13/02/2017
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Secrétariat chargé des Affaires Etrangères - Discuter avec Guadaires - Page 3

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En réponse à la précédente missive de Monsieur Felipe Sáenz, Secrétaire d'État chargé des Affaires Étrangères,

Monsieur Sáenz,

Votre réponse laisse voir la possibilité de la création d'un dialogue constructif et durable, non pas seulement entre la République Fédératrice de Youslévie et l'Estado de Guadaires, mais aussi entre toutes les nations du Golfe d'Evasie. Cependant, vous comprendrez bien que certains points primordiaux nous intriguent autant qu'ils nous préoccupent.

Premièrement, rien ne garantit des dérives de ce système une fois qu'un autre gouvernement prendra la place de celui actuellement en place. Ensuite, quels sont les critères de catégorisation des pays jugés "à risque " ? La Youslévie et le Guadaires n'ont peut-être pas les mêmes définitions d'un pays "à risque". Enfin, et c'est sans doute l'aspect le plus important et bloquant pour l'instant, le fait de créer une Zone Maritime Exclusive chez vous pourra ensuite donner des idées à d'autres qui se serviront alors de ce précédent afin de mettre en place eux aussi ce genre de choses un peu partout en Evasie, en Leucytalée ou dans le reste des mers de ce monde. Nous rentrerions alors au moins dans un régime d’exception permanent qui serait impossible à vivre pour tous si ce n'est dans une situation de tension permanente dès qu'un bateau quitterait ses eaux territoriales. Je ne peux en effet m'imaginer ce que des régimes beaucoup moins sympathiques et bienveillants que le vôtre pourraient créer comme territoire maritime. Face à ces perspectives peux enthousiasmantes, la République Fédératrice de Youslévie a développée une seule ligne de conduite, le refus de reconnaître n'importe quelle entité de la sorte.

Toutefois, comme précisé en préambule de cette réponse, nous voyons votre volonté de dialoguer, et nous en prenons bonne note. Il nous semble alors que nous pourrions éventuellement, et de manière exceptionnelle et conditionnée, revenir sur notre doctrine que je vous ai précédemment présenté. Donc, pour régler ce différent à l'amiable et permettre d'introduire un dialogue pérenne entre la Youslévie, Guadaires, mais aussi le reste de l'Evasie, nous vous proposons une rencontre à Baltos, ville côtière du golfe Evasien, presque frontalière du Guadaires et plus grand port youslève. Nous pouvons convier la Manche-Silice ainsi que Fortuna, en leurs qualités de membres de l'UNE, dites nous ce que vous en pensez.

Bien cordialement.

Alkesto Divardra
Secrétaire aux Affaires Etrangères de la République Fédératrice de Youslévie

Mofa Bannière


A l'attention de Felipe Sáenz, secrétaire d'État chargé des Affaires Étrangères du Guadaires

Monsieur Sáenz,

Je tenais tout d'abord à vous confirmer la réception de votre lettre, et à vous remercier pour cette dernière. Soyez assuré que vos condoléances et vos mots de réconforts ont une place très importante dans le cœur des Fiumigliens. Nous connaissons, apprécions et saluons la position historique qui est celle de votre pays concernant la violence, la haine et le terrorisme. Guadaires représente un exemple en terme de promotion de la paix et de mise en place d'un dialogue constructif.

C'est donc bien logiquement que nous acceptons la mise en place de liens diplomatiques que vous nous proposez via la construction d'ambassades dans nos pays respectifs. Nous espérons très sincèrement, que la mise en place de ces liens et de ces instances de discussions, nous permettrons d'assurer et de renforcer des relations cordiales, un dialogue diplomatique constructif et une coopération intéressante pour nos deux nations. Il apparait clairement que la bonne entente régionale doit être préservée grâce à des mesures de cet acabit.

Diplomatiquement et sincèrement,


Maurizio Vittori,
Ministre des Affaires Étrangères
iMAGE

Missive à l’adresse des derniers membres de l’Union Économique Eurysienne,

Son Excellence Louis d’Antrania, ministre des affaires étrangères de Son Éminence de Grace, Premier Ministre de Sa Majesté Louis VI d’Antérinie et de Marcine, Empereur, Roi et Grand-duc de la Confédération Antérinienne.
A
Ses Excellences Axel Ondorff, Ministre des affaires étrangères de Sa Majesté Stanislav Schützenberger, Empereur de l’Empire Raskenois et Son Excellence Felipe Sàenz, secrétaire des affaires étrangères de la République de Guadaires.

