11/05/2017
16:05:39
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[Sylva-Drovolski] Des minerais, du nucléaire et de l'agriculture - Page 2

Marguerite : Excusez-moi, j'ai fait plusieurs erreurs de formulation qui ont porté à confusion. Déjà, j'ai mentionné des réacteurs magnétoplasmiques, mais il s'agit en réacteur magnétohydroliques. Les températures requises sont donc bien inférieures et très éloignées des limites mentionnées.
De même pour le réacteur à cœur gazeux, maladresse de ma part à nouveau, mais le terme "vapeur" était plus adapté. Le gaz y est en effet maintenu sous pression pour atteindre la criticité. Mais passons sur ces détails.
En effet, ce sont des sujets en cours d'étude, la conversion directe d'énergie est loin d'être un projet sur le court terme et, quand bien même Sylva n'a pas encore entrepris de travaux sur la fusion, il est fort probable que les deux technologies arrivent à maturité en même temps. La priorité est pour le moment de mettre en place des surgénérateurs.

Les deux invités suivirent ensuite leur hôte vers les échangeurs de chaleur.
Maria répondit :

« Je comprends, je comprends, ce sont des technologies très récentes en cours de développement. Passons. Voici les échangeurs gaz-gaz du réacteur. C'est un composant impressionnant qui utilise la détente du gaz pour forcer le transfert thermique. Le pilotage de l'échangeur permet de contrôler la température du cœur et donc sa réactivité. On voit au-dessus le réseau de contrôle du VAC.

Je pense que nous avons vu les éléments principaux. Avez-vous une question avant que nous entrions dans le laboratoire ? »
Marguerite : "Il n'y a qu'un point qui attire mon attention, est-ce qu'il y a une grande différence entre des échangeurs thermiques liquide-liquide et gaz-gaz ?"

Matilde regardait quant à elle un peu distraitement les alentours. Les deux représentantes suivaient à maintenant leur guide pour aller au laboratoire.
Maria répondit :

"Oui, il y a une grande différence. Les échangeurs gaz-gaz sont beaucoup plus grands et longs, car le transfert thermique entre deux gaz est bien plus mauvais qu'entre deux liquides. C'est donc un élément très complexe à mettre en place. Si vous avez d'autres questions, c'est le moment, sinon nous allons discuter dans les bureaux de ce pourquoi nous nous sommes réunis."
Marguerite hocha de la tête, comme si les affirmations tenaient de l'évidence. Matilde se réveilla quant à elle, heureuse d'enfin aborder les questions diplomatiques pour sortir des cadres purement techniques :

-Aucune interrogation pour ma part, votre exposé fut des plus limpides.
Je suis impatiente d'aborder les points principaux de notre visite. Votre missive avait attiré en bien l'attention du Duché, notamment lorsque nous avons étudié vos avancées sur le nucléaire ou l'exploitation minière. L'industrie du Duché est très gourmande en énergie et en minerais, sachant que nous devons revoir notre parc pour démanteler les centrales thermiques ainsi que préserver nos forêts d'une exploitation abusive des sols. Le Duché compte bien des ressources souterraines, mais nous ne les exploitons qu'avec parcimonie pour ne pas défricher à outrance. Les mines à ciel ouvert nécessitant de raboter de larges volumes sont particulièrement répugnées, mais il en résulte des rendements très faibles nous obligeant à importer.
Bref, vous l'aurez compris, nous serons ravis de nous entendre sur ces questions. Et nous serons réciproquement heureux de faire de même sur l'approvisionnement en produits agricoles, mais pas que. Comme dit, Sylva a une industrie active et elle pourrait également servir à approvisionner le Drovolski en appareils de pointe, en dehors du nucléaire bien évidemment.

Tout en parlant, la ministre et sa consœur suivaient leur hôte en direction des bureaux, pour la laisser aborder plus en détail les différents points de cette rencontre.
Arrivée au bureau, Maria ouvrit un rétroprojecteur, quelque chose d'un peu ancien mais étonnamment bien conçu.

