11/05/2017
23:13:00
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🎐 [GEOGRAPHIE] Les Etats du Jashuria - Page 2

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Etat de Nanakarni



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Introduction :

L’Etat de Nanakarni est un territoire souverain de la TroisiĂšme RĂ©publique du Jashuria, situĂ© Ă  la pointe sud-ouest du pays, dans la RĂ©gion des Perles. RĂ©gion prospĂšre bordant le Sud-Kazum et donnant directement sur la Baie des Perles, Nanakarni est un territoire mĂ©tropolisĂ©, qui a largement profitĂ© de sa proximitĂ© avec les flux commerciaux du Nazum sous l’Empire Yahudharma pour devenir un territoire dynamique. Nanakarni, contrairement Ă  d’autres territoires du Jashuria, est quasi-exclusivement situĂ©e dans des plaines fertiles, ce qui a grandement contribuĂ© en faire un bassin de peuplement. L’Etat de Nanakarni prĂ©sente cependant des dĂ©fis majeurs, en premier lieu l’espace disponible et le grand nombre de municipalitĂ©s hĂ©ritĂ©es d’une Ă©poque oĂč la rĂ©gion Ă©tait un essaim de petites citĂ©s marchandes en compĂ©tition les unes avec les autres. La mĂ©tropolisation de Nanakarni se fait dĂ©sormais sur la Baie des Perles, avec tout ce que cela suppose en matiĂšre de gestion de l’environnement. Le territoire regarde cependant du cĂŽtĂ© du Sud-Kazum, qui constitue son prolongement naturel.
Géographie :

Histoire :

Politique et administration :

Population et société :

Economie :

Culture :

Trivia :

752
Etat de Khumai



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Introduction :

SituĂ© entre le lac des milles reflets, la mer intĂ©rieure du Jashuria et le Wanmiri, le Khumai a toujours Ă©tĂ© un territoire agrĂ©able et profitant largement des avantages de sa proximitĂ© avec les grands centres industriels et commerciaux du pays, sans pour autant se tracasser avec les dĂ©fauts de la modernisation. Territoire historique de l’Hindouisme et du Bouddhisme jashurien, le Khumai est aujourd’hui encore considĂ©rĂ© comme un haut lieu touristique de par ses immenses temples et ses paysages lacustres de premier plan. L’Etat du Khumai est prospĂšre, mais doit faire face depuis quelques annĂ©es Ă  des dĂ©fis importants en matiĂšre de sauvegarde de son patrimoine et de dĂ©veloppement de ses villes, suite Ă  l’afflux de citoyens wanmiriens.

Géographie :

Histoire :

Politique et administration :

Population et société :

Economie :

Culture :

Trivia :

1619
Etat de Wipulasin



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Introduction :

L’Etat de Wipulasin est situĂ© sur la pointe mĂ©ridionale du Jashuria et prĂ©sente une position gĂ©ographique stratĂ©gique dans la rĂ©gion. Longtemps en concurrence avec l’Etat d’Agartha pour la domination des eaux de la Baie des Perles, Wipulasin a progressivement dĂ©placĂ© son centre de gravitĂ© vers Prastavani, situĂ©e sur la façade sud du territoire, en face des cĂŽtes wanmiriennes. Profitant d’une position stratĂ©gique entre la Baie des Perles et l’OcĂ©an des Perles donnant sur le Wanmiri voisin, l’Etat de Wipulasin dispose d’un atout gĂ©ographique et politique important qui lui permet de tenir la dragĂ©e haute Ă  l’Etat d’Agartha et de prĂ©senter un modĂšle de dĂ©veloppement sur les deux façades maritimes. Ces derniĂšres annĂ©es, Wipulasin s’est particuliĂšrement intĂ©ressĂ©e au dĂ©veloppement des interfaces frontaliĂšres avec le Wanmiri. L’Etat sait que le dĂ©veloppement de son Ă©conomie passe par la connexion future de ses territoires avec son proche voisin. La concurrence discrĂšte entre Agartha et Wipulasin a donnĂ© lieu a une bataille secrĂšte pour le tracĂ© du Ruban DorĂ©, chaque Etat cherchant Ă  peser dans les dĂ©cisions liĂ©es Ă  la conception du tracĂ© des voies ferrĂ©es.
Géographie :

