en participant à des battles de rap dans les rues et les petites scènes locales. À 17 ans, il gagne son premier concours de freestyle, ce qui lui permet de se faire remarquer par un producteur local. Sa première mixtape, sortie à l'âge de 19 ans, connaît un succès immédiat dans le milieu underground. À 22 ans, il signe son premier contrat avec un label majeur et sort son premier album studio, "Révolte Urbaine", qui le propulse sur la scène nationale. Au fil des années, D-Fresto a sorti plusieurs albums à succès, dont "Vérité Brutale" et "Sans Compromis", qui lui ont valu de nombreuses récompenses et une reconnaissance internationale. D-Fresto est connu pour son franc-parler et son engagement envers la justice sociale. Il utilise souvent sa musique pour dénoncer les inégalités et défendre les opprimés. En dehors de la scène, il est actif dans diverses œuvres de charité et a lancé une fondation pour aider les jeunes des quartiers défavorisés à accéder à l'éducation et aux arts. Malgré son succès, D-Fresto est resté fidèle à ses racines. Il vit toujours dans la capitale, dans un quartier proche de celui où il a grandi, et il est très respecté pour sa simplicité et son accessibilité. À 34 ans, il est marié à Leïla, une avocate spécialisée dans les droits de l'homme, et ils ont deux enfants. Son engagement envers sa famille et sa communauté est une source d'inspiration pour ses fans.


Naga - La plus grande chanteuse assadienne

Nom complet : Naga Al-Husseini
Âge : 29 ans
Genre musical : Pop, musique traditionnelle

Description : Naga Al-Husseini, connue sous son nom de scène Naga, est une véritable diva de la scène musicale assadienne. Avec sa voix envoûtante et son charisme naturel, elle a captivé des millions de fans à travers le monde. Naga est célèbre pour sa capacité à fusionner des éléments de la musique traditionnelle assadienne avec la pop moderne. Née dans une famille de musiciens, Naga a été plongée dans l'univers de la musique dès son plus jeune âge. Elle a commencé à chanter à l'âge de 6 ans dans le groupe de musique traditionnelle de sa famille. À 15 ans, elle a gagné un concours de chant national, ce qui a marqué le début de sa carrière professionnelle. Son premier album, "Mélodies du Cœur", sorti à 18 ans, a connu un succès phénoménal, propulsant Naga sous les feux des projecteurs.Au fil des ans, Naga a sorti plusieurs albums à succès, dont "Voix d'Or" et "Échos du Désert", qui lui ont remporté de nombreux prix. Naga est connue pour sa grâce et son élégance, tant sur scène qu'en dehors. Elle est souvent décrite comme une personne humble et accessible, malgré sa célébrité. Naga est également une fervente défenseuse des droits des femmes et des enfants, et elle utilise sa notoriété pour sensibiliser le public à ces causes importantes. Elle a fondé une organisation à but non lucratif qui soutient l'éducation des filles dans les régions rurales d'Assad. En ce qui concerne sa vie personnelle, Naga est très discrète. Elle est mariée à Samir, un ingénieur civil, et ils ont une fille. Malgré son emploi du temps chargé, Naga accorde une grande importance à sa famille et passe autant de temps que possible avec eux.


Khalid Al-Mahdi - Le virtuose du Oud

Nom complet : Khalid Al-Mahdi
Âge : 41 ans
Genre musical : Musique classique arabe


Description : Khalid Al-Mahdi est un maître du oud, un instrument à cordes emblématique de la musique arabe. Avec une carrière s'étalant sur deux décennies, Khalid est reconnu pour sa virtuosité, sa maîtrise technique et sa capacité à fusionner les mélodies classiques avec des éléments modernes. Ses compositions sont profondément émouvantes et sont très nostalgiques. Ils est surtout aimées par les plus ancien. Né dans une famille de marchand, Khalid a montré un talent exceptionnel pour le oud dès son plus jeune âge. À 12 ans, il a remporté son premier concours de musique, et à 18 ans, il a intégré le Conservatoire de Musique de la capitale, où il a perfectionné son art. Son premier album, "Échos du Passé", sorti à 25 ans, a été acclamé et lui a valu une reconnaissance nationale. Au fil des ans, Khalid a sorti plusieurs albums à succès et a collaboré avec des orchestres prestigieux. Il a également composé des bandes originales pour des films et des séries télévisées, ce qui lui a valu une notoriété nationale. Son album "Nuits d'Orient", sorti à 35 ans, est considéré comme un chef-d'œuvre et a consolidé sa réputation de virtuose du oud. Khalid est connu pour son dévouement à son art et son approche humble de la musique. Il est souvent décrit comme une personne réfléchie et passionnée, toujours prête à partager ses connaissances et son amour pour la musique avec les autres. En dehors de la scène, Khalid est professeur de musique et donne régulièrement des masterclasses et des ateliers pour les jeunes musiciens. Marié à Amina, une danseuse classique, Khalid a deux fils.


Laila Omar - La reine du RnB

Nom complet : Laila Omar
Âge : 27 ans
Genre musical : RnB, Soul


Description : Laila Omar est une chanteuse et compositrice dont les chansons mélangent harmonieusement le RnB et la soul. Connue pour ses performances émotionnelles et ses paroles profondes, elle a rapidement conquis le cœur de ses fans grâce à sa voix puissante et sa présence scénique magnétique. Cette chanteuse et aussi très aimée par ceux qui aime les musiques calme et qui réconforte les plus jeunes. Laila a découvert sa passion pour la musique très jeune, chantant dans le chœur de l'église ( une minorités chrétienne existe en Côte d'Assad ) locale à l'âge de 8 ans. À 16 ans, elle commence à écrire ses propres chansons et à se produire dans des cafés et des clubs de la capitale. Sa carrière décolle véritablement à 20 ans, lorsqu'elle signe avec un label indépendant et sort son premier EP, "Émotions", qui reçoit un accueil chaleureux. Son premier album studio, "Âme Sincère", sorti à 22 ans, connaît un succès immédiat et lui vaut plusieurs récompenses. Laila est rapidement propulsée sur la scène nationale, avec des tournées à guichets fermés et des collaborations avec des artistes renommés. Ses albums suivants, "Cœur Ouvert" et "Vibrations", confirment son statut de star du RnB. Laila est connue pour sa sincérité et son authenticité, tant dans sa musique que dans sa vie personnelle. Elle est très engagée dans des causes sociales, notamment la lutte contre la pauvreté et la promotion de l'éducation pour les jeunes filles. Laila a fondé une organisation caritative qui offre des bourses d'études aux jeunes talents musicaux défavorisés. En dehors de la scène, Laila est une personne simple et accessible. Elle vit dans une maison modeste avec son compagnon, Tariq, un photographe, et leur chien, Bella.


Samir El-Mansouri - Le crooner romantique

Nom complet : Samir El-Mansouri
Âge : 38 ans
Genre musical : Ballade, Pop


Description : Samir El-Mansouri est un chanteur et compositeur renommé pour ses ballades romantiques et ses performances captivantes. Sa voix douce et émotive, combinée à des mélodies touchantes, a conquis des millions de fans à travers le Pays. Samir est souvent surnommé le "Prince de la Romance" en raison de ses chansons d'amour intemporelles et de son charme naturel. Né dans une famille modeste, Samir a découvert sa passion pour la musique dès son enfance, en chantant dans les festivals locaux et les mariages. À 20 ans, il décide de tenter sa chance en participant à un célèbre concours de chant télévisé, qu'il remporte haut la main. Cette victoire lui ouvre les portes de l'industrie musicale. Sa beauté le laisse très facilement monté sur scenes ce qu'il le permet de monté dans les estimes. Son premier album, "Chansons du Cœur", sorti à 22 ans, devient rapidement un best-seller, propulsant Samir sur le devant de la scène nationale. Il enchaîne les succès avec des albums tels que "Mélodies Romantiques" et "Émotions Intimes", qui lui valent de nombreux prix et une reconnaissance nationale. Ses concerts affichent souvent complet, et il est régulièrement invité à chanter lors de grands événements et festivals. Samir est connu pour son élégance et son comportement courtois. Toujours souriant et aimable, il est apprécié pour sa simplicité et son humilité malgré son immense succès. En dehors de la musique, Samir est passionné par la photographie et aime capturer des moments de la vie quotidienne et des paysages naturels. Marié à Yasmina, une designer de mode, Samir est père de deux enfants. La famille mène une vie discrète et harmonieuse, loin des feux de la rampe.


Rashid "Le Rebelle" Al-Khader - Le Rappeur des Rues

Nom complet : Rashid Al-Khader
Âge : 24 ans
Genre musical :Rap de rue, Hip-Hop


Description : Rashid Al-Khader, connu sous son nom de scène "RCKO" ( RC et le nom de son quartier qui et ercé et nomée par les habitants " RC " , KO et un racourie du " chaos ) , est un rappeur qui incarne l'essence brute et sans filtre des quartiers populaires d'Assad. Sa musique est caractérisée par des paroles explicites, des récits violents, et un reflet fidèle de la vie dans les cités. Né et élevé dans les quartiers difficiles d'Ercé dans la ville de Montolère-du-Saint, Rashid a grandi entouré de violence et de criminalité. Dès son adolescence, il trouve une échappatoire dans le rap, utilisant ses expériences de vie pour nourrir ses textes. À 17 ans, il commence à se faire un nom dans les battles de rap locales, gagnant rapidement la réputation d'un lyriciste impitoyable et sans concession. Son premier mixtape, "Rues Sanglantes", sorti à 20 ans, fait sensation avec des morceaux comme "Quartier Criminel" et "Nuit Noire". Ses textes crus et réalistes résonnent particulièrement auprès des jeunes de la rue, qui voient en lui une voix authentique de leur réalité. La vie de Rashid a été marquée par des passages fréquents avec la justice. Il a été arrêté trois fois pour des délits graves : vente de drogue, vol de voiture et homicide involontaire. Ces événements l'ont conduit à purger plusieurs peines de prison, ce qui a profondément influencé sa musique. Ses expériences en prison sont souvent évoquées dans ses chansons. Malgré ses démêlés avec la loi, Rashid a su utiliser sa musique comme un moyen de s'exprimer et de canaliser sa rage et sa frustration. Il vit toujours dans son quartier d'origine, entouré de ses amis d'enfance et de sa famille, restant fidèle à ses racines. Rashid dit " RCKO " est devenu une figure emblématique pour une génération de jeunes désabusés qui se reconnaissent dans ses paroles violentes et réalistes. Son style moderne et provocateur, rempli de gros mots et de descriptions graphiques, contraste avec celui de D-Fresto qui et plus calme. Malgré ses 24 ans, Rashid a déjà laissé une empreinte indélébile sur la scène du rap assadien. Son influence continue de croître, et il est souvent vu comme le porte-parole des jeunes marginalisés. Son deuxième album, "Sang et Larmes", sorti récemment, a consolidé sa place dans le rap avec des titres percutants comme "Vendetta" et "Vie de Galère". Rashid est connu pour son attitude rebelle et son franc-parler. Il n'hésite pas à critiquer ouvertement les autorités et les injustices sociales dans ses interviews et ses apparitions publiques. Malgré son passé criminel, il est respecté pour sa loyauté et son authenticité par les plus jeunes.


Nadia Al-Farsi - La Voix Sacrée de la Côte d'Assad

Nom complet : Nadia Al-Farasih
Âge : 42 ans
Genre musical : Musique traditionnelle islamique


Description : Nadia Al-Farasih est une chanteuse émérite de la Côte d'Assad, dont la musique captivante incarne les valeurs de l'islam. Sa voix envoûtante et ses mélodies apaisantes ont conquis le cœur des Assadiens, qui la considèrent comme une icône de la musique traditionnelle islamique. Née dans une famille de musiciens traditionnaliste à Al-Khaleej, Nadia a été initiée à la musique dès son plus jeune âge. Inspirée par les chants soufis et les poèmes mystiques, elle découvre sa passion pour la musique traditionnelle islamique. À 18 ans, elle commence à se produire dans les festivals religieux. Son premier album, " Pour mon Dieu", sorti à 25 ans, est salué pour sa beauté lyrique et sa profonde spiritualité. Nadia Al-Farasih est une figure respectée et vénérée dans toute la Côte d'Assad pour sa contribution à la préservation de la musique traditionnelle islamique. Ses performances captivantes et ses paroles inspirantes ont touché des milliers de personnes à travers le pays. Nadia mène une vie simple et dévouée à sa foi et à sa musique. Elle consacre une grande partie de son temps à l'étude des textes sacrés et à la méditation, trouvant l'inspiration pour ses chansons dans la contemplation de la nature et dans sa connexion spirituelle avec le divin. Sa vie en dehors de la musique reste elle, moins connu des autres.


Fatima Zohra - La princesse du R&B

Nom complet : Fatima Zohra
Âge : 28 ans
Genre musical : R&B, Soul


Description : Fatima Zohra est une chanteuse et compositrice de R&B connue pour sa voix suave et ses performances captivantes. Ses chansons, souvent introspectives et émotionnelles, ont conquis un large public. Fatima a commencé à chanter dans le chœur de son école et a rapidement été repérée par un producteur local. À 20 ans, elle signe son premier contrat et sort son premier album, "Velvet Dreams", qui devient un succès commercial. Avec des albums comme "Soul Reflections" et "Heartbeat", Fatima a consolidé sa place dans le monde du R&B. Ses collaborations avec d'autres grands noms de la musique ont élargi son audience et renforcé sa notoriété. Fatima n' a pas beaucoup vécu en Côte d'Assad car elle part enormement en Eurysie et en Aleucie pour découvirir les autres musiques. Elle remixe les style Assadiens et ceux des Pays qu'elle visite.


Après les présentations, demain, nous serons présents pour le début du festival de musique en Côte d'Assad. Le festival sera donc inauguré demain après la cérémonie d'ouverture, où les différents chanteurs et chanteuses seront présentés. La compétition est lancée!
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ELECTIONS DES DEUX PARLEMENTS
Ouverture des élections des deux parlement pour la place de conseillers.

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Affiche de vote pose un peu partout comme sur cette école.