Nous souhaitons avoir des débouchés pour nos produits miniers et exporter du nucléaire. Vous êtes le client idéal. Et nous savons tous ici que mon pays a grand besoin de produits agricoles et manufacturiers, par exemple en raison des retards technologiques et des intoxications alimentaires répétées.

Le LHV est prêt à construire une paire de réacteurs Mesol-1900 tous les 5 ans sur votre territoire et à assurer un approvisionnement efficace en ressources minières. En échange, nous vous demanderons de respecter le traité de partage technologique, notamment pour les produits agricoles, animaux et, possiblement, si vous en disposez, des composants informatiques et des médicaments. Notre économie ne s'étant développée que dans le nucléaire, les mines et la chimie, certains secteurs, bien qu'essentiels, ont été ignorés, conduisant souvent la population à la faim et à la maladie.

Votre industrie pourrait également nous fournir des moteurs électriques performants. En effet, les nôtres, d'un âge passé, ne parviennent pas à pousser nos trolleybus au-dessus de 50 km/h, ce qui est lamentable quand on sait que beaucoup de pays dépassent les 250 km/h.

Pouvez-vous nous indiquer les minéraux dont vous avez le plus besoin pour vérifier les stocks ?
C'est cette fois-ci Marguerite qui fut mise en second plan pour laisser Matilde parler. Et il y avait beaucoup à dire pour concilier les politiques technologiques du Drovolski, aux méthodes protectionnistes du Duché :

"Bien, il y a deux points en particulier qui vont obliger Sylva à reconduire cette proposition pour se tourner vers une alternative. La première est que nous tenons à éviter une multiplication des modèles de centrales nucléaires par souci de standardisation, et nous en comptons déjà presque trois : les centrales à eau pressurisée actuellement employée, un modèle au fonctionnement semblable, mais de facture raskenoise, et enfin un prototype en cours de travaux à neutrons rapides au sodium. Les réacteurs Mesol-1900 sont sincèrement admirables, mais le Duché serait davantage favorable à éviter d'implanter dans notre parc un nouveau dispositif, avec toutes les complications logistiques et industrielles. Le Mesol-1900 fonctionne sur des bases bien trop différentes de ce que nous faisons présentement pour s'intégrer harmonieusement.

Et là, nous arrivons au second point, à savoir la doctrine souverainiste. L'Empire Raskenois peut déjà témoigner des exigences sylvoises sur le sujet, et elles ne pourraient en l'état être concilié avec la politique du Drovolski notamment sur la question des brevets. L'objectif n'est pas de déléguer l'édification et l'opération de centrales à une puissance étrangère, d'autant plus quand nos échanges sont encore précoces, c'est un secteur bien trop stratégique pour se permettre ce genre de légèreté.
C'est dans ce sens que le Duché s'oriente vers une alternative plus équilibrée, non pas en sous-traitant la construction de réacteurs Mesol-1900 au Drovolski, mais en développant conjointement avec lui les versions finales du RNR qui remplacera les générations actuelles de réacteurs sylvois.
Que ce soit dans l'emploi du sodium comme caloporteur ou la gestion d'un réacteur à neutron rapide et de la surgénération voulue, nous avons encore beaucoup à apprendre et pourrions obtenir l'expertise requise auprès de Drovolski, mais cela devra se faire en accordant à Sylva le contrôle et l'autonomie sur son parc, avec la mise en place de technologie que nous maitriserons. Pourrons-nous nous entendre sur des conditions telles ?

