02/01/2018
12:06:36
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Ministère des Affaires Etrangères et des Droits Humains - Page 15

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Symbole de l'Ambassade

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Message de la Première Ambassadrice de la République du Jashuria

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A l'attention de Son Excellence Mar Loftsson, Ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska,

Votre Excellence,

Permettez-moi de vous adresser nos salutations de la part de la Troisième République du Jashuria et de ses représentants. Les circonstances m’obligent à vous contacter afin de vous prévenir qu’une opération militaire est actuellement en cours du Chandekolza suite à la décision irraisonnée du Công d’enfermer ses opposants politiques suite à l’échec de la procédure de destitution portée par le Parti Pro-Jashurien, le Parti Anti-Corruption et le Parti Autonomiste Ushong. Le despote, non content d’avoir fait pression sur l’ensemble de la classe politique, malgré les affaires sordides dont il est comptable, a muselé sauvagement l’opposition démocratique chandekolzane, tant et si bien que le peuple se mure désormais dans ses villes, par peur de représailles.

La Troisième République du Jashuria, alliée à l’Empire des Ushongs et à la Sérénissime République de Velsna, ne peut laisser un tel affront à la démocratie représentative sans réponse, de peur de laisser le pays sombrer dans l’autoritarisme le plus crasse. Depuis des année, le Jashuria mène des actions humanitaires dans le pays afin d’aider la population à se relever de la gabegie économique. Les récentes affaires de corruption et de détournement d’argent dont se sont rendus coupables le Công et ses lieutenants ne font que confirmer la nécessité d’une intervention urgente afin de restaurer l’ordre dans la région.

Par conséquent, la coalition formée par la Troisième République du Jashuria, l’Empire des Ushongs et à la Sérénissime République de Velsna, a décidé de procéder à une opération militaire afin de libérer les démocrates chandekolzans injustement enfermés pour le seul crime d’avoir osés s’exprimer démocratiquement. Cette opération visera à déposer le Công du Chandekolza et à en finir avec ses politiques délétères. Nous tenons cependant à être clair sur le périmètre de notre intervention : ces opérations de restauration de l’ordre ne visent en aucun cas les intérêts du Tanska dans la région. La coalition ne considèrera pas le Tanska comme co-belligérant et veillera à respecter la sécurité des installations et des ressortissants tanskiens dans la région. Nous ferons en sorte que ces opérations ne viennent pas perturber vos actions humanitaires dans la région.

Dans l’attente de votre réponse sur les canaux diplomatiques, je reste à votre entière disposition.

Veuillez agréer, votre Excellence, l'expression de mes salutations distinguées.


Cordialement

Dame Lalana Preecha, Première Ambassadrice du Jashuria
4370
Ministère des Affaires étrangères de la Barvynie


Le Gouvernement de la République Socialiste de Barvynie, salue, une seconde fois, le ministère des Affaires étrangères et tous ceux qui auront lu cette missive,

Nous souhaitons vous faire part d'un détail, il ne s'agit pas là d'un ensemble d'information concret, il s'agit seulement d'estimation, et si vous constatez une quantité diminuée de navire, il s'agit là simplement d'estimation, et nous n'avons pas les moyens d'assurer une quantité plus grande de navire, c'est là que vous pouvez intervenir ! Si nous vous avons proposé conjointement une intervention, c'est parce que nous souhaitons que vos forces nous aident dans ce projet, et non, s'il ne s'agit pas de déportation, nous ne vous aurions pas proposé d'y participer ! Sachez qu'en tant que Présidium, je ferais partie de ses citoyens, et pourquoi me diriez-vous ? Pourquoi envisager un projet aussi vaste ? À l'origine, nous souhaitions aller en Khardaz, pour aider leur peuple à se relever de cette situation, et cette initiative a été prise par le peuple, et personne d'autre, nous aurions pu agir directement en Gondavie, mais le Président Gondave auraient probablement contester et empêcher quiconque d'entrer dans son territoire, alors qu'en Afarée, il n'a pas autant de puissance navale pour empêcher nos forces de descendre et d'aider les populations locales, dans leurs luttes et leurs manifestations pour l'indépendance & le changement de gouvernement. Vous, qui avez les moyens de nous aider, vous qui avez le pouvoir de changer réellement les choses. Nous vous prions de reconsidérer cette proposition en n'additionnant vos forces au nôtre, agissez en tant qu'arbitre camarade.

Dans notre culture, notre peuple a tenu à garder ses traditions nomades, cependant nous n'avons encore jamais pris la mère pour effectuer un mouvement collectif de contestation et de manifestation, c'est pourquoi nos estimations son mauvais, mais rassurez-vous, si nous constatons que les conditions de transport pour nos citoyens ou nos chevaux, sont inacceptables (et ne vous inquiétez pas, nous tenons à notre population autant qu'à nos chevaux.) dans ce cas nos diminuons la quantité de population d'embarquement ou stopperons le convoi le temps de trouver des alternatives, et si vous refusez une seconde fois notre passage dans votre grand canal, du a votre méconnaissance culturelle et politique de la Barvynie, aussi bien dans ses traditions que dans son humanisme, comment pourriez-vous croire que nous déportions nos peuples ? Nous contournerons directement tout l'Afarée en payent des ravitaillements à nos alliés Afaréen... Et non, nous ne voulons pas contourner, nous souhaitons réellement prouver que l'homme est capable de s'unir pour un but humain ! Communiste ou pas, de droite ! Du centre ! ou de gauche ! vous êtes des humains ! des humains avec tout l'amour du monde dans le cœur. Vous n'avez pas de haine, sinon pour ce qui est inhumain, ce qui n'est pas fait d'amour ! Soldats, ne vous battez pas pour l'esclavage, mais pour la liberté ! Rejoignez nous pour combattre la tyrannie de la Gondavie ! Ensemble ! Nous pouvons renverser l'horreur colonialiste ! Nous pouvons aider les militants du Kızıl Saray qui se fond massacrer par des terroristes ! Je vous en prie, aider nous ! Il ne s'agit que d'un aller-retour ! nous ne voulons pas coloniser... Comment pourrions-nous soumettre des peuples ! des cultures ! des nombreuses croyances ! pour des intérêts politiques ! Je vous en prie ! Tuez-moi ! Non, nous voulons changer les choses ! C'est finie cette époque où le peuple regarde les autres humains se faire massacrer ! Désormais, nous agirons ! Nous nous unirons contre l'esclavage ! contre

Je suis prêt, en tant que Présidium ! à rester en République Fédérale de Tanska avec mon fils, en tant que garantie ! J'aurais préféré militer avec mon peuple contre la tyrannie coloniale Gondave à vos côtés ! Mais si je dois sacrifier ma présence pour permettre à la parole de mon peuple pour franchir l'océan ! Si vous décidez de m'exécuter pendant la garantie, vous êtes aussi autorisée à le faire, aucun casus belli ne sera justifiée, cependant je vous interdis de prendre mon fils... Alors, prenez-nous, nous laissons nos vis entre vos mains !