Les élections pour les conseillers des chanceliers vont bientôt commencer. Les partis politiques commencent à afficher leurs campagnes, et il est évident que la population se prépare à une élection marquée par plusieurs changements. C’est le cas pour Hujler Sofiance, ancien avocat retraité et maintenant professeur de géopolitique. Il nous parle de ces élections très particulières en Côte d'Assad et de la réaction du peuple, notamment avec l’arrivée des extrémistes sur la scène politique.

"Ces élections représentent un vrai tournant pour la Côte d'Assad," explique Hujler. "On observe une effervescence politique sans précédent. Les gens sont à la fois excités et inquiets. La montée des extrémistes dans les discussions est palpable."

L’un des aspects les plus frappants de cette élection est l’émergence de partis extrémistes. Des candidats aux discours très polarisants attirent autant qu’ils inquiètent. Les débats sont vifs, et les opinions se durcissent.

"Le peuple est divisé," continue Hujler. "Certains veulent un changement radical, las de la situation actuelle, tandis que d’autres craignent que ces nouvelles voix n’accentuent les divisions et les conflits."

Les jeunes sont particulièrement actifs cette année. Ils veulent se faire entendre et refusent de laisser les décisions entre les mains des seules générations plus âgées. Les réseaux sociaux jouent un rôle crucial, avec des campagnes en ligne omniprésentes et une influence croissante des leaders d’opinion. Très publié sur le réseau social "Ik Poh".

"Les candidats doivent s’adapter," précise Hujler. "Les jeunes ne se satisferont pas de promesses vagues. Ils veulent des actions concrètes, des plans détaillés et surtout des résultats rapides. La transparence et la lutte contre la corruption sont également au cœur des préoccupations. Les scandales passés ont laissé des traces, et les électeurs sont de plus en plus méfiants. Les candidats doivent prouver qu’ils sont dignes de confiance, ce qui n’est pas une tâche facile."

"Les électeurs sont mieux informés que jamais," conclut Hujler. "Ils ne se contenteront pas de belles paroles. Ils exigent des preuves, des engagements solides. Cette élection sera passionnante mais aussi très tendue. Tout le monde est sur le qui-vive."

Pour mieux comprendre l'ambiance qui règne à l'approche de ces élections, nous sommes allés à la rencontre des citoyens de la Côte d'Assad. Voici ce qu'ils avaient à dire :

Imane, 29 ans, enseignante :

"Je trouve cette élection particulièrement importante. C'est la première fois que je vois autant de jeunes s'intéresser à la politique. Nous voulons un changement réel, et cette fois-ci, on a des candidats qui parlent de nos préoccupations quotidiennes. J'espère vraiment qu'ils tiendront leurs promesses."

Ahmed, 54 ans, commerçant :

"Les extrémistes, ça me fait peur. Ils parlent fort et font des promesses irréalistes. Je suis pour le changement, mais pas au prix de la stabilité de notre pays. On a besoin de leaders qui comprennent les enjeux économiques et qui peuvent apporter des solutions concrètes."

Fatima, 34 ans, mère au foyer :

"J’ai toujours voté, mais cette année c’est différent. Je suis inquiète pour l'avenir de mes enfants. La corruption et l'insécurité sont des problèmes majeurs, et j’espère que les nouveaux conseillers seront capables de les résoudre."

Youssef, 22 ans, étudiant :

"Je suis excité à l'idée de voter pour la première fois. Les réseaux sociaux ont vraiment changé la donne comme Ik Pop . On a accès à plus d'informations, on peut suivre les débats en direct, et les candidats sont plus accessibles. J'ai l'impression que ma voix compte vraiment cette fois-ci."

Leila, 45 ans, médecin :

"Les scandales de corruption ont ébranlé ma confiance en la classe politique. Cependant, je pense qu’il est crucial de participer au processus électoral. J'espère que cette élection apportera un vent de renouveau et des leaders plus transparents."

Hassan, 61 ans, retraité :

"J'ai vu beaucoup de gouvernements se succéder, mais cette élection me semble différente. Les enjeux sont plus élevés, et il y a un vrai désir de changement parmi la population. Je suis curieux de voir comment tout cela va évoluer."

Les élections approchent à grands pas en Côte d'Assad, et les partis politiques sont prêts à en découdre pour décrocher des sièges au Parlement et aux Conseils des chanceliers. Voici un aperçu des principaux partis en lice et de leurs figures de proue.

Les Verts d'Assad, créés en 2001, sont le parti écologiste du pays. Ils militent pour la protection de l'environnement, la promotion des énergies renouvelables et la conservation des ressources naturelles. Le parti est très engagé dans des actions concrètes, comme des nettoyages de plages et la plantation d'arbres. Leur représentante, Layla Al-Mansour, est une biologiste marine de 45 ans, respectée pour son dévouement à la cause environnementale. Layla a co-fondé le parti pour transformer sa passion pour la nature en action politique. Son engagement et sa capacité à mobiliser les gens font d'elle une figure charismatique et influente dans le mouvement écologique.

Le Front de la Renaissance, fondé en 2011, est un parti extrémiste qui prône un nationalisme radical, une politique anti-immigration stricte et un retour aux valeurs traditionnelles avec une poigne de fer. Le parti est connu pour ses discours polarisants et ses positions radicales, attirant les électeurs déçus par le système actuel et en quête de changement drastique. Khaled Al-Haddad, le co-fondateur du parti, est un ancien militaire de 38 ans. Après avoir quitté l'armée, il s'est lancé en politique avec une rhétorique dure et des positions extrêmes. Bien que controversé, Khaled a une base de supporters fidèles qui apprécient sa franchise et sa détermination.

L'Union pour la Tradition, fondée en 1985, est le parti conservateur de la Côte d'Assad. Ils défendent les valeurs familiales, une économie de marché libre et la réduction des impôts, tout en mettant l'accent sur le maintien de l'ordre et la stabilité. Le parti est ancré dans les traditions et est perçu comme fiable et stable. Ahmed Ben Ali, âgé de 60 ans, est le chef du parti. Avec une carrière politique longue et respectée, il incarne l'expérience et la stabilité. Ahmed est connu pour son discours calme mais convaincant, et pour sa capacité à représenter les valeurs conservatrices de manière cohérente et efficace.

La Coalition Progressiste, formée en 1992, est une alliance de divers mouvements de gauche. Ils se battent pour la justice sociale, les droits des travailleurs, l'égalité des genres et des services publics renforcés. Le parti est engagé dans la lutte pour une société plus juste et équitable, avec une forte intervention de l'État pour protéger les plus vulnérables. Zainab El-Farouki, une ancienne avocate des droits de l'homme de 50 ans, est la représentante du parti. Zainab est connue pour son engagement passionné et ses discours éloquents en faveur des causes sociales. Elle a décidé de se lancer en politique pour défendre les droits des opprimés et promouvoir l'égalité.


Le Rassemblement National, fondé en 2000, est le parti centriste de la Côte d'Assad. Ils prônent la modération politique, un équilibre entre marché libre et protections sociales, et une gouvernance pragmatique. Le parti est connu pour sa recherche de compromis et de solutions pratiques, évitant les extrêmes et cherchant à rassembler les citoyens autour de politiques équilibrées. Omar Al-Khatib, économiste de formation âgé de 46 ans, est le chef du parti. Ayant travaillé pour plusieurs organisations internationales, Omar apporte une expertise économique précieuse et une réputation de modéré étant donnée qu'il et riche. Sa capacité à proposer des solutions pragmatiques le rend populaire parmi ceux qui cherchent une approche équilibrée.

La Ligue Royale, fondée en 1975, est le parti royaliste de la Côte d'Assad. Ils militent pour une monarchie absolue, un pouvoir centralisé et les traditions royales. Le parti valorise l'autorité du roi comme moyen d'assurer la stabilité et l'unité nationale. Prince Faisal Al-Rashid, membre de la famille royale âgé de 55 ans, est le représentant du parti. Faisal est un fervent défenseur de la monarchie absolue et est très proche du roi. Son engagement en faveur des traditions royales et son influence au sein de la famille royale en font une figure incontournable du parti.

Les élections en Côte d'Assad ne se limitent pas seulement aux partis politiques, mais également à la compétition pour les postes de chancelier, avec cinq personnalités majeures en lice. Voici un aperçu des candidats les plus en vue :

Bonoujourou Zahija est connu pour ses idées extrémistes. Il est l’un des premiers à avoir exprimé haut et fort des positions radicales devant la population assadienne. Bien que souvent sanctionnées, ses déclarations incendiaires continuent de lui attirer une certaine attention médiatique. Zahija se présente aux élections en tant que conseiller au Parlement des Yasssyrs. Malgré plusieurs arrestations par les forces de l’ordre pour incitation à la haine et troubles publics, il reste une figure controversée mais influente. La majorité des Assadiens rejettent ses idées pour leur radicalisme et leur potentiel à semer la division.

Nadia Al-Masri est une fervente défenseuse des droits des femmes et des minorités. Elle a fait ses débuts en politique en tant qu’activiste et a rapidement gravi les échelons grâce à son travail acharné et ses convictions fortes. Âgée de 42 ans, Nadia se présente sous la bannière de la Coalition Progressiste. Elle est appréciée pour son discours inclusif et son engagement envers une société plus égalitaire. Elle a réussi à rassembler une large base de soutien parmi les jeunes et les populations marginalisées, faisant d’elle une candidate de premier plan pour le poste de chancelier.

Farid El-Kassem, âgé de 55 ans, est le représentant de l’Union pour la Tradition. Ancien militaire et homme politique de longue date, Farid est vu comme un bastion de stabilité et de conservatisme. Ses positions sont fermement ancrées dans les valeurs traditionnelles de la Côte d'Assad. Il prône une politique de sécurité renforcée et un retour aux valeurs familiales traditionnelles. Farid a une large base de partisans parmi les électeurs plus âgés et conservateurs, et son expérience en fait un candidat sérieux pour le poste de chancelier.

Leila Ben Mahmoud est une économiste renommée de 50 ans et la représentante du Rassemblement National. Elle a travaillé pendant des années dans des organisations internationales avant de se lancer en politique. Leila est connue pour son approche pragmatique et ses compétences en matière de gestion économique. Elle prône un équilibre entre libéralisme économique et protection sociale. Sa candidature attire les électeurs centristes et ceux qui recherchent des solutions pratiques aux problèmes économiques du pays. Leila est perçue comme une voix modérée et une gestionnaire efficace.

Youssef Al-Rashid, âgé de 47 ans, est le fils cadet du roi actuel et le candidat de la Ligue Royale. Youssef a été formé à l'étranger et possède une solide expérience en diplomatie. Il prône une monarchie renforcée avec un pouvoir centralisé, arguant que cela apportera stabilité et continuité au pays. Bien que controversé pour ses vues absolutistes, il a un soutien significatif parmi ceux qui valorisent la tradition royale et l’autorité du roi. Youssef est perçu comme un candidat charismatique et influent, capable de rallier les électeurs en faveur de la monarc
hie.

Ces cinq candidats représentent des visions très différentes pour l’avenir de la Côte d'Assad, et les électeurs auront des dilemmes à faire lors des prochaines élections pour déterminer la direction politique du pays. Pour en finir, ces élections seront donc un moment crucial pour nous tous. Elles détermineront la direction que prendra notre pays, que ce soit en matière de sécurité, de tradition, de progrès ou de modération. Alors, restez attentifs, allez voter, et faites entendre votre voix. L'avenir de la Côte d'Assad est entre nos mains, et chaque vote peut faire la différence.
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LE CHANCELIER DE DROITE CHEZ LE LION
Interview avec le Chancelier de droite, Lahis Isaac (avec un invité particulier).

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Le Roi Ibrahim VI va bientôt décider s'il renouvelle les mandats de ses chanceliers ou s'il en nomme de nouveaux. En attendant cette décision, nous avons réussi à entrer en contact avec le Chancelier de Droite, Lahis Isaac, responsable des finances, du travail, de l'économie et des transports. Voici son interview où il partage ses réalisations et ses plans pour l'avenir.

Journaliste : Bonjour Monsieur Isaac, merci de nous accorder cette interview. On va commencer avec une question sur votre projet ferroviaire. Qu'est-ce qui vous a poussé à lancer ce grand projet de transport ferroviaire ?

Lahis Isaac : Bonjour ! Ce projet est né d'un besoin urgent de moderniser notre infrastructure de transport. On voulait que chaque Assadien puisse voyager plus loin et plus facilement. Ça va booster notre économie et améliorer la vie quotidienne de notre peuple.

Journaliste : Vous avez mentionné que ce projet pourrait causer des perturbations. Comment gérez-vous les plaintes des usagers ?

Lahis Isaac : On comprend les inquiétudes. On rembourse les trajets à hauteur de 38% et on a mis en place des navettes gratuites pour faciliter les déplacements entre les gares. On fait de notre mieux pour minimiser les désagréments.

Journaliste : Vous avez parlé d'un programme de compensation pour ceux qui subissent des retards. Pouvez-vous en dire plus ?

Lahis Isaac : Bien sûr. Si quelqu'un subit un retard important à cause des travaux, il pourra bénéficier de compensations financières. On veut s'assurer que personne ne soit pénalisé à cause de ces changements.


Journaliste : Vous avez lancé l'exportation de nos ressources naturelles. Comment voyez-vous l'avenir de cette initiative ?


Lahis Isaac : L'exportation de nos ressources va nous permettre de nous internationaliser et de renforcer notre économie. On a des ressources énormes qu'on peut partager et échanger. Ça va nous ouvrir de nouvelles opportunités et partenariats.

Journaliste : Certains disent que l'exportation de pétrole pourrait nuire à l'environnement. Qu'en pensez-vous ?

Lahis Isaac : C'est une préoccupation légitime. On s'engage à respecter des normes environnementales strictes et à investir dans des technologies propres pour minimiser l'impact environnemental.

Journaliste : Vous avez parlé d'investir dans l'éducation et l'infrastructure. Quels sont vos plans concrets dans ce domaine ?

Lahis Isaac : On va augmenter le budget de l'éducation, moderniser les écoles et encourager l'innovation et l'entrepreneuriat. Pour l'infrastructure, on va rénover les routes, les ponts et les réseaux électriques pour soutenir notre croissance économique.

