18/09/2016
15:48:30
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[Armée] Matériel en service au sein de l’armée fédérale - Page 2

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Classe Hunter
CORVETTE


Classe Hunter

Type : Corvette
Niveaux technologiques : 1 à 4
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Warsmith Industries
Durée de service : Depuis 1989
Période de production : Entre 1987 et 1995

Longueur : 85,43 m
Largeur : 10,41 m
Tirant d’eau : 5,36 m
Vitesse : 27 noeuds (50 km/h)
Rayon d’action : 6 700 milles marin à 18 nœuds (33,35 km/h)

Armement : 1 canon de 76mm, 1 x 8 missiles anti-aériens/anti-missiles, 2 x 4 tubes lance-torpilles de 324 mm, 4 HMG-57 (mitrailleuse à utilisation manuelle), 2 canons à eau
Équipement annexe : 2 embarcations pouvant aller jusqu’à 40 noeuds (74,08 km/h), un hélicoptère léger de modèle LH-11 (non-permanent et si présence d’un module héliport)
Équipage : 115 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Hunter’ (F-670)
  • GRS ‘Thunder’ (F-671)
  • GRS ‘Voyager’ (F-672)

Présentées en 1985 par Warsmith Industries, les corvettes de classe Hunter ont été développées dans le but de fournir aux forces navales westaliennes un navire en capacité de se spécialiser dans la lutte anti-sous-marine, mais également d’assurer des missions de patrouille et de police maritime. Produit en trois exemplaires, il remplace les précédents modèles ayant été utilisés au cours de la guerre de 59 et de la guerre 81 contre la Viétie. En raison de la longue période de paix, il s’oriente de plus en plus sur ses fonctions de patrouilles et les modèles existant connaissent des évolutions technologiques, tel que l’ajout d'un radar plus performant au début des années 2000 ou encore l’ajout d’un héliport à l’arrière du navire pour les corvettes Thunder (F-671) et Voyager (F-672), capable d’accueillir un hélicoptère léger, principalement un modèle LH-11, qui aide principalement dans les missions de patrouilles, mais peut également servir à la lutte anti-navire ou anti-aérien jusqu’à un certains degré. Aujourd’hui, les corvettes de classe Hunter se réoriente de plus en plus dans leur fonction de base : la lutte anti-sous-marine, qui entre dans les évolutions de la doctrine navale westalienne. Pour autant, en raison de leur ancienneté et de leurs limites dans les améliorations applicables, ils devraient être progressivement remplacés par des modèles plus récents d’ici une dizaine d’années, selon la marine fédérale.



Classe Kaijotoshi
CORVETTE


Classe Kaijotoshi

Type : Corvette
Niveaux technologiques : 5 à 9
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Akiyama Kajiya
Durée de service : Depuis 2009
Période de production : Depuis 2006

Longueur : 97 m
Largeur : 14,7 m
Tirant d’eau : 5,24 m
Vitesse : 29 noeuds (53,7 km/h)
Rayon d’action : 4 200 milles marin à 16 nœuds (29,6 km/h)

Armement : 1 canon de 76mm, 2 canon de 30mm, 2 x 8 missiles anti-aériens/anti-missiles, 2 x 4 missiles anti-navires, 2 x 4 tubes lance-torpilles de 324 mm, 6 HMG-57 (mitrailleuse à utilisation manuelle), 2 canons à eau
Équipement annexe : 2 embarcations pouvant aller jusqu’à 40 noeuds (74,08 km/h), un hélicoptère léger de modèle LH-11 (non-permanent) ou un hélicoptère de modèle TH-85 (non-permanent)
Équipage : 80 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Kaijotoshi’ (F-930)

Les corvettes de la classe Kaijotoshi répondent aux attentes modernes de la doctrine adoptée par la marine fédérale, qui souhaite s’équiper de navires en capacité de défendre le territoire national avec une plus grande capacité anti-navire et anti-sous-marine. En 2005, Akiyama Kajiya présente ce nouveau modèle de corvette inspiré de ce qui est déjà utilisé dans les forces navales étrangères les plus avancées dans ce domaine. Équipée d’un armement plus complet, la classe Kaijotoshi continue d'exceller dans la lutte anti-sous-marine, mais contrairement à la classe Hunter, qu’elle ambitionne de remplacer, son équipement est beaucoup plus complet pour ce qui des combats de surface. Comme pour beaucoup de nouveaux navires de ce nouveau siècle, la corvette a été conçue pour être la plus furtive et indétectable possible, avec un revêtement réduisant la signature radar du navire de moitié, une caractéristique désormais considérée comme une norme pour tous les navires contemporains. L’autre grande caractéristique qui la différencie de la classe Hunter est la capacité des Kaijotoshi à pouvoir effectuer plus facilement des missions offshores, bien que le cœur de leur zone d’opérations reste la défense des régions littorales. L’ajout de cette capacité est directement en lien avec l’augmentation exponentielle des échanges maritimes avec la Grande République et la nécessité de protéger les routes commerciales qui tendent à représenter la colonne vertébrale de la croissance économique westalienne, depuis quelques années.