Histoire :

Politique et administration :

Wipulasin est probablement l'un des Etats les plus tournĂ©s vers l'amĂ©lioration des relations avec le Wanmiri voisin. Profitant dĂ©jĂ  de la Baie des Perles pour son propre commerce, Wipulasin se tourne aujourd'hui vers l'exploitation du littoral donnant sur le Wanmiri afin d'intensifier les Ă©changes avec ce voisin historique. Les politiciens locaux mettent rĂ©guliĂšrement en avant la nĂ©cessitĂ© de tisser des liens et des coopĂ©rations rĂ©gionales avec le reste du Wanmiri, mais tous n'ont pas la mĂȘme maniĂšre de concevoir l'accueil des citoyens wanmiriens dans le tissu social jashurien.

Population et société :

Economie :

Culture :

Trivia :

917
Etat de Jagath



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Introduction :

L’Etat de Jagath est l’un des grands centres industriels du pays. SituĂ© sur la partie orientale et continentale du pays, ce territoire est bordĂ© par le Wanmiri et sa proximitĂ© avec le Lac des Milles Reflets, l’un des plus grands bassins intĂ©rieurs du Jashuria donnant sur la Baie des Perles. L’Etat de Jagath tire sa force des grandes zones industrielles et miniĂšres de la rĂ©gion, qui ont durant longtemps Ă©tĂ© profitables au Jashuria. La rĂ©gion, comprenant Ă  la fois de grandes Ă©tendues boisĂ©es et des paysages fantastiques, est en premiĂšre ligne dans le dĂ©veloppement des relations avec le Wanmiri voisin. Il s’agit d’un territoire agrĂ©able Ă  vivre et l’un de ceux qui a retenu nombre de ses architectures bouddhistes et hindouistes. Le Jagath Ă©tant l’un des centres industriels les plus importants du Jashuria, il tire parti de sa connexion avec la Baie des Perles pour donner au pays nombre des produits manufacturĂ©s dont il a besoin.

Géographie :

Histoire :

Politique et administration :

Population et société :

Economie :

Culture :

Trivia :

1095
Etat de Pantaseeha



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Introduction :

L’Etat de Pantaseeha est un entre-deux stratĂ©gique. CoincĂ© entre Agartha, Wipulasin et Nanakarni, le Pantaseeha dispose d’un atout non nĂ©gligeable : il est la porte d’entrĂ©e sur le Lac intĂ©rieur du Jashuria et donc, le point de passage obligĂ© vers les Etats de Khumai et de Jagath. Profitant de sa position dominante depuis des dĂ©cennies, l’Etat de Pantaseeha est une rĂ©gion Ă©conomiquement prospĂšre, qui assure depuis des annĂ©es une coordination entre Jagath et Khumai. Territoire de plaines fertiles et de cĂŽtes sĂ»res, le Pantaseeha s’est longtemps dĂ©marquĂ© par sa situation de mĂ©diateur entre les mĂ©tropoles rivales d’Agartha, de Wipulasin et de Nanakarni. Aujourd’hui, le dĂ©veloppement effrĂ©nĂ© de la rĂ©gion et le projet du Ruban DorĂ© n’est pas sans ajouter peu de piment dans les relations entre Wipulasin, Agartha et Pantaseeha. Le tracĂ© du Ruban DorĂ© est un enjeu stratĂ©gique dont Pantaseeha espĂšre bien s’accaparer les principaux tracĂ©s afin de maintenir son hĂ©gĂ©monie sur les Etats alentours et jouer un subtil jeu d’influence entre Agartha et Wipulasin, tout en maĂźtrisant les vellĂ©itĂ©s de Khumai et de Jagath.