Journaliste : Quels sont les défis que vous anticipez avec la commercialisation internationale de nos ressources ?

Lahis Isaac : Les défis incluent les fluctuations des prix internationaux, la logistique de transport et les relations commerciales. Mais on est prêts à les surmonter avec des stratégies bien planifiées et des partenariats solides.

Journaliste : Parlez-nous de votre vision pour encourager les jeunes à rêver grand.

Lahis Isaac : On va créer des programmes de mentorat, offrir des bourses et soutenir les startups. On veut que les jeunes aient les ressources et le soutien nécessaires pour réaliser leurs rêves.

Journaliste : Comment envisagez-vous de renforcer nos relations avec les autres pays ?

Lahis Isaac : On va chercher des partenariats mutuellement bénéfiques, apprendre de leurs expériences et partager les nôtres. On est ouverts à la collaboration internationale pour croître ensemble.

Journaliste : La situation économique mondiale est assez instable. Comment pensez-vous que notre pays peut naviguer dans ce contexte ?

Lahis Isaac : En diversifiant notre économie, en renforçant nos exportations et en restant flexibles face aux changements mondiaux. On doit être résilients et prêts à s'adapter.

Journaliste : Vous avez mentionné le développement d'un environnement propice à l'innovation. Pouvez-vous détailler ?

Lahis Isaac : On va créer des incubateurs de startups, offrir des crédits d'impôt pour la recherche et le développement, et faciliter l'accès au financement pour les entrepreneurs.

Journaliste : Quels secteurs de l'économie voyez-vous comme prioritaires pour notre développement futur ?

Lahis Isaac : L'énergie, les technologies de l'information, l'agriculture et le tourisme sont des secteurs clés. On va investir pour les développer et les moderniser.

Journaliste : Vous avez été critiqué pour vos réformes économiques. Comment répondez-vous à ces critiques ?

Lahis Isaac : Les réformes sont nécessaires pour notre croissance à long terme. Les critiques sont une partie normale du processus, mais on est convaincus que les résultats parleront d'eux-mêmes.

Journaliste : Comment comptez-vous améliorer les conditions de travail des Assadiens ?

Lahis Isaac : On va augmenter le salaire minimum, améliorer les conditions de sécurité au travail et offrir des formations pour améliorer les compétences des travailleurs.

Journaliste : Quels sont vos projets pour moderniser le secteur des transports, en dehors du ferroviaire ?

Lahis Isaac : On va investir dans les infrastructures routières, développer les transports en commun et promouvoir l'utilisation des véhicules électriques pour réduire les émissions de carbone.

Journaliste : Parlez-nous de votre stratégie pour attirer les investissements étrangers.

Lahis Isaac : On va simplifier les processus administratifs, offrir des incitations fiscales et créer un environnement stable et sécurisé pour les investisseurs.

Journaliste : Vous avez mentionné des perturbations dans les lignes de TGV. Comment comptez-vous compenser ces désagréments ?

Lahis Isaac : On a mis en place des trains plus courts qui peuvent atteindre presque la même vitesse qu'un TGV et on offre des remboursements et des navettes gratuites pour minimiser les impacts.

Journaliste : Comment assurez-vous la transparence et l'intégrité dans la gestion des finances publiques ?

Lahis Isaac : On a mis en place des audits réguliers, une surveillance stricte et des rapports transparents pour assurer que les fonds publics sont utilisés efficacement et de manière responsable.

Journaliste : Quelle est votre vision à long terme pour l'économie de la Côte d'Assad ?

Lahis Isaac : Ma vision est de construire une économie diversifiée, résiliente et inclusive qui offre des opportunités à tous les Assadiens et qui est compétitive sur la scène internationale.

Journaliste : Comment abordez-vous la question du chômage dans le pays ?

Lahis Isaac : On va créer des emplois à travers des projets d'infrastructure, soutenir les petites et moyennes entreprises et offrir des formations pour aider les chômeurs à acquérir de nouvelles compétences.

Journaliste : Vous avez parlé d'internationaliser notre économie. Quels sont les premiers pays avec lesquels vous envisagez de collaborer ?

Lahis Isaac : On va cibler les grandes économies, je peut pas vous en dire plus. Mais aussi des partenaires régionaux pour diversifier nos relations commerciales.

Journaliste : Quels sont vos plans pour soutenir les entreprises locales ?

Lahis Isaac : On va offrir des subventions, réduire les taxes pour les petites entreprises et faciliter l'accès au crédit pour soutenir les entrepreneurs locaux.

Journaliste : Comment comptez-vous réduire les inégalités économiques ?

Lahis Isaac : En investissant dans l'éducation, en améliorant les services sociaux et en créant des opportunités économiques pour tous, particulièrement pour les groupes marginalisés.

Journaliste : Quelle est votre approche pour gérer les défis de l'urbanisation croissante ?

Lahis Isaac : On va investir dans les infrastructures urbaines, améliorer les services de transport en commun et développer des projets de logements abordables pour répondre à la demande croissante.

Journaliste : Quels sont vos projets pour le développement rural ?

Lahis Isaac : On va améliorer les infrastructures rurales, soutenir l'agriculture et offrir des incitations pour encourager les entreprises à s'installer dans les zones rurales.

Journaliste : Comment prévoyez-vous d'améliorer l'accès à l'éducation dans le pays ?

Lahis Isaac : On va augmenter le financement des écoles, moderniser les infrastructures éducatives et offrir des bourses pour permettre à plus de jeunes d'accéder à l'enseignement supérieur. Mais je préfère que vous en parlez au Chancelier de gauche qui en saura plus.

Journaliste : Parlez-nous de votre vision pour l'avenir des transports en Côte d'Assad.

Lahis Isaac : On veut un réseau de transport moderne, efficace et durable qui relie toutes les régions du pays, facilitant les déplacements et soutenant notre croissance économique.

Journaliste : Quels sont vos derniers mots pour les électeurs avant les élections ?

Lahis Isaac : Je veux remercier tous les Assadiens pour leur soutien. Ensemble, on peut surmonter les défis et bâtir un avenir meilleur pour notre pays. Allez voter, votre voix compte !

Journaliste : Merci beaucoup, Monsieur Isaac. Nous vous souhaitons bonne chance pour la suite.

Lahis Isaac : Merci à vous. C'est toujours un plaisir de pouvoir partager notre vision avec les citoyens. Que la force soit notre atout !

Journaliste : En fait, Monsieur Isaac, nous avons une surprise pour vous. Nous avons invité Bonoujourou Zahija, votre rival politique, à nous rejoindre pour discuter des enjeux actuels. Il est juste là, prêt à échanger avec vous.

Lahis Isaac : (surpris) Quoi ? Zahija ici ? Très bien, je suis prêt.

(Bonoujourou Zahija entre dans la pièce, un sourire narquois sur le visage.)

Bonoujourou Zahija : Ah, Isaac, toujours à parler de vos projets coûteux et inutiles. Vous oubliez que le peuple a besoin de sécurité et de force, pas de trains à grande vitesse.

Lahis Isaac : Zahija, vos idées extrémistes n'apportent rien de bon à notre nation. La sécurité, oui, mais pas au prix de la division et de la haine. Mon projet ferroviaire vise à unir notre pays, pas à le diviser.

Bonoujourou Zahija : (sarcastique) Unir notre pays ? Avec des remboursements à moitié faits et des trajets annulés ? Vous ne faites que semer le chaos. Les Assadiens veulent des solutions claires, pas des promesses vides.

Lahis Isaac : Vous parlez de solutions claires ? Vos propositions extrémistes ne feront qu'aggraver nos problèmes. Nous devons avancer avec des initiatives qui profitent à tout le monde, pas seulement à ceux qui partagent vos opinions radicales.

Bonoujourou Zahija : (haussant la voix) Mes idées sont celles du peuple ! Ils veulent une nation forte, qui ne se laisse pas marcher dessus par des projets inutiles et coûteux. Les Assadiens veulent de la sécurité, de l'emploi, et une vraie justice.

Lahis Isaac : La vraie justice ne vient pas de la haine et de la division. Elle vient de l'unité et du progrès. Nous devons investir dans notre infrastructure, notre éducation, et nos relations internationales. C'est ainsi que nous bâtirons une nation forte et prospère.

Journaliste : Messieurs, il semble que la discussion soit loin d'être terminée. Monsieur Zahija, vous avez parlé de la nécessité d'une nation forte et sécurisée. Quelles sont vos propositions concrètes pour atteindre cet objectif ?

Bonoujourou Zahija : La première chose à faire est de renforcer nos forces de sécurité. Nous devons donner plus de pouvoir à la police et à l'armée pour qu'ils puissent vraiment protéger nos citoyens. Ensuite, il faut durcir les peines pour les crimes graves et expulser les éléments étrangers qui menacent notre sécurité.

Lahis Isaac : (secouant la tête) Donner plus de pouvoir à la police et à l'armée sans une réforme complète du système judiciaire ne fera qu'aggraver les tensions. Nous devons aussi travailler sur la prévention et l'éducation. Les jeunes doivent avoir des opportunités, pas seulement des menaces de sanctions.

Bonoujourou Zahija : (coupant Isaac) Les opportunités, c'est bien beau, mais quand nos rues ne sont pas sûres, c'est la sécurité qui prime. Vous parlez de prévention, mais vos projets ne donnent aucun résultat concret. Les gens veulent des actions immédiates.

Lahis Isaac : Et vos actions immédiates, ce sont des mesures de répression qui ne font que semer la peur et la division. Ce n'est pas ainsi que nous construirons une société juste et équitable. Il faut investir dans l'avenir, pas seulement réagir au présent.

Bonoujourou Zahija : (haussant le ton) Investir dans l'avenir ? Combien de temps encore allez-vous demander aux Assadiens d'attendre ? Mes propositions apportent des résultats immédiats. Les gens se sentiront en sécurité tout de suite, pas dans dix ans.

Lahis Isaac : (calmement) La sécurité immédiate ne signifie pas une sécurité durable. Nous devons construire des bases solides. Sinon, nous ne faisons que reporter les problèmes. L'éducation, l'infrastructure, et l'inclusion économique sont les piliers d'une vraie sécurité.

Journaliste : Monsieur Isaac, vous avez mentionné l'infrastructure et l'éducation. Pouvez-vous nous en dire plus sur vos projets dans ces domaines ?

Lahis Isaac : Bien sûr. Nous avons déjà commencé à moderniser nos infrastructures de transport pour relier toutes les régions du pays. En parallèle, nous investissons dans l'éducation pour offrir aux jeunes des opportunités de formation et d'emploi. Nous croyons que cela créera une base solide pour notre économie et notre société.

Bonoujourou Zahija : (sourire moqueur) Et pendant ce temps, vous ignorez les vrais problèmes. Les Assadiens en ont assez des promesses sans fin. Ils veulent des résultats, et ils les veulent maintenant.

Lahis Isaac : Les résultats durables demandent du temps. Nous ne pouvons pas sacrifier notre avenir pour des gains immédiats qui ne dureront pas. C'est une approche responsable et réfléchie.

Journaliste : Messieurs, il semble que vos visions pour l'avenir de la Côte d'Assad soient diamétralement opposées. Que diriez-vous aux électeurs pour les convaincre de soutenir votre vision ?

Bonoujourou Zahija : Je dirais aux électeurs qu'ils méritent une nation forte et sécurisée, une nation qui ne tolère pas le désordre et la criminalité. Je suis là pour protéger nos valeurs et notre sécurité, ici et maintenant.

Lahis Isaac : Je dirais aux électeurs que l'avenir de notre pays repose sur des bases solides et durables. Investir dans l'éducation, l'infrastructure, et l'inclusion économique est la clé pour une nation prospère et unie. Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir meilleur pour tous les Assadiens.

Journaliste : Merci à vous deux pour cette discussion passionnée. Les électeurs auront bientôt l'opportunité de faire leur choix. Que le meilleur gagne et que la Côte d'Assad avance vers un avenir plus sûr et prospère.

Lahis Isaac : Oui, je tiens à dire que notre pays a besoin de leaders qui prônent l'unité et le progrès, pas la division et l'extrémisme. Nous devons travailler ensemble pour le bien de tous les Assadiens.

Journaliste : Monsieur Zahija, une dernière remarque ?

Bonoujourou Zahija : (regardant Isaac) Les Assadiens ont besoin de force et de sécurité. Ils sauront qui choisir quand viendra le moment des élections.

Journaliste : Merci à vous deux pour cette discussion intense. Les élections approchent, et les Assadiens auront bientôt l'occasion de faire entendre leur voix. Que le meilleur gagne.

Pour en finir, ces élections sont vraiment cruciales pour l'avenir de la Côte d'Assad. Entre les grands projets de transport de Lahis Isaac, les idées radicales de Bonoujourou Zahija, et les autres candidats, chaque chancelier doit montrer qu'il est à la hauteur des attentes des Assadiens. Ce moment décisif va influencer la direction de notre pays. Espérons que les choix faits seront en accord avec les aspirations du peuple et qu'ils mèneront à un avenir prospère et sécurisé pour tout le monde.
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LE CHANCELIER DE GAUCHE CHEZ LE LION
Interview avec le Chancelier de gauche, Mohamed Al-Sey (avec un invité particulier).

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Alors que la Côte d'Assad se prépare pour une période cruciale avec les élections imminentes, nous avons eu l'occasion de rencontrer le Chancelier de gauche, Mohamed Al-Sey. Avec ses responsabilités englobant la santé, les affaires étrangères, l'intérieur, l'éducation et le sport, le Chancelier Al-Sey joue un rôle vital dans la gestion des affaires publiques de notre nation. Nous avons pu discuter avec lui de ses réalisations passées, de ses projets futurs et des enjeux majeurs auxquels la Côte d'Assad est confrontée. L'interview du Chancelier de Gauche, Mohamed Al-Sey, s'est déroulée en parallèle de celle du Chancelier de Droite. Voici un aperçu de notre entrevue avec le Chancelier Al-Sey.

Journaliste : Al-Sey Mohamed, merci d'être avec nous aujourd'hui. Dites-nous, pourquoi avez-vous choisi de vous lancer en politique ?

Al-Sey Mohamed : J'ai toujours voulu améliorer la vie des gens. Mon travail en médecine m'a montré à quel point les décisions politiques peuvent changer les choses pour notre santé et notre bien-être.