Pour ce qui est de ce que l'industrie sylvoise pourrait fournir au marché de Drovolski, vous avez vu juste dans l'ensemble : outillage industriel moderne, composants informatiques et alliages de pointes, mais également des produits de consommation dans le domaine du multimédia ou de l'alimentation, il y a un large panel d'éléments que nous pourrons commercer avec vous.
Et réciproquement, les industries sylvoises seront, comme je l'ai dit précédemment, friandes de métaux stratégiques et terres rares. Les additifs en particulier employés dans les superalliages comme le cobalt, nickel, chrome, hafnium, tantale, vanadium, iridium et autre sont notablement appréciés. Tout ce qui concerne l'électronique aussi qui, à l'exception de l'or, connaissent des besoins grandissants. Enfin, l'or aussi connait est consommé de façon croissante, mais nous en maîtrisons les besoins là où, par exemple, ce n'est pas le cas du silicium, béryllium ou gallium par exemple.

Pour ces échanges-là, une mise en relation de nos marchés, des taxes douanières mesurées, éventuellement doublées de quota pour éviter les bouleversements, et quelques instances de planification et coordination, sauraient selon moi suffire pour assurer nos besoins et carnets de commandes.
La Bourse Minière de Sylva est déjà un outil existant spécifiquement destinée à répondre à ces besoins sur la question minière.
Je comprends, et à vrai dire, je vous ai un peu provoqué pour connaître vos intentions réelles. Nous savons bien que Sylva est proactif dans la gestion de sa souveraineté. Le LHV comprend très bien l'importance de la standardisation, le LHV s'est déjà uni à plusieurs projets avec Apex Energy dans le cadre de la construction de réacteurs à l'étranger. Je vous propose en conséquence d'unir nos trois technologies. En effet, Apex développe actuellement des RNR au sodium mais n'est qu'en phase de conception, le Laboratoire Henri Ventafalle est, lui, en avance sur la surgénération mais avec le gaz, et vous êtes prêts à l'industrialiser, ce qui n'est ni le cas de l'Empire Raskenois ni des Drovoliens, ayant chacun déjà leurs filières respectives, les RPR et les Mesol.

Par mesure de protection, nous souhaitons faire intervenir le Jurade pour immatriculer la société de sorte à bénéficier d'une protection juridique afin qu'aucun acteur ne puisse voler injustement les travaux du groupe.

Je pense sincèrement que cela peut être profitable pour nous trois et permettrait de fabriquer un réacteur à neutrons rapides de forte puissance, fabricable en série en usine pour construire rapidement un nouveau parc à Sylva et pour Apex et le LHV d'exporter des réacteurs plus facilement.

Nous avons des mines pour l'ensemble des métaux dont vous avez besoin et du silicium. Nous sommes disposés à importer des viandes sans conditions. Pour ce qui est des médicaments et des puces, il nous faudra appliquer des normes de Drovolski, car nos systèmes informatiques utilisent des jeux d'instructions plutôt particuliers.
"Je me permets de rectifier quelqu'un point, intervint cette fois-ci Marguerite. Le prototype de RNR au sodium sylvois présente des résultats encourageants, mais n'est pas encore prêt pour l'industrialisation. Nous avons encore certaines avancées à atteindre pour maitriser le dispositif et espérer une industrialisation rentable, mais nous sommes sur la bonne voie et cette collaboration a pour objectif d'atteindre ces résultats."

Puis reprit Matilde :

"Au-delà de cette question, il y a quelques points qui méritent clarification, notamment sur la question du Jurade. Nous vous rejoignons sur la nécessité de bien clarifier et sécuriser les intérêts de chacun et les dispositions de notre entente, mais sommes quelque peu méfiant vis-à-vis de l'implication d'une nation tierce. Sylva n'est pas familière avec le Jurade de Saint-Julian et, au-delà des préjugés, n'est pas enchanté à y implanter le siège de notre collaboration. Est-ce qu'il y a des questions juridiques ou fiscales qui nécessiteraient selon vous une intervention d'un acteur tiers et ne sauraient être résolues par une entente entre nos nations ? C'est un point de détail, mais le Duché n'est en l'état pas disposé à approuver une telle décision sans davantage d'argumentation. Sylva ne souhaite pas baser une collaboration aussi stratégique dans ce qui est reconnu comme un paradis fiscal, notamment quand l'une des justifications concerne la fiscalité.