Classe Osakyo
FRÉGATE


Classe Osakyo

Type : Frégate
Niveaux technologiques : 1 à 4
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Akiyama Kajiya
Durée de service : Depuis 1997
Période de production : 1993-2000

Longueur : 124,4 m
Largeur : 14,7 m
Tirant d’eau : 6,2 m
Vitesse : 23 noeuds (42,6 km/h)
Rayon d’action : 4 000 milles marin à 18 nœuds (33,3 km/h)

Armement : 1 canon de 76mm, 1 canons anti-aériens/anti-missiles de 20mm, 2 x 6 missiles anti-navires, 2 x 3 tubes lance-torpilles de 324 mm, 2 x 4 missiles air-air, 1 canon de défense rapprochée anti-missile de 30mm.
Équipement annexe : 2 embarcations pouvant aller jusqu’à 40 noeuds (74,08 km/h), un ou deux hélicoptères de modèle TH-85 (non-permanent)
Équipage : 150 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Osakyo’ (F-330)
  • GRS ‘Nosuriba’ (F-331)

La classe Oskayo est une série de deux frégates conçue par Akiyama Kajiya et produite pour le compte de la marine fédérale westalienne à la fin des années 90. En s’ouvrant sur le marché de l’armement et tout particulièrement celui de la production de navires de guerre, Akiyama Corporation présente en 1990 un nouveau modèle de frégate à la pointe de la technologie et qui vise directement à remplacer les modèles vieillissant de frégates westaliennes, dont certaines datent même de la guerre de 59. Dans sa conception, la classe Osakyo se démarque par une capacité assez importante dans la lutte anti-aérienne et tout particulièrement anti-missile, le développement de ce nouveau navire ayant permis la conception d’un canon de défense rapprochée du bâtiment. Bien que polyvalent, il ne se démarque pas vraiment des modèles équivalents et contemporains dans ses capacités anti-navires. Il faudra attendre l’application du premier budget conservateur en 1992 et la définition d’une nouvelle doctrine navale par les forces armées de la Grande République pour que la classe Osakyo soit réellement adoptée dans son arsenal maritime. Bien que ce modèle coche toutes les cases attendues par l’État-Major, son coup s’avère être particulièrement élevé pour l’époque et quelques difficultés au cours du chantier de la seconde frégate, la ‘Nosubira’, inquiètent les hauts-dignitaires westaliens. Pour autant, Akiyama Kajiya réussira à rassurer le gouvernement en finissant le chantier dans les temps et sans surcoût, ce qui permettra au second de cette classe d’être déployé. Initialement, deux autres navires de classe Osakyo devaient être lancées à la fin des années 2000, mais la présentation de la frégate de classe Vistali, par Warsmith Industries, beaucoup plus rapide et mieux équipée, fait changer de regard le gouvernement qui se tourne plutôt vers ce nouveau modèle, quand bien même les Vistali coûtent plus cher que les Osakyo. Les deux seuls navires de cette série sont, pour autant, des atouts indispensables dans les missions maritimes de l’armée fédérale, qui continue à les entretenir et à les moderniser, toujours en partenariat avec Akiyama Kajiya.



Classe Vistali
FRÉGATE


Classe Vistali

Type : Frégate
Niveaux technologiques : 5 à 8
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Warsmith Industries
Durée de service : Depuis 2013
Période de production : Depuis 2010

Longueur : 118,3 m
Largeur : 15,2 m
Tirant d’eau : 6,1 m
Vitesse : 33 noeuds (61,1 km/h)
Rayon d’action : 4 100 milles marin à 18 nœuds (33,3 km/h)

Armement : 1 canon de 120mm, 2 canons anti-aériens/anti-missiles de 20mm, 2 x 6 missiles anti-navires, 2 x 2 tubes lance-torpilles de 324 mm, 2 x 8 missiles air-air
Équipement annexe : 2 embarcations pouvant aller jusqu’à 40 noeuds (74,08 km/h), un ou deux hélicoptères de modèle TH-85 (non-permanent)
Équipage : 170 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Vistali’ (F-420)
  • GRS ‘Reggio di Terracristo’ (F-421) (En cours de construction)

