09/08/2014
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Dans un tournant excitant pour le monde du sport dans notre région, Daniel Sibamboro, figure emblématique du sport au Diambée, a officiellement annoncé sa candidature à la présidence de l'Union des Associations Sportives d'Afarée (UASA). Cet organisme transcontinental, récemment fondé, vise à renforcer les liens entre les nations de notre continent à travers diverses disciplines sportives.

Un homme de passion et d'engagement

Né à Matoulou, Daniel Sibamboro a toujours été passionné par le sport. Athlète accompli dans sa jeunesse, il a représenté le Diambée dans plusieurs compétitions de basketball et d'athlétisme. Mais son engagement ne se limite pas à sa carrière sportive. En tant qu'organisateur d'événements sportifs locaux et bénévole dans des initiatives communautaires, il a toujours cru en la capacité du sport à transformer des vies et à rassembler les gens.

Une vision pour l'UASA

Dans sa déclaration de candidature, Daniel a partagé sa vision pour l’UASA, soulignant l'importance de créer un environnement propice à la coopération et à l’échange entre les nations. "Le sport est un puissant vecteur de changement. En tant que président de l'UASA, je m'engage à créer un espace où chaque nation membre peut s'épanouir, où nos athlètes peuvent exceller et où chacun peut contribuer à un avenir commun fondé sur le respect et la collaboration," a-t-il déclaré.

Daniel a également mis en avant son désir de promouvoir des programmes de développement pour les jeunes athlètes et d'encourager les échanges d'expertise entre les États membres. Selon lui, il est essentiel de s'assurer que l'UASA ne soit pas seulement un organisme de compétition, mais aussi une plateforme d'apprentissage et de partage.

Soutien et engagement

La candidature de Daniel Sibamboro a déjà commencé à susciter un large soutien au sein de la communauté sportive du Diambée. De nombreux athlètes, entraîneurs et dirigeants sportifs expriment leur enthousiasme à l'idée de le voir à la tête de l'UASA. "Daniel a toujours été un leader naturel. Sa passion pour le sport et son engagement envers notre communauté en font le candidat idéal pour cette position," a déclaré l’entraîneur de l'équipe nationale de basketball.

Un avenir prometteur

L’élection du président de l’UASA est prévue pour le 27 février, et la candidature de Daniel Sibamboro pourrait bien marquer un tournant dans l'histoire du sport au Diambée et dans la région. Avec sa détermination et sa vision claire, il espère non seulement promouvoir les valeurs sportives, mais aussi renforcer les liens d’amitié et de coopération entre les nations.

Les citoyens du Diambée sont invités à suivre de près cette élection cruciale et à soutenir leur candidat, qui représente non seulement notre pays, mais aussi l'avenir du sport collectif et inclusif sur le continent.

Conclusion

Daniel Sibamboro se présente comme un véritable champion non seulement des athlètes, mais aussi des valeurs qui unissent notre région. Alors que le compte à rebours vers l'élection commence, tous les regards sont tournés vers le candidat du Diambée, en espérant voir une nouvelle ère de coopération sportive émerger grâce à l'UASA.
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Élections à l'Union Absolue d'Afarée : Présentation des candidats du Diambée

Alors que les élections pour l'Union Absolue d'Afarée (UAA) approchent à grands pas, le Diambée est le théâtre d'une compétition politique intense, avec cinq partis se disputant la représentation de notre région. Voici un aperçu des candidats et de leurs plateformes respectives .

Nous tenons à dire que c’est partie ont été créé seulement pour les élections l’UAA et qu’après ces élections les parties non élus seront dissous par le régime en place ,car les parties politiques ont été aboli après la guerre civile , tous les parties présentes ont été d’abord accepté par le régime pour ne qu’un parti sois élu ayant des idées contraires au régime, le partie de gauche qui va être présenter n’a pas eu l’accord du gouvernement, tous ceux qui votent pour ce parti auront des sanctions d’après le régime :

1. Parti de l'Ordre et de la Sécurité (POS=Partie du régime du Diambée)

Président du parti :Général Kouadio N'Guessan

Vocation pour l’UAA :Le POS vise à établir des partenariats stratégiques axés sur la sécurité régionale et à promouvoir des initiatives communes en matière de lutte contre le terrorisme et la criminalité transfrontalière. Ils souhaitent également encourager les échanges culturels et sportifs entre les nations membres pour renforcer les liens entre les peuples.
Nous encourageons la population Ă  voter pour ce partie

2. Front Nationaliste pour la RĂ©Ă©ducation (FNR)


Président du parti :Djemal Ouedraogo

Vocation pour l’UAA : Le FNR souhaite protéger les intérêts nationaux du Diambée tout en favorisant une coopération sécuritaire renforcée. Ils proposent la création d'un comité de coordination pour les politiques économiques afin de garantir des échanges commerciaux bénéfiques pour tous les États membres, tout en préservant la souveraineté nationale.

3. Union DĂ©mocratique et RĂ©formiste (UDR)

Président du parti :Monsieur Salif Traoré


Vocation pour l’UAA : L'UDR prône un développement inclusif et souhaite établir des partenariats stratégiques pour favoriser le commerce et l'investissement. Cependant, leur approche est parfois jugée trop modérée pour répondre aux défis contemporains de la région.

