Opération INAL HALAFI (Exil Sécurisé en Arshad)
À la suite d'une demande du Diambée, formulée par le Chef d'État Moussa Diango et sa Majesté le Roi Ibrahim VI,La Côte d'Assad a entrepris une mission humanitaire inédite : protéger et escorter les musulmans diambéens souhaitant quitter le pays. Baptisée "INAL HALAFI ", cette mission est dirigée par le général Hamberg Aliun, un vétéran des forces armées assadiennes. Le Diambée a sollicité l'aide de la Côte d'Assad pour assurer un exil sécurisé de ses citoyens musulmans.

Le général Hamberg Aliun commande une force expéditionnaire composée de deux bataillons spécialisés. Leur mission principale est d'assurer la sécurité des musulmans diambéens lors de leur transit vers des ports sécurisés, d'où ils seront évacués vers des pays membres de l'UAA. La mission est strictement défensive et humanitaire, sans aucun engagement offensif. Le Diambée enverra aussi des forces avec la Côte d'Assad.
Voici les forces envoyé :
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Bataillon Terrestre de Protection
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Bataillon de reconnaissance
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Objectifs de la Mission
- Les forces XXXXX assureront la sécurité des musulmans diambéens pendant leur transit vers les ports. Les routes seront surveillées par les avions de reconnaissance pour éviter les zones à risque.
- En collaboration avec les ONG, les forces de l’UAA fourniront de l’aide humanitaire sur place. Les soldats et les véhicules assureront le transport de vivres, de médicaments, et offriront une assistance médicale aux exilés.
- Les exilés seront escortés vers des ports où des navires attendent pour les emmener en sécurité vers des pays d'accueil de l'UAA.
Général Hamberg Aliun (dans une tente de commandement mobile, discutant avec ses officiers principaux) :
"Capitaine N'Dour, donnez-moi la situation actuelle. Comment se présentent les routes d'accès aux ports ?"
Capitaine N'Dour (scrutant une carte déployée sur la table) :
"Général, nos unités de reconnaissance aérienne rapportent des mouvements inhabituels près de la zone nord. Les routes principales sont encombrées de réfugiés, mais les avions n'ont détecté aucune menace immédiate. Le port d'embarquement le plus proche semble sécurisé, mais les files d’attente s’allongent, et les civils commencent à paniquer."Général Hamberg Aliun (hochant la tête avec gravité) :
"Très bien, Capitaine. Nous devons nous assurer que les routes restent sûres jusqu'à ce que tous soient embarqués. Major Diouf, votre équipe est prête à intervenir si nécessaire ?"Major Diouf (se tenant droit, regard ferme) :
"Oui, mon général. Nous avons déployé des équipes avec des véhicules tout-terrain pour sécuriser les points d’accès et guider les civils vers le port. Nos hommes sont en position, et les unités de transmission sont prêtes à assurer les communications. Aucun incident ne sera toléré."Général Hamberg Aliun :
"Excellente nouvelle. Nous devons montrer aux civils que nous contrôlons la situation. L’anxiété se lit sur leurs visages, mais nous sommes là pour eux. Capitaine Sarr, des nouvelles des forces aériennes ?"Capitaine Sarr (se levant et ajustant ses lunettes) :
"Général, les avions de reconnaissance continuent leurs patrouilles. Nous avons identifié plusieurs itinéraires alternatifs pour les convois en cas de blocage. Les avions ravitailleurs sont prêts à intervenir si nécessaire, et les pilotes sont sur le qui-vive pour répondre à toute menace."Général Hamberg Aliun (d'un ton ferme) :
"Très bien, restez vigilants. Ces hommes, femmes, et enfants comptent sur nous pour les amener en sécurité. Ne sous-estimez pas l'importance de notre mission. Chaque vie compte, et nous ne pouvons pas échouer. Lieutenant Ba, allez voir comment se passent les préparatifs dans les camps de réfugiés. Nous devons être prêts à gérer l'afflux. Que tout soit prêt d’ici une heure."Lieutenant Ba (se levant pour partir)
"À vos ordres, mon général. Je vais m'assurer que tout est en place."
Général Hamberg Aliun (regardant ses hommes avec détermination) :
"Souvenez-vous de ceci : nous sommes ici pour faire une différence. Chaque pas que nous faisons doit être en faveur de ces civils. C’est notre devoir et notre honneur. Allez, mettons-nous au travail. Que tout le monde soit à son poste dans 30 minutes."Tous les officiers (en chœur) :
"Oui, mon général !"