Géographie :

Histoire :

Politique et administration :

Population et société :

Economie :

Culture :

Trivia :

20
Territoires outre-mer

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Kotios - Port de Nulle Part



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Introduction :

Le Port de Nulle Part est le fruit d’une opportunitĂ© politique unique en son genre : l’obtention d’une concession portuaire dans la mĂ©tropole rĂ©volutionnaire de Kotios. Cette concession, affectĂ©e au secteur de Nulle-Part, a Ă©tĂ© acquise suite Ă  la dĂ©cision de la TroisiĂšme RĂ©publique du Jashuria de fournir de l’armement aux habitants de Kotios pour se dĂ©fendre face Ă  l’Empire DĂ©mocratique Latin Franciscain. Honorant sa parole auprĂšs du Pharois et du Grand Kah, le Jashuria s’est vu confier ce lopin de terre Ă  amĂ©nager. Le secteur de Nulle Part, protĂ©gĂ© par l’armĂ©e jashurienne et surveillĂ© par le Parti des Travailleurs de Kotios, est aujourd’hui investi par les navires jashuriens, qui transitent vers les mers contrĂŽlĂ©es par les Pharois. Ce port, d’importance stratĂ©gique, sert de relais logistique et de plateforme commerciale pour les navires battant le pavillon jashurien. Chaque annĂ©e, les installations jashuriennes sont contrĂŽlĂ©es par l’AssemblĂ©e de Kotios, avec qui le pays entretient des relations amicales. Le secteur de Nulle Part, autrefois impropre Ă  l’utilisation, est dĂ©sormais une plateforme logistique prospĂšre et capable de gĂ©rer une partie du commerce transitant vers les mers du nord. Bien que concurrençant en thĂ©orie le port de Kotios, les Jashuriens ont fait en sorte de dĂ©limiter les contours de leur accord avec Kotios afin que tout le monde y trouve son compte.

Géographie :

Histoire :

Politique et administration :

Population et société :

La population du port de Nulle-Part est constituĂ©e en grande majoritĂ© de travailleurs jashuriens et de dockers de Kotios, recrutĂ©s pour les besoins logistiques. Un accord, passĂ© avec le conseil de Kotios, oblige les Jashuriens Ă  engager pour moitiĂ© des travailleurs du cru et jusqu'Ă  prĂ©sent, les Jashuriens ont jouĂ© le jeu, la main-d'Ɠuvre de Kotios Ă©tant moins chĂšre - mais plus syndiquĂ©e - que celle venant de l'autre bout du monde. Outre les travailleurs permanents, essentiellement affectĂ©s Ă  la logistique et au commerce, le port de Nulle-Part comprend aussi un dĂ©partement d'armateurs et une pĂȘcherie suffisamment bien dotĂ©e pour renforcer l'Ă©conomie locale. Bien que l'essentiel de l'activitĂ© soit condensĂ©e dans la logistique et l'entretien des navires, le port de Nulle-Part comprend aussi des spĂ©cialistes des hydrocarbures et autres petits dĂ©partements liĂ©s aux activitĂ©s portuaires. Un petit contingent du CIE est encore sur place, afin de veiller Ă  ce que les choses restent paisibles. Les accords passĂ©s avec le Parti des Travailleurs de Kotios s'est avĂ©rĂ© profitable pour les deux parties et jusqu'Ă  prĂ©sent, l'accord tient toujours. Les militaires ne s'occupent pas des affaires et des petits trafics du Parti des Travailleurs - et de tout ce qui transite par la LavandiĂšre - et en Ă©change, les cadres du Parti font en sorte de gĂ©rer les Ă©ventuels troubles.

