11/05/2017
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🦖 | Paléontologie - Les dinosaures d'Akaltie et alentours - Page 3

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Nuctulkab
Nuctulkab grande


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 15 à 11 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Nuctulkab était un mammifère périssodactyle préhistorique, soit de la même famille que les chevaux, tapirs et rhinocéros actuels. On ne reconnaît ce lien de parenté qu'à sa tête, mais il est bien réel.

Nuctulkab était un herbivore de taille moyenne (environ un mètre cinquante de hauteur selon les squelettes retrouvés) qui peuplait le sud du continent paltoleucien il y a plus de dix millions d'années. Il n'a donc pas connu le règne des tigres à dents de sabre comme Smilodon ou Chimosmilus, ce qui lui a permis de prospérer sur un temps plutôt long.

Son nom akaltien signifie "bras grandissimes", facilement compréhensible au vu du rapport entre les pattes avants et arrières de l'animal. Il a étonné les chercheurs qui l'ont décrit, les faisant d'abord penser aux paresseux akaltiens. On pense d'ailleurs qu'il pouvait s'en servir comme eux et leurs ancêtres géants pour attraper et rapprocher les branches d'arbres, leur principale nourriture.

Photos de squelettes recomposés, reconstitutions dessinées ou 3D de l'espèce dans son habitat naturel.
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Florentotherium
Florentotherium magnum


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 43,5 à 35,2 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Florentotherium a été découvert sur la péninsule de la Nouvelle-Kintan à la fin du dix-huitième siècle, soit plus de quatre-vingts ans avant l'arrivée des akaltiens. Son découvreur, un scientifique antérinien revenu sur place observer les restes du comptoir de Saint-Florent d'Antérinie, vit également par hasard un fossile de l'un de ces chevaux dépasser de la roche, dans les falaises. Il ordonna que l'on le dégage délicatement de là pour pouvoir l'observer plus précisément, et le ramena dans son pays pour le faire examiner par un de ses amis d'un musée d'Antrania. C'est ainsi que fut décrit Florentotherium, la "bête de Florent" de son nom rhêmien. Cela en fait l'un des plus vieux mammifères préhistoriques reconstitués. Depuis, des dizaines d'autres restes d'individus de cette espèce ont été retrouvés, confirmant les reconstitutions faites de lui au fil du temps.

Sur un plan plus scientifique, Florentotherium était un périssodactyle proche des équidés modernes (chevaux, zèbres, ânes et couaggas), et était cependant un peu plus petit qu'eux. Il disposait aussi encore de plusieurs grands doigts pour la marche, alors que les chevaux n'en ont plus qu'un grand et de petits restes des autres.

Photos de squelettes recomposés, reconstitutions dessinées ou 3D de l'espèce dans son habitat naturel.
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Olingatitan
Olingatitan afaricus


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : 90 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Olingatitan a été découvert, comme son nom l'indique pratiquement, en Ouwanlinda. Des ossements, de son cou principalement, ont été déterrés dans la forêt nord-ouwanlindaise lors d'une expédition menée dans les années 2000 en Afarée méridionale (notamment en Ouwanlinda et au Dgondu) par une équipe de paléontologues des instituts akaltiens. Pour remercier le chef d'État ouwanlindais de les avoir laissés prospecter tranquillement dans le pays, ils ont donc donné son nom à l'une des espèces décrites lors de l'expédition.

Olingatitan était un grand sauropode de treize mètres de long, le plus grand dinosaure découvert à ce jour dans son pays. Il fait partie du groupe malheureusement restreint des quelques créatures préhistoriques afaréennes connues des scientifiques, qui ont jusqu'ici eu trop peu d'occasions de mener des recherches sur ce continent régulièrement ravagé par des conflits. Un grand squelette reconstitué d'Olingatitan trône désormais fièrement dans le musée d'Opango, montrant certainement aux yeux de l'amiral-président ouwanlindais Ateh Olinga la grandeur de son pays et de son histoire -même préhistorique- aux étrangers qui viennent le visiter. D'autres restes de l'animal ont pu être ramenés en Akaltie pour être étudiés plus en profondeur.