La classe Vistali est une série de frégates westaliennes conçues par Warsmith Industries, dans le but de moderniser et de remplacer les anciens modèles de frégates ne répondant plus aux exigences de la nouvelle doctrine navale. Avec l’élargissement progressif de la flotte de la Grande République et la multiplication des opérations au large, sur la durée et dans des régions éloignées, les frégates Vistali ont été conçues pour être un élément important des groupes d’opérations maritime de la marine fédérale, principalement conçues pour escorter des bâtiments stratégiques (porte-avions, porte-hélicoptère, pétrolier-ravitailleurs), ils disposent d’une force anti-aérienne et anti-sous-marine largement supérieur à ses prédécesseurs, ainsi qu’une capacité de combat de surface permettant d’avoir un réel impact au cours d’affrontement d’ampleur sur la mer. Il se démarque des autres frégates de sa génération grâce à sa méthode de propulsion qui combine deux turbines à gaz et deux turbines diesels, lui permettant d’atteindre une vitesse maximale de 33 noeuds (61,1 km/h), faisant de la classe Vistali l’un des modèles de frégates les plus rapides au monde. Aujourd’hui, la classe Vistali occupe toujours une place d’importance au sein de la marine fédérale, qui l’utilise dans les missions de lutte anti-piraterie menées un peu partout dans les mers aleuciennes. Avec la mise en chantier de nouveaux porte-hélicoptères et porte-avions prévus jusqu’à la fin de la décennie, la production de frégates devient de plus en plus importante au sein de la marine fédérale, qui va faire de la classe Vistali le modèle central du renouveau de la flotte de guerre de la Grande République.



Classe Dakantia
DESTROYER


Classe Dakantia

Type : Destroyer
Niveaux technologiques : 1 à 4
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Warsmith Industries
Durée de service : Depuis 1982
Période de production : 1978-1994

Longueur : 173,9 m
Largeur : 17,4 m
Tirant d’eau : 8,9 m
Vitesse : 32 noeuds (59,2 km/h)
Rayon d’action : 6 000 milles marin à 20 nœuds (37 km/h)

Armement : 2 canon de 125mm, 2 canons anti-aériens/anti-missiles de 20mm, 1 x 8 missiles anti-sous-marins, 1 x 29 missiles air-air à moyenne portée, 1 x 21 missiles surface-air à courte portée, 2 x 4 missiles anti-navires, 2 x 3 tubes lance-torpilles de 324 mm, 7 missiles de croisières (2 x lanceurs quadruples)
Équipement annexe : 3 embarcations pouvant aller jusqu’à 40 noeuds (74,08 km/h), un ou deux hélicoptères de modèle TH-85 (non-permanent)
Équipage : 330 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Dakantia’ (DD-730)

Liste des navires retirés du service :
  • GRS ‘Northcoal’ (DD-731) (Reconverti en navire-école)
  • GRS ‘Southcoal’ (DD-732) (Démantelé)
  • GRS ‘William Heavenfort’ (DD-733) (Coulé lors d’un exercice)
  • GRS ‘Patten’ (DD-734) (En cours de démantèlement)

La classe Dakantia est une série de cinq destroyers construits par Warsmith Industries dans les années 80 et 90 et conçue pour la marine fédérale westalienne. Les destroyers Dakantia DD-730 (1982) et Northcoal DD-731 (1982) sortent précipitamment de leur chantier en raison de la guerre qui éclate contre la Viétie et la nécessité de moderniser la flotte de la Grande République, pour assurer une meilleure force de frappe navale dans le nouveau groupe d’opération monté l’année précédente (1981) autours du récent porte-avions Columbia. L’objectif de ces nouveaux destroyers est de former l’épicentre de la lutte anti-navale, anti-sous-marine et anti-aérienne dans les opérations de la marine fédérale. Bien que les deux premiers exemplaires furent incomplets, en raison de leur déploiement précoce provoqué par la guerre, ils ont tout de même réussi à démontrer leur opérationnalité sur un théâtre réel. Entre 1985 et 1987, ils seront mis à jour pour s’équiper des éléments qui ne purent être ajoutés en 1982. L’efficacité de ce modèle et sa popularité, aussi bien auprès de la marine, que de la population, est devenue une icône de la guerre de 82 et de la lutte contre le communisme. Ainsi, les gouvernements fédéraux successifs vont commander trois nouveaux destroyers de classe Dakantia, chacun déployé entre 1986 et 1994. Cependant, la majorité d’entre eux connaîtront un destin peu enviable. Une explosion accidentelle dans le Southcoal DD-732, en 1998, va provoquer de trop importants dégâts pour que sa réparation soit financièrement rentable et il sera donc démantelé. Un destin similaire touche le Patten DD-734, dont un incendie provoqué volontairement va apporter de trop importants dégâts et son envoi pour démantèlement, en 2011. Le William Heavenfort DD-733 est retiré du service en 2007, en raison de sa maintenance trop importante, il sera coulé au cours d’un exercice en 2014. Aujourd’hui, le Northcoal a été reconverti en navire-école, début 2010, dans le port de New Landor, étant retiré de facto du groupe d'opérations naval westalien. Seul le Dakantia DD-730 est encore en service au sein de la marine fédérale. Bien qu’étant le plus ancien navire de la flotte, il a connu de nombreuses phases de modernisation au cours de son existence et reste un bâtiment en capacité de participer à des opérations militaires. Après le décommissionnement du porte-avions Columbia, en 2013, il est devenu de facto le navire-amiral de la marine fédérale, mais ce rôle devrait être rapidement repris par le successeur de son prédécesseur, en cours de construction dans les chantiers navals westaliens.