Mais je vous en supplie... Aider nous ! Je n'ai rien d'autre à vous donner qui n'est plus de valeur que ma parole ! Car tout ce que je possède appartient au peuple ! Et si le peuple exige des changements, alors nous changerons ! Nous ne leur tirerons pas dessus ! Contrairement au Président Marcelin Cătănău !
QUI TUE SON PROPRE PEUPLE ! Mais réveiller vous ! Nous ne laisserons plus jamais des peuples se faire génocidée ! Libre à vous d'être complice de ses actes inhumains !P.S(c'est le motif de la non-intervention de la C.S.N en République Socialiste de Yashosie qui effectuer un génocide contre les chrétiens.)
Texte en italique, tiré du discours de Charlie Chaplin dans le filme : Le Dictateur. Est donc mis en Ignore

Bien Cordialement, Le Présidium Barvynien, Nikolai Mikhaïlovitch Bowsarev

Gloire a l'humanité.



Rédigé par : Nikolai Mikhaïlovitch BowsarevLe 21/8/2017 à 00h07Depuis Velzmegrad
Signé par : Le Présidium : Nikolai Mikhaïlovitch Bowsarev,
Le fils du Présidium : Alexeï Nikolaïevitch Bowsarev

HRP : Cette missive n'a pas été relue par le Ministre des Affaires étrangères de Barynie, ni la Secrétaire Générale, la présence de la signature exceptionnelle d'Alexeî est une preuve que ce dernier est consentant à être utilisé avec son père comme garantie de retour du peuple barvynien en barvynie, aussi, aucun personnage en Barvynie n'a de protection anti-assassinat..
3221
Aux Services Diplomatiques Tanskiens
Ila leve Organe Diplumatiam Tanskaem


Excellence,

Nous constatons en même temps que vous les multiples blocages administratifs qui semblent obérer la libre sortie de vos nationaux du sol illiréen. Nos services font actuellement leur maximum pour débloquer la situation et retrouver nombre de dossiers perdus, nous vous exprimons en cela nos plus plates excuses. Nous sommes bien évidemment prêts à accepter la coopération de votre administration pour permettre aux citoyens tanskiens bloqués de retrouver, au plus vite, leur pleine liberté de mouvement. De ce que nos premiers rapports mentionnent, la tare pourraient remonter à la restructuration de nos services de douane lors du remaniement de l'ex-administration impériale en peine. En ce qui concerne la sécurité immédiate de vos ressortissants, nous assurons notre possible pour les maintenir à distance d'une guerre qui n'est pas la leur ni celle de l'OND. En attendant que la situation ne se débloque — et en signe de bonne volonté, nous avons mis à disposition des citoyens tanskiens et onédiens sans plus de moyen de subsistance sur notre sol des hôtels et autres logements publics, sans aucuns frais pour les concernés.

Votre inquiétude quant à l'entrée en guerre de l'Illirée en solidarité du peuple altrechtois indûment agressé est légitime, mais nous restons ouverts à tout dialogue entre nos alliés et nous même et l'Organisation des Nations Démocratiques — qui, encore une fois, est extérieure au conflit — afin d'éviter toute escalade entre des parties encore en paix les unes avec les autres. Il serait désastreux pour nos intérêts mutuels que ces tensions armées ne s'étendent au reste du continent. L'Hotsaline a commencé un conflit injuste et sera désarmée, il n'y a nulle autre conclusion qui puisse mieux rétablir l'équillibre régional. Cependant, si le Royaume de Teyla s'est récement constitué belligérent dans cette guerre, cela lève chez nous des inquiétudes quant à une éventuelle escalade incontrôlable. Nous avons toute confiance en la République Fédérale pour faire le choix de la stabilité et du cloisonement du conflit sans escalade supplémentaire. Malgré tout, nous demandons des éclaircissements quant à l'implication nouvelle de Teyla dans un conflit déclenché par l'Hotsaline, l'intervention teylaise se plaçant alors en dehors de tout pacte défensif étant donné que Troïtsiv est l'agresseur. Pouvez-vous nous confirmer que l'Organisation des Nations Démocratiques resteront dans la voie de la stabilité et de la paix ?

Si les citoyens onédiens sur notre sol se trouvaient soudain contituer des nationaux de nations ennemies, cela pourrait de beaucoup compliquer le processus de déblocage en cours. Etants civils, ils ne pourraient évidement êtres constitués prisonniers de guerre, mais une agression de l'Illirée ou d'un autre Etat souverain par l'OND saperait la confiance nécessaire à la sortie de ses citoyens sur simple présentation d'un document possédé par l'OND seule. Des agents tanskiens accrédités peuvent toutefois dès maintenant se rendre sur le sol illiréen sans contrainte de sortie pour s'assurer du bon traitement de leurs compatriotes coincés ici. Nous vous informons finalement que vos diplomates ont été prioritairement l'objet d'une enquête administrative pour remettre la main sur les documents de ceux d'entre eux qui étaient perdus, ils sont par conséquent tous libres d'aller et venir. Nous espérons que cette situation pourra rapidement être étendue à l'ensemble des citoyens onédiens bloqués si aucune tension supplémentaire n'obère le processus.

Nous vous prions de bien vouloir accepter l'expression de nos sentiments distingués,

Ministre de la Diplomatie Ian Unerstag,
République Populaire et Sociale d'Illirée
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Du maintien de TSMC à Messalie


A l'attention des autorités de la République Fédérale de Tanska

Mesdames, Messieurs,

Je m'adresse à vous au nom du Directoire de Messalie afin d'aborder la situation délicate, soulevée par le média Voice of Eurysia, touchant à la question de la présence de la Tanskian Semiconductor Manufacturing Company à Messalie. D'abord, je souhaite me réjouir de la présence de cet acteur dans notre localité du Deursoms, qui crée un emploi qualifié et profitable à notre rayonnement économique. Je dois néanmoins répondre sur le fond, et en prévention de tout risque de malentendu, aux critiques émises contre Messalie, parfois accusée, ou soupçonnée, de devenir une complice de Carnavale dans les crimes qui lui sont imputés par l'Organisation des Nations Démocratiques et d'autres pays. L'enjeu de cette accusation repose sur la présence d'un Jardin Dalyoha à Callinople, l'un des dèmes régionaux de Messalie, appartenant à des entités carnavalaises suspectées de crimes multiples lors de guerres lointaines. Ce jardin à Messalie créerait, dans l'esprit de certains de nos détracteurs, un lien de complicité entre l'Etat messaliote et les drames d'outre-frontières auxquels la famille Dalyoha pourrait avoit pris part.