Vos Excellences ;

Comme vous le savez tout aussi bien que moi, le projet eurysien porté par de nombreuses puissances continentales s’écroule, nous venons de perdre notre dernier état fondateur ; j’entends par là le très regretté Valkoïenlad, qui vient de connaître une nouvelle crise isolationniste qui l’a amené à tout bonnement quitter l’organisation. Mais comme tout le monde le sait, ce déclin s’est manifesté depuis de nombreuses années ; et à probablement débuté avec le retrait de plusieurs membres, qui rejoignirent l’odieux Bloc Nationaliste Eurysien. Et depuis ce temps, notre organisation ne fit que décroître, perdre en influence et en membres, tandis que certains projets difficilement réalisables avant, deviennent dorénavant impossible, comme par exemple un vaste complexe d’oléoducs qui auraient pu relier les sites pétrolifères d’Apex aux terminaux antériniens et guadamos…

Et maintenant, cette perte d’influence, d’activité, et surtout de puissance, se caractérise d’autant plus qu’un état initialement démocratique, participant depuis 2013 aux réunions à l’U.E.E, proche partenaire de bon nombres de membres, vient de sombrer dans les affres du communisme, dans une dictature sanguinaire qui détrôna ce bien malheureux Valandil de Valinor. Et l’organisation que fait-elle ? Rien, elle reste pantoise, si inefficace que des puissances mondiales (dont Teyla) proposent même de remplacer l’U.E.E à l’international, comme cela a été fait lors de la rencontre à Antrania entre Sa Majesté Louis VI et ses ministres avec Son Altesse Catherine III de Courvoisier. Et bien entendu, nous nous retrouvons dans l’embarras pour défendre le bilan de cette organisation qui semblerait n’a trainé que des casseroles.

En premier lieu elle a accepté en son sein l’Empire Kartien de van Blonski, Kaiser bien regretté qui gouvernait à la prussienne, c’est à dire dans le despostisme et dans le manque total de considération pour le parlementarisme ; entre expulsion massives d’opposants, censures systématiques, exécutions arbitraires, ce gouvernement collectionnait les torts et réussissait à décrédibiliser l’organisation entière ! Mais ce n’est pas tout, si nous pouvions prétexté que nous ignorions la véritable nature du gouvernement impérial, nous savions pertinemment que la Rimaurie est fasciste, ce qui ne nous a pas empêché de voter en sa faveur pour un partenariat qui n’a fait qu’avantager son économie ! Et ce alors que dans le traité initial, nous promettons de défendre la Démocratie, et difficile d’affirmer qu’un état qui reprends tout les codes du fascisme, qui en appelle au massacre des opposants, puisse être une démocratie pleine et entière ! Et comme qui dirait, jamais deux sans trois, et voilà que la Kartvélie, régime initialement autoritaire rejoint l’Union, avant de suivre ses bons amis du B.N.E…

Pourtant, l’idée de départ n’était pas mauvaise, au contraire d’ailleurs, qui n’a jamais rêvé d’une confédération eurysienne qui garantirait la paix sur ce Vieux continent déchiré depuis des siècles par la guerre, ayant connu les conflits les plus violents des premières conquêtes hellènes aux boucheries du début du XXe siècle ? Une confédération qui garantirait la paix, la prospérité, le libre-échange, et qui finalement est devenue une coquille vide, sans réels buts, sans réelles préoccupations, pire un monstre au double visage qui se présente comme une sainte nitouche d’un côté, et qui de l’autre allaite des régimes ayant commis autant de boucheries que des criminels de guerre. Et maintenant, nous en assumons les conséquence, échanges internes en chute libre, manque de communication entre états membres, et paradoxalement, chacun est pour l’autre un illustre inconnu.