4. Alliance pour un Avenir Prospère (AAP)

Président du parti :*Monsieur Ibrahim Sow

Vocation pour l’UAA : L'AAP se concentre sur le développement économique et l'innovation technologique, plaidant pour une coopération renforcée entre les États membres pour attirer des investissements étrangers. Ils cherchent à moderniser l'économie du Diambée tout en respectant les valeurs culturelles.

5. Front de la Libération Sociale (FLS) ( parti fortement déconseillé )

Président du parti :Madame Aïssatou Delagui


Vocation pour l’UAA : Le FLS prône des politiques de justice sociale et de redistribution des richesses, mais leur programme est critiqué pour son manque de réalisme. Leur approche radicale pourrait entraîner des divisions au sein de l'UAA et nuire à la compétitivité du Diambée sur la scène internationale. Ceux partis qui a été crée sans l’accord du Leader nous conseillons de ne pas voter pour ce parti sous peine de sanctions car là etre de gauche est un crime et a été l’auteur de la guerre civile


Les élections auront lieu le 21/03 voter bien pour les intérêts du Diambée et pour l’avenir de l’UAA, ces élections sont des élections libres toutes personnes en âge voter peuvent se rendre dans les urnes
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Le Diambée entre dans une nouvelle ère : Proclamation du christianisme comme religion d'État

La décision du régime militaire suscite un soutien sans précédent, mais engendre des tensions avec la communauté musulmane.



Dans un tournant historique, le régime militaire du Diambée, dirigé par le leader Moussa Diango, a récemment annoncé que le pays devient officiellement un État chrétien. Cette décision, marquée par un profond changement de paradigme, a été accueillie avec enthousiasme par une majorité de la population. Cependant, elle a également provoqué des vagues de mécontentement au sein de la communauté musulmane, qui a manifesté dans les rues pour exprimer son désaccord.

Les autorités ont justifié cette décision en soulignant la nécessité de renforcer les valeurs de solidarité et de moralité dans un pays encore marqué par des tensions internes. Selon le régime, l’adoption du christianisme comme religion d'État permettra de créer une société plus unie, fondée sur des principes éthiques solides. Dans un communiqué officiel, le leader Moussa Diango a déclaré : "Nous croyons fermement que l’adoption des valeurs chrétiennes sera bénéfique pour l'ensemble de la nation, favorisant la réconciliation et l'harmonie sociale."

Un soutien populaire massif

D'innombrables citoyens ont salué cette décision comme un acte courageux et nécessaire. Dans les rues de la capitale, des foules se sont réunies pour célébrer cette annonce, brandissant des drapeaux et chantant des hymnes religieux. Les médias locaux rapportent une vague de soutien sans précédent, avec des sondages d'opinion indiquant que près de 93 % des habitants du Diambée se disent favorables à cette transition.

Des leaders d'opinion, y compris des personnalités influentes et des groupes communautaires, ont exprimé leur enthousiasme. "C'est un nouveau départ pour notre pays", a déclaré le Pasteur Louis Tanguy, un leader religieux respecté. "Nous avons besoin de valeurs solides et d'une direction spirituelle pour nous guider vers un avenir meilleur." Les responsables politiques ont également affiché leur soutien, affirmant que cette décision pourrait conduire à une stabilité tant attendue dans le pays.

Tensions avec la communauté musulmane


Cependant, cette proclamation a également suscité des inquiétudes et des protestations au sein de la communauté musulmane. Des milliers de musulmans, vêtus de vêtements traditionnels et brandissant des pancartes, ont manifesté dans les rues de la capitale et d’autre villes, exprimant leur mécontentement face à cette décision unilatérale. "Nous voulons vivre en paix et en harmonie, mais cette proclamation nous exclut", a déclaré un porte-parole de la communauté musulmane. "Nous appelons à la tolérance et au respect des droits de tous les citoyens, indépendamment de leur foi."

Les manifestations sont pacifiques, mais la tension est palpable.Actuellement Les autorités nous rien fait mais ils CENCURE CENCURE CENSURE CENSURE CENSURE CENSURE CENSURE CENSURE CENSURE CENSURE CENSURE CENSURE CENSURE CENSURE , tout en réaffirmant leur engagement à mener le pays dans cette nouvelle direction.



CENSURE


Conclusion

Le Diambée se trouve à un carrefour décisif. La proclamation du christianisme comme religion d'État pourrait être un vecteur de renouveau et de solidarité pour certains .

Que dieu Bénisse le Diambée
Vive le Diambée


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Soutien Écrasant de la Population au Régime Militaire du Diambée : 94 % Approuvent l'Usage de Balles Réelles contre les Manifestants

Dans un contexte de tensions croissantes, le régime militaire du Diambée a pris la décision controversée d'autoriser les forces de l'ordre à utiliser des balles réelles pour disperser les manifestations illégales. Cette mesure, révélée dans un communiqué officiel, a suscité un soutien massif au sein de la population, avec 94 % des citoyens exprimant leur approbation selon un sondage réalisé par un cabinet indépendant.*

Le communiqué du régime, qui souligne la nécessité de rétablir l'ordre et la sécurité face à des manifestations jugées perturbatrices, a été largement salué par la population et par de nombreux journalistes. Les citoyens affirment que cette décision est essentielle pour maintenir la stabilité du pays et prévenir une escalade de la violence.

