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Encyclopédie de l'Everia - Page 2

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Mesures sociales en Everia :


Logement pour tous :
Everia garantit un logement gratuit aux personnes en situation difficile. Cette gratuité est temporaire et liée au programme “Travail pour tous”. Une fois un emploi attribué à l’individu, la contribution au logement reprend progressivement, en fonction de ses capacités financières. Cette approche permet de sécuriser les citoyens en période d’instabilité, tout en favorisant leur autonomie à long terme.

Salaire minimum :
Le salaire minimum est universel à travers tout le pays, sans distinction de secteur ou d’âge. Il est fixé à 1 250 Solaris par mois pour l’année 2016, et est réévalué chaque année en fonction du coût de la vie, afin d’assurer une dignité de vie minimale à tous les travailleurs.

Pain au tournesol à 1 Micro :
Produit emblématique d’Everia, le pain au tournesol est vendu au prix symbolique de 1 Micro, soit 0,000001 Solaris. Cette mesure permet à chacun, même les plus démunis, d’avoir accès à une alimentation de base. Il s'agit d'un pilier de la politique de sécurité alimentaire et de solidarité nationale.

Santé pour tous :
Le système de santé Everien est totalement gratuit pour tous les citoyens. Il est financé par les impôts et couvre les soins généraux, dentaires, mentaux et préventifs (comme les vaccins, bilans de santé, etc.). Seules les personnes ayant la nationalité Everienne peuvent en bénéficier.

Conseil syndical :
Le conseil syndical regroupe l’ensemble des représentants des syndicats Everiens. Chaque mois, il dispose d’un droit de communication avec le conseil impérial pour faire remonter des revendications, problèmes ou propositions émanant des travailleurs. Il joue un rôle fondamental dans le dialogue social.

Congé payé minimal :
Tout travailleur a droit à un minimum de deux semaines de congés payés par an. Ce droit est ouvert après quatre semaines consécutives de travail dans un même emploi, assurant ainsi un temps de repos même aux employés récemment embauchés.

Travail pour tous :
L’Everia a mis en place un organisme public centralisé chargé de coordonner toutes les offres d’emploi, publiques comme privées. Son objectif est de garantir à chaque citoyen l’accès à un poste, en fonction de ses compétences et disponibilités, dans les meilleurs délais possibles.
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Système douanier Everien sur les frontières Evero-Costa Sueñoleja :

Sur la douane frontalière entre ces deux pays comme à toute les autres douanes Everienne les contrôles étais systématiques. Ils se composait d'un passage de tout les bagages portables dans un scanner à rayon X et passagers dans Scanner à ondes millimétriques. Pour les véhicules ils passent tous par un scanner automatique "Portique scanner RX" ainsi que part des voies équipé de caméra latérale et visionnant le châssis. Les différent postes sont équipé d'un système de caméra de surveillance avec assistance par intelligence artificielle, Ils sont équipé du model Vigilante 5. il y a aussi des caméras thermiques à tous les angles affin de détécter les chargements suspects. Les postes sont aussi équipé de systèmes anti-drones et des chiens limier entrainé pour la lutte contre le traffic de substance illicites. Les douaniers sont équipés de fusils incapacitant de type Arkos IV avec choc électrique et flashball, ils sont aussi équipé de fusils d'assauts Erak. Les postes sont aussi équipé d'héliport et certains sont équipé de piste de décollage. La surveillance entre les postes sont mené notamment par drone (Effectif : 240) :

Drones
Drone de surveillance douanier type Vyllis 3Drone de surveillance douanier type Elkrom

Par hélicoptère (Effectif : 27) :

hélicoptères
Hélicoptére douanier avec une équipe d'interventionhélicptère de ronde douanièrehélicoptère de reconnaissance des forces douanières


Il y a aussi des équipes au sol pour effectué des rondes et de la surveillance sur le terrain (Effectif : 860) :

Véhicules au sol
Véhicule terrestre de surveillance et de patrouille des forces douanières EverienneVéhicule terrestre de surveillance et de patrouille des forces douanières EverienneVéhicule terrestre de surveillance et de patrouille des forces douanières EverienneVéhicule terrestre de surveillance et de patrouille des forces douanières Everienne

Les équipes de surveillances au sol et aérienne bénéficie du soutien du système satellitaire de surveillance "Prévenant" (nom français pour le style, comme tout les autres nom en langues étrangères) (Effectif : 3) :

satelittes
 Satellites de surveillance consacré à la surveillance côtière et du territoire national Everien dans les normes du projet ******Satellites de surveillance consacré à la surveillance côtière et du territoire national Everien dans les normes du projet ******Satellites de surveillance consacré à la surveillance côtière et du territoire national Everien dans les normes du projet ******

En plus de tout les différentes méthodes et véhicules présenté jusqu'ici il y as le domaine maritime (Effectif : 130) :

bateaux
Bateau de surveillance maritime des services douaniers EverienBateau de surveillance maritime des services douaniers EverienBateau de surveillance maritime des services douaniers EverienBateau de surveillance maritime des services douaniers Everien

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Histoire de l'empire conquérant d'Everia


En 1376, l’Empereur Galenor I Velpe mit en marche le plan d’expansion préparé sous ses ordres depuis déjà quatre ans, un projet initialement voulu et organisé par Talonex I Velpe autour de 1368. Le 16 mai de cette même année, une armée de soixante quatre mille hommes aurait été mobilisée pour étendre le territoire everien.

