09/08/2014
15:03:21
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ISAKA - Page 2

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La question que j’ai soulevé est très intéressante, en effet cela permettra de choisir le fait de fixer les dépenses et les sommes à investir indépendamment des états ou au contraire établir un cap fixe qui laisse peu de place à l’erreur et qui dépend des états membres.
Dans ce cas précis la question est intéressante, est ce que les laboratoires « filles » de l’Institut dépendent de cette dernière ou au contraire de la puissance centrale, de l’État.

Et selon moi cette question doit être prise au sérieux, comment faire pour avoir des laboratoires qui rendent un travail efficace sans pour autant qu’ils deviennent trop coûteux à entretenir.
Comme nous le savons tous le spatial est un domaine onéreux, qui est un luxe réservé aux grands de ce monde, mais les multiples organisations spatiales qui assurent dorénavant les grandes découvertes de ce dit domaine pallient cette inégalité et je pense que le mieux afin d’équilibrer les recherches doit être une caisse commune.
Certes la solution peut aussi montrer ses limites et se révéler inefficace, mais je pense que cela sera toujours mieux que de voir certains états membres faire avancer l’Institut alors que d’autres ne feraient qu’une simple figuration.
Comme vous le savez si l’on décide de laisser le financement de ce projet aux états membres, nous pourrions voir naître un certain desinteret de la part de ces derniers et par conséquent voire un projet qui n’avance pas.
Mais si l’organisation se charge de ce financement les échecs de certains laboratoires ne sauraient être imputés à l’état qui accueille le laboratoire, cela permettrait d’éviter des compétences trop inégales entre les différents états membres.

Vous l’avez compris je trouve que l’idée développée précédemment est attrayante, mais son opposée ne l’est pas moins et à vrai dire elle ne dépend que du style de gouvernement des états, un état centralisé avec une forte indépendance, autrement dit qui applique la maxime suivante « On n’est jamais mieux servi que par soi-même », aura tendance à vouloir rendre les laboratoire dépendant de lui parfaitement soumis aux bons vouloirs du gouvernement de ce dernier.
Cette idée d’indépendance ne doit pas pour autant être rejeté, il est parfaitement normal que la puissance publique puisse expliquer au contribuable, le citoyen, comment est utilisé l’argent.
Et il est parfaitement compréhensible de voir des personnes rejeter l’idée de financer des laboratoires étrangers, même dans le cadre d’un projet international dans lequel leur état s’est engagé.
De plus ce que j’ai devellopé plus haut reste à organiser, j’évoquerai l’organisation du financement du projet plus tard, rien n’a été décidé dans le traité fondateur sur ce cas.
L’objectif n’est pas de remettre en cause le travail du représentant de l’Empire de Karty mais de montrer que nous devons décider ensemble des moyens à mettre en œuvre pour ce projet.
Beaucoup donc reste à faire, mais pour revenir à ma plaidoirie je dirai que peu de gens apprécieraient de voir un représentant d’une autre nation utiliser leur argent.

Après avoir présenter les deux solutions je tiens à donner mon avis, je pense qu’en effet que pour le bien du projet il faut un fond d’investissement commun.
Je vais donc tacher d’en dessiner l’esquisse, ce fond aura pour nom la Banque d’Investissements Communs pour le Projet d’Institut Assado-Kartio-Antérinien.
Il sera dirigé par une personne élue au suffrage direct par les représentants de nos nations et il aura des pouvoirs limiter, le président de la B.I.C.P.I.S.A.K.A ne fera que la représenter et administrera un directoire composé de 12 directeurs, chaque nation membre en choisira trois et ce directoire décidera des dépenses à faire au nom du projet.
Étant une banque, elle pourra faire plusieurs prets (le plafond reste à choisir) pour les différentes nations membres afin de les aider dans la construction et l’entretien des infrastructures.
Je propose aussi un Conseil de Sécurité qui enverra régulièrement ses représentants au sein des pays emprunteurs pour s’assurer de l’avancée des travaux, les émissaires auront un droit de regard qui permettra de voir s’y l’argent prêté est uniquement utilisé à des fins de recherches spatiales.
Je précise aussi que les pays membres peuvent financer d’eux mêmes les laboratoires en plus de la B.I.C.P.I.S.A.K.A afin d’accélérer les travaux.
Si ma proposition est accepté mes conseillers s’occuperont de la concrétisation de la Banque d’Investissements Communs pour le Projet d’Institut Assado-Kartio-Antérinien.

