11/05/2017
16:11:24
Index du forum Continents Eurysie République des trois Nations

Activités étrangères dans la République des trois Nations - Page 2

Voir fiche pays Voir sur la carte
Avertissement

Fuite volontaire ? Erreur de l'état-major ? Fake news ?

Dans neuf mois, la Principauté de Carnavale frappera.
Image des armoiries confédérales de l'Antérinie

Des ministre des affaires étrangères de la Confédération Unie d'Antérinie, validée par Sa Majesté Louis VI d'Antérinie et de Marcine, Empereur d'Antérinie, Roi de Marcine, Grand Duc du Scintillant, Duc d'Antrania.

Lettre de soutien adressée à la République des Trois Nations et à ses entités confédérés.

Vos Excellences ministres du Kolca, du Cinat et de Koltaris,

Nous avons appris non sans effroi que plusieurs états souverains se sont attaqués à la Vice-Royauté de Fistalis. Ils ont bombardé sans la moindre pitié pour ses habitants plusieurs infrastructures, si à l’heure actuelle les autorités confédérales n’ont pas connaissance du nombre exact de victimes, nous vous adressons nos plus sincères condoléances, les crimes commis par ces états, même au nom de valeurs nobles et humanistes, ne méritent pas une nuée d’applaudissement, même pour les décoloniaux bas du front. Car même si les rares échos que nous avons eu de l’administration locale nous paraissaient somme toute inquiétants, pour ne pas dire franchement choquants, nous ne pouvons néanmoins considérer que l’intervention des deux états comme légitime. En effet, ils niaient la volonté populaire, pire encore, agissent contre son sens et sa volonté en la mettant sous blocus en prétendant la défendre, laissant planer des doutes sur leurs réelles intentions, la violence de leur attaque leur permettant peut être de préparer le terrain pour une invasion terrestre et le démembrement en zones d’influence multiples de l’ancien Kolca. Et cette sinistre façon de voir les choses, à mi-chemin entre l’hypocrisie mortifère et l’impérialisme mal déguisé ne peut que nous révulser et nous soulever face à tant de cynisme faussement teinté de sentiments.

Car ce qui a même choqué les décoloniaux les plus engagés, et même les plus enragés, était avant tout l’irrespect le plus total témoigné à l’égard des habitants de la République, le mépris à peine voilé que recouvraient les déclarations communes des assaillants. Nous ne parlons pas de quelques menaces adressées aux colons, mais d’un manque profond d’intérêt pour les peuples natifs. Ils agissent en leurs noms, et ce sans leur consentement. Point de liesses populaires immodérées lorsque leur (tentative d’)invasion a été proclamée et vernie de quelques commentaires décoloniaux, aucune relations avouées avec de potentiels groupes indépendantistes, pas même de plans prévus pour l’avenir. Rien, mis à part des menaces. Et c’est ici où le bât blesse, l’indépendance des colonies extra-afaréenne devient un casus belli, et non un objectif. Les indigènes deviennent de simples outils pour l’expansion des puissances « décoloniales », les futurs hôtes des prochains résidents-généraux que l’on nommera en langues afaréennes, les almuqim aleamu entre autres Jenerali Mkazi qui se présenteront comme les garants de l’indépendance des nouveaux décolonisés, mais qui seront dans les faits, les protecteurs des intérêts de leurs nations d’origine. Car d’office, les belligérants n’ont même pas envisagés un référendum, ils n’ont prévu qu’une chose ; « libérer » les locaux. Et ce aux dépens même de leurs volontés, aucune proposition de plébiscite forcé visant à donner une légitimité démocratique à leur action, aucune mention même des civils, si ce n’est l’envoi de missiles balistiques sur les institutions locales. Et cette étrange précipitation n’a échappé à personne, même à nos amis marcinois, qui pourtant voient le décolonialisme comme un humanisme, et les décolonisateurs comme des romantiques.

De cette manière, il est évident que notre seul choix possible est de vous apporter un soutien moral et économique, tout au mieux quelques conseils, qui ne sont que de simples recommandations. En effet, nous pensons qu’il apparaît nécessaire de se débarrasser une fois pour toute des préjugés datés qui peuvent hanter vos textes législatifs, favoriser la réintégration des peuples locaux dans les affaires politiques, purger les reliquats des diverses codes de l’Indigénat ou leurs affiliés qui peuvent encore avoir des impacts négatifs dans la société… Enfin, ce ne sont que de simples remarques qui pourraient leur permettre d’améliorer leurs conditions de vie, mais après, à bon entendeur…. (1)

De plus, il nous apparaît nécessaire de remercier et de soutenir les nations ayant aussi vivement critiqué cette embrasement voulu de la géopolitique afaréenne, cette attaque lâche et impitoyable, cette négation même d’un besoin d’unité pour rassembler les états du monde entier contre le génocide actuellement en cours. La sagesse nous pousse donc à exhorter les états du monde entier à prendre en considération l’importance de la diplomatie, à l’instar de l’Azur qui préfère atteindre ses objectifs décoloniaux par le dialogue plutôt que par la force, à préférer l’auto-détermination des peuples à un décolonialisme primaire complètement dénué d’intelligence et de mesure. Bien entendu, les commentaires d’Estham restent pertinents et louables, et nous espérons que ce message de soutien puisse vous réconforter.