Economie :

L’économie du port de Nulle Part est quasi exclusivement tournĂ©e vers l’activitĂ© portuaire. La crĂ©ation du port logistique tenu par les Jashuriens permet d’allĂ©ger la charge imposĂ©e sur les ports de Kotios, tout en assurant aux activitĂ©s commerciales jashuriennes un lieu de ravitaillement et une Ă©tape dans leur traversĂ©e de la Mer Blanche. Ces activitĂ©s portuaires comprennent Ă  la fois les ateliers d’armateurs, les cales sĂšches pour l’entretien et le mouillage des navires, ainsi que les sites Ă  containers et la plateforme de fret. En-dehors des activitĂ©s portuaires et du ravitaillement, le port de Nulle-Part n’offre pas grand-chose et n’est pas un site d’investissements pour les compagnies commerciales. Les accords passĂ©s avec le Parti des Travailleurs de Kotios empĂȘchent le Jashuria d’y dĂ©ployer des activitĂ©s Ă©conomiques autres que celles des exploitations maritimes : pĂȘche, exploration maritime, logistique, 
 Le Jashuria caresse cependant l’espoir de parvenir Ă  trouver du pĂ©trole et des hydrocarbures non loin de la mĂ©tropole.
Culture :

Trivia :

2360
Mokhai - Port-franc de Patikali



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Introduction :


Le port-franc de Patikali est une petite concession jashurienne au MokhaĂŻ. SituĂ©e Ă  l’embouchure du fleuve menant Ă  la capitale du MokhaĂŻ, cette petite concession portuaire sert de hub logistique Ă  la RĂ©publique des Deux OcĂ©ans et de zone de mouillage pour ses navires depuis la fin du conflit ayant permis la destitution d’Aoki Saburo, le bourreau du MokhaĂŻ. Le port-franc a beau ĂȘtre de taille modeste, il se consolide d’annĂ©es en annĂ©es avec de nouvelles installations. La rĂ©conciliation entre le Jashuria et le MokhaĂŻ, ainsi que la restitution des biens confisquĂ©s par l’ancien rĂ©gime, a donnĂ© lieu Ă  une augmentation de l’activitĂ© Ă©conomique de la rĂ©gion. Depuis, les entreprises jashuriennes dĂ©sireuses d’investir au MokhaĂŻ s’installent dans la concession jashurienne et tissent des liens avec la rĂ©gion, offrant leur expertise Ă  un peuple en plein boom Ă©conomique. Le port-franc de Ghalyia est dotĂ© d'une base militaire, qui permet Ă  l'amirautĂ© jashurienne de la RĂ©gion des Perles de se ravitailler pour les longs voyages. Le site accueille des installations pĂ©troliĂšres qui permettent de ravitailler les navires.
Géographie :

Histoire :

Politique et administration :

Population et société :


La population du port-franc de Ghalyia est concentrĂ©e dans ce que les Jashuriens ont nommĂ© Patikali, le cƓur de la concession. Accueillant une population totale de 10 000 Ăąmes, cette concession est devenue en quelques mois une petite ville grouillant d’activitĂ©. Accueillant aussi bien des habitants du MokhaĂŻ que des investisseurs ou des militaires jashuriens, Patikali est surtout un lieu de transition. Les succursales des entreprises jashuriennes qui sont massĂ©s sur le territoire de la concession disposent de logements pour leurs travailleurs ainsi que d’hĂŽtels pour les cadres en mouvement. La base militaire, quant Ă  elle, dispose de ses propres installations. Le contingent sur place, rĂ©duit, est essentiellement lĂ  pour se substituer Ă  la police municipale en attendant que les services publics se structurent complĂštement. La base militaire de Patikali est essentiellement tournĂ©e sur le port, et sert de zone de mouillage et de ravitaillement pour les navires de l'amirautĂ© jashurienne. Les plans visant Ă  crĂ©er un aĂ©rodrome ont Ă©tĂ© dressĂ©s, mais les principaux investissements se font surtout sur la viabilisation des installations portuaires, pour le plus grand plaisir des entreprises.
Economie :

Culture :

Trivia :