En cela, je dois réaffirmer avec politesse et déférence à l'égard de tous nos partenaires que Messalie est un pays neutre, comme le prévoit la Loi de neutralité du 3 février 1942. Cet état de fait empêche à ce stade le Directoire de mettre en place des sanctions de toute nature contre des entités relevant de la Principauté de Carnavale, ou de tout autre pays. Bien que les Messaliotes déplorent les drames survenus dans bien des régions du monde, la loi et notre tradition interdisent de condamner des actes échappant à notre législation nationale, qui se cantonne à notre territoire. La Cour Suprême a rendu un avis dans ce sens. En l'état, je me vois donc dans l'obligation de vous confirmer que Messalie ne peut mettre en place de sanctions équivalentes à celles que la République Fédérale de Tanska a adoptées contre la famille Dalyoha. Par suite, le Jardin botanique ouvert par les Dalyoha à Callinople ne peut être préempté par l'Etat, ni les avoirs de la famille saisis ou gelés. La seule piste possible pour le retrait de la famille Dalyoha de Messalie serait le rachat de ce jardin par un autre acteur privé ou par la municipalité locale, à laquelle est dévolue la compétence en matière de gestion des espaces verts et des parcs naturels. Cependant, la maire de Callinople a refusé de municipaliser le jardin, et la famille Dalyoha n'a pas manifesté l'intention de le vendre. Les municipales approchent et la nouvelle municipalité sera peut-être plus réceptive, mais je ne saurais le promettre de façon aussi hasardeuse. En tout état de cause, le Jardin botanique de Cap Pythéas devrait donc demeurer.

Je déplore que cela puisse être un motif de sanctions à l'encontre de Messalie, qui ne fait qu'appliquer son droit. Son Excellence le Premier-Directeur étant très sensible aux questions de droits humains et sincèrement motivé à améliorer la coopération avec les nations démocratiques, je ne saurais qu'ajouter à cette explication de texte une proposition purement théorique, mais qui suspendra, je l'espère, la main de la justice fédérale au moment de sanctionner TSMC et Messalie. Cette proposition est la suivante : elle est celle d'un alignement de normes juridiques à une échelle internationale plus large. La neutralité de Messalie l'empêche d'adhérer aux dispositions de l'OND, mais lui permet de souscrire à un traité international large et universel qui ne contiendrait pas d'enjeu d'alliances. Un traité sur la prévention des crimes de masses pourrait être signé par Messalie, et ses dispositions sanctionnant les auteurs de tels crimes, avérés comme tels par un mécanisme juridique pertinent, seraient alors traduites dans notre droit national. En d'autres termes, si un droit international posait un mode de sanction clair à l'égard des auteurs de crimes de masse, Messalie s'y conformerait. Ce droit international ne peut en revanche être celui d'une alliance ; il doit être universel et pluriel, pour que la neutralité messaliote demeure indubitable. C'est à l'aune d'un tel droit, signé par Tanska et Messalie, que nos deux régimes juridiques pourraient s'aligner dans la prévention et la poursuite des auteurs de crimes de masse.

Je souhaite donc signifier à vos Excellences que cette piste existe et qu'elle me paraît la mieux à même d'apporter des réponses aux sollicitations de la justice tanskienne, tout en préservant l'avenir messaliote de TSMC, et en respectant notre neutralité. Si un tel chantier visant à créer par exemple un traité international de prévention des crimes de masse venait à voir le jour, Messalie y apporterait tout son soutien et je vous confirme notre intention résolue de le signer. Dans l'intervalle de cette signature, je ne saurais que prier vos Excellences de bien vouloir suspendre les sanctions qui pourraient frapper TSMC Messalie, afin que perdure ce partenariat unique et fructueux entre vos capitaux et notre pays. Par ailleurs, je me tiens à votre disposition pour tout échange.

Peut-être qu'un traité international de prévention des crimes de masse réunissant un large panel de pays, allant de l'OND à d'autres organisations et puissances, pourrait effectivement être une réponse concrète et substantielle à la question posée par Voice of Eurysia ; qui sait, c'est peut-être même un common ground à trouver entre l'OND et Carnavale... et une idée de pont entre les deux belligérants, au moment de négociations de paix... toute ressemblance avec des idées exprimées par un certain califat étant bien sûr complètement fortuite.

Respectueusement,

Ophélie Veycin de Causans

26.08.2017, Messalie


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Aux Services Diplomatiques Tanskiens
Ila leve Organe Diplumatiam Tanskaem


Excellence,

Nous prenons connaissance de votre seconde missive liée à cette fâcheuse situation, et, je pense que nous agréons en tout point sur la pénibilité que peut représenter un blocage trainant en longueur pour les nationaux étrangers aujourd'hui bloqués sur notre sol. Soyez assurés que nous prenons maintenant des mesures pour retrouver au plus vite l'ensemble des documents perdus, ce n'est pas aux représentants du peuple tanskien que l'on apprendra la lourdeur d'un processus administratif de pareille dimension.

Cependant, bien conscients que ce blocage représente une gène manifeste pour les concernés ; qu'il nuit à l'apaisement des opinions publiques et, par là même, à la stabilité régionale ; et enfin, convaincus que les gouvernements tanskien et onédiens seront à la hauteur de notre confiance pour ne pas jeter de l'huile sur le feu, ou des missiles sur des gens, en Eurysie centrale — nous rendons dès maintenant disponible à toute nos mairies majeures ainsi qu'à la plupart des importants postes de douane un passe-port spécial temporaire. Effectif pour la durée d'un mois, la possession de ce passe-port nominal lié à un passe-port étranger permet la libre entrée et sortie du territoire illiréen en l'absence de l'intégralité des documents normalement consacrés. Tout titulaire d'un passe-port onédien, kresetchnien ou de tout autre nation en faisant la demande, sur le sol illiréen peut demander qu'un tel passe-port soit lié au sien propre dans l'heure de sa demande.