Classe Akiyama
DESTROYER


Classe Akiyama

Type : Destroyer
Niveaux technologiques : 5 à 7
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Akiyama Kajiya
Durée de service : Depuis 2016
Période de production : Depuis 2013

Longueur : 167,6 m
Largeur : 20,8 m
Tirant d’eau : 6,15 m
Vitesse : 32 noeuds (59,2 km/h)
Rayon d’action : 6 500 milles marin à 20 nœuds (37 km/h)

Armement : 1 canon de 127mm, 2 canons anti-aériens/anti-missiles de 20mm, 1 canon de défense rapprochée anti-missile de 30mm, 16 cellules de lancement de missiles anti-sous-marin, 80 cellules de lancement de missiles surface-air à moyenne portée, 1 x 21 missiles surface-air à courte portée, 4 x 4 missiles anti-navires, 2 x 3 tubes lance-torpilles de 324 mm, 32 cellules de lancement de missiles de croisière
Équipement annexe : 4 embarcations pouvant aller jusqu’à 40 noeuds (74,08 km/h), un ou deux hélicoptères de modèle TH-85 (non-permanent)
Équipage : 370 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Hirosada Akiyama’ (DD-740)
  • GRS ‘Sōtoku’ (DD-741)
  • GRS ‘Seiji Ishiyama’ (DD-742)
  • GRS ‘Sagawa’ (DD-743) (En cours de construction)
  • GRS ‘Akura’ (DD-744) (En cours de construction)

La classe Akiyama est une série de destroyers en cours de production par Akiyama Kajiya, pour le compte de la marine fédérale, dans le but de remplacer les destroyers de classe Dakantia qui n’ont toujours pas été remplacés. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le nom de ce modèle ne vient pas du très célèbre PDG du groupe Akiyama Corporation, Hirayoshi Akiyama, mais bel et bien de son illustre ancêtre, Hirosada Akiyama, qui a joué un rôle très important dans l’unification des cités nipozams à la fin du XIXème siècle et dans l’intégration de ce territoire à Westalia, au début du XXème siècle. Ainsi, lorsque la filiale spécialisée dans l’armement possédé par son descendant a recherché un nom pour ce nouveau modèle de destroyer, ils ont opté pour celui de ce personnage historique nipozam et westalien. Contrairement à la classe Dakantia, les destroyers de la classe Akiyama se veulent beaucoup plus offensifs et équipés d’une variété de missiles, plus nombreux et adaptés à de nombreuses situations, faisant de ce modèle un navire de combat très polyvalent. Lutte anti-navale, anti-sous-marine ou encore anti-aérienne, rien n’échappe à ce nouveau type de bâtiment de guerre. Avec l’évolution technologique des missiles westaliens, ceux-ci étant plus rapides et manipulable qu’il y a quelques années, le destroyer possède majoritairement des lanceurs verticaux, par cellules, plutôt que les traditionnels lanceurs stationnaires, sous forme de tourelles, qui sont bien moins nombreux, permettant ainsi une plus grande cadence de tirs que ses prédécesseurs. La classe Akiyama ambitionne de devenir le nouveau pilier offensif dans la grande réforme du groupe d'opérations naval de la marine fédérale et elle semble bien partie pour atteindre ce statut. Les trois premiers navires de cette classe sont déployé au cours de l'année 2016, lors d'une grande cérémonie où est invité le Président fédérale de la Grande République, Simeon Belagri, qui annonce le déploiement de deux autres modèles d'ici à la fin de l'année 2017. Bien qu’assez coûteux, la complexité et la technicité de ces derniers démontrent la réelle volonté de la Grande République de se doter d’une flotte de guerre puissante, au fur et à mesure que son économie augmente et que son budget consacré à la défense ne cesse de croître dans des proportions similaires.



Classe Joseph Borten
PORTE-HÉLICOPTÈRE


Classe Joseph Borten

Type : Porte-hélicoptère / Landing Platform Helicopter
Niveaux technologiques : 1 à 4
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Warsmith Industries
Durée de service : Depuis 2007
Période de production : 2001-2007

Longueur : 200 m
Largeur : 32 m
Tirant d’eau : 7 m
Vitesse : 23 noeuds (42,6 km/h)
Rayon d’action : 10 000 milles marin à 18 nœuds (33,3 km/h)

Armement : 1 canons anti-aériens/anti-missiles de 20mm, 2 canon de défense rapprochée anti-missile de 30mm, 1 x 21 missiles surface-air à courte portée
Capacité de transport : Jusqu’à 15 hélicoptères ou avions à décollage verticale (WSA-04)
Équipage : 300 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Joseph Borten’ (LPH-120)