  • Le MĂ»rier, le porte-avion jashurien, est basĂ© au MokhaĂŻ, et procure un appui aĂ©rien ainsi qu’un soutien logistique Ă  la base de Cochise IV situĂ©e Ă  Padure. Le troisiĂšme dĂ©tachement aĂ©rien de l’armĂ©e de l’air jashurienne est affectĂ© Ă  ce porte-avion.
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Padure - Base de Cochise IV



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Introduction :

La base de Cochise IV est une colonie jashurienne situĂ©e en lisiĂšre de la Grande ForĂȘt. Cette base, la quatriĂšme itĂ©ration, est le rĂ©sultat d’une mission transversale menĂ©e par le ComitĂ© d’Exploration de Padure et d’Etablissement (le CEPE). Cette base, abritant 1200 personnes, est l’une des plus grandes colonies des environs. Elle vise Ă  Ă©tudier les gisements miniers et la flore environnante dans un but d’exploitation future. Cette base, Ă©tablie en 2012, est aujourd’hui totalement opĂ©rationnelle et, bien qu’encore alimentĂ©e en vivres par le port-franc de Ghaliya, mĂšne ses opĂ©rations de reconnaissance avec le plus grand soin dans la rĂ©gion.
Géographie :

La base de Cochise IV est implantĂ©e Ă  la lisiĂšre de la Grande ForĂȘt, dans une des nombreuses vallĂ©es qui donnent accĂšs aux immenses massifs boisĂ©s. Cette vallĂ©e accueillait autrefois les restes des prĂ©cĂ©dentes expĂ©ditions du Jashuria dans la rĂ©gion. On y retrouve ça-et-lĂ  des carcasses d’installations prĂ©cĂ©dentes, toutes Ă©chouĂ©es, qui tentĂšrent de s’implanter durablement dans la rĂ©gion. La vallĂ©e dans laquelle s’implante Cochise IV dispose d’une situation gĂ©ographique idĂ©ale, les montagnes encadrant le dĂ©filĂ© offrant un couloir d’atterrissage idĂ©al pour les lignes de ravitaillement aĂ©riennes. L’expĂ©dition actuelle a mis en place une piste d’atterrissage Ă  l’entrĂ©e de la vallĂ©e et utilisĂ© les promontoires boisĂ©s pour s’installer dans les hauteurs, Ă©vitant ainsi une grande partie de l’humiditĂ© inhĂ©rente Ă  la proximitĂ© avec la forĂȘt. Les opĂ©rations de dĂ©boisement et de dĂ©forestation pour installer le campement ont eu des rĂ©sultats assez mitigĂ©s, dans la mesure oĂč la forĂȘt semble toujours supplanter les efforts des hommes pour la dĂ©fricher. Faute de rĂ©sultats probants, le campement de Cochise IV s’implante avec justesse entre les arbres et les clairiĂšres, crĂ©ant l’impression d’un campement cachĂ© et en harmonie avec la nature.

Histoire :

Le Jashuria n’en est pas Ă  sa premiĂšre expĂ©dition en Padure 
 mais toutes les prĂ©cĂ©dentes expĂ©ditions ont Ă©tĂ© des Ă©checs. Enfin 
 pas des Ă©checs. Disons simplement que ça n’a pas marchĂ©. Les premiĂšres expĂ©ditions visant Ă  trouver des gisements de minerais dans la rĂ©gion datent au moins de l’époque coloniale, pĂ©riode durant laquelle le Royaume du Jashuria, avec le soutien de l’administration fortunĂ©enne, dĂ©ploya des Ă©quipes pour cartographier et Ă©tablir des comptoirs dans la rĂ©gion. Malheureusement, les soucis logistiques, l’instabilitĂ© du Jashuria et les conditions climatiques ont fait Ă©chouer les expĂ©ditions les unes aprĂšs les autres.