Amicalement.

Note (1) Je me fie ici à ta fiche de candidature qui présente (de mémoire) des inégalités juridiques entre les populations locales (S.E.D) et les Eury-descendants. Bien entendu, si cette partie est désuète, je reste à ta disposition pour la supprimer.
0
.
Privatisations : tout doit disparaître !
Jouez, vous gagnerez peut-être !

https://i.imgur.com/iX48bjZ.jpeg

.
https://i.postimg.cc/d3XMccZH/Capture-d-cran-2025-07-25-032227.png

Ne l’oubliez jamais.
Quarante missiles suffisent pour effacer Fistalis.
Nous avons tiré une fois. Rien ne nous empêche de recommencer.
Chaque ligne que vous écrivez rapproche Fistalis du néant.
Continuez à aboyer dans nos oreilles.
Et vos alliés vous pleureront.

https://i.postimg.cc/BvsRMBLj/Capture-d-cran-2025-07-28-190518.png
Date : 07/03/2017

Parlement Impérial
Empire Islamique de Churaynn




DÉCLARATION OFFICIELLE
du Parlement Impérial de Churaynn

Sujet : À l’attaque balistique faite sur la République des Trois Nations


Réuni en séance dans le Palais d’Al-Walemir, le Parlement Impérial de Churaynn, réuni des quatre provinces,
par la volonté du Peuple et de l’Empereur Sawid Salahuddin Sayyid, proclame ce qui suit :


Préambule

Considérant les agissements brutaux de l’Empire,
Considérant un projet de « décolonisation » dissimulant en réalité une entreprise d’exploitation de Fistalis,
Considérant qu’aucune initiative diplomatique n’a été engagée,
Considérant l’intention affichée de l’Empire de corriger ses fautes,

Le Parlement Impérial de l’Empire Islamique de Churaynn proclame donc :

1.
L’Empire de Churaynn reconnaît avoir été à l’origine des frappes balistiques survenues à Fistalis, capitale de la vice-royauté ritanienne, dans le cadre de ce qui fut nommé « Opération Justice Balistique ».
Cette opération, initialement conçue comme une mesure de dissuasion militaire dans la continuité du blocus naval « Ocomba », a largement dépassé le cadre défensif prévu, et a conduit à des pertes humaines et matérielles inacceptables.

2.
Nous assumons pleinement la responsabilité politique, militaire et morale de cette attaque.
Aucune circonstance stratégique, aucun différend territorial, aucune tension diplomatique ne saurait justifier la destruction de structures civiles, ni la perte de vies innocentes.
Le Vice-Roi, les vingt-huit morts, les blessés et les disparus de Fistalis méritent notre mémoire, notre regret, et nos excuses les plus sincères.

3.
À la République des Trois Nations :
Au nom de l’Empire de Churaynn, nous présentons nos excuses officielles à la République des Trois Nations, à ses institutions, à ses peuples, et à l’ensemble des familles endeuillées par notre frappe.
Nous exprimons également notre respect profond pour la retenue et la dignité avec lesquelles la République a répondu à cette tragédie.

4.
Le Parlement Impérial autorise ce jour, à l’unanimité moins quatre abstentions, l’ouverture d’un Fonds spécial de reconstruction et de solidarité envers Fistalis, d’un montant de 360 000 Dhurr, destiné à :

Participer à la reconstruction de la mairie, du port et de la préfecture de Fistalis
Soutenir les familles des victimes
Offrir une aide médicale et logistique aux hôpitaux de la zone
Déployer des associations churaynnes sur place

5.
Cette déclaration n’efface ni la faute, ni la douleur des familles endeuillées.
L’Empire de Churaynn entend désormais renforcer les mécanismes de contrôle sur ses décisions militaires, dans le respect du droit international (Annexe I du Traité de non-prolifération des armes chimiques).

L’Empire casse, il répare. L’Empire salit, il nettoie.
L’Empire défie l’international, l’international lui apprendra à respecter.

Par cette déclaration, le Parlement Impérial de Churaynn engage l’Empire.

Adopté à Walemir, capitale de l’Empire Islamique de Churaynn,
le huit mars deux mille dix-sept.