(Plus tard, sur le terrain près du port)
Capitaine N'Dour (via la radio, communiquant avec le général) :
"Général, nous avons sécurisé le premier groupe. Environ 300 civils en route vers le port. Ils sont épuisés, mais aucun incident à signaler."
Général Hamberg Aliun (répondant à la radio) :
"Bon travail, Capitaine. Assurez-vous qu'ils soient pris en charge dès leur arrivée. Veillez à ce que les ONG soient prêtes à leur fournir nourriture, eau, et soins médicaux immédiatement. Gardez vos hommes alertes, nous devons éviter tout incident."Capitaine N'Dour :
"À vos ordres, Général. Je m’assure que tout se passe sans accroc. Le moral des troupes est bon, nous sommes déterminés à accomplir notre mission."Général Hamberg Aliun :
"Excellent, Capitaine. On continue comme ça. Nous devons faire en sorte que ce soit le début de la fin des souffrances pour ces gens."
Capitaine N'Dour (après une légère pause, le regard fixé sur l'horizon) :
"Il y a quelque chose d'inquiétant, Général. Les réfugiés sont calmes, mais je peux voir la peur dans leurs yeux. Ils sont épuisés, mais ils n’osent pas se reposer, comme s'ils attendaient que quelque chose de terrible arrive à tout moment."Général Hamberg Aliun (d’un ton rassurant) :
"Ils ont traversé l’enfer, Capitaine. Le moindre bruit, la moindre agitation pourrait les ramener à leurs traumatismes. Nos hommes doivent rester visibles, calmes, et surtout prêts à intervenir pour apaiser la moindre tension. Nous devons leur montrer que nous avons la situation sous contrôle."Capitaine N'Dour (hochant la tête) :
"Oui, mon général. Je vais m'assurer que nos soldats patrouillent en petits groupes, en prenant soin de montrer de la compassion et d'interagir avec les réfugiés. Cela pourrait aider à réduire la tension."
Général Hamberg Aliun (avec un sourire approbateur) :
"C'est exactement ce qu'il faut, Capitaine. Que nos hommes sachent qu'ils sont plus que des soldats aujourd'hui. Ils sont des protecteurs, des garants de l'espoir pour ces gens. Une parole gentille, un sourire, cela peut faire toute la différence."
(Un soldat entre dans la tente de commandement, saluant avec une certaine urgence dans la voix)
Soldat :
"Mon général, nous avons un problème. Un groupe de réfugiés semble avoir été séparé du convoi principal. Ils sont à environ deux kilomètres au sud, sur une route secondaire. Des éclaireurs les ont repérés, mais ils sont en mauvaise condition, et il y a des blessés parmi eux."
Général Hamberg Aliun (fronçant les sourcils) :
"Combien de personnes, soldat ?"
Soldat :
"Environ 50, Général. Principalement des femmes et des enfants."
Général Hamberg Aliun (se tournant vers Capitaine N'Dour) :
"Capitaine, prenez une équipe de secours et allez les chercher. Assurez-vous que les médecins soient prêts à intervenir immédiatement. Ces gens ne doivent pas être laissés derrière."
Capitaine N'Dour (se redressant, déterminé) :
"À vos ordres, Général. Nous partons immédiatement."
Général Hamberg Aliun :
"Soyez prudent, Capitaine. Ramenez-les en sécurité."
(Capitaine N'Dour sort de la tente en courant, donnant des ordres rapides à son équipe, qui se prépare en un éclair pour partir en mission de secours)
Général Hamberg Aliun (reprenant la radio) :
"Major Diouf, quelles sont les nouvelles du côté des transports ?"
Major Diouf (via la radio, une légère interférence dans la communication) :
"Général, les premiers autobus sont en place et commencent à embarquer les réfugiés. Cependant, l’afflux est plus important que prévu. Nous allons avoir besoin de renforts pour gérer les foules et éviter les bousculades."
Général Hamberg Aliun (d'un ton calme mais autoritaire) :
"Compris, Major. Je vais envoyer des hommes supplémentaires pour vous épauler. Assurez-vous que tout se passe dans le calme et l'ordre. Pas de précipitation. Chaque personne doit être embarquée en sécurité."(Quelques minutes plus tard, Capitaine Sarr entre dans la tente avec des rapports de la reconnaissance aérienne)
Capitaine Sarr :
"Général, nos avions ont identifié une zone de danger potentiel à l'est. Il semble y avoir une petite milice armée, mais elle reste statique pour l’instant. Ils n'ont pas encore repéré nos forces, mais ils pourraient poser un problème si nous devons évacuer plus de civils par cette route."Général Hamberg Aliun (souriant en coin) :
"Nous allons les surveiller de près, Capitaine. Je ne veux pas d'incident. Si la situation évolue, nous réagirons en conséquence, mais pour l'instant, nous restons focalisés sur la mission : évacuer ces civils. Assurez-vous que les avions continuent de surveiller la zone, et gardez-moi informé."Capitaine Sarr :
"À vos ordres, Général. Nos pilotes sont en alerte maximale."