Conséquence, l’U.E.E se meurt, nous ne sommes plus que les reliquats de l’âge d’or eurysien, qui nous a tout de même bien profité, l’Antérinie et Rasken dépassant toutes deux les milles milliards de Produit Intérieur Brut, nous avons pu profiter de l’Union pour accroitre nos débouchés, mais maintenant il est temps de passer un pas, il faut s’asseoir et revoir l’intégralité de notre stratégie ; il faut refonder l’organisation. Et plusieurs options s’offrent à nous, elles peuvent à terme mener à la dispartion pure et simple de l’organisation, la réformer, ou la conserver.

En effet, nous avons trois choix qui s’offrent à nous ; considérer que l’Organisation est perdue, mais qu’une alliance et une bonne entente entre ses anciens états-membres est possible, constater que sans réformes internes rien ne pourra s’améliorer, et que nous laisserons l’U.E.E dépérir tout aussi lentement qu’une bête malade en ne faisant rien, et que par conséquent il est nécessaire de tenter de redresser la barre et de se réformer de l’intérieur pour éviter d’atteindre le point de non-retour. Puis finalement, nous avons la dernière option, qui est à sa manière un arrêt de mort implicite de l’organisation, puisque nous restons dans le déni, et que non content de voir le poison frapper lentement mais sûrement nos organes vitaux, nous refusons de nous soigner, et nous attendons patiemment, résignés, la tragédie que sera l’effondrement pur et simple de l’U.E.E.

Ainsi, nous avons toutes les cartes en main, trois possibilités, et nos intérêts. Et afin de pouvoir statuer ensemble sur le devenir de l’Organisation, nous vous proposons un sommet à Antrania. Si finalement nous arrivons à la conclusion que l’U.E.E doit cesser d’exister, je vous propose une conférence tri-partite qui fixera une potentielle alliance entre trois axes ; Antrania, Eberstadt et Gaudaires-ville, qui aura des conséquences économiques, diplomatiques et militaires. Pouvant amener à une coopération pousser dans certains secteurs en fonction des besoins de chacun.

Bien cordialement et dans l’attente de vos réponses.


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À : Felipe Sáenz, secrétaire d'État chargé des Affaires Étrangères du Guadaires.
De : Park Seung-Ho, ministre des affaires étrangères


Salutation, Excellence,

Le gouvernement de sa majesté royale Dar Hyun Hyonu, roi du Sud-Kazum par le mandat céleste de l’ère Johwa (Harmonie), roi vertueux, souverain très croyant, sous la direction de son excellence Ha Hyo, premier ministre du royaume, vous fait part qu’il a reçu chaleureusement votre missive diplomatique que vous avez adressée auprès de notre humble royaume.

Le royaume du Sud-Kazum semble partager un destin et une volonté similaire avec la République du Gaduaire. En effet, le royaume du Sud-Kazum, marqué par des décennies de totalitarisme et d’oppression de la part d’un régime communiste dirigé d’une main de fer par une dynastie de dictateurs sanguinaires, cherche aujourd’hui à se révéler et à se reconstruire. La République du Gaduaire, elle, cherche à se reconstruire après de graves crises économiques qui ont ébranlé sa société et sa cohésion nationale. Si les défis auxquels nous avons dû faire face semblent être de nature complètement différente, il apparaît néanmoins, comme vous l’avez mentionné, excellence, que notre but est un but commun : celui du développement de la manière la plus saine et la plus durable possible. De ce fait, la coopération entre États et surtout le multilatéralisme apparaissent comme des outils indispensables à cette volonté de développement, raison pour laquelle le gouvernement de sa majesté accepte votre demande d’ouverture d’ambassade et attend l’arrivée de son excellence l’ambassadeur de la République du Gaduaire auprès de notre nation. Le royaume du Sud-Kazum procédera à la nomination de son excellence le représentant de notre royaume auprès de la République du Gaduaire après la réception de la lettre de créance de l’ambassadeur de votre nation en Sud-Kazum.

Concernant votre demande de rencontre au sommet, excellence, je ne peux qu’y être favorable. Rien de mieux qu’une rencontre pour mieux discuter et échanger sur de futurs traités qui seraient bénéfiques à l’avenir pour nos deux nations. Comme vous êtes, excellence, celui qui invite, il est naturellement de votre honneur, sauf si vous voulez que nous nous chargions d’organiser le sommet en fixant le lieu et les dates de la rencontre, rencontre à laquelle j’aurai le plaisir de me rendre en tant que représentant du royaume du Sud-Kazum.