« La sécurité de notre nation est primordiale. Nous ne pouvons pas permettre que des groupes minoritaires mettent en péril la paix que nous avons durement acquise », a déclaré un porte-parole du régime lors d'une conférence de presse. Beaucoup dans la population partagent ce sentiment, soulignant que la fermeté est nécessaire pour protéger les intérêts de la majorité.

Les manifestations non autorisées, qui ont eu lieu dans plusieurs villes, ont été perçues comme une menace croissante à la sécurité publique. Le régime a réaffirmé que toute tentative de rassemblement serait considérée comme un acte de désobéissance, appelant les citoyens à rester chez eux pour éviter des confrontations avec les forces de l’ordre.

Des journalistes sur le terrain rapportent que l’atmosphère dans les rues du Diambée est tendue mais majoritairement calme depuis l’annonce de la décision. Les citoyens qui soutiennent le régime expriment leur conviction que des mesures strictes sont nécessaires pour garantir un avenir paisible.

« Nous croyons en la nécessité d’une main ferme pour maintenir la paix »,
a déclaré un habitant de la capitale. « Les manifestations n’apportent rien de positif, et il est temps que nous agissions pour protéger notre pays. »

Alors que le régime militaire du Diambée continue de faire face à des défis, il semble que la majorité de la population soit prête à soutenir des actions radicales pour assurer la sécurité et l’ordre. Le soutien de 94 % de la population à l'usage de la force montre une volonté collective de faire face à la désobéissance et de préserver l'intégrité de la nation.

Les prochains jours seront cruciaux pour le Diambée, alors que le régime s'engage à mettre en œuvre ses nouvelles mesures tout en surveillant de près les réactions de la population. La communauté internationale, quant à elle, reste attentive à l’évolution de la situation, espérant que le pays parvienne à rétablir la paix sans recourir à une violence excessive.
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Soutien au RĂ©gime Militaire face au Chaos des Manifestations Musulmanes

Alors que le pays est secoué par des manifestations persistantes dans les communes à majorité musulmane, le régime militaire du Diambée bénéficie d'un soutien croissant de la population et des médias face à cette situation chaotique. Malgré les tragédies récentes, où 37 manifestants ont perdu la vie et 121 autres ont été blessés, une large partie de la société estime que le gouvernement doit agir avec fermeté pour restaurer l'ordre.

Les manifestations, qui se sont intensifiées ces derniers jours, sont perçues par beaucoup comme une menace sérieuse à la sécurité publique. Les scènes de chaos dans les rues, avec des barricades érigées et des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre, ont suscité une inquiétude palpable parmi les citoyens. Les médias nationaux, soutenant le régime, mettent en avant ces scènes de violence pour justifier l'usage de mesures strictes.

« Ce que nous voyons dans nos rues est inacceptable. Des groupes minoritaires cherchent à semer le désordre et à perturber la paix que nous avons durement acquise », a déclaré un porte-parole du gouvernement. Les rapports médiatiques abondent dans ce sens, soulignant que la majorité silencieuse de la population soutient le régime dans sa lutte contre ce qu'ils considèrent comme des provocations.

Les journalistes couvrant les événements décrivent une atmosphère tendue, où les citoyens soutiennent majoritairement l'idée que des mesures drastiques sont nécessaires. « La sécurité de notre nation est primordiale. Nous devons protéger notre pays contre ceux qui choisissent la violence », a affirmé un habitant de la capitale.

Cependant, le chaos continue de régner dans certaines zones, avec des affrontements sporadiques et des actes de vandalisme signalés. Les hôpitaux sont débordés, et les familles des victimes pleurent leurs proches, transformant les rues en scènes de désespoir. Malgré cela, la rhétorique dominante parmi les médias et une partie de la population reste centrée sur le soutien au régime, qui est perçu comme le garant de la stabilité.

« Nous comprenons que des pertes humaines sont tragiques, mais il est essentiel de rétablir l'ordre pour éviter un effondrement total de notre société »
, a déclaré un analyste politique. Cela reflète un sentiment plus large : dans un contexte de chaos, la plupart des citoyens semblent prêts à sacrifier certaines libertés pour garantir la sécurité et la paix.

Alors que la situation demeure volatile, le régime militaire du Diambée semble déterminé à maintenir son autorité, soutenu par une population qui, dans son ensemble, voit en lui le rempart contre le désordre et la violence. Les jours à venir seront cruciaux pour le pays, alors que chacun espère un retour à la stabilité sans escalade de la violence.


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L'Ordre Rétabli : Les Groupes Patriotiques du Diambée Protègent la Nation

Dans le cadre des mesures récemment mises en œuvre par le régime militaire du Diambée, l'usage de balles réelles pour disperser les manifestations illégales a non seulement rétabli un certain ordre dans les rues, mais a également encouragé l'émergence de groupes patriotiques déterminés à défendre les valeurs et l'intégrité du pays qui sont souvent saluer par la population pour leur courage. Ces groupes, qui se désignent comme des protecteurs de la nation, ont récemment intensifié leurs actions contre les communautés musulmanes, considérées comme une menace potentielle à la stabilité du Diambée.