Le porte-hélicoptère de classe Joseph Borten est le premier de ce type à équiper la flotte de la marine fédérale westalienne. En effet, avant ça, le seul porte-aéronef existant fut le porte-avions Columbia, déjà âgé de presque deux décennies, lorsque le chantier pour le porte-hélicoptère Joseph Borten (LPH120) débute. Si dans un premier temps, les ingénieurs de Warsmith Industries pensèrent à ajouter une rampe de lancement, l’idée fut abandonné pour spécialiser ce nouveau navire dans le transport d’engin, principalement des hélicoptères, visant à faciliter la lutte anti-sous-marine, mais également l’appuie d’assaut amphibie. Sa construction sera plusieurs fois retardée à cause de problèmes rencontrés sur le chantier, décalant la mise en service initialement prévue pour 2005 à 2007. Malgré tout, ce PH parvient à occuper une place centrale dans le groupe d'opérations maritimes des forces navales westaliennes, tout particulièrement depuis que le porte-avions Columbia a été retiré du service en 2013. Si le Joseph Borten est efficace, la nouvelle doctrine navale de la Grande République pousse plus vers la construction de Landing Helicopter Assault, pour ce qui est des portes-hélicoptères, qui répondent plus à la création d’une flotte dotée d’une plus grande capacité opérationnelle. D’autres modèles de LHA moderne devraient grossir les rangs de la flotte westalienne et ceux-ci ne devraient donc pas être de cette classe de navire.



Classe Columbia
PORTE-AVIONS


Classe Columbia

Type : Porte-avions / Light aircraft carrier
Niveaux technologiques : 1 à 3
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Warsmith Industries
Durée de service : 1981-2013
Période de production : 1975-1981

Longueur : 210 m
Largeur : 33 m
Tirant d’eau : 9,5 m
Vitesse : 27 noeuds (50 km/h)
Rayon d’action : 6 500 milles marin à 20 nœuds (37 km/h)

Armement : 2 canons anti-aériens/anti-missiles de 20mm, 2 canon de défense rapprochée anti-missile de 30mm
Capacité de transport : Jusqu’à 20 avions ou hélicoptères
Équipage : 550 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Columbia’ (CVL-01) (reconverti en navire-musée)

En pleine période de tensions avec la Viétie, dans l’entre-deux guerres, le gouvernement fédéral fait voter le renforcement de la flotte vieillissante de la Grande République. Au centre de ce projet pharaonique, on retrouve le navire westalien le plus célèbre de l’histoire : le Columbia (CVL-01). Premier porte-avions de conception westalienne, il est également le plus grand navire jamais construit pour la marine fédérale. Navire amiral durant toute la guerre de 82, il joue un rôle crucial dans le contrôle des mers et l’appuie terrestre tout le long du conflit contre les communistes. Après la guerre, il va rester au centre des formations navales conçues par l'État-Major de la marine fédérale, rencontrant plusieurs périodes de modernisations et de longs entretiens, qui le poussera à rester principalement à quai, entre les années 90 et les années 2000. Son entretien important et sa modernisation de plus en plus difficile finissent par faire de ce navire une véritable plaie dans le budget de la défense dédié à la marine. C’est finalement le Président Fédéral Victor Hardenbor qui, par décret, annoncera le retrait du Columbia du service pour janvier 2013. Cependant, en raison de la forte symbolique de ce navire auprès de l’armée, des vétérans et de la population, il précisera dans ce même décret sa reconversion en tant que navire-musée sur l’histoire de la marine westalienne, désormais désarmés et à quais dans le port de la capitale fédérale, portant le même nom que le porte-avions. Ce choix de reconversion est ainsi particulièrement bien accueilli par les historiens et les anciens militaires qui craignaient un démantèlement de ce navire iconique de l’orgueil martial de la Grande République, permettant désormais à tout un chacun de le visiter librement. Son entretien est assuré par d’anciens membres de l’équipage, désormais à la retraite, et quelques militaires en service actif, le navire appartenant toujours à la marine fédérale. Il est techniquement en capacité de pouvoir naviguer, bien qu’il ne fut sorti de quais qu’une seule fois pour le bicentenaire de la création du pays, le 15 septembre 2013.



Classe Sagawa
SOUS-MARIN D'ATTAQUE


Classe Sagawa

Type : Sous-marin d’attaque
Niveaux technologiques : 1 à 5
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Akiyama Kajiya
Durée de service : Depuis 2001
Période de production : 1994-2007

Longueur : 62 m
Largeur : 6,7 m
Tirant d’eau : 5,5 m
Vitesse : 22 noeuds en plongée (42,6 km/h), 12 noeuds en surface (22,2 km/h)
Rayon d’action : 11 000 milles marin à 10 nœuds (18,5 km/h)
Endurance : Jusqu’à 50 jours
Profondeur : Jusqu’à 500 m

Armement : 8 tubes de 533 mm, missiles anti-navires
Équipage : 35 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Sagawa’ (SS-20)
  • GRS ‘Arthur Beranci’ (SS-21)