Nous espérons que cet ultime geste d'apaisement saura faire jurisprudence, et ainsi prouvé que, comme en la crise de 2016, le dialogue aura été la meilleure des résolutions. Nous restons, comme toujours, à votre pleine disposition pour régler d'éventuels sinistres additionnel.

Nous vous prions de bien vouloir accepter l'expression de nos sentiments distingués,

Ministre de la Diplomatie Ian Unerstag,
République Populaire et Sociale d'Illirée
banderole

A l'attention de Son Excellence, Monsieur Mar Loftsson, Ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska

Monsieur,

Votre missive est forte d'une grande humanité, et vous avez tout le respect d'Achos pour votre proposition. Néanmoins, il semble que la situation engendrée par la coalition colonialiste Velsno-Jashurio-Unchong ne puisse finir autrement que par la voix des armes. Il en va de l'honneur d'Achos

Néanmoins, notre base de Pell Iwan avait pour but premier la distribution d'aide alimentaire, et pour fonction secondaire la formation de conscrits. Ces jeunes ne méritent pas de mourir si loin de leur foyer. Ainsi, et si cela vous semble possible, nous vous autorisons à évacuer les 2 000 conscrits achosiens présents sur place.

Merci, encore une fois, pour votre bonté !
Nous vous prions d'agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.



Cabinet Consulaire de la Sérénissime République d'Achos
Swyddfa Gonsylaidd Gweriniaeth Serene Achos
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Vous avez un nouveau message vocal !


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Message vocal écrit


Je vous salue,

Votre lettre est très intéressante. J'essaierai de répondre au mieux. Je tiens aussi à rajouter que je fais cela de bonne foi. Nous n'avons aucun compte à rendre à Tanska. Je donnerai simplement les éléments que j'ai envie. J'ai longuement réfléchi à vous répondre. Mais je prends la parole pour que l'on soit clair.

Sur la frappe balistique visant l’ancien Haut-État d’Altrecht : Cette frappe a été menée avant la chute du régime autoritaire d’Altrecht, connu comme étant un État fasciste et d’extrême droite. Elle ciblait une base militaire stratégique dont les activités menaçaient directement la sécurité de la population afaréenne et de nos citoyens. Je n'en dirai pas plus. Elle n’a pas été déclenchée sans aucune raison. Si vous ne savez pas pourquoi Churaynn a puni l'Altrecht, malheureusement, je ne peux que vous dire d'aller lire les journaux. Je reste très perplexe quant aux informations que vous avez eues du conflit entre l'Altrecht et l'Empire.

L’Empire islamique de Churaynn a signé un traité de paix avec le gouvernement de transition d’Altrecht, mettant fin au conflit. Nous considérons que cette page est désormais tournée. Nous espérons que Tanska, en tant que puissance eurysienne, saura aider ce nouveau gouvernement.

Sur la militarisation du détroit de Sudéiss : Nous entendons parfaitement vos inquiétudes. Le détroit de Sudéiss est une pièce importante pour la région et surtout pour l'Empire, et nul ne souhaite qu’il devienne un terrain de tensions. Toutefois, l’Empire islamique de Churaynn n’a jamais revendiqué un contrôle exclusif de ce passage maritime, pas plus qu’il n’a menacé la liberté de navigation des navires civils ou marchands. Sa militarisation récente a été préventive, et non offensive, motivée par les risques accrus de sabotage, de piraterie et d’ingérences extérieures, qui nous préoccupent beaucoup. Connaissant le poids économique de ce canal, nous ne pouvons pas nous permettre de perdre ce canal ou que les moyens de sécurité soient plus faibles.

Nous reconnaissons que cette militarisation a pu être perçue comme un signal d’escalade, et à ce titre, nous sommes ouverts à des discussions avec la Confédération de Qadishapolis et votre gouvernement afin de :

- garantir la neutralité commerciale du canal,
- définir un cadre commun de sécurité maritime dans l'isthme,
- et établir des mécanismes d’alerte en cas d’usage militaire exceptionnel (par exemple, en cas d'attaque d'un État hostile).

Nous n’avons aucun intérêt à mettre en péril les routes du commerce, ni à provoquer une remilitarisation générale de l’isthme. Cela ne sert ni notre économie, ni notre diplomatie.

Sur la gouvernance de la République de Sudéiss : Vous avez raison de rappeler les réalités démographiques et politiques. La République de Sudéiss est une région complexe, composée de populations de différentes origines, parfois au passé douloureux. L’Empire travaille actuellement à une réforme institutionnelle.

Nous refusons catégoriquement l’idée d’une gestion coloniale ou répressive. Toute gouvernance perçue comme étrangère ou méprisante est condamnable. Nous vous remercions d’avoir mis l’accent sur ce point, et vous assurons que vos remarques seront relayées auprès de la Haute Instance de Coordination.

Nous ne souhaitons en aucune manière forcer votre gouvernement à augmenter ses dépenses militaires. Une région où chaque État se sent obligé de militariser davantage est une région au bord de la rupture.

Nous restons disponibles pour fixer ensemble les modalités d’une première rencontre diplomatique.

Que la paix et la raison prévalent.

Respectueusement,



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Le Sadr, Empire Islamique de Churaynn

Ministère

05/10/2017
à Warenburg,
A l'intention de Mar Loftsson,
Ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de Tanska,


Excellence,

Il est hélas terrible de constater cette tragique situation qui touche cette région déjà meurtrie d'Eurysie Centrale, aussi appelée les Belkariems. Au delà même de l'incohérence de cette attaque injustifiée, elle a menacé plus qu'un régime : elle a menacé des peuples. La paranoïa dont fait preuve le gouvernement Hotsalien a provoqué une réponse tout à fait disproportionnée, et de fait, totalement honteuse. Nous apprécions sincèrement les vives critiques que vous avez porté et que vous portez en ce moment même face à ce conflit qui se mue en une guerre généralisée. Nous partageons également votre avis, la guerre n'a jamais résolu rien, sauf celui de contenter les élites vainqueurs. Le peuple, lui, reste défait de lui-même, perdant plusieurs de ses membres, à commencer par sa famille, et ses proches. Cela est tout bonnement inacceptable. Depuis la fin de la tragique guerre civile kaulthe dont notre régime a su mettre un terme, la Kaulthie a toujours privilégié une approche diplomatique plutôt que par le sauvage langage des armes.