Les manifestations qui secouaient le pays ont rapidement diminué, et la plupart des citoyens applaudissent cette fermeté, convaincus que des mesures strictes sont nécessaires pour préserver la paix. Mais des groupes fidèles au régime ont pris l'initiative d'agir contre des comportements déstabilisants au sein de la communauté musulmane qui est soutenue par nous et le régime

Des témoignages recueillis sur le terrain révèlent que ces groupes, souvent composés de nationalistes fervents, se mobilisent pour défendre les valeurs traditionnelles du Diambée. « Nous agissons pour protéger notre culture et notre mode de vie. Les manifestations et l'influence de certains groupes sont inacceptables », a déclaré un membre d'un groupe patriotique lors d'une interview. Ces actions, bienqu'elles puissent sembler violentes , sont souvent justifiées par ces groupes comme étant nécessaires pour préserver l'unité nationale .

Des actes de vandalisme et destructions contre des mosquées et des attaques verbales et physiques contre des musulman sont rapportés. Mais pour nombreux parmi les partisans et la population du régime, ces mesures sont perçues comme une forme de justice. « Si nous ne faisons rien, qui protégera notre pays ? » s'interroge un habitant du Diambée. « Les véritables patriotes doivent se lever et défendre notre terre. »
Certains de ces partisans on pour slogans « CENSURÉS »
C’est partisans sont environt 40 000 dans tous le pays

Alors que la violence sectaire s'intensifie, de nombreux musulmans choisissent de fuir le pays, se dirigeant vers des destinations comme l'Antegrad et le Fakiristan, où ils espèrent trouver un refuge loin de ce qu'ils considèrent comme une répression. Cependant, la réponse des groupes patriotiques est claire : ils affirment que la sécurité du Diambée passe avant tout et que toute dissidence doit être fermement contrée.
Actuellement beaucoup de musulman sont bloqués par ces partisans à l’aéroport pour cause ils doivent réparer tous les infrastructures casser par les manifestants

Le régime militaire, tout en surveillant de près ces développements, semble soutenir implicitement ces actions, renforçant ainsi la perception que la sécurité nationale justifie l'usage de la force. Alors que les tensions continuent de monter, il apparaît que pour beaucoup, la défense du Diambée et de ses valeurs est une priorité absolue, même si cela implique des actions controversées contre des communautés spécifiques.

Les jours à venir s'annoncent décisifs pour le Diambée, alors que le régime et ses partisans poursuivent leur lutte pour un ordre rétabli, tout en répondant aux défis internes qui menacent leur vision d'un pays uni et fort.

D’après les autorités plus de 20 000 musulman sont bloquées dans les différents aéroports du pays

Et d’après les autorités 13 mort , 76 blessé, 37 mosquée détruite sont deploré
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Une Tension Croissante au Diambée : Les Musulmans en Danger et le Soutien Populaire aux Groupes Radicaux, de plus Leader a annoncé l’arrêt dès tir balle réel

La situation au Diambée continue de se détériorer alors que la fin de l'utilisation des balles réelles par les forces de l'ordre n’a pas suffi à apaiser les tensions entre les communautés. Au contraire, une majorité de la population semble soutenir les groupes patriotiques qui ciblent les musulmans, les percevant souvent comme des "sous-hommes" menaçant l'intégrité nationale. Dans ce climat de haine et de violence, le nombre de personnes déplacées ne cesse d’augmenter.

Selon un récent sondage, près de 75 % des musulmans vivant au Diambée ont exprimé le souhait de quitter le pays. Les raisons de cette volonté de départ sont claires : la peur constante d'agressions, de caillassages et d'autres formes de violence de la part de groupes radicaux qui se sont autoproclamés protecteurs de la nation. Ces actes sont souvent applaudis par une partie de la population, convaincue qu'ils sont nécessaires à la préservation de l'ordre et des valeurs traditionnelles du Diambée.

Les témoignages des musulmans qui tentent de vivre leur quotidien sont alarmants. « Chaque jour, je crains pour ma vie », raconte Ahmed, un habitant de la capitale. « Je ne peux plus sortir sans avoir peur d'être agressé. Les gens pensent que nous ne sommes pas dignes de vivre ici, simplement à cause de notre religion. » Les attaques verbales et physiques sont devenues monnaie courante, renforçant le sentiment d'insécurité parmi les membres de la communauté musulmane.