Nous pouvons déjà commencer par énumérer les objectifs de chacun. Je note déjà la volonté de Drovolski de sécuriser les acquis technologiques. Sylva vous rejoint sur ce point. Nous entendre sur la gestion des brevets et des partenariats qui les impliqueront est capital pour éviter les litiges.

Pour le reste, nous vous rejoignons sur l'ensemble des points. Nous avons toutes les raisons d'atteindre nos objectifs, il suffira juste de nous accorder sur l'organisation."
"Il y a méprise, nous nous sommes mal compris. J'ai évoqué les RNR d'Apex et non ceux de Sylva. Le LHV souhaite travailler sur la conception du nouveau RNR de forte puissance directement au laboratoire, avec la participation des autres acteurs, afin de bénéficier de notre avance dans la surgénération. Nous désirons conserver nos brevets. Cependant, nous sommes prêts à fournir une licence gratuite à nos partenaires pour leur permettre de construire leurs parcs sans redevance au LHV. Nous pensons qu'Apex, ayant une expertise avancée dans la construction rapide et économique, pourrait apporter son savoir-faire et être un atout majeur pour exporter des cœurs à l'étranger. Nationalement, Sylva et Drovolski conserveront leur pleine maîtrise de l'industrie respective. En d'autres termes, nationalement chacun est maître, mais à l'exportation, chacun contribue selon ses meilleures capacités.

Pour dissiper toute confusion, je n'ai pas affirmé que vos RNR étaient industrialisables, mais que c'est l'objectif que nous visons dans cette collaboration : industrialiser un RNR de forte puissance impliquant trois grands groupes industriels du nucléaire, afin de constituer un parc pour vous et de permettre des exportations. Comme mentionné précédemment, Apex et le LHV ont déjà leurs propres filières.

Le Jurade a été choisi car il est un partenaire déjà contacté par le passé pour l'immatriculation de co-entreprises avec Apex. Nous pouvons en changer."
"Bien, je comprends déjà un peu mieux. Veuillez excuser ma mécompréhension précédente. Concernant le partenariat avec la Jurade, Sylva a des réticences par rapport au pays lui-même et à sa réputation, mais aussi et surtout à la simple idée de recourir à un pays tiers pour une immatriculation. Pouvez-vous expliciter les raisons précises de la nécessité d'immatriculer une cosociété auprès d'un acteur tierce plutôt que directement auprès de nos nations ? Est-ce par souci de neutralité ?

Concernant le partage des tâches que vous proposez, ils sont davantage compris. Certes, il est pertinent d'allouer plus de responsabilités à Apex pour la production, et à Drovolski pour la conception en vue de vos acquis respectifs, mais Sylva insistera malgré tout pour contribuer à cette phase dans une même mesure, au moins à 25%. Et réciproquement, nous ne sommes pas opposés à partager la fonction de pilote, au contraire.
Quand bien même nous ne parlons là que de l'exportation que pourrait opérer notre collaboration, c'est un critère majeur pour le Pôle Nucléaire de pouvoir s'impliquer à chaque échelon."
À la bonne heure, ce pourrait être le jeu suivant :

Conception : 50% LHV, 25% Apex, 25% Sylva (Réalisé au LHV)
Construction : 50% Apex, 30% Sylva, 20% LHV (Réalisé sur le territoire Sylvien)
Pilotage : 55% Sylva, 40% Apex, 5% LHV