Néanmoins, je ne saisis pas bien vos propos : vous considérez que nous nous bâterions pour d'autres ? Que notre présence dans ce conflit serait de ce fait, injustifiée, incohérente ? Je me dois de clarifier une chose : Lorsque l'Altrecht a été frappé par les missiles hotsaliens, ce n'est pas seulement son peuple qui en ont subi les conséquences, c'est également tous les membres du Liberalinter. Car, cela vous aura peut être échappé, l'organisation est un bloc, une assemblée. C'est un front commun, qui défend les intérêts de ses membres, pour le bien de ceux-ci et de leurs peuples. Si un de nos membres est injustement attaquée, nous nous devons de faire front commun et de répliquer.

De la manière dont vous le dites, nous devrions, kaulthes que nous sommes, oublier la frappe meurtrière qui a salit notre sol et notre peuple comme si rien ne s'était produit ? Mais on ne joue pas avec la vie de familles entières. Aujourd'hui, on compte et pleure nos morts comme si nous venions de perdre une guerre ! Le seul criminel de cette guerre qu'il aurait fallu condamner n'était autre que l'Hotsaline, et certainement pas l'Estalie, le Kah ou même la Kaulthie ! Ne blâmez pas ceux qui défendent les présents orphelins et les veuves, et qui espèrent pouvoir disposer d'un toit.

Mais vous vous trompez lourdement. Cette guerre est là nôtre. Comme dit précédemment, dès l'instant où un missile a touché le sol de l'Altrecht, nos frères kaulthes ( car les Altrechtois sont des membres de la grande ethnie kaulthe ), l'Union des Fédérations des Communes de Kaulthie était un acteur du conflit. L'attaque injustifiée et arbitraire de l'Hotsaline n'a fait que renforcer nos positions.

Teyla, est, quant à elle, autant une menace pour la stabilité de l'Eurysie Centrale qu'est l'Hotsaline. Elle a participé, consciencieusement, à une attaque, à une agression, contre nos alliés. Elle a fait autant de morts que la sauvage Troïtsiv. Elle ne mérite pas plus de ménagements que l'Hotsaline. Vous cherchez à sortir un pays allié d'une situation délicate, et je salue cette fraternité. Néanmoins, il serait judicieux de le défendre si le pays dispose d'arguments valables, et non pas de sang des enfants qu'elle a fait coulé.
J'en profite pour aussi mentionner la haine présentée à ciel ouvert des kaulthes enseignée et propagée par le régime Hotsalien. Plusieurs fois, le régime n'a pas caché son profond racisme envers mon peuple, et cela me déconcerte et me rend quelque peu perplexe qu'on puisse défendre un état qui ne cache pas sa xénophobie du germain sans raisons valables.
En se rangeant du côté du pays agresseur pour le protéger de toute riposte, Teyla permet la politique Hotsalienne qui, comme nous l'avons vu, est une politique d'agression et de déshumanisation des peuples germaniques. Il est difficile pour nous d'entendre leurs arguments quand ils s'accompagnent de missiles. De plus, en défendant l'Hotsaline, nous considérons qu'ils ont rendu possible une attaque sur l'Altrecht.
Néanmoins, il n'est pas trop tard pour se désengager. Nous sommes prêts à négocier avec Teyla afin qu'elle sorte de ce conflit, mais en ce qui concerne l'Hotsaline, la Kaulthie n'acceptera pas vos demandes.

Si vous souhaitez négocier, ce ne sera pas sans nos alliés. La Kaulthie ne s'abaissera pas à abandonner ses frères et soeurs, et encore moins les trahir. Si vous voulez réellement trouver la paix, réalisez une conférence pour la paix avec tous les membres du Liberalintern et les acteurs concernés, et peut être qu'à ce moment nous ferons acte de présence. Mais ce ne sera certainement pas le cas avec votre proposition. Nous, refuser des aéronefs sur nos aéroports ? Monsieur Loftsson, cette décision d'abriter des aéronefs, estaliens majoritairement, était uniquement à but défensif. Depuis la fondation du régime, nous avons été isolés, détestés à tort par des régimes qui ne voyait en nous qu'une vision caricaturée du mal. Face à la menace Hotsaline, à la puissance Raskenoise, vous pensez que nous serions restés de marbre ? Non. Nous avons appelés les seuls états en capacité d'assurer une partie de notre défense, et cela passe nécessairement par la présence d'aéronefs de la "coalition", comme vous l'appelez.
Aussi, j'oubliais, mais de toute manière, nous n'en disposons plus. Demandez donc des explications à l'Hotsaline, qui a prit soin de les détruire, en profitant de cette situation pour tuer plusieurs centaines de nos militaires et des centaines de nos citoyens. Le diable ne se cache pas là où on le pense.

Avez vous, Monsieur Loftsson, contacté le gouvernement hotsalien pour leur demander de mettre fin au frappe comme vous nous demandez d'accepter vos demandes ? Avez vous oublié qui est l'agresseur ? Pourquoi la Kaulthie s'est renforcée militairement ? Une seule cause : l'Hotsaline.
Ce régime doit compenser les dégâts inhumains et les traumatismes qu'il a causé aux kaulthes et aux peuples libres !
Il n'y aura tout simplement pas de sorties rapides. Si nous devrons négocier, ce sera avec l'Hotsaline, et non Teyla. Dans l'éventualité où l'Hotsaline accepte les conditions, nous pourrions alors ouvrir des pour parlers et négocier la paix avec nos alliés du Liberalintern. Ce n'est seulement qu'avec ces conditions que la Kaulthie pourrait être rassurée et pourrait possiblement revoir sa politique de présence des aéronefs sur ses aéroports.

Je tiens tout de même à vous montrez mes salutations les plus distinguées,

Ulric Kaur, premier Hoher Kommissar
Ulric Kaur,
Premier Hoher Kommissar de Kaulthie
Monsieur le Ministre des Relations Internationales,
Piotr Vassia,
République de Poëtoscovie.

Mesdames et Messieurs les responsables diplomatiques
de tous les États et organisations internationales
favorables à une coordination juridique et stratégique internationale.


Hernani-centre, le 22 novembre 2017.



Objet - Création d'une coordination judiciaire et stratégique



Madame, Monsieur,


En tant que Ministre des Relations Internationales de Poëtoscovie, je me fais porte-parole d'une masse silencieuse favorable à la création d'une coordination juridique et stratégique dans un souci de la paix et de la stabilité internationale.