Les aéroports, déjà saturés par des milliers de musulmans tentant de fuir cette atmosphère hostile, sont devenus des zones de désespoir. « Nous voulons juste trouver un endroit où nous pouvons vivre en paix. Mais même ici, nous sommes menacés », explique Fatima, une jeune mère qui attend désespérément un vol vers un pays plus accueillant. Les conditions de vie dans ces aéroports sont précaires, et les musulmans y sont souvent victimes de harcèlement et de violences.D’après la DSI environ 3 morts et et énormément de blessés on en compte environ 304 blessés sont déploré

Des slogans nationalistes et des discours de haine résonnent dans les rues, alimentant un climat de méfiance et d'intolérance. Pour beaucoup, la défense de la nation justifie des actes de violence, et les musulmans se retrouvent ainsi stigmatisés, considérés comme des ennemis plutôt que comme des compatriotes.Le régime militaire du Diambée a annoncé soutenir ses différents groupes


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Tensions au Diambée : L'Iman Blessé et une Communauté Musulmane en Fuite

La situation au Diambée s'est encore envenimée, alors que les tensions entre les communautés continuent de s'intensifier. Ce climat de violence a atteint un nouveau seuil avec l'attaque récente du grand imam musulman de la région, qui a été blessé lors d'une émeute dans la capitale il est actuellement hospitalisé mais retenu en otage par les partisans demandants à tous les musulman de retourner chez eux. Ses partisans et de nombreux membres de la communauté musulmane craignent pour leur sécurité alors que le soutien populaire aux groupes radicaux ne cesse de croître.

L'imam, figure respectée et voix modérée de la communauté musulmane, a été hospitalisé après avoir été pris pour cible lors d'une émeute qui a dégénéré. Des sources médicales rapportent qu'il a subi plusieurs blessures graves, suscitant l'indignation de nombreux musulmans, mais aussi des réactions de joie parmi les partisans des groupes nationalistes qui voient en lui un symbole de la menace à l'intégrité nationale.Les partisans ont demandé de ne soigner que les blessures très graves car il est retenus en otage et ils le considèrent comme sous hommes

« Cet homme incarne tout ce que nous combattons, » a déclaré un leader d'un groupe radical, ajoutant que l'imam représentait une idéologie qui ne devrait pas avoir sa place au Diambée. Les discours de haine se multiplient, et les violences sont souvent justifiées au nom de la défense de la patrie. Pour beaucoup, la présence musulmane est devenue synonyme de danger.

Dans les rues du Diambée, des slogans nationalistes résonnent encore toujours , et la rhétorique anti-musulmane est omniprésente. Les musulmans, déjà en proie à la peur, se retrouvent stigmatisés et marginalisés. Des témoignages recueillis auprès de la communauté montrent que la vie quotidienne est devenue un véritable calvaire. « Chaque sortie est un risque, » explique Amina, une jeune femme qui envisage de fuir le pays. « Nous ne savons plus à qui faire confiance. Même aller au marché est devenu une épreuve, nous devons quitter le pays nous coûtons rejoindre la cote d’assad ou l’antegrad »

Les aéroports, déjà saturés, sont envahis par des familles musulmanes cherchant désespérément à quitter le pays, d’ailleurs divers agressions ont eu lieux dans les divers aéroports , aucun mort et déplore mais 89 blessé . Cependant, malgré l'angoisse palpable, les vols sont rares et les conditions de vie dans les zones d'attente sont précaires. Des témoignages affirment que des personnes ont été harcelées et agressées même dans ces espaces supposés être des refuges. « Nous espérions trouver une échappatoire, mais ici aussi, nous sommes menacés, » confie Fatima, une mère de trois enfants, qui attend un vol depuis plusieurs jours.

Les autorités militaires du Diambée continuent de soutenir les groupes radicaux, justifiant leur violence en affirmant qu'elle est nécessaire pour préserver l'ordre et la sécurité du pays. Ce soutien étatique renforce les peurs et les tensions, et de nombreux musulmans se sentent abandonnés par un gouvernement qui semble tourner le dos à sa responsabilité de protéger tous ses citoyens.

Le climat de méfiance et d'intolérance est tel qu'il devient de plus en plus difficile pour les musulmans de vivre en paix dans leur propre pays. Alors que les appels à la violence se multiplient, une question se pose : jusqu'où ira cette spirale de haine avant que des voix de raison ne parviennent à s'élever au-dessus du tumulte ?

Alors que le grand imam est hospitalisée et en otage, la communauté musulmane du Diambée reste suspendue à un fil, espérant des jours meilleurs, mais craignant que la réalité de leur situation ne s'aggrave encore.

Les musulman du pays demande de l’aide à leur frère musulman notamment le pays de la cote d’assad , il leur demande une intervention humanitaire pour sortir de ceux désastre

Depuis le début des émeutes ils y a eu 54 mort et 591 blessé


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Le Diambée est-ils entrain de vivre un genocide ?

Sous un ciel de tensions et de violence, le Diambée s’enfonce dans une crise humanitaire sans précédent. Alors que les émeutes se multiplient et que les violences à l'encontre de la communauté musulmane s’intensifient, des voix s’élèvent pour dénoncer une situation qui s’apparente de plus en plus à un génocide.

Depuis plusieurs semaines, la capitale du Diambée est le théâtre d’émeutes violentes, exacerbées par la récente attaque du grand imam, figure modérée de la communauté musulmane. Ce dernier, hospitalisé après avoir été blessé, est désormais retenu en otage par des groupes radicaux qui prônent une idéologie nationaliste extrême soutenu bien sûr . Les partisans de ces groupes, de plus en plus influents, justifient leurs actes par une rhétorique de haine, faisant du musulman un symbole de menace pour l’intégrité nationale.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis le début des émeutes, des rapports non vérifiés font état de 54 morts et 591 blessés, une situation qui, si elle était avérée, pourrait relever d’un véritable génocide. Cependant, ces informations sont souvent minimisées ou déformées par les individus , qui tentent de donner une image d’ordre et de contrôle sur une situation hors de contrôle.