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Nacuotherium
Nacuotherium paltoterranum


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 5,33 millions d'années à 11.000 ans avant notre ère

Description précise de l'espèce
Nacuotherium était un très grand paresseux, nettement plus grand qu'un être humain. Contrairement à ses cousins actuels, perchés à l'envers sur des branches d'arbre, il ne pouvait absolument pas s'y aventurer. Il restait donc au sol et s'y nourrissait de plantes et de branches d'arbres qu'il pouvait attraper. Il était cependant omnivore et ne rechignait certainement pas à avoir un peu de viande à son menu de temps à autres, ce qui l'a potentiellement mis en concurrence avec Chimosmilus, qui vivait dans la même région. Bien qu'il soit dépourvu d'énromes crocs, sa grande taille et ses griffes faisait probablement de lui un animal craint par ces félins préhistoriques. L'arrivée de l'Homme sur le continent paltoleucien a cependant eu raison de lui, il y a à peine 11.000 ans.

Nacuotherium a été découvert pour la première fois sur l'île de Nacuot, mais on estime qu'il vivait plutôt en Paltoterra et Aleucie du sud, là où la majorité des squelettes suivants ont été retrouvés.

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2123
Hairăngotherium
Hairangotherium giganteum


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 20 à 0,781 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Hairăngotherium était une très grande espèce d'éléphant préhistorique, sans doute la plus grande qui ait existé dans l'histoire des proboscidiens. Il avait la particularité, contrairement aux éléphants afaréens et nazumis, et aux mammouths, de disposer de défenses quelques peu différentes : presque parallèles, et démarrant depuis sa mâchoire inférieure. Il n'en était probablement pas moins effrayant, même pour les carnivores alentours qui devaient être peu nombreux à le chasser ou même à se montrer agressif à proximité des troupeaux d'Hairăngotherium . Il mesurait environ quatre mètres cinquante au garrot, ce qui est tout à fait comparables aux girafes modernes. Un humain adulte de taille normale n'arriverait de toute façon qu'à atteindre son ventre, et strictement rien au-delà.

Hairăngotherium a été découvert en premier au Chandekolza, ce qui lui a valu un nom inspiré du vietnamien (langue locale), qui signifie avec un suffixe en langue rhêmienne "la bête à deux dents", description simple et compréhensible de l'animal retrouvé. Par la suite, les néo-kintanais ont également mis au jour plusieurs restes de ce pachyderme préhistorique, montrant qu'il vivait sur un très large territoire, s'étendant du Nazum à l'Eurysie occidentale. Le nord de l'Afarée comptait peut-être également quelques Hairăngotherium, bien que l'on n'en soit pour le moment pas certains.

Cet éléphant a démontré une fois de plus la richesse en matière de fossiles de toutes époques du rocher de la Nouvelle-Kintan, qui est visiblement un parfait endroit pour la conservation des fossiles depuis des dizaines, et même des centaines de millions d'années. Bien que les recherches paléontologiques akaltiennes plus poussées que dans d'autres pays aient quelque chose à voir avec le grand nombre de découvertes sur la péninsule de la cité en comparaison de ses voisins, il n'en est pas moins que beaucoup des animaux qui ont peuplé notre planète semblent avoir fini leurs jours sur place.

Photos de squelettes recomposés, reconstitutions dessinées ou 3D de l'espèce dans son habitat naturel.
Comparaison des tailles de Kaderstherium, Hairăngotherium et d'un éléphant d'Afarée actuel.
Comparaison des tailles de Kaderstherium, Hairăngotherium et d'un éléphant d'Afarée actuel.
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2266
Titanoboa
Titanoboa sterusensis


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 60 à 58 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Titanoboa est probablement le plus grand serpent qui ait rampé sur notre planète. Il mesurait dans les quatorze mètres et pesait aux alentours d'une tonne selon les estimations. Titanoboa chassait dans des mangroves côtières ou fluviales dans l'actuel Monthor, au sud de la Fédération de Sterus.

Cet énorme serpent a été mis au jour lors d'une grande campagne de coopération stéruso-akaltienne en paléontologie, durant laquelle plusieurs expéditions ont été menées dans tout le territoire de la fédération, et notamment dans les grandes régions frontalières peu peuplées et encore largement méconnues de toutes les branches de la science. Titanoboa n'est donc pas la seule espèce qui a été décrite dans cette période, mais est probablement l'une des plus impressionnantes.