Pour le Parlement Impérial, pour l’Empire Islamique de Churaynn

Signé :

Haut Coordinateur de la Haute Instance Impériale de Coordination : Aït-Oussou Mohamed
Président du Parlement Impérial : Dahihoun Daoud
Porte-parole des Délégués de Sudéiss : Moudjahid Ahmad
Porte-parole des Représentants Maqduris : Cheikh Haroun
Porte-parole des Délégués de la Grande Province : Fariq Jalid Ar-Rouhan
Porte-parole des Représentants de Yuthipista : Zahra Omeyla Daryan
0
https://i.imgur.com/srsJpjA.jpeg


Ce message est le dernier que vous recevrez de nos brouteurs.
https://i.postimg.cc/kgvs8DB4/2f363437-0596-4e2f-ac61-ffb2633f5c94-1.png

23 mars 2017 - La République des Trois Nations, une nation plongée sous les ombres de l'adversité.


L'idée d'un voile nocturne est fort à propos quand l'on parle de la République de Kolca, état parcellaire de la République des Trois Nations, plongé dans le concert des nations et des antagonismes multiples des régions du monde. Un voile derrière lequel peut se cacher mille desseins pour cette terre d'exception, à l'histoire coloniale dense mais aujourd'hui heurtée par la réalité d'une scène géopolitique et régionale, en crise.

Et dans le théâtre mandrariko-kolcain, la nuit précèdel e chaos.

Au poste de garde B15 à 11 heures, deux sentinelles se présentent face au danger environnant, les fusils mitrailleurs en bandoulière. Elles fument et courent encore derrière des actes oisifs, l'esprit autant désormais tout aussi rivé sur la frontière que l'amoncellement des tensions gagnant ls autres provinces, notamment depuis l'usage de frappes balistiques sur certains bâtiments institutionnels en d'autres endroits du globe. Un sentiment d'insécurité globalisant, permanent, dans lequel entendait sa partition Ramboloko. Le seigneur de guerre était là, adossé à un baobab, aux côtés de la silhouette d'un jeune conscrit couché près de lui, au bas mot, il devait avoir au plus une quinzaine d'années. La carrure juvénile grelottait, partagée entre la peur et l'excitation de cette aventure, accomplie auprès de ceux qu'il entendait considérer comme sa famille. Ladite famille, installée en contrebas d'une fosse jonchée des racines de manguiers, se servait d'elles pour unique attache au franchissement de la hauteur, portée à trois ou quatre mètres. Plusieurs allers-et-retours avaient été faits pour s'enquérir du sentiment de Ramboloko, décidé à tenter l'exploit d'une installation durable des réseaux de contrebandes et logistiques des clans.

Détail OP a écrit :
Pays infiltrant/réalisant l'opération : Forces Claniques Combattantes (FCC) - installées en Mandrarika, atlas conjoint

Pays infiltré/cible : Province kolcaine, (République des Trois Nations)

Prévisionnel de la date (RP) de l'action clandestine/de déclenchement: 22 mars 2017 + déclenchement au 29 mars 2017

Objectifs :
Réussite majeure : Les Forces Claniques Combattantes (FCC) réussissent leurs installations, des campements fixes ou semi-temporaires, clandestins et opérationnels, tournés vers des missions de logistique, de contrebande, de coordination, d'embrigadement, de commandement, en vue de préparer d'autres actions ultérieures sur place. L'infiltration est méconnue du gouvernement local.

Réussite mineure : Les Forces Claniques Combattantes (FCC) rencontrent du retard dans les implantations des repaires, les infrastructures sur place seront opérationnelles sous 1 mois RP (?) et toujours clandestines, donc soustraites à des actions frontales. Le franchissement de frontière a toutefois laissé des traces visibles de son passage, le gouvernement kolcain peut justifier d'une mise en alerte accrue sur zone.

Échec mineur : Des éléments imprévus bloquent le franchissement de la frontière par les Forces Claniques Combattants, statu quo et "chacun chez soit". L'opération n'a pas lieu.

Échec majeur : Des éléments imprévus amènent la découverte des forces claniques combattantes pendant le franchissement de la frontière, les soumettant à une certaine vulnérabilité, des pertes majeures sont permises. Le gouvernement kolcain sera aux abois et le franchissement de la frontière pourrait être plus difficile les fois prochaines.


Enjeu :
  • Les enjeux restent éminemment ceux visant à favoriser l'implantation d'infrastructures logistiques et économiques pérennes, pour les mettre au service de la lutte libertaire et apatride des milices claniques.
  • en cas de réussite, ces infrastructures pouraient par ailleurs se faire des points d'appui solides et persistants dans la projection d'opérations de petites et moyennes envergures dans le reste du continent,
  • entretenir un levier politique de négociation dans la reconnaissance internationale de ces communautés qui s'identifient apatrides.