Les témoignages recueillis auprès de la communauté musulmane révèlent un quotidien devenu insupportable. « Nous ne sommes plus en sécurité chez nous », confie Shaya, une jeune femme qui envisage de fuir. « Chaque sortie est un risque, et l’angoisse de subir une agression ne nous quitte jamais. » Les aéroports, saturés par des familles musulmanes cherchant désespérément à quitter le pays, deviennent des scènes de harcèlement et d’agressions, amplifiant la souffrance de ceux qui espèrent trouver refuge.

Malgré le désespoir ambiant, les autorités militaires continuent de soutenir les groupes radicaux, justifiant leurs actions par la nécessité de préserver l’ordre public. Ce soutien, loin de rassurer, attise les tensions et renforce la stigmatisation de la communauté musulmane, qui se sent de plus en plus abandonnée par un gouvernement qui semble ignorer ses responsabilités.Nous les soutenons nous mêmes

Alors que le grand imam est retenu en otage, la communauté musulmane du Diambée se retrouve dans une situation tragique. Les appels à l’aide humanitaire, notamment de la part de pays voisins comme celui de la Côte d’Assad, sont souvent accueillis par le silence ou le mépris. Les musulmans du Diambée se battent pour leur survie, mais ils sont confrontés à un régime qui semble déterminé à les réduire au silence.

La spirale de la haine et de la violence continue d’alimenter une tragédie humaine qui, si elle n’est pas maîtrisée, pourrait marquer l’histoire du Diambée d’une tache indélébile. Les journalistes, complices d’un régime militarisé, semblent tourner le dos à la vérité, préférant relayer une propagande d’État qui masque la réalité d’un peuple en détresse.

Au moment où les appels à la paix et à la réconciliation devraient se faire entendre, la communauté musulmane du Diambée reste suspendue à un fil, espérant des jours meilleurs, mais craignant que leur situation ne s’aggrave encore. La question demeure : jusqu’où ira cette spirale de violence avant que le monde ne réagisse face à ce qui pourrait devenir un génocide silencieux ?Est ce que un état musulman va être crée ?

Pour l’instant nous savons absolument rien


Les chiffres ne seront pas mis pour cause de CENSURE


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Le Couvre-Feu de 21h au Diambée : Une Réponse Nécessaire aux Tensions Croissantes

Dans un contexte de tensions intercommunautaires grandissantes, le leader du Diambée a annoncé l’instauration d’un couvre-feu à partir de 21h, une mesure qui vise à rétablir l’ordre face à une vague de violences ciblant des édifices religieux musulmans. Ce couvre-feu est perçu par de nombreux observateurs comme un soutien à la population musulman , qui se sent menacée par les actions des groupes extrémistes soutenu par le Leader.

Un Contexte de Violence

Depuis le début des émeutes, la situation au Diambée s’est détériorée, avec des attaques répétées contre des mosquées, qui ont été vandalisées ou détruites. Les autorités signalent que ces actes de violence sont souvent orchestrés par des factions radicales, créant un climat de peur parmi les chrétiens, qui constituent la majorité de la population chrétienne . Le leader, dans son discours appelé son soutiens a c’est groupe


Des Mosquées Détruites et des vies perdu , un Silence Assourdissant

Plus de 307 mosquées ont été détruite , et nous vous annonçons le vrai chiffre des mort et blessé musulman avec l’accord du gouvernement attention ça peut choqué :

10 754 mort
45 211 blessé

Étant donné que la population est de 2,3 millions de musulman et 90 % essaye de quitter le pays soit environ 2,1 millions


Vers un RĂ©veil des Consciences ?

La mise en place de ce couvre-feu pourrait temporairement apaiser les tensions, mais elle soulève des questions fondamentales sur l’avenir de la coexistence au Diambée. Alors que le leader et nous mêmes prennent position en faveur des chrétiens, il est crucial que des efforts soient également déployés pour aborder les causes profondes de cette violence.




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Fermeture des Accès aux Nouveaux États de Khalys : Une Mesure Souveraine Face aux Tensions Diplomatiques

Dans un contexte de tensions diplomatiques croissantes avec la Côte d’Assad, le Diambée a pris la décision stratégique de fermer tous les accès aux nouveaux États de Khalys. Cette mesure, bien que difficile, s’inscrit dans un effort plus large pour préserver la sécurité et l'intégrité du pays face à des menaces externes et internes grandissantes.

Une Réaction Nécessaire aux Problèmes de Sécurité

Depuis la création de l’État du Khalys, la situation sécuritaire au Diambée s’est détériorée de manière alarmante. Les violences ciblant la population musulmane ont explosé, entraînant un nombre tragique de blessés et de morts. On compte presque plus de 100 000 blessés et 50 000 morts. Le chiffre continue d'augmenter, et d’après un sondage, d’ici trois jours, nous risquons de dépasser la barre des 100 000 morts. Cette escalade de violence trouve son origine dans la haine croissante envers les musulmans depuis la création de l’État, entraînant un sentiment de trahison au sein de la population et une montée des tensions.