On pensait à l'origine que Titanoboa était un superprédateur dans son environnement, ce qui semble aujourd'hui moins probable : il se nourrissait de poisson. C'est en tous cas ce qu'affirment les chercheurs qui ont étudié les restes de mâchoires retrouvés. Il chassait donc certainement dans l'eau, et des poissons de taille "normale" pour nous, du moins mis à côté de leur prédateur.

Tout comme ses cousins actuels, les boas constricteurs, il était probablement capable d'une étreinte surpuissante. Cependant, il n'est plus ici question d'étouffer des lapins ou des humains, mais plutôt de grands mammifères ! Cela ne lui servait certainement pas, son alimentation étant composée majoritairement de poissons comme déjà évoqué plus haut, mais il aurait largement été capable de faire plier des objets en métal de taille moyenne (des barils par exemple). Un homme serait donc complètement écrasé en quelques secondes par l'étreinte mortelle de Titanoboa.

Ce très gros reptile est apparu peu de temps après la grande extinction qui a marqué la fin du Mésozoïque et celle des dinosaures non-aviens, et a peut-être pris la niche écologique de ces lointains cousins récemment disparus sur l'échelle des temps géologiques. Environ six millions d'années séparent Titanoboa des derniers théropodes, mais cela représente au final relativement peu de temps pour notre planète, dont le vivant a mis du temps à se régénérer après la catastrophe qui l'a touchée en -66 millions d'années.

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Sterusaurus
Sterusaurus armatus


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 155 à 145 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Sterusaurus était un dinosaure herbivore de la famille dite des "dinosaure cuirassés" -ce qui est amplement un nom porté à juste titre. En effet, si Sterusaurus ne portait pas directement de carapace à l'image des tortues que l'on connaît bien ou des [ankylosaures]à ajouter à l'index sous un autre nom qui lui étaient contemporains, il avait tout de même de quoi se défendre : on peut notamment compter les grandes épines situées sur sa queue, d'environ un mètre de long ! Il pouvait certainement donner des coups à ses adversaires grâce à celles-ci, ou du moins les dissuader de tenter un combat.
Sterusaurus disposait également de plaques sur son dos, dont on a longtemps mal interprété la fonction. Au départ, comme les scientifiques estimaient que les dinosaures -des reptiles sans doute comme les autres après tout- avaient le sang froid, et avaient donc besoin d'être réchauffés par le soleil pour être actifs, à la manière des crocodiles et lézards des murailles que l'on voit souvent somnoler au soleil.

Sterusaurus tire son nom de la Fédération de Sterus, et le porte de part son lien évident en apparence avec les gladiateurs de ce pays. Comme eux, il était armé et pouvait blesser ses ennemis avec ses pointes aiguisées.

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1587
Ontkinhalhippus
Ontkinhalhippus occizyanii


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 17 à 11 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Ontkinhalhippus vivait dans l'Aleucie occidentale (si l'on en croit les fossiles retrouvés, notamment sur la chaîne continentale qui deviendra bien plus tard la péninsule d'Occizyan) il y a plus d'une dizaine de millions d'années. Il se nourrissait principalement de branches d'arbres.

Ontkinhalhippus est bien la preuve que les chevaux (ou du moins les équidés) sont apparus en Aleucie, bien qu'ils y aient disparu par la suite. Après plusieurs millions d'années de présence sur le continent, ils ont étendu leur présence au Nazum, à certaines époques préhistoriques accessible par la terre au nord, sur un long isthme qui s'étendait de la Poëtoscovie à la République du Neved.
Cet isthme existait grâce aux immenses glaciers qui recouvraient une partie importante de la planète, des hautes montagnes aux régions polaires. Cette toundra invivable descendait plus au sud que l'île celtique, et atteignait peut-être la Vlastie et l'Empire du Nord en Aleucie septentrionale. Avec les grandes quantités d'eau retenues dans les calottes glacières, les océans étaient bien plus bas (potentiellement plus bas de plusieurs centaines de mètres), et certains passages à sec existaient.