Cochise IV n’est pas installĂ©e sur les restes des prĂ©cĂ©dentes expĂ©ditions, mais porte le nom de la quatriĂšme expĂ©dition en leur honneur. Son site a Ă©tĂ© choisi spĂ©cifiquement en bordure de la forĂȘt pour Ă©viter que les Ă©trangetĂ©s qui sommeillent en Padure n’aient raison de la santĂ© mentale des habitants de la colonie. Les Jashuriens observent ainsi la forĂȘt Ă  distance, bien Ă  l’abri depuis leurs complexes sĂ©curisĂ©s, mais la canopĂ©e des arbres et les orages qui balaient la rĂ©gion limitent les communications vers l’extĂ©rieur.

Politique et administration :

La base de Cochise IV est dirigĂ©e par le CEPE (Le ComitĂ© d’Exploration de Padure et d’Etablissement). Ce comitĂ©, constituĂ© de 13 personnes, reprĂ©sente les intĂ©rĂȘts conjoints de l’Etat jashurien et compagnies privĂ©es dĂ©sireuses d’investir dans la Grande ForĂȘt. Ce comitĂ© se rĂ©unit pĂ©riodiquement sur la base afin de dĂ©finir les orientations Ă  prendre pour que la colonie prospĂšre. Sous la forme de comitĂ©s de pilotage, les rĂ©unions ont pour but de veiller Ă  ce que les intĂ©rĂȘts de chaque participant soient respectĂ©s. Jusqu’à prĂ©sent, les membres du CEPE ont travaillĂ© dans une entente cordiale, bien que la difficultĂ© des communications vers l’extĂ©rieur aient impactĂ© leur patience. Depuis maintenant quelques mois, les Ă©quipes chargĂ©es des communications ont rĂ©ussi Ă  mettre en place un Ă©metteur radio longue portĂ©e sur un aplomb rocheux dĂ©passant de la forĂȘt. Cette installation a Ă©tĂ© depuis consolidĂ©e et les communications plus fiables ont pu ĂȘtre Ă©tablies avec l’extĂ©rieur. Le CEPE a demandĂ© Ă  ce que les Ă©quipes sur place continuent Ă  amĂ©liorer la qualitĂ© de la rĂ©ception des donnĂ©es et la diffusion des Ă©missions et messages par les ondes radio.

Population et société :

La population du camp de Cochise IV est estimĂ©e Ă  1200 personnes. Au sein de cette base, le personnel militaire est constituĂ© des membres du 17eme rĂ©giment d’infanterie forestiĂšre de la TroisiĂšme RĂ©publique du Jashuria, sous le commandement de l’armĂ©e de terre de la rĂ©gion des lacs. Ce contingent de 200 personnes veille Ă  ce que la sĂ©curitĂ© du site soit assurĂ©e en permanence et mĂšne des opĂ©rations de reconnaissance et de protection du personnel dans les environs de la base. Il s’agit d’un personnel entraĂźnĂ© et formĂ© aux opĂ©rations en milieu forestier. Correctement dotĂ© en armement et disposant de quelques blindĂ©s de reconnaissance, le 17e rĂ©giment d’infanterie n’est cependant pas Ă©quipĂ© d’armes de siĂšges ou de matĂ©riel lourd. Sa mission Ă©tant celle d’une reconnaissance et d’une protection des abords, il n’est pas Ă©quipĂ© pour mener une guerre de position ou des opĂ©rations de grande ampleur. Le personnel militaire de la base est soutenu Ă  distance par le porte-avion jashurien « Le Murier » basĂ© au MokhaĂŻ via le 3eme dĂ©tachement aĂ©rien. La base de Cochise dispose de plusieurs hĂ©licoptĂšres de transport afin d’effectuer des repĂ©rages et la cartographie de la rĂ©gion.