La classe Sagawa est une série de deux sous-marins d’attaque construits à la fin des années 90 et au début des années 2000 pour la marine fédérale westalienne. La classe Sagawa est le premier modèle de sous-marin conçu par Akiyama Kajiya. Spécialisé dans la lutte anti-sous-marine et les combats en haute mer, ce navire a surtout réussi à séduire l’armée westalienne de par son coût de production relativement bas, permettant la commande de deux modèles de cette classe, chacun livré au début des années 2000. Pour autant, la construction de ces derniers va prendre beaucoup de temps à Akiyama Kajiya, qui rencontra plusieurs difficultés pour respecter les délais de livraison, avec le Sagawa (SS-20), qui sera livré en 2001 au lieu de 1998, et le Arthur Beranci (SS-21), qui sera livré en 2007 au lieu de 2004. Cependant, ils serviront de base pour la conception de nouveaux sous-marins d’attaque beaucoup plus modernes, la classe Typhoon, toujours produit par Akiyama Kajiya.



Classe Typhoon
SOUS-MARIN D'ATTAQUE


Classe Typhoon

Type : Sous-marin d’attaque
Niveaux technologiques : 6 à 10
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Akiyama Kajiya
Durée de service : Entrée en service prévue entre 2016 et 2018
Période de production : Depuis 2013

Longueur : 59 m
Largeur : 6,8 m
Tirant d’eau : 6,4 m
Vitesse : 24 noeuds en plongée (44,4 km/h), 13 noeuds en surface (24 km/h)
Rayon d’action : 15 000 milles marin à 10 nœuds (18,5 km/h)
Endurance : Jusqu’à 84 jours
Profondeur : Jusqu’à 500 m

Armement : 8 tubes de 533 mm, missiles anti-navires, mines navales (optionnelles)
Équipage : 28 personnes

Liste des navires en activités :
  • Non dévoilée à ce jour

La classe Typhoon est un modèle de sous-marin conçu par Akiyama Kajiya et supposément en cours de production pour le compte de la marine fédérale westalienne. Cette nouvelle classe de sous-marin se veut être une version améliorée de la classe Sagawa, déjà déployée au sein des forces navales de la Grande République. Si ce nouveau modèle est légèrement plus petit que son prédécesseur, il possède des capacités bien supérieures en termes de navigation, que cela soit en termes de vitesse, de rayon d’action et surtout d’endurance, dont cette dernière augmente de presque 75%, par rapport à l’ancien modèle. Si l’armement change assez peu, si ce n’est la présence optionnelle de mines navales, il nécessite également beaucoup moins de personnes pour être manipulé. Construit pour être plus furtif que les Sagawa, une caractéristique qui fut bien moins présente à la conception pour ce dernier, le Typhoon semble s’aligner avec la volonté d’une flotte moderne, discrète, rapide et offensive de la part du gouvernement fédéral et des dirigeants militaires.



Classe Liberty
CROISEUR


Classe Liberty

Type : Croiseur lance-missiles
Niveau technologique : 1 à 3
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Warsmith Industries
Durée de service : 1978-2007
Période de production : 1974-1980

Longueur : 178,4 m
Largeur : 18,7 m
Tirant d’eau : 9,7 m
Vitesse : 31 noeuds (57,4 km/h)
Rayon d’action : 5 500 milles marin à 20 nœuds (37 km/h)

Armement : 1 canon de 127mm, 2 lanceurs de missiles anti-aériens, 2 canons anti-aériens/anti-missiles de 20mm, 2x8 missiles de croisières, 2 x 8 missiles anti-navires, 2 x 2 tubes lance-torpilles de 324 mm, 2 canons automatiques de 25mm
Equipement annexe : 4 embarcations pouvant aller jusqu’à 40 noeuds (74,08 km/h), un ou deux hélicoptères de modèle TH-85 (non-permanent)
Équipage : 500 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Liberty’ (CG-210) (Retiré du service en 2007, reconvertie en navire-musée en 2014)
  • GRS ‘Alexander Beranci’ (CG-211) (Coulé en 1983, lors de la guerre de 82-84 contre la Viétie)