Quelques temps après que les équidés aient atteint le Nazum et que le passage se soit refermé, ceux d'Aleucie ont disparu, ne laissant pas de descendants directs sur place. Les chevaux ne furent réintroduits sur le continent qu'au quinzième siècle avec l'arrivée des conquistadors et colons.

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1513
Spinosaure
Spinosaurus kartyensis


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 112,03 à 70,6 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Le Spinosaure était un très grand dinosaure carnivore, considéré comme le plus grand prédateur terrestre qui ait existé. Il n'était cependant probablement pas tellement terrestre mais plutôt aquatique. Il chassait probablement dans de grandes mangroves qui recouvraient les deltas des fleuves qui se trouvaient aux alentours de l'actuelle Mer de Leucytalée. Son alimentation reposait certainement sur le poisson, bien qu'un peu de viande ne l'ait pas dérangé.

Découvert dans un premier temps sur le territoire de l'actuel Karty, le seul squelette connu était exposé au musée de Wikingia, ville du nord, frontalière de la Kaulthie. Malheureusement, avec la guerre destructrice entre le Comecon et l'Empire de Karty, dans les années 50, ce spécimen a été détruit en même temps que l'aile du musée paléontologique où il se trouvait. On a donc perdu les principales traces de son anatomie jusqu'à ce que de nouveaux fossiles soient découverts sur les territoires nord-afaréens de Fortuna et de la République des Trois-Nations. On a donc pu reconstituer correctement l'animal, qui avait été littéralement déformé dans les films où il apparaissait, tels que Yukanassic Park. Son caractère aquatique en est ainsi ressorti avec plus de clarté : sa queue n'était par exemple pas arrondie comme elle l'est chez la plupart des théropodes, mais aplatie pour plus facilement servir à la nage.

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1000
Kartyodon eurysien
Kartyodon giganhomogenes


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 295 à 272 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Le Kartyodon eurysien était un grand animal qui a vécu des millions d'années avant les dinosaures, et n'en est donc pas un. Il est en fait bien plus proche des mammifères que des reptiles, et fait partie de l'ancienne famille (dont on sait aujourd'hui qu'elle n'est pas correcte) des reptiles mammaliens. Cependant, il est souvent pensé dans la culture populaire comme étant un dinosaure à cause de son aspect reptilien, mais est selon les scientifiques un proto-mammifère comme il en a existé des dizaines d'espèces.

Son nom, qui signifie "dents de Karty", montre que le genre a été découvert en premier lieu en plein cœur de cet empire, dans les montagnes altariennes qui surplombent la capitale Volkingrad. On a depuis identifié des espèces cousines, et notamment en Aleucie.

Photos de squelettes recomposés, reconstitutions dessinées ou 3D de l'espèce dans son habitat naturel.
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1013
Kartyodon aleucien
Kartyodon aleucicus


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 295 à 272 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Le Kartyodon d'Aleucie est un proche parent du Kartyodon eurysien découvert en Karty, pour sa part mis au jour dans le sud de l'Aleucie, notamment en Hasparne et Napalawie il y a de cela des centaines de millions d'années.

Les Kartyodons étaient les principaux prédateurs terrestres de leur époque, chassant de gros animaux ressemblant à des mélanges entre reptiles et mammifères. On pense depuis longtemps qu'ils se servaient de leur aileron dorsal pour se réchauffer au soleil, à la manière (quoique plus poussée) des crocodiles de nos jours. Cependant, des découvertes plus récentes ont fait perdre en valeur l'hypothèse de la régulation thermique. Il s'agissait peut-être plutôt d'un important élément de la parade nuptiale des Kartyodons, si elle était colorée et suffisamment grande.

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1066
Lujikasuchus
Lujikasuchus occidentalis


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 125 à 112 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Lujikasuchus était un grand dinosaure de l'Akalcé, qui a visiblement parcouru les plaines fluviales du sud de l'Eurysie et du nord de l'Afarée actuels. il ressemblait quelques peu à Spinosaurus, à cela près qu'il n'avait pas de "voile" dorsale et était plus petit que ce dernier. Il chassait cependant probablement de manière semblable, vivant une grande partie de son temps dans des zones marécageuses où les proies aquatiques étaient légion.