Général Hamberg Aliun :
"Parfait. Messieurs, nous sommes au cœur de la mission. C’est dans ces moments-là que nous montrons de quoi nous sommes faits. Continuons à faire notre devoir avec honneur et humanité."Général Hamberg Aliun (se tournant vers l'entrée de la tente alors que le général Diambéen TAMANOU Janou entre, un air déterminé sur le visage) :
"Bienvenue, Général Janou. J'espère que le voyage jusqu'ici s'est bien passé."
Général TAMANOU
(général Diambéen) Janou (jetant un regard rapide sur les officiers assadiens avant de se concentrer sur Hamberg Aliun) :
"Merci, Général Hamberg. Le voyage a été sans encombre. Je suis ici pour vous informer que nos forces sont déjà en position pour gérer toute menace potentielle, y compris la milice que vos avions ont repérée à l'est."Général Hamberg Aliun (haussant un sourcil, intrigué) :
"Je vois. Vous avez donc déjà des troupes déployées dans la zone ?"
Général TAMANOU Janou (d'un ton ferme) :
"Absolument. Nos hommes connaissent le terrain, et nous sommes préparés à neutraliser toute menace qui pourrait compromettre l'évacuation. Votre mission est de sécuriser les civils et de les évacuer en toute sécurité. Laissez-nous gérer les milices. C'est notre territoire, et nous savons comment y opérer."Général Hamberg Aliun (approuvant d'un signe de tête) :
"Cela me semble raisonnable. Notre priorité est en effet d'évacuer les civils. Si vos forces peuvent contenir et neutraliser cette milice sans perturber nos opérations, nous vous en serons reconnaissants. Nous allons donc concentrer nos efforts sur l'évacuation et laisser la sécurité extérieure à vos hommes."Général TAMANOU Janou (avec un léger sourire) :
"Exactement, Général. Nous allons faire en sorte que votre mission se déroule sans accroc. Soyez assuré que ces milices ne vous poseront pas de problème. Vous pourrez vous concentrer sur l'embarquement des civils."
Général Hamberg Aliun (tendant la main en signe de respect) :
"Merci, Général Janou. Votre soutien est précieux. Nous coopérerons pour que cette opération soit un succès. Gardons une communication ouverte pour toute évolution de la situation."Général TAMANOU Janou (serrant la main d'Aliun) :
"Nous resterons en contact. Nos forces travailleront en parallèle, chacune se concentrant sur son domaine de compétence. Ensemble, nous réussirons à protéger ces civils."Général Hamberg Aliun :
"C'est tout ce qui compte. À présent, je vais m'assurer que mes hommes sont prêts pour le départ. Nous avons beaucoup de travail devant nous."Général TAMANOU Janou (avec un dernier regard confiant) :
"Bonne chance, Général. Que la mission soit couronnée de succès."
(Le général Diambéen quitte la tente, laissant les officiers assadiens se préparer pour l'évacuation, rassurés par l'accord de coopération. Le général Hamberg Aliun se tourne vers ses hommes avec une expression de détermination renouvelée.)
Général Hamberg Aliun :
"Vous avez entendu le général Janou. Leur rôle est de gérer la milice, et le nôtre est de protéger les civils et de les évacuer. Pas de distractions. Nous devons nous concentrer sur notre mission principale. Capitaine N'Dour, combien de temps avant que nous soyons prêts à bouger ?"Capitaine N'Dour (consultant sa montre) :
"Nous serons prêts à partir dans 10 minutes, Général. Les véhicules sont chargés, et les troupes sont en position."
Général Hamberg Aliun :
"Excellent. Préparez-vous à bouger. Rappelez-vous, chaque seconde compte. Nous ne pouvons pas nous permettre de perdre du temps. Allons-y."(Les officiers acquiescent, et chacun se dirige vers ses responsabilités respectives, prêt à mener à bien l'opération avec la discipline et la détermination nécessaires pour accomplir la mission.)