La société recevrait des licences pour exploiter les brevets des différentes sociétés constitutives. En conséquence, Drovolski souhaite qu'elle ne puisse pas être nationalisée par une des parties prenantes, ce qui devient impossible en immatriculant l'entreprise dans un autre pays comme le Jurade. Nous sommes disposés à permettre, avec tout notre appui, une exportation simplifiée des technologies que nous aurons développées, un sujet important pour mon pays qui vit pour le nucléaire.
" — Concernant le partage des responsabilités, Sylva l'approuve. Nous restons ouverts à une certaine marge de manœuvre si Apex, qui n'est après tout pas présent dans les négociations actuelles, souhaite à terme l'ajuster. Mais de façon générale, il contente nos intérêts. Seul un point nous surprend, c'est que chaque tâche se fasse intégralement dans un pays. Rien n'empêche en soi de diviser lesdites tâches géographiquement, justement pour mettre à profit laboratoires et usines déjà existantes.
Pour en revenir à la crainte de la nationalisation, j'ai plusieurs éléments à faire valoir.
Déjà, immatriculée en Jurade ou dans un des pays de la coentreprise, il sera toujours possible pour n'importe quel pays de nationaliser les actifs matériels localisé chez lui. Les bâtiments, machines et laboratoire en Sylva ne seront pas soudainement protégés pour autant d'une saisie gouvernementale. Et réciproquement, certains éléments tels que les infrastructures hors de Sylva, ainsi que les capitaux immatériels tel que les brevets monopolisés par un autre parti, seront impossibles de saisie par le Duché.

On constate dès lors que ce qui est vulnérable à une nationalisation le restera même en jouant sur l'immatriculation, et ce qui ne l'est pas ne sera pas davantage protégé par cette mesure.

C'est pourquoi le Duché ne voit aucune raison d'approuver l'implication d'un paradis fiscal, mais, proposera en contrepartie son engagement formalisée sous contrat qu'elle n'opérera aucune nationalisation. Ledit engagement aura plusieurs garanties :
-Le Duché de Sylva tient à conserver une bonne réputation à l'internationale et à inspirer la confiance, chose qui serait brisée par une rupture non consentie du contrat.
-Nous ne pourrions nationaliser que ce qui se trouve au Duché, ce qui protège fait les investissements d'Apex et du LHV situés ailleurs.
-Mais surtout, une nationalisation bouleverserait tellement l'activité qu'elle ne représenterait aucun intérêt face aux risques de perdre des acquis.

C'est pour toutes ces raisons que nous avons pleinement confiance en Drovolski et Apex pour ne pas opérer de telle mesure délétère (à savoir, une nationalisation unilatérale)."
Mathilde, Votre positionnement stratégique nous comble. Si ce point doit maintenant être discuté avec Apex, il est crucial d'aborder les sujets de l'importation de minéraux et de l'exportation de produits agricoles.

Notre économie agricole est à bout de souffle. Plusieurs de nos entreprises cherchent à s'implanter dans des pays où elles peuvent produire les aliments dont nous manquons. C'est pourquoi nous vous proposons un échange de minéraux contre des produits agricoles, notamment des produits d'origine animale, avec un taux de parité entre les minéraux et les produits agricoles.

Cette proposition vise à revitaliser notre secteur agricole tout en répondant à vos besoins en ressources minérales.
"Sylva n'a pas une culture particulièrement marquée de l'exportation agricole (en excluant le rhum), mais, elle en a le potentiel et saura répondre à vos besoins s'ils constituent un marché stable. Nous pourrons à terme stimuler notre production au niveau des cultures et élevages pour assurer vos besoins. Hormis des tubercules tels que les ignames, madères et patates douces très adaptés au régime centré sur l'efficience, dirons-nous poliment, que vous mettez en place, nous avons également une large panoplie de fruits sucrés riches en vitamines (manque, goyaves, ananas pour ne citer qu'eux) ainsi que toutes sortes d'élevages possibles (lamas ou tapirs pour avoir des animaux endémiques de Sylva, mais également la possibilité d'exploiter d'autres espèces eurysiennes plus communes comme les poules, cochons ou vaches).
J'aurais toutefois besoin d'une clarification : vous évoquez l'objectif des entreprises du Drovolski de s'implanter à l'étranger. Cherchez-vous conséquemment uniquement à importer des produits agronomiques, ou également à installer en Sylva des entreprises mesolvardes chargées de produits ces denrées ?"
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