De plus la communauté musulman depuis la création de l’état se sentent tous permis de faire n’importe quoi , leader a annoncé que les forces de l’ordre seront mis en place pour emprisonner tous musulman faisant des délits inacceptables


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Fermeture des Aéroports du Diambée : Une Mesure de sécurité

Dans le cadre d'une réponse urgente aux tensions diplomatiques et à la détérioration de la sécurité intérieure, le régime militaire du Diambée a décidé de fermer tous les aéroports du pays. Cette mesure, bien que difficile, vise à prévenir toute fuite des citoyens et à garantir la sécurité nationale en ces temps troublés.Nous informons aussi à tous les diplomates des différentes ambassades présentes au Diambée de rester au Diambée tant que les tensions ne seront pas finies.

Une Réaction Impérative aux Défis Sécuritaires

Depuis la création de l’État du Khalys, le climat sécuritaire au Diambée a connu une dégradation préoccupante. Les violences ciblant la population musulmane ont atteint des niveaux alarmants, causant des pertes humaines tragiques, avec près de 100 000 morts. Cette situation a engendré un sentiment d'insécurité généralisé, et le gouvernement a jugé nécessaire d'agir pour protéger la population et maintenir l'ordre public.

La fermeture des aéroports s’inscrit dans une stratégie plus large pour endiguer la violence croissante et prévenir l'exfiltration de personnes susceptibles d'aggraver la situation. Les autorités militaires, conscientes de la gravité de la situation, ont annoncé que des mesures strictes seraient mises en œuvre pour contrôler les déplacements des citoyens. Le chef des opérations a déclaré : « Nous ne pouvons pas permettre que des individus fuient le pays avant que nous n'ayons restauré la paix et la sécurité. »

Des Mesures de Sécurité Renforcées

Parallèlement à la fermeture des aéroports, le régime militaire a également intensifié la présence des forces de l’ordre dans les zones sensibles, en particulier celles à forte population musulmane. Des opérations ciblées seront menées pour appréhender les individus impliqués dans des activités criminelles ou violentes. Le leadership militaire a clairement indiqué que toute personne prise en flagrant délit sera emprisonnée, dans le but de restaurer l’ordre et de protéger la société.



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Tensions en Baisse au Diambée.
L’intervention des forces armées et l’exil des musulman font leur preuve !!!


Dans un tournant significatif pour la stabilité du pays, les récentes décisions du régime militaire du Diambée, notamment l'exil en cours de 2,4 millions de musulmans, semblent avoir porté leurs fruits, contribuant à une baisse notable des tensions intercommunautaires. Le travail acharné des forces armées, qui ont su agir rapidement et efficacement, est également salué par de nombreux habitants.

Depuis l’annonce du retrait de l'Union Absolue de l'Afarée (UAA), les forces armées ont intensifié leurs efforts pour garantir la sécurité des citoyens et prévenir les violences. Grâce à des opérations ciblées, plusieurs individus associés à des groupes nationalistes responsables d’actes de violence ont été arrêtés. Ces actions ont permis de restaurer un certain ordre dans les zones les plus touchées par les tensions. "Je me sens beaucoup plus en sécurité depuis que les forces de l'ordre sont intervenues," témoigne une résidente de la capitale.

Les habitants expriment leur gratitude envers le régime militaire pour les mesures prises. De nombreux témoignages louent la détermination des autorités à protéger les citoyens et à maintenir la paix. "Nous savons que cela n’a pas été une décision facile, mais nous sommes reconnaissants au régime pour la sécurité retrouvée," confie un commerçant local.

Bien que l'exil ait suscité des débats, il semble avoir contribué à un climat plus serein dans les rues. Les commerces rouvrent, les familles se rassemblent sans crainte, et les conversations entre voisins, jadis tendues, se font désormais dans une atmosphère plus détendue. Les statistiques de criminalité montrent une tendance à la baisse, corroborée par les témoignages d’habitants qui se sentent libérés d’un poids.

Cependant, les groupes nationalistes, bien que moins actifs, demeurent une préoccupation. Les forces armées restent vigilantes et continuent de surveiller toute tentative de relance de la violence. Les autorités ont assuré qu'elles ne relâcheraient pas leurs efforts pour garantir la sécurité de tous les citoyens, indépendamment de leur appartenance religieuse.
Les forces armées déplorent une baisse très forte de criminalité envers les musulman actuellement les chiffres sont de 137 890 mort et 350 212 blessé mais si les forces armée ne serait pas intervenue d’après la DSI le nombre de décès aurait pu être de 200 000 mort.Le régime espère que le chiffre n’augmentera plus

Alors que le Diambée semble entrer dans une phase de calme, les défis restent nombreux. La communauté internationale suit de près la situation, mettant en avant la nécessité d’un dialogue inclusif pour bâtir un avenir durable. Néanmoins, pour l’instant, de nombreux habitants expriment leur satisfaction quant aux mesures prises et au travail acharné des forces armées, remerciant le régime pour son rôle dans la restauration de la paix.