Journaliste : Parlez-nous de votre initiative concernant l'éducation.

Al-Sey Mohamed : Oui, on doit aider les enfants en difficulté. Deux heures de cours en plus par semaine en L'Arshad, maths et physique-chimie vont les aider à rattraper leur retard et à reprendre confiance en eux.

Journaliste : La dépression chez les jeunes est un sujet brûlant. Comment comptez-vous y remédier ?

Al-Sey Mohamed : En améliorant l'éducation et en réduisant la pression. On va aussi mettre en place des programmes de soutien psychologique dans les écoles.

Journaliste : Quels sont vos plans pour améliorer le système de santé ?

Al-Sey Mohamed : On doit augmenter le budget de la santé, améliorer les hôpitaux et former plus de personnel médical.

Journaliste : Comment voyez-vous l'avenir des relations internationales de notre pays ?

Al-Sey Mohamed : On doit renforcer nos alliances et jouer un rôle plus actif à l'international tout en défendant nos intérêts.

Journaliste : Qu'en est-il de la sécurité intérieure ?

Al-Sey Mohamed : La sécurité est essentielle. On va investir dans les forces de l'ordre et la technologie pour garantir la sécurité de tous.

Journaliste : Pouvez-vous nous parler du Festival de Musique ?

Al-Sey Mohamed : C'est une grande fierté. Ce festival va rassembler les plus grands talents musicaux du pays et créer une nouvelle hymne nationale.

Journaliste : Quelle est votre vision pour le sport dans notre pays ?

Al-Sey Mohamed : Le sport est important pour la santé et l'unité nationale. On va investir dans les infrastructures sportives et encourager tout le monde à pratiquer du sport.

Journaliste : Comment comptez-vous réduire les inégalités sociales ?

Al-Sey Mohamed : En offrant une éducation de qualité à tous et en augmentant le salaire minimum. On doit aussi améliorer les services publics dans les quartiers défavorisés.

Journaliste : Quels sont vos projets pour l'économie ?

Al-Sey Mohamed : Stimuler la croissance économique en investissant dans des secteurs comme la technologie et les énergies renouvelables. On doit aussi soutenir les petites entreprises.

Journaliste : Quels sont vos plans pour l'environnement ?

Al-Sey Mohamed : Protéger notre environnement est crucial. On doit adopter des politiques écologiques strictes et encourager les pratiques durables.

Journaliste : Comment envisagez-vous l'avenir de l'éducation ?

Al-Sey Mohamed : Une éducation inclusive et innovante, avec des outils numériques modernes et des programmes adaptés aux besoins du marché du travail.

Journaliste : Quels sont vos projets pour la culture ?

Al-Sey Mohamed : La culture est l'âme de notre nation. On va soutenir les artistes et promouvoir notre patrimoine culturel à travers des initiatives comme le Festival de Musique.

Journaliste : Comment comptez-vous moderniser les infrastructures ?

Al-Sey Mohamed : En investissant dans les routes, les ponts, les transports en commun et les technologies de l'information. Nos infrastructures doivent être plus résilientes et efficaces.

Journaliste : Quel est votre plan pour lutter contre la corruption ?

Al-Sey Mohamed : Renforcer les lois anti-corruption et les organismes de contrôle. La transparence et la responsabilisation sont essentielles.

Journaliste : Quelles sont vos priorités pour la jeunesse ?

Al-Sey Mohamed : Offrir des opportunités éducatives et professionnelles, promouvoir le sport et la culture, et créer des espaces de loisirs sûrs.

Journaliste : Que diriez-vous aux citoyens qui doutent de la politique ?

Al-Sey Mohamed : La politique peut sembler lointaine, mais elle impacte notre quotidien. On doit s'impliquer pour construire un avenir meilleur.

Journaliste : Comment améliorer l'accès aux soins de santé ?

Al-Sey Mohamed : En construisant plus de cliniques et d'hôpitaux, et en réduisant les coûts des soins médicaux pour les familles à faible revenu.

Journaliste : Quels sont vos projets pour les zones rurales ?

Al-Sey Mohamed : Développer les infrastructures, améliorer l'accès à l'éducation et aux soins de santé, et soutenir l'agriculture locale.

Journaliste : Que pensez-vous de l'importance de la technologie dans notre société ?

Al-Sey Mohamed : La technologie est l'avenir. On doit investir dans l'éducation technologique et encourager l'innovation pour rester compétitifs.

Journaliste : Comment renforcer la démocratie dans notre pays ?

Al-Sey Mohamed : En assurant des élections libres et transparentes, et en encourageant la participation citoyenne à tous les niveaux.

Journaliste : Quelle est votre stratégie pour réduire le chômage ?

Al-Sey Mohamed : Créer des emplois par des investissements publics et privés, et offrir des formations professionnelles adaptées aux besoins du marché.

Journaliste : Quel rôle voyez-vous pour la culture dans l'unité nationale ?

Al-Sey Mohamed : La culture unit et inspire. Elle doit être accessible à tous et célébrée à travers des événements comme le Festival de Musique.

Journaliste : Comment améliorer la qualité de l'enseignement supérieur ?

Al-Sey Mohamed : En finançant les universités, modernisant les infrastructures et encourageant la recherche et l'innovation.

Journaliste : Quels sont vos plans pour le développement urbain ?

Al-Sey Mohamed : Créer des villes durables avec de bons services publics, des espaces verts, et des logements abordables pour tous.

Journaliste : Comment comptez-vous soutenir les personnes âgées ?

Al-Sey Mohamed : Améliorer les services de santé et les programmes de soutien social pour garantir une retraite digne à tous nos aînés.

Journaliste : Quel est votre plan pour l'inclusion des personnes handicapées ?

Al-Sey Mohamed : Rendre les infrastructures accessibles et offrir des services de soutien adaptés à leurs besoins.

Journaliste : Comment promouvoir la diversité culturelle ?

Al-Sey Mohamed : En célébrant toutes les cultures à travers des festivals et des programmes éducatifs, et en promouvant le respect mutuel.

Journaliste : Quel est votre message pour les jeunes générations ?

Al-Sey Mohamed : Croyez en vos rêves et travaillez dur. Votre énergie et votre créativité sont essentielles pour l'avenir de notre pays.

Journaliste : Un dernier mot pour conclure cette interview ?

Al-Sey Mohamed : Merci à tous pour votre soutien. Ensemble, nous pouvons construire un avenir meilleur pour notre pays.

Journaliste : Merci, Monsieur Al-Sey, pour cet entretien. Nous allons maintenant accueillir Youssef Al-Rashid, le candidat de la Ligue Royale, pour un débat avec vous. Youssef Al-Rashid prône une monarchie renforcée et centralisée. Messieurs, merci de votre présence. Commençons. Monsieur Al-Rashid, quelle est votre vision pour notre pays ?

Youssef Al-Rashid : Merci. Ma vision est simple : une monarchie plus forte et plus centralisée apportera stabilité et continuité. Nous devons restaurer l'autorité royale pour assurer l'ordre et le progrès.

Al-Sey Mohamed : Je comprends votre point de vue, mais une telle centralisation peut étouffer la démocratie et les libertés individuelles. Nous devons travailler pour tous les citoyens, pas seulement pour maintenir une tradition.

Youssef Al-Rashid : La démocratie est importante, mais sans stabilité, elle ne peut pas prospérer. Notre pays a besoin de la direction forte et expérimentée que la monarchie peut fournir. Nous ne pouvons pas nous permettre le chaos de la politique actuelle.

Al-Sey Mohamed : La stabilité ne doit pas être au prix de nos libertés. En investissant dans l'éducation, la santé et les infrastructures, nous pouvons créer un environnement stable et prospère sans sacrifier nos valeurs démocratiques.

Youssef Al-Rashid : Investir dans l'éducation et la santé est important, mais sans une autorité forte pour guider ces investissements, ils seront inefficaces. La monarchie peut assurer que ces ressources sont utilisées de manière optimale.

Al-Sey Mohamed : Une autorité forte ne garantit pas nécessairement une utilisation optimale des ressources. Ce sont les politiques bien pensées et la participation citoyenne qui assurent que les investissements sont bénéfiques pour tous.

Youssef Al-Rashid : La participation citoyenne est une belle idée, mais elle peut aussi mener à l'inefficacité et à la lenteur. Nous devons agir rapidement et de manière décisive pour relever les défis actuels.

Al-Sey Mohamed : La rapidité et la décision sont importantes, mais pas au détriment de la justice et de l'équité. Une gouvernance inclusive et participative est essentielle pour un développement durable et équitable.

Youssef Al-Rashid : Une gouvernance inclusive et participative est idéale en théorie, mais dans la pratique, cela crée des divisions et des conflits. Une monarchie forte peut unir notre pays et diriger avec clarté.

Al-Sey Mohamed : L'unité par la force n'est pas une vraie unité. Nous devons unir notre pays par la compréhension mutuelle, la coopération et le respect des droits de chacun.

Youssef Al-Rashid : Respecter les droits est essentiel, mais sans une direction claire et forte, ces droits peuvent être mal utilisés. Une monarchie forte peut assurer que ces droits sont protégés tout en maintenant l'ordre.

Al-Sey Mohamed : Une direction claire et forte est possible dans une démocratie saine. Nous devons nous concentrer sur des politiques qui améliorent la vie de tous les citoyens, plutôt que de centraliser le pouvoir.

Youssef Al-Rashid : La centralisation du pouvoir n'est pas un mal en soi. C'est une manière de garantir que les décisions sont prises efficacement et que le pays avance dans la bonne direction.

Al-Sey Mohamed : La décentralisation permet aux différentes régions et communautés de participer pleinement à la gouvernance et de s'assurer que leurs besoins spécifiques sont pris en compte. C'est cela qui nous fera avancer.

Youssef Al-Rashid : Une trop grande décentralisation peut mener à l'anarchie et à l'inefficacité. Nous avons besoin d'une main ferme pour guider notre pays dans ces temps incertains.

Al-Sey Mohamed : Une gouvernance équilibrée, qui respecte les autonomies locales tout en assurant une cohésion nationale, est la clé. Il faut trouver un juste milieu entre centralisation et décentralisation.

Youssef Al-Rashid : Vous parlez d'équilibre, mais dans les faits, l'équilibre est souvent difficile à maintenir. Une monarchie forte offre la stabilité dont notre pays a besoin pour prospérer.

Al-Sey Mohamed : La stabilité est importante, mais pas à n'importe quel prix. Nous devons nous assurer que chaque citoyen a une voix et peut contribuer au développement de notre pays. La diversité des opinions et des idées est notre force.

Youssef Al-Rashid : La diversité des opinions peut aussi mener à des conflits et à la division. Une autorité centrale forte peut harmoniser ces différences et diriger le pays vers un avenir commun.

Al-Sey Mohamed : Harmoniser les différences ne doit pas signifier les écraser. Nous devons trouver des moyens de travailler ensemble, de manière respectueuse et inclusive. Cela nécessite une démocratie vivante et participative.

Youssef Al-Rashid : Une démocratie vivante et participative peut parfois être trop lente pour répondre aux défis urgents. Une monarchie forte peut agir rapidement et de manière décisive pour le bien de tous.

Al-Sey Mohamed : La rapidité des décisions ne doit pas compromettre la qualité et l'équité des décisions. Nous devons garantir que les voix de tous les citoyens sont entendues et que leurs droits sont respectés.

Youssef Al-Rashid : Une autorité centralisée n'exclut pas le respect des droits des citoyens. Au contraire, elle peut les protéger plus efficacement contre les abus et les dysfonctionnements.

Al-Sey Mohamed : L'histoire nous montre que la centralisation excessive du pouvoir peut mener à des abus de pouvoir. Nous devons veiller à ce que nos institutions soient fortes et indépendantes, pour garantir la justice et l'équité.

Youssef Al-Rashid : Vous parlez de l'histoire, mais regardez autour de nous : de nombreux pays prospèrent sous une gouvernance centralisée et forte. Pourquoi ne pas suivre cet exemple ?

Al-Sey Mohamed : Chaque pays a son propre chemin. Nous devons trouver ce qui fonctionne le mieux pour notre peuple, en respectant nos valeurs et notre diversité. Une gouvernance participative et décentralisée est la clé de notre succès.

Youssef Al-Rashid : Vous idéalisez la décentralisation, mais elle peut aussi conduire à la fragmentation et à l'inefficacité. Une monarchie forte assure l'unité et la direction nécessaire pour faire face aux défis actuels.

Al-Sey Mohamed : L'unité et la direction sont importantes, mais elles doivent être obtenues par le consensus et la participation, non par l'imposition. C'est ainsi que nous construirons un avenir durable et équitable.

Journaliste : Messieurs, merci pour cet échange. Vous avez tous les deux présenté des arguments passionnés et réfléchis. Pour conclure, pourriez-vous chacun résumer en quelques mots pourquoi les citoyens et sa majesté devraient voter pour vous ?

Youssef Al-Rashid : Les citoyens et sa majesté devraient voter pour moi parce que je crois en une monarchie forte qui garantit la stabilité, la sécurité et la continuité. Avec une autorité centralisée, nous pouvons diriger efficacement notre pays vers un avenir prospère et uni.

Al-Sey Mohamed : Les citoyens et sa majesté devraient voter pour moi parce que je crois en une démocratie participative et décentralisée qui respecte les droits et les voix de chacun. Ensemble, nous pouvons construire un avenir où chaque citoyen a sa place et peut contribuer au développement de notre pays.

Journaliste : Merci à vous deux. Nous espérons que cet échange aidera les électeurs à faire un choix éclairé. Bonne chance pour la suite de votre campagne.
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LOI DU BOUCLIER ASSADIEN
Le Roi Ibrahim VI Annonce une Augmentation Historique du Budget Militaire.
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Sa majesté le Roi, Ibrahim VI



Depuis quelques années, notre royaume d'Assad connaît une belle croissance économique. Le niveau de vie des citoyens s'améliore de jour en jour, notre indice de développement humain (IDH) est en hausse, et l'espérance de vie augmente. On voit des progrès un peu partout, que ce soit dans l'éducation, la santé ou les infrastructures. Pourtant, malgré cette prospérité, le Roi Ibrahim VI a surpris tout le monde en annonçant une augmentation du budget militaire de 15%. C'est une décision qui n'a pas manqué de faire réagir.