Moyens engagés:

Moyens humains :
120 combattants claniques (20 réservistes, 80 professionnels, 20 conscrits)

Moyens matériels:
  • 120 armes légères d'infanterie niveau 5
  • 10 mortiers légers niveau 8
  • 5 lance-missiles antichars niveau 6
  • 10 lance-roquettes niveau 9
  • 15 mitrailleuses niveau 10
  • 500 mines antipersonnel niveau 3
  • 100 mines antichars niveau 4
  • 10 tuk-tuks de combat (véhicules tout-terrain niveau 7),
  • 30 motos & side-cars (véhicules tout-terrain niveau 7),
  • 8 vans ou triporteurs de transport (camions de transport niveau 5),
  • 5 blindages de véhicule improvisés (véhicule blindé léger niveau 4),


Identification des cibles :
Province #41497 - République des Trois Nations (province kolcaine).
  • Les zones frontalières franchissables, on parle ici de >250 kilomètres.
  • Pour l'installation des camps et des caches, on cherche des espaces reculés ou urbains à forte densité et avec une certaine compatibilité ethnique, particulièrement les endroits où se trouveraient des populations autochtones noires, similaires à celles identifiables au sein des territoires de la Mandrarika.

Chaine logistique :
  • Agents engagés : via infiltrations en grappes de deux à trois individus mêlées aux flux migratoires antérieurs à la fermeture officielle de la frontière
  • Entrée dans le pays : clandestine, par sentiers frontaliers repérés par balises infrarouges placées par des civils infiltrés, souvent des réfugiés ou des femmes sous couverture : nouveau RP dans ce sens
  • Armes : majoritairement cachées dans des caches installées côté mandrarikan avant la traversée, convoyées de nuit à pied ou en petits véhicules tout-terrain, "On a des gros fusils" en cas d'accrochage, les armements et équipements des gardes-frontières des Trois Nations ne sont pas à même de stopper des véhicules (infanterie + ALI) ni de les poursuivre (les garde-frontières sont des piétons).
  • Finances : espèces en petites coupures, troc, et transactions via marché noir local, voire ressources naturelles extraites localement pour troc à moyen terme,

MILITAIRE - Approvisionnement des troupes :
  • Approvisionnement par don, collecte ou encore pillage dans certains villages agricoles mandrarikans,
  • réseaux de transport basés sur des véhicules tout-terrain (motos, tuk-tuks), ce qui se prête assez bien à des réseaux routiers locaux accidentés et/ou mal entretenus,
  • aucune infrastructure clanique lourde sur place, mais possibilité de relais par des sympathisants locaux que l'on peut décemment identifier au travers des flux migratoires préexistants,
  • installation de caches logistiques dans des grottes, des tunnels, des planques urbaines,
  • matériel dissimulé dans objets du quotidien ou structures recyclées (citerne, faux puits, conteneurs déguisés).

Manière d'opérer :

Recours à un réseaux aidant:
  • Agents civils : présentant un statut de réfugié ou de travailleur itinérant au sein de la République des Trois Nations pré-crise
  • miliciens infiltrés : manutentionnaires, vendeurs de rue, ect... des professions idéalement assez libres de leurs mouvement au quotidien.
  • femmes enceintes réfugiés, débauchées comme "épouses temporaires" pour crédibiliser l'acceptation de certains dossiers de réfugiés par des miliciens infiltrés.
  • Observation de la frontière via des lunettes infrarouge et repérage nocturne des balises émettant des lumières invisibles à l'oeil nu : technologie infrarouge.
  • Franchissement silencieux par sentiers ou ravins, de nuit.
  • Discrétion totale : aucun convoi massif, pas de groupement d'effectifs
  • Installation progressive de bases semi-fixes.
  • Mise en place de balisages discrets (plastique noué ou bidons/déchets caractéristiques apposés en des endroits marquant une cache).
  • Intégration de combattants aux populations civiles dont le berceau civilisationnel est également noir.
  • Dissimulation de forces et véhicules motorisés dans les bases avancées organisées.

Autres facteurs favorisant la mission :
  • Frontière commune avec la Mandrarika,
  • territoire autochtone à avec population ethnique homogène,
  • flux de réfugiés mandrarikans préexistants
Et alors que le diplomate de la République des Trois Nations envoya sa missive, une demi-heure après; un étrange message s'afficha dans sa boîte mail.

Erreur de destinataire. Transfert de la missive en cours. <<<<<<<<<<<<<<<<< Vueillez vous adressez au bon Ministère des Affaires Etrangères.>>>>>>>>>>>>>>>>>>
Haut de page