Cela respecterait les principes suivants :
- Égalité stricte entre tous les États
- Chaque État membre de droit
- Siège de la coordination changeant d'État chaque année

Cela aurait pour objectif :
- De créer des textes de lois internationaux que chaque État sera libre de signer (harmonisation des lois maritimes, fin du travail des enfants, etc)
- De mener des opérations sous mandat international (lutte contre le trafic maritime de drogue, défense des routes maritimes majeures, neutralisation de forces génocidaires, etc.)

Cela se concrètiserait par :
- Une tribune internationale où chaque chef d'État peut s'exprimer
- Un espace pour écrire des textes de loi
- Un espace pour signer les textes de loi déjà existants de la Coordination
- Un espace pour coordonner des opérations stratégiques ponctuelles ayant pour dessein la paix
- Un espace pour coordonner la protection des routes commerciales majeures

J'attends vos retours avec impatiente, et lancerai la procédure nécessaire à la création de la Coordination présentement décrite dès les 10 États y émettant un avis favorable. Une fois créée, la Coordination serait totalement indépendante, et la Poëtoscovie s'engage à ne pas réclamer la localisation de son siège sur son territoire.

Avec mon plus sincère respect,


Monsieur Piotr Vassia,
Ministre des Relations Internationales de la République de Poëtoscovie.


oui

Au sujet de votre navire dans nos eaux internationales


De Anatavia Patrovichko, ministre des affaires étrangères ouanaises

Au ministères des affaires étrangères et des droits humains de Tanska


Salutatioons,
Quelle ne fut pas notre surprise, ces derniers jours, d'observer les mouvements d'un de vos navires dans nos eaux territoriales. Il est vrai que nous n'avons jamais fermé nos eaux aux bateaux de plaisance, cependant, nous sommes tristes de vous l'apprendre mais le corvettes n'entrent malheureusement pas, pour nous, dans la catégorie des "navires de plaisance". Peut-être n'est-ce qu'une simple incompréhension et que vos marins sont effectivement en train de bronzer sur le pont pas moins 10° et de pécher dans une mer à moitié gelée, a vrai dire, nous ne pouvons pas savoir. Cependant, il est assez impoli de leur part d'être entrés chez nous sans nous avoir même avertis, car nous n'aurions eu aucune raison de refuser qu'ils pêchent ici et pas ailleurs, à condition bien sur de ne pas piller nos eaux déjà bien touchées par les millions de papiers déversés dedans pas le Khardaz.
En disant ceci, une éclaircie nous vient à l'esprit, peut-être êtes-vous là pour récolter les quelques papiers restants, si c'est ça, c'est fort aimable à vous et nous en sommes touchés.

Quoiqu'il en soit, nous serions heureux de recevoir votre charmant équipage dans un de nos ports, afin d'éclaircir notre curiosité quand à votre présence et de vous indiquer au mieux les meilleurs coins de pêche de la région. Cependant, peut-être ne vous étiez-vous pas rendu compte que vous étiez chez nous, si c'est le cas nous vous laissons quitter les lieux immédiatement. Si votre trajectoire n'est aucune de celles indiquées, alors cela voudrait dire que votre bateau agit sans aucune raison et que vous ne le contrôlez surement plus et qu'il y a eu une mutinerie ou qu'il a été dérobé par de vils pirates. Dans ce cas, rassurez-vous, nous nous empresserons de le couler pour vous éviter le déshonneur de passer pour un faible et nous ne dirons à personne que vous ne pouvez même plus contrôler vos propres navires

PS: Nous espérons que notre hospitalité vous invitera à nous faire une ristourne quand à la vente d'hélicoptères que vous êtes en train de mener

En attendant votre réponse par des mots ou par des mouvements avec impatience
Avec nos plus profonds respects
Une nation curieuse et prête à vous venir en aide

oui

En réponse à votre pertinente argumentation sur la présence de votre bateau dans nos eaux NATIONALES


De Anatavia Patrovichko, ministre des affaires étrangères ouanaises

Au ministères des affaires étrangères et des droits humains de Tanska


Salutations,
Sachez d'abord que nous sommes heureux de savoir que vous maitrisez votre propre navire, nous vous adressons nos plus sincères félicitations.
Nous sommes aussi heureux d'apprendre que vous accepterez de faire escale dans un de nos ports, cela vous permettrait de clarifier avec notre bureau maritime quelques points concernant le premier point de votre réponse.

En effet, vous indiquez que vos lois considèrent les eaux territoriales comme étant à 12 miles, cependant, vous indiquez aussi que nous ne disposons pas de législation propre sur ce point, malheureusement, nous sommes désolés de vous indiquer que nous en avons bien une, afin de vous éviter des recherches harassantes dans nos textes de loi nous vous indiquons ci-contre la dernière manifestation à un organisme internationale de la zone que nous considérons comme notre espace maritime; la voilà
Nous vous indiquons aussi directement la carte maritime de l'espace aquatique que nous considérons comme notre,la voilà de mêmela carte en question
Cette carte étant été établie le 11 mars 2011 par la commission C-1123-2 conjointement avec l'ensemble des états reconnus du Nazum du Nord (suivant la réglementation de l'organisation des frontières 623-B-4 mais nous vous épargnons les détails ) et approuvée par le vote lors de la séance du 14 mars 2011 est considérée comme établie. Ayan été réalisée conjointement avec les autres états, et étant de plus héritière des cartes de l'empire Mör, elle est considérée comme valable jusqu'à renégociation par d'autres puissances concernées.
Etant donné que selon le droit international, puisque nous n'avons pas signé de traité indiquant le contraire, toute personne (individuelle ou groupe, donc votre navire) se trouvant sur le territoire d'un autre état doit se tenir à sa loi. Vous pourriez arguer que selon vous, vous n'en êtes pas tenus puisque vous ne vous considérez pas chez nous, mais j'espère que nous avons autre chose à faire que des dialogues de juristes.
De toute façon, nous n'avons aucun intérêt à vous interdire nos eaux puisque vous n'y faite, nous paraît-il, rien d'anormal. Mais donc vous aurez juste à passer, pendant que vos marins découvriront notre beau pays, sachez qu'ils seront considérés comme invités et que nous nous ferions un plaisir de leur faire découvrir la région dans laquelle ils s'arrêteront pendant quelques jours, il suffira qu'un de vos officiers passe dans le bureau maritime de la ville (on en trouve dans l'immense majorité des ports donc vous n'aurez pas de mal à les trouver mais nous pourrons toujours faire déplacer un des responsables si besoin ). Il y indiquera simplement la raison de votre présence, et la date jusqu'à laquelle vous comptez rester dans nos eaux, ainsi que les éventuels arrêts que vous pourriez faire pour remplir le réservoir de votre bateau. Ensuite, il n'aura aucune raison de refuser votre séjour dans nos eaux (sauf si bien sur la raison est louche mais je suis sur que ce n'est pas le cas)
Nous ne sommes toutefois pas tatillons et vous laissons 2/3 jours de marge avant de vous rendre dans un de nos ports pour effectuer ces menues démarches