Le Roi a expliqué que cette augmentation est nécessaire pour renforcer nos défenses face aux menaces croissantes, notamment le terrorisme, qui menace la Côte d'Assad. La nouvelle Loi du Bouclier Assadien a pour objectif de garantir la sécurité de notre peuple face à ces dangers imprévisibles. Le terrorisme est devenu une menace sérieuse, frappant fort et de manière inattendue, et nos efforts actuels pour le contrer se sont révélés insuffisants.

Pour financer cette augmentation, plusieurs mesures fiscales vont être mises en place. Les banques seront soumises à de nouvelles taxes, ainsi que diverses entreprises. Des ajustements fiscaux seront également effectués pour s'assurer que les fonds nécessaires soient collectés sans trop impacter directement les citoyens. En plus des taxes sur les institutions financières, il est prévu d'augmenter légèrement certaines taxes sur les produits de luxe et de revoir les subventions accordées à certains secteurs non essentiels.

Interviews :


Conseiller militaire, Général Ahmed BALOU

Journaliste : Général Ahmed BALOU, que pensez-vous de cette augmentation du budget militaire ?

Général Ahmed BALOU : C'est une décision essentielle. Le terrorisme est une menace réelle et croissante. Nos forces armées ont besoin de moyens supplémentaires pour protéger notre pays efficacement. Cet investissement est crucial pour notre sécurité nationale. Avec des ressources accrues, nous pourrons améliorer nos équipements, renforcer nos effectifs et assurer une meilleure formation de nos soldats. C’est une nécessité pour que nos forces armées soient prêtes à répondre à toute menace.

Fondateur et directeur du comité de jumelage "Contre Nature", Zahir AMOUCH

Journaliste : Monsieur Dubois, pourquoi êtes-vous contre cette augmentation ?

Zahir AMOUCH : Bien que la sécurité soit importante, augmenter le budget militaire de 15% est excessif. Cet argent pourrait être mieux utilisé dans l'éducation, la santé, ou des projets sociaux. Investir massivement dans l'armée ne fera qu'alimenter une spirale de violence et de méfiance. De plus, cela pourrait détourner des ressources essentielles de secteurs vitaux qui contribuent directement au bien-être de notre population. Nous devons penser à notre avenir et à celui de nos enfants, et cela passe par l'investissement dans des domaines qui favorisent la paix et le développement humain.

La voix du peuple parle :


Fatima, commerçante : "Je comprends la nécessité de se protéger, mais j'espère que cela ne va pas trop affecter notre économie quotidienne. Les petites entreprises comme la mienne ressentent déjà les effets des augmentations de taxes et des coûts. Nous avons besoin de stabilité économique pour continuer à prospérer."

Ali, enseignant : "C'est important de se défendre, mais j'aurais préféré voir cet argent investi dans nos écoles et nos universités. L'éducation est la clé de notre avenir, et elle ne doit pas être négligée. Nos enfants méritent des conditions d'apprentissage optimales pour réussir."

Hassan, ouvrier : "Si ça permet de nous protéger contre le terrorisme, alors je suis pour. La sécurité avant tout. Mais j'espère que cela ne signifiera pas des coupures dans d'autres services publics importants. Nous avons besoin de routes, d'hôpitaux, de services sociaux."

Leïla, infirmière : "Je suis partagée. La sécurité est cruciale, mais j'espère que ça ne va pas mener à des coupes dans les services de santé. Nos hôpitaux ont besoin de plus de fonds, pas de moins. Nous sommes déjà sous pression avec les ressources actuelles."

Karim, étudiant : "Je suis inquiet pour l'avenir. Augmenter le budget militaire pourrait mener à des tensions régionales. De plus, les jeunes comme moi veulent voir des investissements dans l'éducation et les opportunités d'emploi. Nous avons besoin d'un futur stable et prometteur."


Dr. Nadia Ben Salem, professeur d'économie à l'Université d'Assad

Journaliste : Dr. Ben Salem, quels sont les impacts économiques de cette augmentation ?

Dr. Ben Salem : Cette augmentation du budget militaire aura des effets divers. À court terme, cela peut entraîner une légère augmentation des prix en raison des nouvelles taxes sur les banques et les entreprises. Cependant, il est crucial de considérer que cet investissement peut aussi stimuler certains secteurs de l'économie, comme l'industrie de la défense. L'important sera de surveiller les dépenses publiques pour éviter un déséquilibre économique. Si le budget militaire est géré de manière efficace, il peut aussi créer des emplois et renforcer notre position stratégique dans la région. Toutefois, il est essentiel de ne pas négliger les autres secteurs clés de notre développement, comme l'éducation et la santé, qui sont les fondements de notre société.

L'annonce du Roi Ibrahim VI concernant l'augmentation de 15% du budget militaire a fait l'effet d'une bombe dans le royaume. Cette décision, bien que motivée par une réelle menace terroriste, suscite des réactions partagées au sein de la population.

D'un côté, les partisans de cette mesure, comme le Général Ahmed BALOU, estiment qu'il est crucial de renforcer notre défense pour assurer la sécurité du pays. Ils voient cette augmentation comme un investissement nécessaire pour faire face à des menaces croissantes et imprévisibles. Ils soulignent l'importance d'avoir une armée bien équipée et bien entraînée pour protéger notre nation et maintenir la stabilité régionale.

De l'autre côté, des voix comme celle de Zahir AMOUCH , du comité "Contre Nature", s'élèvent pour critiquer cette décision. Ils argumentent que cet argent pourrait être mieux dépensé dans des secteurs tels que l'éducation et la santé, domaines également cruciaux pour le développement à long terme de notre nation. Ils craignent que cette augmentation des dépenses militaires ne détourne des ressources essentielles de projets qui améliorent directement la vie des citoyens et favorisent la paix.

L'opinion publique est tout aussi divisée. Les citoyens s'inquiètent des impacts économiques que pourrait avoir cette mesure, notamment sur le coût de la vie, déjà en hausse. Cependant, beaucoup reconnaissent l'importance de la sécurité et sont prêts à accepter des sacrifices financiers pour garantir la protection contre le terrorisme. Les débats sont nombreux, et chacun essaie de peser le pour et le contre pour se faire une opinion. Enfin, l'analyse des experts économiques, comme Dr. Nadia Ben Salem, met en lumière les complexités de cette décision. Si l'augmentation du budget militaire peut entraîner des hausses de prix à court terme, elle pourrait aussi stimuler certains secteurs économiques, notamment l'industrie de la défense. L'essentiel sera de maintenir un équilibre pour éviter que les dépenses publiques ne déséquilibrent l'économie nationale. La décision du Roi Ibrahim VI de renforcer le budget militaire est une réponse directe aux menaces de sécurité actuelles. Il reste à voir comment cette politique sera mise en œuvre et quel sera son impact réel sur l'économie et la société assadiennes. Une chose est certaine : notre pays entre dans une nouvelle phase où la sécurité et le développement économique devront être équilibrés avec soin pour assurer un avenir prospère et sécurisé pour tous les citoyens. L'impact de cette décision varie également selon les classes sociales. Les familles à revenus modestes craignent que les nouvelles taxes et les augmentations de prix ne rendent leur quotidien encore plus difficile. Les classes moyennes, quant à elles, s'inquiètent de la stabilité de leurs emplois et de l'augmentation potentielle des coûts des biens et services essentiels. Les classes supérieures pourraient également ressentir les effets des nouvelles taxes, mais elles sont souvent mieux placées pour absorber ces coûts. À long terme, cette augmentation du budget militaire pourrait transformer la position de notre pays sur la scène internationale. Avec des forces armées mieux équipées et mieux formées, le royaume pourrait jouer un rôle plus important dans les affaires régionales et mondiales. La réussite de cette politique dépendra de la capacité de notre gouvernement à équilibrer les dépenses militaires avec les besoins sociaux et économiques de la population. La décision du Roi Ibrahim VI d'augmenter de 15% le budget militaire est un acte audacieux qui pourrait définir l'avenir de notre nation. Si elle est mise en œuvre correctement, cette mesure pourrait renforcer notre sécurité et stabiliser notre région. Cependant, il doit comprendre qu'il doit de veiller à ce que cet investissement ne se fasse pas au détriment des progrès économiques et sociaux que nous avons réalisés. Le débat est ouvert, et il appartient à chaque citoyen d'examiner les arguments des deux côtés pour se forger une opinion éclairée. Le défi sera de trouver un équilibre entre la nécessité de se protéger et celle de continuer à investir dans le développement et le bien-être de notre peuple.
Alors, pour ou contre ?
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SOGHO-ANTEGRAD
La Côte d'Assad observe.
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Avion du Chancelier de gauche en déplacement vers L'Empire de Sogho le Yushin II-GTR est le nom de l’avion du Chancelier de gauche. En effet, Mohamed Al-Sey, se déplace avec cet avion. L’intérieur de ce transporteur est décrit comme étant hors norme. On y trouverait des finitions en or, du marbre et des tapisseries au mur.


Ce week-end, Lungali, la capitale de l'Empire du Sogho, a été le théâtre d'un sommet diplomatique super important entre le Sogho et la Côte d'Assad. Cet événement attendu depuis longtemps pourrait vraiment changer la donne dans la région et ouvrir la voie à de nouveaux accords et alliances stratégiques. Les relations entre le Sogho et la Fédération centrale d'Antegrad sont tendues depuis quelques mois, et la Côte d'Assad, bien placée entre ces deux puissances, essaye de jouer les médiateurs pour calmer le jeu et éviter une escalade. Depuis plusieurs mois, la région est au cœur d'un bras de fer entre le Sogho et la Fédération centrale d'Antegrad. Le Sogho accuse Antegrad de se mêler de ses affaires intérieures, surtout après avoir déclaré l'état d'urgence pour réprimer des troubles internes. Antegrad, de son côté, justifie ses actions par la nécessité de défendre ses intérêts stratégiques et de maintenir la sécurité régionale. Les tensions sont montées d'un cran avec le renforcement militaire d'Antegrad le long de la frontière avec le Sogho, alimentant les craintes d'un conflit armé imminent. La Côte d'Assad, en tant que tampon entre ces deux puissances, est directement affectée par ces développements. Elle tente de favoriser le dialogue et de trouver des solutions pacifiques pour éviter un affrontement direct. Les relations entre le Sogho et la Côte d'Assad ont toujours été un mélange de coopération et de tensions. Ces deux pays ont des liens culturels profonds et ont souvent collaboré pour améliorer la stabilité et le développement de la région. Cependant, des différends politiques et des rivalités ont parfois compliqué cette coopération. Au fil du temps, des accords pourront êtres signés pour renforcer les liens économiques et de sécurité entre le Sogho et la Côte d'Assad. Malgré cela, des conflits territoriaux et des suspicions persistent, en partie à cause de l'influence croissante d'Antegrad dans la région. Les tensions actuelles entre le Sogho et Antegrad ont plusieurs racines. Au cœur du problème se trouve la lutte pour l'influence régionale. Antegrad cherche à étendre son emprise politique et militaire, ce que le Sogho voit comme une menace directe à sa souveraineté et à sa stabilité. Des incidents frontaliers et des accusations d'espionnage ont encore exacerbé les tensions, entraînant des mesures de sécurité renforcées et des sanctions économiques de part et d'autre. Les frontières sont énormément bien gardés des deux côtes. La fermeture des frontières a aussi eu des répercussions économiques notables. Les différentes cargaisons en provenance d'Antegrad vers la Côte d'Assad, qui transitent par l'Empire de Sogho, prennent désormais plus de temps, entraînant une augmentation des prix, notamment des poissons anterien. Cette situation a suscité un mécontentement général. L'issue du sommet de Lungali pourrait changer la donne pour l'équilibre de pouvoir régional. En cas de succès, une détente entre le Sogho et Antegrad pourrait stabiliser la région et ouvrir la voie à une coopération économique renforcée et à des alliances stratégiques. En revanche, un échec pourrait intensifier les tensions existantes et affaiblir la sécurité régionale. En résumé, le sommet de Lungali offre une chance de résoudre les tensions régionales. Les défis sont nombreux et la réussite dépendra de la volonté politique des dirigeants du Sogho, d'Antegrad et de la Côte d'Assad de surmonter leurs différences pour le bien de toute la région. Le sommet de Lungali avait pour but principal de renforcer les liens entre le Sogho et la Côte d'Assad à travers la signature de traités d'amitié et d'accords de coopération. Ces documents permettront à officialiser les engagements mutuels et à intensifier la collaboration dans divers domaines.

auteur a écrit :
Les discussions au sommet ont abordé plusieurs aspects clés :
Sécurité : Les deux nations ont discuté de renforcer la sécurité régionale pour faire face aux menaces extérieures.

Commerce : Des accords commerciaux ont été envisagés afin de stimuler les échanges économiques et de promouvoir le développement mutuel.

Coopération Régionale : Il a été question de renforcer la coopération dans les domaines culturel, éducatif et environnemental pour resserrer les liens entre les deux peuples.

Pendant que les dirigeants étaient réunis à Lungali, des milliers de citoyens de la Côte d'Assad ont exprimé leur soutien au sommet à travers une manifestation impressionnante, principalement devant le Palais des Lykhaon, siège des principales institutions gouvernementales. Les rues étaient remplies de manifestants brandissant des drapeaux nationaux et des pancartes avec des messages tels que "Antegrad, dégonfle-toi !", "Sogho, agis vite !" et "Paix entre les deux peuples".En solidarité avec les événements en cours dans l'Empire du Sogho, notamment l'état d'urgence et la présence de milices, la Côte d'Assad a observé une minute de silence. Les citoyens et les autorités espèrent que la situation se stabilisera et que la paix prévaudra.

Yasbih Najia, co-fondatrice de l'Union des Socialistes, a prononcé un discours fort lors d'une conférence de presse, exprimant des critiques acerbes envers les actions d'Antegrad dans la région. Pour elle, la Fédération centrale d'Antegrad utilise sa force militaire de manière excessive, ce qui aggrave les tensions déjà précaires. Elle a comparé la stratégie d'Antegrad à celle d'un adolescent mal éduqué qui surestime sa puissance. "Antegrad doit comprendre que la paix ne peut être atteinte par la force, mais par la diplomatie et le respect de la souveraineté des nations voisines", a-t-elle déclaré devant les journalistes.