Le 17e rĂ©giment d’infanterie est un bataillon dĂ©diĂ© spĂ©cifiquement au combat dans les milieux forestiers. Ses membres ont une expĂ©rience solide en la matiĂšre et sont formĂ©s aussi bien Ă  repĂ©rer des traces qu’à monter des embuscades et survivre dans les milieux forestiers. Les escouades patrouillent rĂ©guliĂšrement aux abords du site et mĂšnent des expĂ©ditions avec les forces civiles dans le cƓur de la forĂȘt pour en rapporter des donnĂ©es cartographiques et des Ă©chantillons. Les membres du 17e rĂ©giment d’infanterie font des missions de 6 mois avant d’ĂȘtre rapatriĂ©s au Jashuria pour leur permission.

Economie :

L’économie de Cochise IV repose intĂ©gralement sur les subsides et les ravitaillements fournis par la TroisiĂšme RĂ©publique du Jashuria. Bien que l’objectif de la base soit de prospecter sur d’éventuelles ressources Ă  exploiter dans les environs, les groupes d’exploration en sont pour l’instant Ă  leur phase d’étude et de cartographie et la base ne produit rien d’exploitable Ă©conomiquement. Depuis maintenant quelques mois, les ressources agricoles cultivĂ©es au sein du campement ont permis de remplir les stocks en lĂ©gumes et fruits de premiĂšre fraicheur, et les Ă©chantillons rĂ©coltĂ©s par les scientifiques montrent des pistes prometteuses en matiĂšre de recherche. Malheureusement, le campement de Cochise n’est pas encore une colonie capable d’ĂȘtre autosuffisante, comme pourraient l’ĂȘtre d’autres enclaves jashuriennes.

DĂ©but 2017, la colonie s'est correctement dĂ©veloppĂ©e et commence Ă  engranger ses propres productions de nourriture, grĂące Ă  des serres arrangĂ©es par les ingĂ©nieurs agronomes de la colonie. Si la production est loin d'ĂȘtre encore suffisante et qu'une bonne partie des serres servent Ă  Ă©tudier le comportement des plantes trouvĂ©es dans la Grande ForĂȘt, les Jashuriens sont confiants dans leur capacitĂ© Ă  pouvoir rendre la colonie autosuffisante en matiĂšre de nourriture.

Culture :

La culture de la base de Cochise IV est purement et simplement jashurienne. La base n’a pas pour l’instant une population et une anciennetĂ© suffisante pour pouvoir prĂ©tendre avoir dĂ©veloppĂ© une culture distincte ou totalement indĂ©pendante de son entitĂ© de rattachement. Il n’en reste pas moins que la base de Cochise IV n’est pas qu’un simple lieu de travail. Parvenir Ă  condenser Ă  la bordure de la Grande ForĂȘt autant de personne ne pourrait ĂȘtre accompli sans apporter au personnel sur place de nombreux divertissements. La radio jashurienne de Cochise est Ă  ce titre le programme le plus populaire en matiĂšre de divertissement, aprĂšs l’utilisation d’internet.

Trivia :

  • La base de Cochise dispose d'une antenne radio longue portĂ©e qui Ă©met dans toute la forĂȘt. Les avions qui circulent autour de la Grande ForĂȘt peuvent parfois capter le signal de cette radio, qui continue Ă  Ă©mettre ses Ă©missions.

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Chandekolza - Base d’Ashoka



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Introduction :

La base d’Ashoka est une base humanitaire et militaire liĂ©e Ă  la politique extĂ©rieure du Jashuria en matiĂšre d’aide humanitaire. Cette base, dont le terrain a Ă©tĂ© louĂ© par l’Etat du Chandekolza, est la tĂȘte-de-pont des activitĂ©s jashuriennes dans la rĂ©gion de Jib-Outhi. Créée dans le but de supporter l’aide humanitaire jashurienne aux populations du Chandekolza, la base d’Ashoka est Ă  la fois une installation militaire disposant d’un aĂ©rodrome et d’un port d’attache, ainsi qu’une base logistique indispensable pour le maintien des activitĂ©s jashuriennes dans la rĂ©gion.
Géographie :