Ses restes ont été découverts en premier dans les montagnes de l'ouest de Karty, ce qui lui a valu le nom de "crocodile de Lujika" (Lujika étant un État antique disparu qui se trouvait à cet emplacement). Depuis, on a retrouvé d'autres spécimens dans le centre de l'Afarée, sur des terres fortunéennes, montrant que son aire de répartition s'étendait sur une large région couvrant deux continents.

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1110
Aestuavenator
Aestuavenator nhacosinhii


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 125 à 113 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Aestuavenator a été découvert au Chandekolza, ce qui lui a valu d'en porter le nom. En effet, Aestua est le nom rhêmien du pays, dérivant tout simplement du mot "estuaire", ce qui est la principale caractéristique de la région. Bien que les rhêmiens n'aient à priori jamais mis les pieds au Chandekolza, le bouche-à-oreille des marchands qui traversaient le Nazum a bien fini par faire connaître aux plus avertis en géographie de l'existence de cette petite contrée fertile et très peuplée.

Aestuavenator était un grand prédateur pesant plus de deux tonnes, et disposait d'une voile dorsale un peu particulière en comparaison de celle de Spinosaurus. Celle-ci était comme séparée en deux vers sa partie arrière, ce qui pose beaucoup de questions aux paléontologues.
On estime que sa queue était aplatie étant donné la forme des os retrouvés, ce qui l'aidait probablement à nager plus rapidement.

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1268
Niveropelta
Niveropelta nesoii


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : de 83,6 à 72,1 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Niveropelta a été découvert sur le territoire du Nesoï, sur les côtes du continent niveréen, ce qui lui a donné son nom. Tout comme le reste des espèces d'ankylosauriens, il était "cuirassé", c'est-à-dire qu'il disposait non pas d'une carapace complète de tortue, mais en tous cas d'éléments de son squelettes correctement placer pour lui éviter les attaque de carnivore sur le dos.
Il fait partie du groupe des nodosauridés, les ankylosauriens qui ne disposent pas de massue au bout de leur queue. Il ne pouvait donc pas se défendre grâce à cela, mais disposait quand même de sortes de renforcements au niveau de sa queue.

A son époque, la planète était dans son ensemble plus chaude que de nos jours, ce qui n'empêchait pas la Niverée de subir des chutes de neiges. On pense donc que les dinosaures, ou du moins ceux qui vivaient sous d'aussi hautes latitudes, avaient le sang chaud pour être capables de rester actif, y compris en hiver, lorsque le soleil disparaît pour quelques mois. Cela les distingue donc de tous les reptiles actuels, qui ont besoin d'être réchauffés pour pouvoir se déplacer ou chasser.

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1399
Zby
Zby euryafareensis


Lieu(x) de découverte de restes de l'espèce :
Carte AkalTopos indiquant le ou les lieux de découverte d'ossements et autres restes de l'espèce.

Époque de vie estimée : 153 millions d'années avant notre ère

Description précise de l'espèce
Zby est un dinosaure sauropode, à l'origine découvert en Azur, sur la pointe septentrionale du pays. Il n'a été nommé que tardivement, après que les paléontologues aient reconstitué un portrait-robot de l'animal lorsqu'il était en vie et fait part de leurs découvertes au sujet de ce dinosaure aux habitants locaux, qui les avaient averti de la présence d'ossements. Ils auraient alors, après avoir donné comme commentaire quelque chose qui ressemblait à "mais quelle tête de con" en azuréen, proposé le nom "Zby". Celui-ci s'est installé dans le langage courant, et plus personne n'a réussi à le changer depuis.

Après la première découverte sur le sol azuréen, plusieurs autres restes fossiles attribués à l'espèce ont été mis au jour en Messalie et en Antérinie eurysienne, suggérant que l'individu retrouvé en premier s'était visiblement largement éloigné de son lieu de vie habituel. Cela n'a clairement pas aidé la pauvre bête à redorer son image, aujourd'hui encore plus moquée par les nord-azuréens, messaliotes ou antériniens qui connaissent toute l'histoire de sa description. Le nom de l'espèce est donc "euryafareensis", rendant hommage à sa découverte sur les deux continents, à des endroits pourtant éloignés les uns des autres.

Photos de squelettes recomposés, reconstitutions dessinées ou 3D de l'espèce dans son habitat naturel.
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