Le Professeur Malik Touré, spécialiste en politique à l'École de Politique d'Adhémélée, a donné une analyse approfondie des motivations d'Antegrad lors d'une interview télévisée. Selon lui, la Fédération centrale cherche à affirmer son influence régionale en utilisant des mesures coercitives, telles que le renforcement militaire et les sanctions économiques. "Antegrad veut montrer qu'elle est prête à défendre ses intérêts à tout prix, même au risque de provoquer des conflits dans la région", a-t-il expliqué. Il a appelé à une approche plus diplomate et à des négociations sérieuses pour désamorcer les tensions actuelles.


Sur les rues de la Côte d'Assad, des citoyens ordinaires ont partagé leurs espoirs et leurs préoccupations concernant le sommet de Lungali. "Nous espérons que nos dirigeants trouveront des solutions pacifiques pour éviter une escalade militaire", a déclaré Ahmed, un résident local. Fatima, une mère de famille, a exprimé ses craintes quant à l'avenir : "Nous voulons la paix pour nos enfants, pas la guerre." Les attentes sont élevées parmi la population, avec l'espoir que le sommet aboutira à des accords bénéfiques pour tous.

Ahmedy, résident local :
"J'espère vraiment que nos chefs vont enfin se mettre d'accord, tu vois ? Ça fait trop longtemps qu'on vit avec ces tensions. On a besoin de calme et de tranquillité pour pouvoir avancer dans la vie."

Hawa, mère de famille :
"Ce qui m'angoisse le plus, c'est l'idée que ça puisse déraper. On veut protéger nos enfants, leur offrir un avenir sûr. J'espère qu'ils vont trouver une solution qui évite le conflit."

Khaled, commerçant :
"Pour moi, c'est clair : plus il y a de discussions, mieux c'est. On est tous dans le même bateau ici, on a tous besoin que ça se passe bien pour qu'on puisse continuer à vivre normalement."

Nadia, étudiante :
"Je suis inquiète pour notre avenir. On veut pouvoir étudier, travailler, sans avoir peur. J'espère que ce sommet va changer les choses, nous apporter la paix et la sécurité."

Mehdi, ouvrier :
"Ça fait des mois qu'on entend parler de cette tension. On veut juste pouvoir bosser tranquille, sans que ça parte en vrille. J'espère que les chefs vont nous entendre et trouver une solution rapide."

Layla, enseignante :
"Je vois bien comment ça impacte les enfants à l'école. Ils posent plein de questions, ils sont stressés. J'espère qu'on pourra leur montrer qu'on peut résoudre nos problèmes par la discussion, pas par la violence."

Zahra, résidente locale :
"Les prix des poissons ont explosé. Avant, je pouvais en acheter pour toute la semaine avec un budget raisonnable, maintenant c'est devenu un luxe. C'est vraiment difficile pour les familles comme la mienne."

Karim, ouvrier :
"Je suis très en colère. On subit déjà les tensions politiques, et maintenant, on doit payer plus pour des produits de base. Ce n'est pas juste. Les dirigeants doivent faire quelque chose pour nous."

Said, poissonnier :
"Mes clients se plaignent tous les jours de la hausse des prix. Ce n'est pas bon pour mon commerce non plus. Si ça continue, je vais perdre des clients et je ne sais pas combien de temps je pourrai tenir comme ça."


Les habitants ici ont tous le même souhait : que ce sommet soit un tournant vers la paix et la stabilité. Ils aspirent à un avenir où la coopération et le dialogue seront au cœur des relations entre nations.

Pour résumé, le sommet de Lungali marque un moment important pour la région. Les dirigeants du Sogho, d'Antegrad et de la Côte d'Assad doivent faire preuve de volonté politique et de diplomatie pour surmonter leurs différences et garantir un avenir de paix pour tous les habitants de la région. Les manifestations passionnées des citoyens de la Côte d'Assad montrent encore une fois l'espoir commun pour une résolution pacifique et durable des conflits comme le conflits mais aussi que les Assadiens ne laissent rien passer sur les conflits. Le chemin vers la paix est semé d'embûches, mais il est aussi pavé d'opportunités pour une coopération constructive et un développement mutuel." Proverbe Assadiens. Bon, voyons ce que ça donne.

Et vous, vous en pensez quoi ?


HRP : En cours...
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UN PAS DANS L'ESPACE
La Côte d'Assad membre fondateur du programme ISAKA.

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le célèbre Imad Afrolo-Gicarolirdin, représentant de la Côte d'Assad dans le projet ISAKA



La Côte d'Assad Embrasse le Développement Spatial et l'Union Continentale. Imad Afrolo-Gicarolirdin, représentant de la Côte d'Assad dans le projet ISAKA, annonce une nouvelle ère de coopération et de développement pour le pays. La Côte d'Assad, après plusieurs années de stagnation dans le domaine spatial, a décidé de prendre une initiative audacieuse en s'associant avec l'Empire du Karty et l'Antérinie pour lancer le projet ISAKA. Ce projet ambitieux a pour objectif de développer des capacités spatiales avancées, ouvrant la voie à de nouvelles opportunités technologiques et scientifiques.


En parallèle, la Côte d'Assad a décidé de rejoindre l'Union Absolue de l'Afarée (UAA). L'UAA vise à renforcer la coopération économique, diplomatique et militaire entre ses membres. Les principes de l'UAA incluent la protection des droits de l'homme, la promotion de la démocratie, et le respect de l'environnement. Les engagements de l'UAA sont basés sur des textes importants tels que la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen d'Eldoria de 1801 et la Déclaration des Droits Environnementaux de la République d'Eldoria de 2007.


La Côte d'Assad a également rejoint l'Union des Associations Sportives d'Afarée (UASA). L'UASA utilise le sport comme un outil de paix, de cohésion sociale et de développement durable. Cette organisation encourage l'intégration continentale à travers des activités sportives communes et renforce les liens d'amitié entre les nations d'Afarée. Les objectifs de l'UASA incluent la promotion de la pratique sportive, l'organisation d'événements sportifs, et le développement de programmes pour la jeunesse
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Élections Législatives pour la Délégation de l'UAA
Premiers Résultats et Enjeux.

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Logo de L'UAA


Les élections législatives pour désigner la délégation de la Côte d'Assad à l'Union Absolue de l'Afarée (UAA) ont lieu aujourd'hui. Avec 27 millions de citoyens inscrits sur les listes électorales, 19 millions sont attendus pour voter. À midi, la participation est déjà significative, bien que tous les votes n'aient pas encore été comptabilisés.

À l'heure actuelle, les premiers résultats montrent que le Parti Assadien, dirigé par Omar Al-Khatib, est en tête avec 32 % des voix comptabilisées. Le Front de la Renaissance, avec Khaled Al-Haddad à sa tête, suit de près avec 28 % des voix. La Coalition Progressiste, menée par Zainab El-Farouki, est troisième avec 22 % des suffrages.

Les Verts d'Assad, sous la direction de Layla Al-Mansour, ont recueilli 8 % des voix. L'Union pour la Tradition, dirigée par Ahmed Ben Ali, obtient 6 %, tandis que la Ligue Royale, représentée par Prince Faisal Al-Rashid, rassemble 4 % des suffrages.


Beaucoup d'habitants de la Côte d'Assad voient ces élections comme une chance de renforcer la position du pays sur la scène internationale. Yasmina, une enseignante de 35 ans, déclare :

"Je suis contente de voir autant de monde se mobiliser. Cela montre que nous prenons notre avenir au sérieux. J'espère que notre nouvelle délégation saura représenter nos intérêts au sein de l'UAA."

Karim, un étudiant en économie de 22 ans, exprime son optimisme quant aux résultats :

"Je soutiens le Parti Assadien car ils cherchent un équilibre entre progrès économique et justice sociale. C'est exactement ce dont notre pays a besoin."

Cependant, tout le monde ne partage pas cet optimisme. Certains citoyens sont préoccupés par la montée en popularité du Front de la Renaissance. Fatima, une infirmière de 40 ans, confie :

"Les discours radicaux du Front de la Renaissance me font peur. Ils divisent plus qu'ils n'unissent. J'espère que les gens se rappelleront l'importance de la solidarité."

Mohamed, un commerçant de 55 ans, exprime ses doutes :

"Je crains que notre pays ne devienne trop polarisé. Nous avons besoin de coopération et de compromis, pas de conflits internes."

Nous rappelons les partis :

Les Verts d'Assad, créés en 2001, sont le parti écologiste du pays. Ils militent pour la protection de l'environnement, la promotion des énergies renouvelables et la conservation des ressources naturelles. Le parti est très engagé dans des actions concrètes, comme des nettoyages de plages et la plantation d'arbres. Leur représentante, Layla Al-Mansour, est une biologiste marine de 45 ans, respectée pour son dévouement à la cause environnementale. Layla a co-fondé le parti pour transformer sa passion pour la nature en action politique. Son engagement et sa capacité à mobiliser les gens font d'elle une figure charismatique et influente dans le mouvement écologique.

Le Front de la Renaissance, fondé en 2011, est un parti extrémiste qui prône un nationalisme radical, une politique anti-immigration stricte et un retour aux valeurs traditionnelles avec une poigne de fer. Le parti est connu pour ses discours polarisants et ses positions radicales, attirant les électeurs déçus par le système actuel et en quête de changement drastique. Khaled Al-Haddad, le co-fondateur du parti, est un ancien militaire de 38 ans. Après avoir quitté l'armée, il s'est lancé en politique avec une rhétorique dure et des positions extrêmes. Bien que controversé, Khaled a une base de supporters fidèles qui apprécient sa franchise et sa détermination.

L'Union pour la Tradition, fondée en 1985, est le parti conservateur de la Côte d'Assad. Ils défendent les valeurs familiales, une économie de marché libre et la réduction des impôts, tout en mettant l'accent sur le maintien de l'ordre et la stabilité. Le parti est ancré dans les traditions et est perçu comme fiable et stable. Ahmed Ben Ali, âgé de 60 ans, est le chef du parti. Avec une carrière politique longue et respectée, il incarne l'expérience et la stabilité. Ahmed est connu pour son discours calme mais convaincant, et pour sa capacité à représenter les valeurs conservatrices de manière cohérente et efficace.
La Coalition Progressiste, formée en 1992, est une alliance de divers mouvements de gauche. Ils se battent pour la justice sociale, les droits des travailleurs, l'égalité des genres et des services publics renforcés. Le parti est engagé dans la lutte pour une société plus juste et équitable, avec une forte intervention de l'État pour protéger les plus vulnérables. Zainab El-Farouki, une ancienne avocate des droits de l'homme de 50 ans, est la représentante du parti. Zainab est connue pour son engagement passionné et ses discours éloquents en faveur des causes sociales. Elle a décidé de se lancer en politique pour défendre les droits des opprimés et promouvoir l'égalité.


Le Parti Assadien, fondé en 2000, est le parti centriste de la Côte d'Assad. Ils prônent la modération politique, un équilibre entre marché libre et protections sociales, et une gouvernance pragmatique. Le parti est connu pour sa recherche de compromis et de solutions pratiques, évitant les extrêmes et cherchant à rassembler les citoyens autour de politiques équilibrées. Omar Al-Khatib, économiste de formation âgé de 46 ans, est le chef du parti. Ayant travaillé pour plusieurs organisations internationales, Omar apporte une expertise économique précieuse et une réputation de modéré étant donnée qu'il et riche. Sa capacité à proposer des solutions pragmatiques le rend populaire parmi ceux qui cherchent une approche équilibrée.

La Ligue Royale, fondée en 1975, est le parti royaliste de la Côte d'Assad. Ils militent pour une monarchie absolue, un pouvoir centralisé et les traditions royales. Le parti valorise l'autorité du roi comme moyen d'assurer la stabilité et l'unité nationale. Prince Faisal Al-Rashid, membre de la famille royale âgé de 55 ans, est le représentant du parti. Faisal est un fervent défenseur de la monarchie absolue et est très proche du roi. Son engagement en faveur des traditions royales et son influence au sein de la famille royale en font une figure incontournable du parti.


ALLEZ VOTEZ !
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CRISE DU DIAMBÉE
Les Répercussions en Côte d'Assad et dans l'UAA.

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Aéroport internationale d'Isdam. Aperçut de l'arrivé des Diambéens sur le sol Assadien


En ces temps troublés, la situation au Diambée suscite de vives inquiétudes au sein de la Côte d'Assad et des pays membres de l'Union Absolue de l'Afarée (UAA). Les persécutions orchestrées contre les musulmans diambéens ont provoqué une vague de panique et un flux migratoire sans précédent vers les pays de l’UAA, cherchant désespérément refuge. Face à la répression sévère, de nombreux musulmans diambéens, appelés les "Sirou-kas Muslim" ou "Foncé de l’Ouest Musulmans", fuient en masse. En Côte d'Assad, environ 1 370 Diambéens seraient entrés illégalement par l'aéroport international d'Isdam, tandis que 347 autres ont tenté la traversée maritime, avec un naufrage tragique causant la mort de 27 personnes. Les autorités assadiennes, débordées par cette affluence, restent pour l’instant silencieuses sur les mesures à prendre. L'aéroport à donc fermé la destinations vers le Diambée et les arrivants du Diambée sont encore coincé dans l'aéroport. Mais aussi, Le Roi a décrété l’Urgence Nationale de rang C, une décision visant à renforcer la vigilance et la préparation des forces armées pour protéger le territoire sans intervenir directement dans le conflit. L’UAA a décidé de tenir le gouvernement diambéen responsable de ces atrocités devant la cour de justice de l’UAA. Cependant, la situation reste tendue, et les mesures prises jusqu’à présent n’ont pas suffi à apaiser les craintes d’un possible génocide.

« Nous avons peur que la situation dégénère et que notre pays soit impliqué malgré nous », confie Yasmine, une habitante d’Isdam.