La classe Liberty est une série de deux croiseurs lance-missiles conçue et produite par Warsmith Industries à partir de 1974. En pleine période de tension avec la Viétie, la marine fédérale investie dans la construction d’un modèle de navire moderne qu’elle n’a jamais possédé jusqu’alors : celui d’un croiseur lance-missile. Pour être à la pointe de la technologie et pour pouvoir répondre aux menaces viétiques, le gouvernement n’hésite pas à dépenser plusieurs centaines de millions de Talirs (soit plus d’un milliard de Talirs en 2016) dans la construction de la première unité, qui débute en 1974 dans les chantiers navals de Columbia. L’objectif de ce nouveau modèle de navire est de pouvoir disposer d’une plus grande mobilité et d’autonomie que les vieux cuirassés vieillissant de la marine, devenant un élément central dans la lutte anti-navire westalienne, s'équipant principalement de missiles destinés à ce genre de missions. Le premier navire de cette classe, le Liberty (CG-210) entre en service à partir de 1978. Il est rapidement suivi de la seconde occurrence de cette classe, l’Alexander Beranci (CG-211), qui est officiellement adoptée par la marine fédérale en 1980. Lorsque la guerre éclate contre la Viétie communiste, en 1982, les deux navires sont déployés dans le nord de l’Aleucie, affectés à des missions de chasses des navires ennemis et où ils s'avèrent être particulièrement efficaces dans ces dernières. Cependant, l’Alexander Beranci est touché par deux torpilles d’un sous-marin viétiques, au cours d’une bataille navale en décembre 1983. Cette attaque provoquera l’explosion d’une partie du navire, en plus de provoquer un feu, forçant l’équipage à abandonner l’engin qui sombre dans les eaux froides du Nord. Cette tragédie emporte avec elle la vie de 215 membres d'équipage, tués dans l’explosion, par le feu ou piégés dans le navire qui coule jusqu’au fond de la mer. Il sera redécouvert bien plus tard par des plongeurs spécialisés dans la guerre 82-84, en 2004, à seulement 33 m de profondeur, devenant un site de plongée touristique important depuis la redécouverte du navire. Pour ce qui est du Liberty, le navire continue de servir fidèlement la marine fédérale jusqu’en 2007, où il est d’abord mis en retrait, pour des problèmes techniques et des dommages dû à l’usure, dans le port de Columbia. Il ne reprendra jamais le service depuis cette date. A l’abandon pendant presque sept années, des vétérans poussent l'État-major de la marine westalienne à reconvertir le navire en un musée consacré aux batailles navales de la guerre de 82-84 contre la Viétie communiste. Si ce dernier est toujours une propriété de l’armée, il est aujourd’hui entretenu par une association d'anciens vétérans et de passionnés d’histoire. Remis dans un meilleur état depuis 2015, il a déjà accueilli plusieurs reconstitutions, documentaires et même le tournage d’une partie d’un film historique à son bord.



Classe Aleucia
CROISEUR


Classe Aleucia

Type : Croiseur lance-missiles
Niveau technologique : 4 à 6
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Conglomérat de Columbia (Warsmith Industries & Akiyama Kajiya)
Durée de service : Entrée en service prévue pour 2017
Période de production : Depuis 2014

Longueur : 171,2 m
Largeur : 19,9 m
Tirant d’eau : 8,6 m
Vitesse : 32,5 noeuds (59,3 km/h)
Rayon d’action : 6 000 milles marin à 20 nœuds (37 km/h)

Armement : 2 canons de 127mm, 71 cellules de lancements de missiles (pouvant comprendre des missiles de croisières, missiles anti-navires, missiles anti-sous-marins ou des missiles antimissiles, dont antibalistique), 2 canons anti-aériens/anti-missiles de 20mm, 2 x 2 tubes lance-torpilles de 324 mm, 2 canons automatiques de 25mm.
Equipement annexe : 4 embarcations pouvant aller jusqu’à 40 noeuds (74,08 km/h), un ou deux hélicoptères de modèle TH-85 (non-permanent)
Équipage : 350 personnes

Liste des navires en activités :
  • GRS ‘Aleucia’ (CG-320) (En cours de construction)
  • GRS ‘Fort Harvey’ (CG-321) (En cours de construction)

La classe Aleucia est une nouvelle série de croiseurs lance-missiles conçue par le Conglomérat de Columbia, une coopération nationale des entreprises westaliennes dans le secteur de la défense, qui comprend notamment Warsmith Industries et Akiyama Kajiya, qui ont travaillé sur ce projet. Ayant pour but de remplacer la vieille classe de croiseur ‘Liberty’, retiré du service depuis 2007, ce nouveau modèle de navire se veut être une version moderne de son prédécesseur, avec une accentuation toute particulière sur les capacités dont il dispose grâce à la grande variété de missiles qu’il peut embarquer et tirer. Présenté par le Conglomérat en 2013, à la suite de l’appel du gouvernement à ce dernier pour la conception d’un nouveau modèle de croiseurs lance-missiles, la marine fédérale approuve la commande de trois navires de classe Aleucia, dont les chantiers débutent en 2014. L’objectif de ces nouveaux navires est de pouvoir fournir au futur groupe aéronaval westalien des capacités de protections polyvalentes, avec des engins les plus autonomes possibles. Avec l’automatisation de nombreux éléments à bord de ces croiseurs, sa conception permet à ces derniers la présence d’un équipage humain bien plus réduit qu’attendu pour ce genre de bâtiment naval. Si sa fonction principale est la protection du groupe aéronaval, il reste un navire particulièrement résistant pour des combats de hautes intensités et en haute-mer, dont la résistance a pu être constatée par l’ajout de Kevlar sur les parties vitales du croiseur. Si la classe Aleucia dispose de nombreux avantages apparents, ces derniers sont souvent touchés par deux grands défauts qui entourent le navire : la complexité de sa construction et le coût très élevé pour l’achat d’un seul modèle, pas moins d’un milliard de Talirs. Ces deux éléments ont notamment ouvert un débat polémique en 2015 sur le coût exorbitant de ces achats militaires, au Sénat, notamment avec le retard pris par le troisième navire de cette classe, dont le chantier n’a débuté qu’au début de l’année 2015, en raison de problèmes techniques. Avec le changement de gouvernement fédéral en septembre 2015 et le vote sur le budget de l’année 2016, le Ministère fédérales aux armées à décidé de suspendre la construction du troisième modèle de cette classe, jusqu’à “réévaluation des moyens déployés pour la construction de nouveaux croiseurs”, tandis que certaines voix dans la marine fédérale critique ce choix, d’autres soutiennent que ces types de navires coûteux sont voués à disparaître dans les arsenaux navals du futur et que les moyens engagés pourraient être alloués à la production de nouveaux destroyers, moins chers et dont les évolutions technologiques semblent en faire les futurs maîtres des mers.