Vote de l'Empire Colonial pour la création d'un fond commun: Pour
1193
Claus von Herbig : Bien. J'ai entendu tous les arguments. Je suis conscient que mon vote va donc déterminer la suite. Il semble que mon homologue Antérinien est oublié que, même sous un fond commun, un pays ne possédant pas les ressources nécessaires pour contribuer à ce fond commun se trouvera aussi être un figurant. De plus, ce n'est pas tant la nécessité que d'informer le contribuable que l'argent part à l'étranger qui fait que nous sommes réticents mais bien la façon dont cet argent sera utilisé. Nous aurons forcément un moment où nous serons en désaccord avec la façon dont est utilisé cet argent et cela constituera un blocage de l'utilisation de ces fonds. Or, si chacun contribue à sa manière déjà cela permettra d'avoir les mains libres et rien n'empêche l'un de nous d'en conseiller un autre sur les investissements futurs. De la même façon, rien ne nous empêche d'établir une liste dans laquelle nous pourrions y inscrire les investissements primaires et prioritaires. Ce fond commun pourra toujours servir à beaucoup d'autres choses mais concernant les investissements, si chacun investi à sa façon cela nous permettra en plus de pouvoir jauger le financement du programme de façon plus pragmatique et organisée qu'un simple don à un fond commun. Je vais m'aligner sur la position de mes homologues de la Côte d'Assad et de l'Empire de Karty.

Vote de la Confédération de Kölisburg : CONTRE
1301
Kaiser Van Blonski, Dirigeant de l'Empire de Karty: la décision du Grand Conseil sur l'utilisation du Fond Commun est donc prise, les pays devront eux-mêmes financés 1.5 milliards pour leurs infrastructures. Avec cette somme, 5 instituts mineurs ainsi qu'un institut majeur sera construit (et un siège pour les membres permanents). Je vais réaborder le financement, car, un nouveau financement va avoir lieu. En effet, la nation de Grisolia a candidaté pour rejoindre ISAKA. Comme à notre habitude, nous mettons cela au vote. Voici ladite candidature:

Lusp15 a écrit :
- Nom Complet du Pays Candidat : Principauté de Grisolia
- Date de la Candidature : 11 mars 2014
- Raison de la Candidature : La Principauté de Grisolia souhaite intégrer l'ISAKA en vertu de son grand intérêt pour vos recherches scientifiques et spatiales. De plus, nous ne possédons à ce jour que peu d’infrastructures permettant l'étude du ciel. Rejoindre l'ISAKA nous permettrait de concrétiser notre intérêt pour cette science en bénéficiant des avantages que peut apporter une association à ses membres. Enfin, nous serions honorés d'avoir des échanges privilégiés avec les nations déjà membres de l'ISAKA, notamment la nation de Karty avec qui nous avons déjà réalisé un échange d'ambassade et chez qui notre Prince Ludovico XIV devrait se rendre prochainement.

La Principauté de Grisolia, s'engage à respecter la totalité des articles du Traité d'ISAKA, dès lors que la candidature de ma nation est acceptée.

Vote de l'Empire de Karty pour la candidature de Grisolia: POUR
209
Imad Afrolo-Gicarolirdin, représentant de la Côte d'Assad : Comme je l'ai toujours dit, nous devons être plus grands. Un pays de plus serait donc le bienvenu dans l'organisation.

Vote du Royaume de la Côte d'Assad pour la candidature de Grisolia: POUR
587
Il est regrettable de voir ma proposition rejetée, je pense tout de même que ma solution était la meilleure, enfin passons.
Je suis ravi de voir en revanche que des nations s’intéressent au projet qui unit nos nations et cela ne peut être que positif.
L’apport économique de la principauté de Grisolia ne peut être que bénéfique à l’Institut Spatial Assado-Kartio-Antérinien.
Comme l’Empire ne voit aucun problème à accepter la Principauté grisolienne mes conseillers et moi-meme ne voyons aucun problèmes à l’intégration des représentants de la principauté de Grisolia.

Vote de l'Empire Colonial Antérinien pour l'intégration de la principauté de Grisolia: Pour
518
Kaiser Van Blonski, Dirigeant de l'Empire de Karty: Le vote pour décider s'il fallait accepter l'entrée de Grisolia est désormais clôturer. La réponse est positive avec 100% POUR (avec une abstention de vote). L'Empire de Karty se chargera de faire communiquer. Nous souhaitons donc la bienvenue à cette nation qui peut désormais participer à ce Grand Conseil.

Nous passons donc à la suite de notre réunion. Je pense avoir évoqué tous les sujets que nous aillons à étudier, si une personne à quelque chose à ajouter, qu'elle le fasse. Si personne ne se prononce, le Grand Conseil sera terminé à compter du 25/03/2014.
238
Grand Conseil d'ISAKA N°1


D'après l'article 5 alinéa 1 du Traité d'ISAKA, le dirigeant de l'Empire de Karty, le Kaiser Van Blonski, ferme le Grand Conseil.


Dirigeant du Conseil: D'après l'article 5 alinéa 2 du Traité d'ISAKA, le Dirigeant du Conseil et le pays suivant: Empire de Karty.
362
Grand Conseil d'ISAKA N°2


D'après l'article 5 alinéa 1 du Traité d'ISAKA, le dirigeant de l'Empire de Karty, le Kaiser Van Blonski, convoque un Grand Conseil.


Motif: Nous devons établir des objectifs précis à suivre. De plus, l'Empire de Karty veut aborder un sujet qui permettrait l'ajout d'un article.