Ces chiffres sont mentionnés à la fois dans la Bibliothèque des Souvenirs Éternels et dans les archives de la bibliothèque impériale, à travers de nombreuses sources distinctes : recueils de mémoires, retranscriptions de discours, ou documents relatifs à cet événement. Ces témoignages, émanant aussi bien d’officiels que de militaires, de personnages influents ou de simples citoyens, étaient consignés sur divers supports : papier d’écorce, plaquettes de bois gravé, tissus tissés ou brodés (probablement réservés aux individus riches ou importants), et tablettes d’argile séchée, sans doute utilisées par les autorités, l’armée et les personnes éduquées telles que les instituteurs.

Suite à cette mobilisation de forces armées ainsi que de la force d’élite impériale, un groupe d’un peu plus d’une centaine d’hommes équipés d’armes et de boucliers rudimentaires en fer fut déployé. Ces armes, bien que dépourvues d’une très grande précision lors de leur fabrication, représentaient un net avantage comparé aux armes en pierre de l’époque.

Aujourd’hui encore, on peut retrouver certaines de ces armes au Musée National Everien à Catan ainsi qu’au Musée de la Guerre à Veldrith, les pièces les plus connues sont l'armure intégrale du général Kotanu Eshoa et l'épée dorée du général Tayen Naskoha.

Cette armée était sous les ordres de six généraux, spécialement nommés pour ce projet et formés avec la plus grande attention : Tayen Naskoha, en charge de l’expansion vers l’ouest de l’Empire Everien, en passant par la région où se trouve l’actuelle ville de Ciudad Chávez. Ahyoka Kelamé, responsable de la conquête des territoires au nord de l’Empire. Nokoma Yuweh, chargé de l’expansion vers le nord-est du territoire Everien. Tahsénan Oltoyak, chargé de l’exploration et de la réclamation des territoires à l’est de l’Everia. Yana Sokolee, dirigeant les troupes everiennes au sud-est pour la gloire et la croissance de l’Empire. Kotanu Eshoa, responsable de l’expansion au sud de l’Everia.

Dans les semaines qui suivirent le début du projet, les troupes se déplacèrent vers les frontières dans l'objectif d'agrandir l'Empire diplomatiquement ou par la force. Les six armées avaient une organisation similaire : Les deux groupes qui allait vers le sud et le sud est avait dix mille quatre cent hommes chacun et les quatre autre groupent se composait de dix mille huit cent hommes. Ces groupes étaient eux-mêmes scindés en divisions, celle de dix mille huit cent l'étais en trois groupes de trois mille six cent hommes eux même divisé en neuf groupes de quatre cent. Les armées de dix mille quatre cent hommes elle étais divisé en deux groupes de trois mille cinq cent vingt et un groupes de trois mille trois cent soixante. Les divisions trois mille cinq cent vingt étais divisé en huit groupes de quatre cent quarante et la division de trois mille trois cent soixante étais divisé en huit groupes de quatre cent vingt.

À la tête de l'armée en charge de la conquête se trouvait l'Empereur. En dessous, pour chaque groupe de dix mille hommes, un général était assigné. Sous leur commandement se trouvaient dix commandants, chacun en charge de mille hommes, eux-mêmes divisés en quatre groupes de deux cent cinquante, chacun mené par un lieutenant. En plus de la force principale de plus de soixante quatre mille soldats, il y avait trente mille hommes — pas tous des soldats, car de nombreux civils étaient également mobilisés. On comptait parmi ces derniers des maîtres bâtisseurs, des maîtres des ouvrages, des maîtres charpentiers, ainsi que de nombreux bâtisseurs. Les rangs comprenaient également des fermiers, des cartographes, des logisticiens, des creuseurs de sources, et quelques médecins chargés de veiller à la santé des hommes. Ils disposaient d’environ six mille wapitis, qui servaient au transport et au trait de marchandises et de matériel. Les wapitis, dont les tentatives de domestication avaient commencé deux cents ans plus tôt, avaient à l'origine une vocation commerciale et agricole. Ce n'est que bien plus tard qu’ils furent orientés vers la logistique, aussi bien pour l’armée que pour d’autres domaines. Leur tâche était de construire, derrière les armées principales, un réseau de routes en terre, ainsi que des fermes, des puits et des forteresses, placés en prévision de garder sur le long terme les territoires conquis et de permettre l’établissement de zones de production et de repli plus proches des lignes d’expansion.
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