Classe Stanislas Asfort
PORTE-AVIONS


Classe Stanislas Asfort

Type : Porte-avions
Niveau technologique : 4 à 5
Pays d’origine : Westalia
Fabricant : Warsmith Industries
Durée de service : Entrée en service prévue pour 2016
Période de production : Depuis 2012

Longueur : 330,5 m
Largeur : 76 m
Tirant d’eau : 11,4 m
Vitesse : 30 noeuds (55,56 km/h)
Rayon d’action : 7 500 milles marin à 20 nœuds (37 km/h)

Armement : 2 lanceurs de missiles anti-aériens, 2 lanceurs de missiles anti-missiles, 3 canons anti-aériens/anti-missiles de 20mm, 4 canons automatiques de 25mm.
Capacité de transport : Jusqu’à 85 engins (avions ou hélicoptères)
Équipage : Jusqu’à 4 150 personnes

Liste des navires retirés du service :
  • GRS ‘Stanislas Asfort’ (CV-01) (en cours de construction)

Héritier direct du Porte-avions de classe Columbia, retiré du service depuis 2013, le Stanislas Asfort (CV-01) tient son nom du fondateur et premier Président Fédéral de la Grande République, à la suite d’une annonce présidentielle sur le nom du nouveau porte-avion westalien, faite début 2016, enterrant les rumeurs ayant fait croire que ce navire serait baptisé du nom d’Henry Horvanx. La construction de ce nouveau porte-avions était un fait public depuis le début de son chantier, annoncé par le Ministère fédéral aux armées en 2012. Cependant, il faudra attendre plusieurs années pour apprendre plus de détails, notamment les premières images officielles du chantier, publiées en 2014, à un stade très avancé. Accompagnée de ces photos, la marine fédérale y dévoile les caractéristiques titanesques de l’engin, dont sa taille, avec une longueur 50% plus grande que le Columbia et d’une largeur doublée par rapport à son prédécesseur. Equipé de son propre système de catapulte électromagnétique, il fait partie des très rares porte-avions à être doté de cette technologie avancée dans le monde, qui permet d’augmenter drastiquement les capacités de lancements d’engins, notamment grâce à sa recharge rapide, en plus d’être moins coûteux en énergie, moins grand et plus facile à entretenir que les anciens modèles plus répandus de catapultes à vapeur. Mais le plus impressionnant fut naturellement la capacité de transport du Stanislas Asfort, qui représente plus du triple de celle du Columbia, jusqu’à quatre-vingt-cinq aéronefs en son sein. Si la construction de ce mastodonte s’est achevé en décembre 2015, il est actuellement en phase d’essai depuis cette période, avec des tests réalisés en mer Vistale, permettant de mettre en oeuvre les réajustements nécessaires au bon fonctionnement de ce navire, d’ici à sa mise en service. Selon la marine fédérale, le Stanislas Asfort devrait être opérationnel à la toute fin de l’année 2016 ou au début de l’année 2017, suivant le bon déroulement des tests en cours. Avec le déploiement d’un tel engin, la Grande République affiche clairement sa volonté de rejoindre à nouveau le club des grandes puissances navales de la planète, possédant l’un des rares “super porte-avions” du monde, n’ayant des équivalents que dans les plus grandes forces maritimes du monde. Accessoirement, le Stanislas Asfort devient le plus grand navire construit sur le territoire westalien, ainsi que celui ayant coûté le plus cher, avec un prix pouvant être mesuré en plusieurs milliards de Talirs, le prix de la puissance, mais également de l’étalement de la richesse typique des westaliens, qui connaissent depuis plusieurs années une croissance historique, capable d’amortir les nombreuses dépenses des derniers gouvernements fédéraux, à tort ou à raison. Au cours de son entrée en service, il devrait devenir le nouveau navire-amiral de la flotte fédérale, succédant au Destroyer ‘Dakantia’ (DD-730) et amorçant l’apogée de la création du groupe aéronaval de la Grande République.

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