Dirigeant du Conseil: D'après l'article 5 alinéa 2 du Traité d'ISAKA, le Dirigeant du Conseil et le pays suivant: Empire de Karty.
698
Kaiser Van Blonski, Dirigeant de l'Empire de Karty: Membres d'ISAKA, j'ai pris l'initiative de convoquer un Grand Conseil car je pense que la situation l'impose. Tout d'abord, je souhaite rajouter un article dans le Traité d'ISAKA. En effet, d'après l'article 10 du Traité d'ISAKA, cela est possible. Je voudrais donc ajouter l'article 11 qui serait le suivant:


Article 11: Tout nouveau membre d'ISAKA se doit de financer lui même la construction des infrastructures qui permettront la recherche. De plus, ce financement doit être effectué dans les 6 mois après l'intégration du membre. Tout membre d'ISAKA se doit d'avoir au minimum ces différentes infrastructures:
- 5 Instituts Mineurs.
- 1 Institut Majeur.
- 1 siège (Seulement si le membre est permanent).



Vote de l'Empire de Karty pour intégrer l'Article 11 au Traité d'ISAKA: POUR
861
Le silence se fit lorsque le représentant antérinien se leva et prit la parole, ce jour là il avait opté pour un complet noir et une cravate bleutée.

Je me réjouis de voir que le Projet d’Institut Spatial Assado-Kartio-Antérinien ne fait qu’avancer, que des avancées majeures se produisent pour le bien de l’Humanité.
Mais je vais tacher d’être bref, je trouve que un délai de six est trop court pour les états, pour vous donner un ordre d’idée l’Institut majeur n’avance que très lentement.
Mais je suis d’accord avec vous quant au fait que nous nous devons d’annoncer les construction des infrastructures.
Non seulement pour des raisons de transparence auprès des populations mais aussi pour permettre aux sièges d’avoir une meilleure connaissance de l’avancée des travaux.

Il se ressaya pour feuilleter dans ses notes en attendant de voir les autres représentants prendre la parole à leurs tours.

Vote de l'Empire Colonial Antérinien, pour intégrer l'article 11 au traité d'ISAKA: Pour
60
Les votes s'effectueront tous sur discord et seront mis sur Géokratos.
118
Alexander Jükov: Bien ! L'article 11 est donc adopté à 80% (4 contre 1) des voix. Nous passons donc à la candidature de Nordfolklande que voici:

Nordfolklande a écrit :
Nom Complet du Pays Candidat:[Monarchie Parlemantaire de Nordfolklande | Монарки Ойион𝑥ре Бе Нордфолкланде]
- Date de la Candidature:[04/07/2014]
- Raison de la Candidature:[Bien que le christianisme soit largement répandu, Nordfolklande reste un pays ouvert aux innovations technologiques. Il a déjà tenu un sommet réunissant ses principaux scientifiques et astrologues, et il souhaite également se lancer dans l'astrotourisme, ce qui explique sa volonté de devenir membre d'ISAKA.]

Nordfolklande, s'engage à respecter la totalité des articles du Traité d'ISAKA, dès lors que la candidature de ma nation est acceptée

180
Adam Heidenborg : Leur candidature me parait pertinente. Un pays calme et stable qui semble vouloir se lancer dans des domaines diverses et variés. Personnellement je n'y vois aucun inconvénients alors je vote pour
201
Alexander Jükov: Le vote sur la candidature de Nordfolklande est terminé, accepté à 100%. L'Empire de Karty se chargera de faire communiquer le tout. Je laisse désormais la parole à mon homologue Antérinien afin d'aborder nos objectifs.
1333
Herwing Darkölr: Mes salutations. Tout d'abord, je m'excuse mais Alexander Jükov a du se retirer de la réunion, de même pour le Tsar Stanislas I. Je vais donc parler au nom de l'Empire de Karty, mais vous me connaissez déjà, je me nomme Herwing Darkölr et je suis l'un des trois directeurs de recherches et représentant de l'Empire de Karty sur le projet d'ISAKA. Je m'excuse également de couper mon homologue Antérinien, mais vous comprendrez bien assez vite ma prise de parole. Tout d'abord, je tiens à féliciter l'Empire de Karty qui vient de terminer la construction de son premier Institut Mineur ! Nous pouvons donc lancer nos toutes premières recherches qui porteront sur la création d'un satellite. J'ai nonobstant une autre nouvelle, moins réjouissante je vous l'accorde. L'ASNA a convoqué la conférence de Tikalan. Ce nom vous ai peut être inconnu mais cette conférence a pour but de mettre des lois spatiales internationales. A été convié, l'ASNA, il va de soi, mais également la Loduarie, le Kah et le sommet spatial. Malheureusement chers collègues, nous n'avons pas été conviés ! ISAKA est tout de même la 4ème puissance spatiale mondiale, enfin passons. Je vous demande donc aujourd'hui comment ISAKA doit-il répondre à cette provocation ? Nous avons déjà eu l'occasion d'échanger avec l'ASNA, mais il y a trois possibilités face à ce manque de respect:
- Nous signons le Traité qui va ressortir de cette conférence.
- Nous annonçons qu'aucune clause de ce traité ne sera respecté par ISAKA.
- Nous ne faisons rien et ne réagissons pas.

Je vous laisse donc voter messieurs !
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