Park Seung-Ho, ministre des Affaires étrangères.
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À l’attention du Ministère des Affaires Étrangères du Estado de Guadaires,

Salutations

C’est avec le plus grand honneur que nous nous adressons à vous, Monsieur le Ministre, en vue d’exprimer notre désir de créer une ambassade officielle dans votre pays.
Nous pensons qu’une représentation diplomatique stable sera de nature à favoriser l’entente entre nos deux peuples sur le plan politique, économique, culturel et autre. Nous restons bien entendu à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.

je vous adresse mes salutations respectueuses.



Rodion Kerzhakov
Ministre des affaires étrangères


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Bureau du Grand commerce et des étrangers de la Grande République


Drapeau

Déclaration à l'intention des membres de la Ligue de Velcal
Pour une nécessaire restructuration des instances de la Ligue




A nos partenaires et amis ayant signé la charte de défense de la Ligue de Velcal, nommons ainsi les représentants de l’Empire constitutionnel du Drovolski, de la Confédération de Kresetchnie, de l'Estado de Guadaires, du Tsarat de Moritonie et de l’État nouveau de Rimaurie, nous, qui représentons les souhaits et les désirs du Sénat des Mille de la Grande République, et du Gouvernement communal de la cité velsnienne, nous nous adressons à vous afin de faire savoir à votre attention, que les récents développements géopolitiques mondiaux, que ce soit au sein de la Ligue ou en dehors, ont amené le gouvernement velsnien à repenser son dispositif politique et stratégique, qui à court et moyen terme, affecteront la charte que nous avons consenti à signer, vous comme nous.

En effet, en deux ans, il est venu à notre constat que la Ligue de Velcal, bien qu'ayant pu être un formidable outil de déploiement de nos réseaux diplomatiques respectifs, qui ont contribué à rapprocher certains d'entre nous sur bien des plans, a vu un certain nombre de facteurs remettre en cause son efficacité, bien que nous n'ayons jamais eu à solliciter ce pacte jusqu'à présent. En effet, la perte successive de plusieurs membres: disparition de la République du Vaikonenland, puis de la Listonie, conjuguée au retrait unilatéral de l'Empire antérinien du dispositif de défense, sont les premiers facteurs ayant fait remettre en doute la pertinence du dispositif de la ligue de Velcal sur le plan militaire. Conjugué à cela, il nous est venu également, la constatation que les conditions permettant l'activation du pacte de défense sont bien trop peu contraignantes pour se révéler efficaces dans une situation de crise. Quant bien même cette épreuve de test n'a jamais eu lieu, il est très probable qu'en cas d'appel aux armes de l'un d'entre nous, un grand nombre d'états répondent à cet appel, ce serait-ce que par la limitation des capacités militaires de la plupart de nos membres, l'absence de capacité de projection et insuffisance générale de moyens et d'initiatives prises par ses membres pour promouvoir des adhésions à la ligue dans leur voisinage immédiat. Toutes ces réalités sont ainsi à constater, mais malgré cela, la ligue a su se montrer, comme dit précédemment, un outil de mise en relation de nos membres des plus intéressants, qu'il serait idéal de conserver et de perfectionner. Pour finir, il vous a peut-être paru évident, et il sera sans parvenu à vos oreilles que la Grande République de Velsna a procédé à une adhésion au sein de l'Organisation des Nations Commerçantes, dont nous vous détaillerons les motivations dans les lignes qui vont suivre. Or, comme vous le savez, il est mentionné clairement dans notre charte fondatrice que nul pays de la Ligue ne peut faire partie de l'un des trois grands blocs de puissance qui composent le monde actuel: ONC, OND et Liberalintern. Cela implique donc deux issues en ce qui nous concerne: la réforme de la Ligue dans le sens d'une plus grande libéralité en ce qui concerne l'adhésion de pays membres de l'ONC dans la Ligue, ou bien le retrait de la Grande République de ce pacte, qui acterait la dissolution de facto de cette Ligue au vu de nos capacités de projections respectives, et l'absence totale de flottes autres que celle de la Marineria parmi nos membres.