D'autres expriment leur solidarité avec les réfugiés, comme Ahmed, un commerçant : « Nous devons aider ces personnes en détresse. C’est notre devoir en tant qu’êtres humains. »

La situation s'annonce critique alors que l’Antegrad prépare déjà ses refuges pour accueillir les réfugiés, et que la panique s’installe un peu partout. Les autorités des pays de l’UAA sont en alerte maximale, cherchant des solutions pour faire face à ce flux migratoire et aux tensions croissantes.
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GRAND DÉFILÉ MILITAIRE À ISDAM
Une Démonstration de Force à ceux qui ne l'ont pas.

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Missile de croisière Assadien durant le défilé militaire


Le défilé militaire tant attendu a commencé à Isdam, la capitale de la Côte d'Assad. Cet événement, à pour but de symboliser la puissance et la solidarité entre la Côte d'Assad et l'Empire de Karty. Près de 5 000 soldats assadiens et 2 500 soldats de l'Empire de Karty ont pris part à ce défilé impressionnant. L'Empire de Karty a sorti les grands moyens en déployant ses chars légers. La Côte d'Assad, quant à elle, a dévoilé ses nouveaux avions de chasse, arborant fièrement les couleurs des deux nations alliées, ainsi que ses missiles de croisière sophistiqués. Le défilé a débuté par des chants patriotiques kartiens et assadiens. Par la suite, des missiles assadiens ont été lancés, suivis d'une présentation des armes et équipements militaires des deux pays.

Général Ibn-Khalid Kassym : Nous sommes réunis pour montrer nos forces. Mais aussi, pour montrer à ceux qui insultent nos nations que nous sommes prêts. Prêts à nous défendre à quelques kilomètres de là. Une menace est présente et nous l'exterminerons.
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LA CÖTE D'ASSAD FACE AU DIAMBEE
Un Peuple à la Croisée des Chemins.

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Manifestation pour l'inclusion des Diambéens


Le Diambée, autrefois considéré comme un modèle de stabilité en Afarée, est aujourd'hui plongé dans une crise humanitaire d'une ampleur qui dépasse les frontières nationales. Ce pays, riche en ressources naturelles et doté d'une diversité culturelle exceptionnelle, est désormais le théâtre d'une guerre civile qui ne cesse de s'intensifier. Ce conflit interne, déclenché par des rivalités politiques exacerbées et des tensions ethniques profondément enracinées, a conduit à l'exode massif de millions de personnes, dont une majorité de musulmans Kalhys (terme désignant les musulmans de l'est). Ces derniers, pris pour cibles par des milices ethniques et des forces gouvernementales sans scrupules, n'ont d'autre choix que de fuir leur terre natale pour chercher refuge ailleurs. Face à cette situation désespérée, l'Union Absolue d'Afarée (UAA), une alliance qui inclut la Côte d'Assad, a pris des mesures exceptionnelles pour organiser l'évacuation des civils diambéens. Cette initiative, bien que saluée pour son ambition humanitaire, suscite des débats au sein des nations membres, notamment en Côte d'Assad, où l'arrivée imminente de centaines de milliers de réfugiés provoque une onde de choc. Les premiers navires, affrétés par l'UAA et chargés de civils épuisés, ont commencé à accoster dans les ports du Diambée, enclenchant une opération de sauvetage qui restera gravée dans les annales de l'histoire. Cependant, cette mission, aussi noble soit-elle, ouvre une nouvelle page de défis pour la Côte d'Assad, une nation qui se retrouve désormais à gérer une crise migratoire d'une ampleur inédite. Alors que le gouvernement assadien met en place des plans pour accueillir les réfugiés, la population est divisée entre ceux qui prônent la solidarité et ceux qui craignent les conséquences économiques, sociales et culturelles de cette arrivée massive. Les débats politiques se font de plus en plus virulents, et les tensions sociales montent.


L'afflux massif de réfugiés diambéens a déclenché une tempête politique en Côte d'Assad. Le pays, historiquement reconnu pour sa stabilité et sa tradition d'accueil, se trouve maintenant divisé entre ceux qui veulent tendre la main aux réfugiés et ceux qui craignent que cette crise ne mette en péril l'identité nationale et la cohésion sociale.

Le Front de la Renaissance, fondé en 2011, est devenu le porte-étendard des sentiments nationalistes et xénophobes en Côte d'Assad. Dirigé par Bounoujou Zahija, ce parti prône un retour aux "valeurs traditionnelles" et une politique d'immigration stricte. Pour le Front de la Renaissance, l'arrivée des réfugiés diambéens représente une menace existentielle pour la nation assadienne.

Lors d'un meeting récent à Kaoulik, Zahija a exprimé ses craintes :

"Mes chers compatriotes, nous sommes confrontés à une crise sans précédent. On nous demande d'ouvrir nos portes à des centaines de milliers de personnes qui n'ont rien à voir avec nous. Ces réfugiés ne partagent pas nos valeurs, notre culture, notre mode de vie. L'UAA veut nous imposer leur présence sans prendre en compte les conséquences pour notre nation. Le Front de la Renaissance dit non à cette trahison. Nous devons protéger nos frontières, notre identité, et notre avenir. Si nous ne réagissons pas maintenant, notre pays sera défiguré à jamais."

Ce discours, largement relayé par les médias conservateurs, a trouvé un écho auprès d'une partie de la population, en particulier dans les régions rurales où les craintes liées à l'immigration sont les plus fortes. Le Front de la Renaissance a su montrer ces peurs et ça politique en vue des prochaines élections.

À l'opposé, la Coalition Progressiste, formée en 1992, représente l'aile gauche de l'échiquier politique assadien. Composée de divers mouvements sociaux et syndicats, elle milite pour une société plus égalitaire et plus juste. Face à la crise des réfugiés, la Coalition Progressiste prône une réponse humanitaire, en accord avec les principes d'hospitalité et de solidarité.

Zainab El-Farouki, ancienne avocate des droits de l'homme et leader de la Coalition Progressiste, a récemment tenu un discours à Djibari, où elle a appelé à l'unité et à l'entraide :

"Chers compatriotes, il est de notre devoir moral de tendre la main à ceux qui fuient la guerre et la persécution. Les réfugiés diambéens ne sont pas des envahisseurs, ce sont des êtres humains qui ont tout perdu. Nous devons leur offrir un refuge, leur permettre de reconstruire leur vie. La Côte d'Assad a toujours été un phare d'espoir pour les opprimés. Nous devons montrer au monde que notre grandeur ne réside pas seulement dans notre puissance économique, mais dans notre capacité à faire preuve d'humanité et de compassion."


El-Farouki a également appelé le gouvernement à mettre en place des programmes d'accueil et de soutien pour faciliter leur insertion dans la société assadienne. Son discours, bien que salué par les défenseurs des droits de l'homme, a étais salué de critiques de la part des conservateurs qui l'accusent de naïveté.


Si les débats politiques reflètent les divisions au sein de l'élite assadienne, la population elle-même est partagée sur la question des réfugiés. Dans les grandes villes comme Isdam et Djibari, des manifestations pro et anti-réfugiés ont eu lieu.

Malgré les divisions, de nombreuses initiatives citoyennes ont émergé pour venir en aide aux réfugiés. Des associations locales se sont mobilisées pour collecter des fonds, des vêtements, et des denrées alimentaires pour les nouveaux arrivants. Cela reste bien sur simple étant donné qu'il parle une deuxième langue appelé l'Arsh et son lié par l'arabe donc une intégration plus facile.

Fatima Soudani, une enseignante d'Isdam, est l'une des nombreuses personnes qui ont choisi de s'engager :

"Je ne pouvais pas rester les bras croisés en voyant ces familles arriver avec si peu. Ce sont des mères, des pères, des enfants qui ont besoin de notre aide. J'ai décidé de les accueillir chez moi et de leur apprendre l'Arshad pour qu'ils puissent communiquer et trouver un emploi plus facilement. C'est notre devoir en tant qu'êtres humains."

Dans d'autres parties du pays, notamment dans les régions rurales et les banlieues défavorisées, l'arrivée des réfugiés est perçue avec une méfiance croissante. Les craintes d'une surcharge des services publics, d'une augmentation du chômage, et d'une montée de l'insécurité sont souvent évoquées par ceux qui s'opposent à l'accueil des réfugiés.

Ibrahim Darfour, un agriculteur de la ville de Toumbo, exprime ses préoccupations :

"Nous avons déjà du mal à joindre les deux bouts, et maintenant on nous demande de partager ce que nous avons avec des étrangers ? Je comprends qu'ils sont dans le besoin, mais nous aussi. Le gouvernement devrait d'abord s'occuper de nous avant d'accueillir des réfugiés. C'est injuste."


Malgré les défis, certains secteurs économiques voient dans l'afflux des réfugiés une opportunité de croissance. L'arrivée massive de nouveaux habitants a stimulé la demande dans plusieurs domaines.

Goulem, un agent immobilier basé à Hantor, une banlieue d'Isdam, a vu son activité exploser depuis le début de la crise. Alors que cette banlieue était auparavant peu attractive, l'arrivée des réfugiés diambéens a changé la donne.

"J'ai commencé à recevoir des appels de réfugiés diambéens dès que la situation a commencé à se dégrader chez eux. Beaucoup cherchent à acheter ou louer des appartements à Hantor, car c'est une des rares zones où les logements sont encore abordables. Le gouvernement m'a même accordé des aides pour baisser les prix et faciliter leur installation. C'est une situation gagnant-gagnant pour tout le monde."

En quelques mois, Goulem a vendu plus de biens immobiliers qu'il ne l'avait fait au cours des trois dernières années. L'afflux de réfugiés a non seulement dynamisé le marché local, mais a également transformé Hantor en un nouveau centre d'activités, attirant d'autres investisseurs.


Karima, une entrepreneuse dans le secteur de la restauration, a également vu son entreprise prospérer grâce à la crise. Avec l'augmentation soudaine de la population dans les zones urbaines, la demande pour des services de restauration a considérablement augmenté.

"J'ai ouvert deux nouveaux restaurants à Isdam pour répondre à la demande croissante. Beaucoup de réfugiés préfèrent des plats qui leur rappellent leur pays d'origine, alors j'ai adapté mon menu pour inclure des spécialités diambéennes. C'est un succès. Non seulement j'ai pu embaucher plus de personnel, mais mes ventes ont doublé en l'espace de quelques mois."

L'entreprise de Karima est devenue un modèle de réussite.


Salim Finance, une entreprise de microcrédit, a également profité de l'afflux des réfugiés. Avec de nombreux diambéens cherchant à démarrer une nouvelle vie en Côte d'Assad, la demande de prêts pour lancer de petites entreprises ou acheter des biens de première nécessité a augmenté.

"Nous avons mis en place des programmes de microcrédit spécifiquement destinés aux réfugiés, avec des conditions de remboursement flexibles. Cela leur permet de s'établir plus rapidement et de contribuer à l'économie locale. Nous avons déjà accordé des centaines de prêts, et la demande ne cesse de croître."


Ibrahim, qui dirigeait une petite entreprise de transport, a vu ses activités chamboulées par la crise. Ses véhicules, qui étaient principalement utilisés pour le transport de marchandises locales, ont été réquisitionnés par le gouvernement pour aider à l'évacuation des réfugiés et à leur relocalisation.

"Je comprends l'urgence de la situation, mais cela a été un coup dur pour mon entreprise. Nous avons perdu plusieurs contrats importants, et j'ai dû licencier des employés. Je ne sais pas comment nous allons nous remettre de ça."

La réquisition de ses véhicules a laissé Ibrahim avec peu d'options pour continuer ses activités.

Aïcha, qui tient une petite épicerie dans la banlieue de Djibari, a vu sa clientèle locale diminuer au fil des mois. Avec l'arrivée des réfugiés, de nombreux habitants de la banlieue ont décidé de déménager vers des zones plus centrales, craignant pour leur sécurité et la disponibilité des services.

"J'ai perdu presque la moitié de ma clientèle habituelle. Les réfugiés n'ont pas encore les moyens de consommer comme les habitants locaux, et je me retrouve avec des produits invendus. Si la situation continue, je vais devoir fermer boutique."


Des milliers de manifestants se sont rassemblés devant le siège de l'Union Absolue d'Afarée (UAA) à Isdam, pour exprimer leur mécontentement face à l'arrivée des réfugiés diambéens. Ce qui avait commencé comme une manifestation pacifique s'est rapidement transformé en émeute, lorsque des groupes de manifestants ont tenté de pénétrer de force dans le bâtiment. Des affrontements violents avec les forces de l'ordre ont éclaté, faisant plusieurs blessés et entraînant des dizaines d'arrestations.

Au milieu du chaos, des pancartes brandies par les manifestants exprimaient des messages de colère et de rejet, révélant l'ampleur du ressentiment envers l'UAA et la gestion de la crise par les autorités. Parmi les slogans les plus visibles, on pouvait lire :

"Quitter l'UAA maintenant !"
"L'UAA dehors !"
"Non à l'invasion diambéenne !"
"Notre pays avant tout !"
"Assez de tolérance, protégez nos frontières !"
"Renvoyez-les chez eux !"


En fin de compte, la question de l'accueil des réfugiés diambéens n'est pas seulement une question de logistique ou d'économie, mais une épreuve de résilience pour l'âme même de la Côte d'Assad.


Le Lion - Journal Assadien
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journal

Affrontement Politique
Zainab El-Farouki et Bounoujou Zahija Dévoilent leurs Visions pour la Crise Diambéenne.

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Siège du journal "Le lion" en rénovation

La crise des réfugiés diambéens a bouleversé le paysage politique en Côte d'Assad. Alors que des milliers de réfugiés cherchent refuge sur le sol assadien, les réponses des partis politiques nationaux se dessinent clairement. Aujourd'hui, "Le Lion" vous propose un débat exclusif entre Zainab El-Farouki, présidente de la Coalition Progressiste, et Bounoujou Zahija, président du Front de la Renaissance. Leur confrontation sur la crise diambéenne et leurs projets politiques futurs nous éclaire sur les choix qui s'offrent aux électeurs.

Le débat

Modérateur :

"Bonjour à vous deux. Commençons par une question directe : quelles sont vos premières mesures à prendre face à la crise actuelle des réfugiés diambéens ?"