PS: Il sera demandé à vos marins leurs permis de pêche, sinon, ils pourront passer une formation accélérée d'une demi-journée étant donné leur statut pour pouvoir voguer librement et en toute tranquillité sur nos eaux

Dans l'attente de l'arrivée de vos marins dans le port de votre choix
Avec nos respects
Un hôte
communication diplomatique

De : Simón Velázquez, Conseiller fédéral aux affaires étrangères de la Fédération d’Alguarena.
A : Mar Loftsson, Ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska.


Monsieur le Ministre,

C'est avec un émoi certain que je prends acte de votre missive. En effet, la demande que vous nous soumettez est susceptible d'intervenir au sein d'une relation commerciale pour laquelle nous avions préalablement formulé un consentement et dont le renoncement est susceptible d'engager sur un plan pécunier nos industriels qui auraient l'obligation morale d'en rembourser la partie livrée. Un fait d'autant plus regrettable que vous le conditionnez à la survenue d'évènements en République Démocratique Populaire d'Ouaine, que nous consentons à distinguer en actes et en pensées de la République Socialiste de Morzanov.

Cependant, après étude scrupuleuse du dossier, il appert manifeste que l'agrément administratif émanant de nos institutions a été supputé par une absence de réponse. En l'espèce, je vous confirme par conséquent que l'agrément administratif permettant la transaction évoquée souffre d'irrégularités qui ne nous font pas honneur. Ce fait associé à la lumière des éléments que vous nous apportez et s'il nous fallait considérer la Confédération Socialiste du Nazum comme un indissociable tout, nous amènent un doute raisonnable pour interrompre momentanément la vente. ,

Toutefois, l'interruption des livraisons à destination du Morzanov nous oblige qu'à réinstruire la délivrance de l'agrément administratif. Agrément administratif qui entend se fonder sur la valeur morale et la portée éthique donnée à des échanges vers le Morzanov. C'est pourquoi ces présentes mesures que nous sommes prêt à appliquer ne revêtent qu'un caractère suspensif, jusqu'à ce que vous puissiez nous instruire les contours dicibles de crimes passés et ambitionnés par la République Socialiste du Morzanov. Puisque la coopération tanskienne est invoquée, nous serions conséquemment et particulièrement intéressé pour constituer une cellule d'enquêtes et d'investigations jointe à la vôtre, chargée d'étayer les zones grises autour des opérations de la CSN dont vous entamez présentement la probité, l'éthique et in fine les ambitions futures.

La capacité de l'Organisation des Nations Démocratiques à décréter quelle organisation ou quel état revêt un caractère terroriste peut malheureusement souffrir de divergences avec notre perception. Le cas de la société militaire privée du Jaguar Paltoterran investie dans la Guerre d'Indépendance du Pontarbello aux côtés des héros de l'ANPL, là où vous les qualifiez d'organisation terroriste sur la base d'un dossier westalien qui manque encore cruellement d'éléments matériels quant aux agresseurs, est peut-être un des exemples les plus criants. C'est pourquoi, sans vous faire ombrage, nous aimerions considérer avec tout le discernement nécessaire et possible, notre capacité à contractualiser avec les états membres de la Confédération Socialiste du Nazum, présentement la République Socialiste du Morzanov.

Avec courtoisie et l'assurance de mes salutations les plus distinguées,

Simón Velázquez, Conseiller fédéral aux affaires étrangères de la Fédération d'Alguarena.

Conseiller fédéral aux affaires étrangères Simón Velázquez
logotype de l'ALCO

𝑳𝒆𝒕𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏𝒆𝒆 𝒂𝒖
𝑪𝒐𝒏𝒈𝒓𝒆𝒔 𝑭𝒆𝒅𝒆𝒓𝒂𝒍 𝒅𝒆 𝑻𝒂𝒏𝒔𝒌𝒂
𝐴𝑟𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑛𝑎𝑣𝑖𝑟𝑒𝑠
𝑏𝑎𝑡𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑣𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛 𝑒𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟


Selon les principes démocratiques qui vous honorent, en toute collégialité, vous avez pris une décision qui aura des conséquence que vous n'avez sûrement pas mesuré, et que vous devriez mesurer pleinement. Vous nous mettez devant le fait accompli, sans avoir pris la peine de négocier. Je prends mon entière responsabilité dans cet échec ; nous n'avons pas mesurer l'imminence d'une telle erreur dans un grande puissance maritime. Nous aurions dû anticiper ce vote dramatique et faire notre office dans les travées du Congrès fédéral, pour vous présenter les arguments pertinents sur le sujet. Mais nous en sommes là maintenant, la loi est signée, et il nous faut tenter avec vous un dernier round de négociations, avant que nous ne soyons contraints de constater votre opposition frontale au commerce.

Il est urgent que le Congrès fédéral revienne sur son choix, ou bien il faudra que le gouvernement ne l'applique pas, sous peine de se voir pénaliser en de nombreux aspects par les entreprises que nous représentons. Il est compréhensible que vous souhaitiez mettre l'embargo sur les armes qui parviennent à Carnavale. À ce titre, la présence d'un blocus est de l'ordre naturelle des choses, et le fait que tout navire tentant de franchir ce blocus doive se soumette au bon vouloir des belligérants l'est tout autant. Il est en revanche intolérable que la marine tanskienne s'arroge le droit de perquisitionner des navires en mer Leucytalée comme un vulgaire état autoritaire. Le motif de ces perquisitions, « se rend ou provient de Carnavale », est une fausse bonne idée. Carnavale est un hub important, aussi de nombreux bateaux marchands peuvent rencontrer se port sur leur route.