Ainsi, il apparaît nécessaire au Gouvernement communal de la Grande République de proposer à l'ensemble d'entre vous une série de corrections à appliquer à la Charte de défense d'origine de la Ligue, visant à la transformer en profondeur, et lui garantir une pertinence renouvelée, dont nous vous détaillons le contenu ci-joint:
- En premier lieu, il nous apparaît nécessaire, au vu de la nature de nos échanges qui ont été davantage diplomatiques et commerciaux que militaires jusqu'ici, que la direction de notre pacte doit s'orienter vers une logique de Ligue commerciale, ce qui bien entendu impliquerait une baisse notable des droits de douane parmi nos nations au profit d'un taux commun, qui serait voté selon les biens et services, entre nous et à la majorité. Nous sortirions ainsi d'une logique de pacte purement défensif pour nous diriger vers une multiplication de nos liens économiques, qui ne ferait que rendre notre association plus solide.

- Comme écrit précédemment, l'adhésion de la Grande République à l'ONC implique une modification du texte de la Charte, et de manière générale, affecte la nature même de ce pacte et sa mission d'origine. En effet, dans le cadre d'un monde multi-polaire en mutation constante, il apparaît que nous ne pouvons nous passer de l'appui de l'un de ces blocs de puissance dans l'optique de faire jouer à la Ligue un rôle efficace de défense. En nous fondant sur nos idéaux de liberté et d'autonomie, il est apparu au gouvernement communal que l'ONC serait le meilleur appui possible à cette Ligue, et celui le plus en accord avec la politique économique de la plupart des membres de cette dernière. Ainsi, nous invitons tous nos membres à un rapprochement avec les instances océniennes, dans la mesure du possible et dans les limites de ce que leurs régimes politiques respectifs permettent: nous encourageons les demandes d'adhésion à l'ONC, que ce soit en qualité d'états membres ou de membres observateurs. Le but de cette manœuvre serait de faire de la Ligue un organe de défense intermédiaire et régional fortement lié à l'ONC, et l'adhésion du plus grand nombre de nations membres à cette organisation serait autant de liens qu'il serait difficile de délier.

- Troisièmement, et étant donné la disparité des forces militaires à disposition de la Ligue, ainsi que les capacités de projection limitées de la totalité des états-membres, il convient d'acter, à notre sens que la seule assistance dont vous bénéficierez en cas d'attaque de vos territoires respectif proviendrait de la Grande République. Ainsi, nous proposons la fin du concept de multi-latéralité de ce pacte dans son aspect militaire, au profit d'un ensemble de liens bilatéraux Velsna-état tiers. Le gouvernement velsnien deviendrait alors le seul garant de votre sécurité, et par exemple, les mésolvardiens n'auraient pas à se soucier de la défense d'un territoire guadairien qu'il ne pourrait pas satisfaire. Ce n'est là qu'un exemple qui peut s'appliquer à tous les états. En retour de cette protection, il conviendrait cependant que les états-tiers devraient mettre à disposition leurs ressources militaires lorsque ceux-ci seraient le capacité de le faire.. Nous pensons en particulier à l'arsenal balistique mésolvardien, qui constitue le plus important stock balistique d'Eurysie de l'est.

- La mise en place d'une véritable politique d'échange culturel entre nos membres, qui là encore et au même titre que le passage d'une ligue de défense à une ligue commerciale, permettrait d'approfondir nos liens. Cela impliquerait la mise en place d'échanges étudiants, d'une politique volontariste et facilitée d’importation et d'exportation de produits culturels.

- La mise en place d'une procédure de sanction économique dans le cas où un retrait de l'alliance aurait lieu pour des raisons injustifiées.

- Le recentrage de notre organisation à une échelle plus régionale que mondiale, en recentrant les activités de la Ligue à l'Eurysie, en particulier la Leucytalée et la Manche Blanche, et qui rendrait les pays membres de cette organisation plus regroupés et mieux armés pour se défendre d'une éventuelle agression.

- L'ouverture de notre organisation à de nouveaux candidats, qui permettrait de redonner de la consistance et de la "matière" à cette ligue.



Ces propositions ne forment que l'esquisse d'une recomposition fondamentale de cette organisation, qui sera détaillée à l'occasion d'une rencontre dont nous adressons l'invitation à tous nos membres, dans le hall principal du Sénat de la cité de Velcal, où nous avons signé ce même traité il y a deux années de cela.

En attente d'une réponse de votre part.

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