Le fatalisme sociologique :
VIDÉO HRP : Fortement conseillé pour comprendre : => À partir de 22:47Pius Balbus a écrit :À l'heure où le libre arbitre n'existe pas, la justice ne peut qu'être vaine. On ne doit juger que sur la décision, mais celle-ci n'existe pas. Notre être conscient n'est qu'observateur et subi le hasard et le déterminisme sans avoir de prise dessus. Mais cet observateur ressent les conséquence de ces derniers. La méritocratie n'est qu'une chimère. On ne doit cependant pas limiter l'expression de la liberté apparente car l'oppression cause le crime. La justice ancienne était fondée sur le conditionnement au nom crime. Maintenant, l'ordre régnera par l'absence de crime.Pius Balbus est inspiré par les avancées de la sociologie qui remettent en question le libre arbitre et crée en 1956 le fatalisme sociologique, niant l'idée de libre arbitre et remettant en cause toute idée de justice. Son idéologie propose de supprimer les causes du crime plutôt que de le punir. Il dira à propos de cela :
Pius Balbus a écrit :Le crime ne peut être causé que par deux choses : un système imparfait ou un homme imparfait. Pour le premier, on le règle par la politique, pour le second, on le règle par la médecine. La justice n'existe pas et n'est pas nécessaire.Il faut cependant noter qu'il considère qu'il ne faille pas empêcher la liberté individuelle, qu'il considère comme essentielle pour empêcher le crime.
Son idéologie sera appliquée aux Nesoï en 1959, du vivant de son auteur, encore aujourd'hui, celle-ci est utilisée pour lutter contre la criminalité dans le pays.