Tous les contrôler est une folie, encore plus si c'est pour saisir la cargaison de navires accusés d'enrichir Carnavale, sans avoir préalablement discuté avec les entreprises multinationales de sanctions contre Carnavale. Oui, presque toutes les sociétés que je représente font encore escale à Carnavale, malgré la guerre. Car nul ne leur a demandé d'en faire autrement, et que même par convictions, abandonner ses activités dans un pays si important est compliqué et ne se fait pas en six mois. Votre décision, en plus d'être néfaste au commerce, est extrêmement brutale. Et nous déplorons encore une fois l'agressivité de la méthode qui néglige toute forme de dialogue préalable.

Députés, revenez sur votre décisions. Vous l'aurez compris, il en va de l'intérêt de votre nation. En échange, dans le but de voir aboutir vos objectifs de guerre, l'ALCO est un intermédiaire de choix pour vous aider à convaincre les entreprises de transport maritime de se détourner du port de Carnavale. Mais nous plaçons le retrait de votre dangereux texte comme préalable à l'ouverture de négociations.


Le président,
Henri Cassenta
2318
À l'attention de Son Excellence Mar Loftsson, ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska.

Excellence,

J'ai bien reçu votre lettre, et j'en ai entendu les arguments avec un goût amer en bouche. Sans doute le goût du sel sur la coque de tout ces bateaux qui finiront en carène perpétuelle, lorsque la maladie maritime qui sévit au XXIe siècle aura eu raison de l'activité économique. Cette maladie, vous n'en êtes pas les plus responsables à/en Tanska, loin s'en faut. Mais entre la ZEEite aiguë, les patrouilles et le souverainisme aveugle qui ferme des ports et des canaux, nous aurons bien de la chance si la marine marchande s'en sort indemne. En tant que Nation engagée en faveur du libre commerce, Tanska se doit de montrer l'exemple.

Vous ne voulez pas suspendre avant négociations, sous prétexte de perdre un temps précieux, soit. Mais ne nous partagez pas en sus des projets irréalisables.

Vous nous proposez (c'est bien là votre seule proposition) d'exempter de contrôle les navires qui montrent patte banche. Mais à qui ? À quelle autorité l'armateur, l'affréteur, le commandant (ou qui, d'ailleurs ?) doit-il envoyer sa route et ses escales ? Quelle autorité est compétente pour compiler un tel fichier, le plan de route de tous les navires du globe ? L'État tanskien ? Et de quel droit ?

Sous une avalanche d'arguments moraux, comme la lutte contre un État génocidaire, vous essayez de nous amadouer pour une chose d'abord inconcevable, et ensuite irréalisable techniquement (je ne vous vois pas mettre sur pieds aux frais du contribuable tanskien toute une administration maritime à portée globale). Nous ne marchons pas. Il est possible d'envisager une force de contrôle des navires, dans le cadre d'un plan de sanctions contre Carnavale qui associerait les multinationales et ses organes représentants tels l'ALCO. Mais un tel plan devra contenir des garanties qui justifieraient de se priver des infrastructures portuaires carnavalaises, lesquelles ouvrent sur le marché ouest-eurysien. Notamment de financer des infrastructures de capacité suffisante dans d'autres ports (une telle initiative devra s'étendre d'ailleurs à d'autres pays).

Je conclurai cette lettre en vous disant, Excellence, que l'ALCO est prête à s'engager aux côtés de Tanska pour une conférence en vue de préparer des sanctions économiques mondiales contre Carnavale. En attendant qu'elle ait lieu, je répète que vous ne devriez pas pouvoir imposer vos lois sur tous les pays étrangers. Si vous êtes un pays libéral bien sûr. Le temps que vous avez perdu, vous l'avez perdu vous-même, parce que cette conférence que je vous propose, vous auriez dû l'organiser il y a bien longtemps.

Je vous prie d'agréer l'expression de mes sentiments distingués.


Henri Cassenta
logo_ministères_des_affaires_étrangères_Lermandie

De la part de:
Nicolas Lupin, Ministre des Affaires Étrangère
Bradis, République de Lermandie
A destination de:
Mar Loftsson, ministre des Affaires étrangères et des Droits humains,
Norja, République Fédérale de Tanska


Objet: Demande de renseignement

Votre Excellence,

Le gouvernement de la République de Lermandie souhaite exprimer sa vive préoccupation quant au soutien apporté par le Royaume de Teyla à la République d’Hotsaline, dans le cadre des opérations militaires menées contre les Communes Unies d’Altrecht.
Cette situation a fragilisé notre posture diplomatique dans la région, notamment en raison de nos liens étroits avec la République Impériale de Karty.

Nous comprenons naturellement les impératifs liés à la lutte contre les régimes autoritaires, qui entravent la prospérité et les droits fondamentaux de leurs citoyens.
Cependant, dans le cas d’Altrecht, tout juste sorti d’un régime oppressif, l’absence d’une politique d’accompagnement vers la démocratie constitue, de notre point de vue, une opportunité manquée.
La stratégie adoptée par Hotsaline, soutenue par le Royaume de Teyla, soulève ainsi des interrogations quant à la cohérence des principes défendus par l’Organisation des Nations Démocratiques.

La République de Lermandie, avec le soutien du Président Michel Duval, avait exprimé son intérêt à rejoindre l’OND, convaincue par ses engagements en faveur des droits humains, de la stabilité régionale, du commerce équitable et de l’État de droit.
C’est dans cet esprit que nous avons pleinement soutenu la politique de neutralisation de la Principauté de Carnaval, à la suite de ses bombardements que nous considérons comme contraires aux principes fondamentaux du Droit de l'Homme (qui devrais être introduit dans notre constitution si le peuple l'approuve).

Toutefois, les événements récents ont altéré notre perception de l’OND. Le soutien actif d’un État membre à une politique de bombardement contre un territoire vulnérable nous conduit, avec regret, à suspendre temporairement notre démarche de candidature officielle.
Nous tenons à préciser que notre volonté d’adhésion demeure intacte, mais elle ne saurait s’inscrire dans une logique d’alignement diplomatique sans discernement ni garanties.

Dans ce contexte, marqué par les frappes hotsaliennes à proximité de la frontière kartienne, mon gouvernement souhaiterait savoir si, du point de vue d’un État membre, l’Organisation des Nations Démocratiques envisage des mesures concrètes pour préserver sa crédibilité et prévenir toute escalade future.
Nous espérons que l’OND saura réaffirmer ses principes fondateurs et garantir que les États neutres ne soient pas exposés à des actes d’agression.

Je vous prie de recevoir, Votre Excellence, l’expression de mes salutations les plus respectueuses.

Cordialement,

Nicolas Lupin
Ministre des Affaires étrangères
République de Lermandie
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