Zainab El-Farouki :

"Merci. La crise diambéenne est une situation d'urgence humanitaire. Dès mon arrivée en tant que Chancelière, je mettrai en œuvre une série de mesures pour répondre à cette crise. Nous commencerons par renforcer nos infrastructures d'accueil, en assurant des conditions de vie décentes pour les réfugiés. Cela inclura des centres d'accueil temporaires équipés pour répondre à leurs besoins immédiats. Nous lancerons également des programmes d'intégration axés sur l'éducation, la formation professionnelle, et l'accès à l'emploi. Il est crucial que les réfugiés puissent contribuer positivement à notre société. En outre, nous travaillerons avec les ONG et les organisations internationales pour fournir une aide humanitaire continue et coordonnée."

Modérateur :

"Monsieur Zahija, quelle est votre approche pour gérer cette crise ?"

Bounoujou Zahija :

"Je crois que nous devons aborder cette crise avec une approche mesurée et pragmatique. En tant que président du Front de la Renaissance, je propose de mettre en place des contrôles renforcés à nos frontières pour réguler l'immigration. Nous devons garantir que seuls les réfugiés réellement vulnérables et éligibles bénéficient de l'asile. Je préconise également la création de centres d'accueil avec des protocoles de sécurité stricts, où chaque demandeur d'asile sera évalué avant d'être admis dans le pays. Parallèlement, nous renforcerons la sécurité publique pour assurer que les communautés locales ne se sentent pas menacées par l'afflux massif de réfugiés. Notre objectif est de protéger les intérêts des citoyens tout en traitant cette crise de manière ordonnée."

Modérateur :

"Il semble que vos approches soient très différentes. Parlons maintenant de l'intégration des réfugiés. Madame El-Farouki, comment prévoyez-vous de faciliter leur intégration dans la société assadienne ?"

Zainab El-Farouki :

"Pour une intégration réussie, il est essentiel de créer des opportunités d'engagement actif pour les réfugiés. Nous lancerons des initiatives pour les aider à apprendre notre langue et à comprendre notre culture. Les programmes de formation professionnelle seront conçus en collaboration avec des entreprises locales pour faciliter leur insertion dans le marché du travail. En outre, nous mettrons en place des services de soutien psychosocial pour les aider à surmonter les traumatismes liés à leur exil. L'intégration est un processus bidirectionnel qui nécessite un effort de la part de la communauté d'accueil ainsi que des réfugiés eux-mêmes. Nous devons nous engager à bâtir des ponts et à promouvoir la compréhension mutuelle."

Modérateur :

"Monsieur Zahija, quelles sont vos préoccupations concernant l'intégration des réfugiés et comment proposez-vous de les aborder ?"

Bounoujou Zahija :

"Mes préoccupations principales concernent la capacité de notre pays à gérer l'afflux soudain de réfugiés sans compromettre la stabilité sociale et économique. Pour l'intégration, nous devons être prudents et garantir que les réfugiés ne créent pas de pression excessive sur nos systèmes sociaux et économiques. Nous proposerons des programmes de réinsertion qui incluent des évaluations rigoureuses et des périodes de probation. Les réfugiés devront démontrer leur volonté de contribuer positivement à la société et de respecter nos lois. Il est aussi crucial de s'assurer que les ressources destinées à leur intégration n'entravent pas les besoins des citoyens locaux."

Modérateur :

"Nous entendons souvent des critiques sur les politiques d'asile et leur impact sur les services publics. Quelle est votre position sur ce sujet, Madame El-Farouki ?"

Zainab El-Farouki :

"Il est vrai que l'accueil des réfugiés peut mettre une pression supplémentaire sur les services publics. Cependant, il est possible de gérer cette pression par une planification minutieuse et une allocation efficace des ressources. Nous devrons investir dans la construction et la rénovation de logements sociaux pour répondre à la demande accrue. De plus, en intégrant les réfugiés dans le marché du travail, nous pouvons créer une situation gagnant-gagnant, où les réfugiés contribuent économiquement tout en recevant le soutien nécessaire. Notre approche sera fondée sur l'équité et l'efficacité pour équilibrer les besoins des réfugiés et des citoyens."

Modérateur :

"Et vous, Monsieur Zahija ? Comment comptez-vous gérer les coûts et les défis liés aux services publics en cas de crise prolongée ?"

Bounoujou Zahija :

"Nous devons aborder cette question avec une perspective pragmatique. Je propose d'instaurer un système de gestion des ressources qui priorise les besoins essentiels des citoyens tout en traitant les demandes des réfugiés de manière contrôlée. Il est important de mettre en place des mesures de restriction pour éviter une surcharge des services publics. Nous devrons également renforcer la coopération avec les collectivités locales pour garantir que les infrastructures et les services sont utilisés de manière optimale. La priorité sera de maintenir l'équilibre et la stabilité tout en apportant l'aide nécessaire."

Modérateur :

"Pour conclure, pouvez-vous chacun donner un aperçu de vos priorités en matière de politique étrangère si vous êtes élu(e) Chancelier(e), en lien avec la gestion de la crise diambéenne ?"

Zainab El-Farouki :

"Sur le plan international, nous continuerons à œuvrer pour des solutions globales qui impliquent une coopération avec les autres nations pour résoudre la crise des réfugiés. Je soutiendrai des initiatives diplomatiques pour obtenir un soutien international accru et encourager des politiques de répartition des réfugiés plus équilibrées. Il est essentiel que nous travaillions avec nos partenaires internationaux pour créer un réseau de solidarité et de soutien. Nous devons également renforcer notre engagement envers les droits humains et les principes de justice sociale sur la scène mondiale."

Bounoujou Zahija :

"En matière de politique étrangère, nous veillerons à protéger nos intérêts nationaux tout en collaborant avec les partenaires internationaux. Je mettrai l'accent sur des accords bilatéraux et multilatéraux qui garantissent la sécurité et la stabilité. Nous devons être stratégiques dans notre engagement avec les autres nations pour éviter d'être submergés par les défis liés aux réfugiés. La diplomatie doit être utilisée pour négocier des solutions qui protègent notre pays tout en contribuant de manière responsable aux efforts internationaux."

Modérateur :

"Merci infiniment à nos deux invités, Zainab El-Farouki et Bounoujou Zahija, pour cette discussion approfondie et engagée. Nous avons eu l'occasion de découvrir des visions contrastées sur l’accueil des réfugiés diambéens, la gestion de l'immigration et les implications pour notre pays. À nos lecteurs, merci pour votre attention, et nous vous donnons rendez-vous pour d’autres discussions et analyses dans nos prochaines éditions."
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Épidémie silencieuse
L’étrange virus Ezdola trouvé dans certaines fontaines.

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Bidonville de Salemoisy

Depuis plusieurs semaines, un nom mystérieux hante les conversations dans les hôpitaux surpeuplés de la Côte d'Assad : Ezdola. Ce virus, longtemps resté discret, s'est soudainement transformé en une menace réelle, particulièrement dans les bidonvilles. Ce qui était autrefois une simple infection présente dans les eaux usées semble aujourd'hui avoir muté. Il devient de plus en plus fort, selon certains. Ezdola provoque des boutons sur tout le corps, une sévère toux et un besoin d’eau extrême. Étant donné qu’il se trouve dans les eaux très usées, ceux qui habitent dans les bidonvilles, bien qu'ils soient contaminés par Ezdola sans le savoir, continuent à boire l’eau usée car ils avaient toujours soif sans savoir qu’ils nourrissaient ainsi la maladie. Mais cette fois-ci, le virus se serait retrouvé, selon Monkelt (l’entreprise responsable de 90 % de la filtration de l’eau en Côte d’Assad), dans les fontaines, voire dans les robinets de certains domiciles. Les raisons, selon l’entreprise, seraient une « attaque par des individus masqués », ce qui n’a pas convaincu la police. Ils ont donc fait appel à la justice.

De plus, les scientifiques connaissent l'existence d'Ezdola depuis des années, mais ce virus, en grande partie contracté via l’eau contaminée des quartiers les plus pauvres, n’a jamais attiré d’attention particulière. "On l'a toujours considéré comme une maladie bénigne, un problème localisé aux bidonvilles", explique le docteur Malik Dioponé, épidémiologiste à l'Université de la Côte d'Assad. Cependant, l’infection a muté, prenant une forme beaucoup plus agressive et touchant désormais des centaines de personnes. "Les conditions d’hygiène catastrophiques de certaines zones urbaines ont certainement accéléré la mutation du virus", poursuit-il.

Le virus a rapidement été surnommé "le virus des pauvres" par les médias locaux, car il s’attaque surtout aux habitants des bidonvilles, là où les infrastructures sanitaires sont déplorables et où l’accès à l’eau potable est un luxe. "On savait que cela pouvait arriver. Les conditions étaient réunies, mais nous avons fermé les yeux", confesse un responsable sanitaire sous couvert d'anonymat. Pour certaines associations, c’est la goutte de trop. Depuis plusieurs années, le gouvernement était au courant, mais il a laissé le virus se développer. « Ils le savaient, ils voulaient juste en finir et vider les bidonvilles », affirme Aliah, une bénévole.

Le virus ne se limite plus à causer des fièvres bénignes et des diarrhées comme dans le passé. Désormais, il provoque des insuffisances respiratoires sévères et des complications cardiaques. "Les symptômes sont plus graves qu'avant. Nous observons une détérioration rapide des fonctions vitales", précise Dr. Sarah Aboulaye, médecin urgentiste dans l’un des plus grands hôpitaux de la région.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes : en seulement un mois, on compte plus de 2 000 cas confirmés et plus de 300 décès. Le virus semble particulièrement agressif chez les enfants et les personnes âgées, dont les défenses immunitaires sont déjà affaiblies par la malnutrition et les conditions de vie insalubres.
Dans les bidonvilles, la peur grandit. "Nous avons peur de boire l'eau. Elle est notre seule source mais aussi notre cauchemar", raconte Amina, mère de trois enfants. "Chaque jour, je prie pour que mes enfants n'attrapent pas ce virus. Je les vois tomber malades les uns après les autres dans notre quartier. C’est un enfer."
Les habitants se sentent abandonnés. "Personne ne vient nous aider. Ils savent que l’eau est contaminée, mais aucune action concrète n’a été prise. Nous sommes livrés à nous-mêmes", se désole Youssouf, un jeune père qui a récemment perdu sa fille à cause du virus.

Alors que l'épidémie d'Ezdola prend de l'ampleur, les scientifiques se divisent quant à la gestion de la crise. Certains affirment que les autorités sanitaires auraient dû intervenir plus tôt. "Le virus a muté, et cela aurait pu être anticipé", affirme le virologue Dr. Hamidou Konat. "Nous connaissions les risques, mais il n’y a eu aucune volonté politique de résoudre les problèmes d’assainissement."

D’autres, cependant, estiment que l’épidémie était imprévisible. "Les mutations virales sont difficiles à anticiper. Ce n'est pas une simple question de négligence. C’est une situation complexe qui dépasse les seules frontières de la Côte d'Assad", déclare le professeur Bakary Syn, spécialiste des maladies infectieuses tropicales.

Cette fois-ci, l’épidémie causera peut-être plus de morts car elle est présente dans nos eaux. La situation se détériore, et plusieurs centres commerciaux ont été vidés de leurs bouteilles d’eau. Une pénurie de bouteilles a même commencé, le prix à l’unité est passé de 0,17 Ass à 1,98 Ass. Dans certaines enseignes, on observe désormais une hausse de 3 à 4 Ass. Le roi Ibrahim VI devrait communiquer ce soir sur les nouvelles restrictions.
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Effondrement économique en Côte d'Assad
Entre dettes, inflation et effondrement de la bourse.

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Crise Assadienne

Il n’aura fallu que peu de temps pour que l’économie assadienne, déjà fragile, sombre dans une crise sans précédent. Enchaînée par des dettes colossales envers des puissances étrangères comme le Wanmiri et l’Empire de Rasken, avoisinant les 20 millions d’Ass, le pays fait également face à d’importants engagements financiers avec des entreprises locales. Parmi elles, TRCA, chargée des infrastructures ferroviaires, ou encore plusieurs sociétés impliquées dans des projets ambitieux, comme la construction de laboratoires spatiaux qui avait pour but à propulser la Côte d'Assad dans l'ère spatiale. D’après plusieurs économistes, l’économie assadienne est en proie à une sévère inflation, atteignant des niveaux critiques. Mais la Côte d'Assad n’est pas seule à souffrir : ses partenaires de l'Union Absolue d'Afarée (UAA) sont également frappés de plein fouet par cette crise.

Il y a quelques années, la Côte d'Assad a contracté un emprunt massif auprès de la Grande Banque Assadienne pour créer une nouvelle monnaie destinée à stabiliser l'économie. Ce projet de relance n’a pourtant jamais vu le jour, et l'argent emprunté semble avoir disparu. La monnaie attendue, censée redorer le blason économique du pays n’a jamais vu le jour.

Pendant ce temps, l’AFF, la monnaie de l’UAA, a été frappée par des scandales de blanchiment d'argent à grande échelle, orchestrés par des gangs criminels ayant tiré profit d’un accord anti-frontières entre les membres de l’UAA. Le résultat : une dévaluation sans précédent de la monnaie, amplifiant encore l'inflation et alimentant une crise de confiance dans tout le bloc économique.

Le coup de grâce et l’effondrement de la bourse Lyk-20. La principale place financière du pays. Une grande partie des fonds publics et privés étaient investis dans cette bourse, qui s'est écroulée. La perte de confiance des investisseurs, l’instabilité de la monnaie, et les dettes accumulées à un rythme effréné ce qui aurait conduit à certains à précipité les fonds qui seront très vite perdu.

Les répercussions pour les citoyens de la Côte d’Assad sont dévastatrices. Les prix des biens de consommation courante ont explosé, tandis que les salaires stagnent, ne suivant pas l'inflation galopante. Le prix des denrées alimentaires de base a presque triplé en quelques semaines. Avec l’arrivé d’Ezdola, cela n’avance pas et la situation et entrain d’empirée. Dans les grandes villes, les manifestations se multiplient. Le Roi, devrais aussi s’exprimer sur cela d’ici ce soir avec l’arrivée d’Ezdola.
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