La base d’Ashoka est situĂ©e dans la rĂ©gion de Jib Outhi, sur les cĂŽtes occidentales du pays. Les Jashuriens ont louĂ© un emplacement globalement sĂ»r, assez loin des marais et des autres biomes complexes Ă  viabiliser, prĂ©fĂ©rant, pour une fois, jouer sur un terrain facile Ă  bĂątir. La base se trouve non loin de plusieurs villes de moyenne importance du Chandekolza, ce qui permet aux Jashuriens d'entretenir des liens commerciaux avec les locaux pour se fournir en matĂ©riaux et en denrĂ©es quotidiennes. Si la base est proche des forĂȘts luxuriantes du Chandekolza, c'est surtout sa proximitĂ© avec l'ocĂ©an qui rend l'endroit particuliĂšrement intĂ©ressant. Les eaux sont relativement profondes dans les environs, ce qui permet aux forces armĂ©es jashuriennes de faire mouiller leurs navires dans la baie et de dĂ©charger plus facilement le matĂ©riel qui ne transite pas par avions de transport. Les soldats de la base ont suffisamment repĂ©rĂ© les environs pour saisir la gĂ©ographie du site avec prĂ©cision et contrĂŽlent plusieurs avant-postes de guet aux alentours.
Histoire :

La base d’Ashoka a Ă©tĂ© créée pour rĂ©pondre Ă  un appel d’offres unique en son genre : aider les populations du Chandekolza Ă  acquĂ©rir une indĂ©pendance en matiĂšre d’alimentation et de production agricole, dans un contexte marquĂ© par la fragilitĂ© de l’approvisionnement en aliments. Les Jashuriens, grĂące Ă  l’autorisation des autorisĂ©es chandekolzanes, ont reçu l’autorisation d’implanter une base militaire dans la rĂ©gion de Jib-Outhi afin de piloter l’installation des organisations non gouvernementales et d’accueillir les marchandises et les fournitures destinĂ©es aux populations locales.

Depuis l’annĂ©e 2015, les Jashuriens ont implantĂ© la base d’Ashoka au Chandekolza et contrĂŽlent la quasi-totalitĂ© de l’aide alimentaire et des amĂ©liorations d’infrastructures dans la rĂ©gion. Les Jashuriens ont procĂ©dĂ© par Ă©tapes, notamment en mettant au pas les bases eurysiennes dans la rĂ©gion et en exerçant une pression diplomatique sur le Chandekolza pour faire plier les plus rĂ©calcitrants. C’est depuis cette base que les Ă©quipes en place exĂ©cutent le plan de redynamisation du Chandekolza, en envoyant de l’aide alimentaire aux populations locales ainsi que des humanitaires pour construire des puits, des Ă©coles et des champs. Les humanitaires jashuriens sont appuyĂ©s dans leur mission par les soldats jashuriens du CIE, qui veillent Ă  leur sĂ©curitĂ© et apportent leurs connaissances dans la crĂ©ation des infrastructures.

Politique et administration :

La base d'Ashoka présente une administration duale, composée des forces du CIE et des représentants du programme d'aide humanitaire au Chandekolza. Les forces du CIE y sont particuliÚrement actives étant donné leur mission humanitaire et l'essentiel des décisions quotidiennes sont prises par l'Etat-major jashurien du CIE, basé au Chandekolza, qui pilote le développement de la base. Les humanitaires civils, organisés en fonction de leurs organisations respectives, sont commandés par un conseil de gestion, qui se réunit une fois par semaine afin de statuer sur les avancées des missions humanitaires et faire le point sur les projets à venir et la gestion quotidienne de la logistique. L'ensemble de la base constitue désormais une petite ville de prÚs de 5000 personnes attachées soit au CIE, soit aux organisations humanitaires. La base a énormément grossi ces derniÚres années et a désormais largement renforcé ses positions.

Population et société :


Economie :


Culture :


Trivia :

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