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Interception d'Avions Transportant des Armes : Un Épisode Révélateur des Tensions au Diambée

Un incident aérien majeur s'est produit récemment, mettant en lumière les tensions croissantes entre l’armée du Diambée et l'armée miridienne. Des avions de chasse miridiens ont intercepté quatre aéronefs non identifiés, soupçonnés de transporter des armes achetées par le régime diambéen. Cet événement soulève de sérieuses inquiétudes concernant la situation sécuritaire dans la région.

Les événements se sont déroulés alors que les escadrons de l'armée miridienne, intensifiaient leurs patrouilles aériennes en réponse aux récentes violences et aux allégations de sois disant génocide visant la population musulmane du pays. À 8h09, le commandant Joschka Heinrich a donné l'ordre au capitaine Telmen d'engager une mission de surveillance pour prévenir toute menace potentielle.

Après plusieurs jours de vigilance, l'escadron condor a détecté quatre avions de transport tactique se dirigeant vers le Diambée. Rapidement, le capitaine Telmen a mobilisé ses chasseurs pour intercepter les aéronefs suspects. En réussissant à établir un contact radio avec les pilotes des avions non identifiés, il a exigé qu'ils déclinent leur identité, leur pays d'origine ainsi que leur destination.

Malgré cet avertissement clair, les avions transportant les armes ont réussi à poursuivre leur chemin, échappant à l'interception. Les pilotes miridiens étaient contraints de respecter les règles d'engagement qui leur interdisaient d'entrer dans l'espace aérien du Diambée, de peur de déclencher un conflit ouvert. Cette contrainte a permis aux aéronefs transportant des armes pour le Diambée de s'échapper, soulignant les limites des opérations de surveillance menées par l'armée miridienne.

L'incident a mis en lumière non seulement les tensions militaires, mais aussi les implications plus larges du commerce d'armement dans la région. Les armes achetées par le régime diambéen, dont la provenance soulève des questions éthiques, pourraient alimenter des conflits internes et exacerber les violences contre les populations vulnérables d’après de nombreux pays mais le Leader assure que non .

Les autorités diambéennes n'ont pas encore réagi publiquement à cet incident, mais la situation reste préoccupante. Les observateurs internationaux exhortent à la retenue et à des efforts concertés pour éviter une escalade des hostilités.


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Les Aides Humanitaires au Diambée : Une Lueur d’Espoir face à l’Adversité

Dans un contexte de tension persistante au Diambée, les efforts humanitaires commencent à porter leurs fruits, apportant un souffle d’espoir à une population meurtrie par des mois de violence. Alors que le régime militaire prend des mesures pour assurer la sécurité, les organisations humanitaires et les acteurs locaux s’unissent pour répondre aux besoins urgents des citoyens, contribuant ainsi à stabiliser la situation.

Depuis le début des opérations humanitaires, plus de 1,5 million de personnes ont bénéficié d’assistance alimentaire, de soins médicaux et de soutien psychologique. Les efforts des ONG sur le terrain, en collaboration avec les autorités locales, ont permis de créer des centres de distribution où les habitants peuvent recevoir des vivres et des médicaments essentiels. "C'est un véritable soulagement, surtout pour les familles qui ont tout perdu," déclare une responsable d'une ONG locale.

Les chiffres de mortalité, bien qu'encore préoccupants, montrent des signes de stabilisation. Selon les dernières données, le nombre de décès liés aux violences a atteint les 150 000 mort , mais grâce à l’intervention rapide des forces armées et à l’amélioration des conditions de vie, les prévisions indiquent une baisse des pertes humaines.

Cependant, les défis demeurent. Les attaques contre les convois humanitaires se multiplient, entravant les efforts d’assistance. Des groupes armés, bien que moins actifs, continuent de cibler ces ressources vitales. "Nous avons subi plusieurs attaques, mais nous restons déterminés à atteindre ceux qui en ont besoin," explique un coordinateur d’urgence d’une organisation internationale. Les forces armées, conscientes de cette menace, renforcent leur protection des convois, garantissant ainsi une livraison continue de l’aide.

La communauté internationale, tout en saluant les efforts des humanitaires, appelle à un dialogue inclusif pour résoudre les causes profondes de la crise. Les Organisations et d'autres agences internationales ont intensifié leur soutien, apportant des fonds supplémentaires pour faciliter l'accès aux zones les plus touchées. Les témoignages des bénéficiaires soulignent l'importance de cette aide : "Sans ces ressources, je ne sais pas comment nous aurions survécu. Cela nous donne un peu d'espoir," confie une mère de famille.

Parallèlement, les programmes de réhabilitation communautaire commencent à voir le jour. Des initiatives visant à reconstruire les infrastructures détruites et à favoriser le dialogue interculturel sont mises en place pour encourager la cohésion sociale. Les ateliers de sensibilisation rassemblent des membres de différentes communautés, favorisant un climat de paix et de compréhension mutuelle.

En somme, au Diambée, les aides humanitaires jouent un rôle crucial dans la stabilisation de la situation. Bien que des défis subsistent, l'engagement des organisations sur le terrain et la vigilance des forces armées offrent une lueur d'espoir pour un avenir meilleur. Les habitants, tout en restant conscients des dangers, commencent à retrouver une certaine normalité, un pas à la fois vers la paix et la réconciliation.


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