21/02/2015
15:54:45
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[PRESSE] Le Lion - Page 3

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URGENCE ATTENTAT

Effondrement en Côte d'Assad (partie 2)
Al-Qabùr déclare la guerre au Roi.

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Al-Qabùr

Tout avait commencé comme un journal télévisé ordinaire. Aïlas Bendjad, le présentateur emblématique du Duhr, venait de démarrer le bulletin d’informations comme à son habitude. L’actualité était sombre, certes : la crise économique en Côte d’Assad, la contamination des eaux, et l’absence prolongée du roi Ibrahim VI. Mais ce qui s’est passé ensuite restera gravé dans les mémoires comme une nuit de terreur. Alors qu’Aïlas Bendjad commençait à aborder la disparition inquiétante du roi, la situation a soudainement basculé dans l'horreur. En plein milieu de son intervention, un premier coup de feu a retenti dans le studio. Au début, personne ne comprenait ce qui se passait. Était-ce un dysfonctionnement technique ? Un bruit hors champ ? Mais très vite, l’incroyable vérité est apparue : des hommes armés avaient pris d’assaut le plateau en direct. La caméra, brusquement secouée, a capté des scènes de chaos. Aïlas, désorienté, tentait de comprendre, mais à peine quelques secondes plus tard, d’autres coups de feu ont éclaté. Les présentateurs ont tenté de fuir, mais les hommes armés, visiblement organisés, ont pris le contrôle du studio. La caméra est tombée à terre, mais a continué à enregistrer.

Au milieu de cette confusion, un homme encagoulé a pris la parole. Sa voix était froide, implacable :

« As-Salam Aleykoum. Nous sommes Al-Qabùr. Ce soir marque le début d’une nouvelle ère. La Côte d'Assad sera purifiée par le sang. »

L'homme a revendiqué l’attaque au nom de ce groupe inconnu jusqu’alors, annonçant qu’ils allaient renverser l’ordre en place et prendre le contrôle d’Ajara, une ville stratégique du Pays connu pour son pétrole très peu coûteux. Un drapeau blanc, marqué par une silhouette de fusil d’assaut ABÙR, a ensuite été déployé à l’écran. Les assaillants ont sommé le roi Ibrahim VI, introuvable depuis des mois, de céder Ajara sous peine de nouveaux bains de sang. La population, choquée, est restée collée à ses écrans, incapable de détourner les yeux de cette scène de violence en direct. Les réseaux sociaux ont explosé de messages de peur, de confusion et d’incompréhension. Pourquoi le journal télévisé ? Pourquoi maintenant ? Et surtout, que va-t-il se passer ensuite ? Le gouvernement est resté silencieux jusqu’à l’heure actuelle, mais une enquête d’urgence a été ouverte. Les forces de sécurité sont mobilisées dans tout le pays, alors que la panique gagne les rues d'Isdam et au-delà.
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Effondrement en Côte d'Assad (partie 3)
Ezdola gagne du territoire.

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Ezdola

Le virus Ezdola, découvert dans les eaux usées de la Côte d’Assad, continue de semer la panique. Bien que les autorités affirment que des mesures draconiennes sont en place pour éradiquer la contamination, la situation reste critique. D’après les traiteurs d’eau assadiens, 99 % de l’eau du robinet devrait être débarrassée du virus d’ici quelques jours. Pourtant, le problème ne s'arrête pas là.

La propagation du virus s’accélère, et les conséquences sur le terrain sont alarmantes. Près de 780 cas contacts ont été placés en quarantaine dans les hôpitaux nationaux. Mais, selon les médecins, le nombre réel d’infectés pourrait être bien supérieur. "Les symptômes mettent du temps à apparaître, et beaucoup de personnes contaminées ne se rendent pas compte qu’elles portent le virus", explique Dr. Fatoumata Oulare, médecin en chef à l’Hôpital Général d’Isdam.

L’afflux de malades a poussé certains établissements à prendre des mesures extrêmes. Des hôpitaux entiers sont en cours d'agrandissement. Nous n'avons plus assez de lits, et la situation devient ingérable", déplore un infirmier du centre hospitalier de Saanbi, où le nombre de cas a doublé en moins de 48 heures.

Si le gouvernement se veut rassurant en affirmant que le virus est sur le point d’être éliminé de l’eau potable, il n’en reste pas moins que le système de santé assadien est déjà débordé. Des milliers de personnes sont à risque, et les infrastructures sanitaires, déjà fragilisées par des années de sous-financement, peinent à suivre.

Les quartiers les plus touchés restent les bidonvilles, où l'accès à l'eau potable reste un luxe inaccessible pour beaucoup. Là, les conditions d'hygiène précaires font d'Ezdola une bombe à retardement. "Dans ces zones, nous ne pouvons pas contrôler la contamination. Les habitants continuent de consommer de l’eau non traitée par désespoir", explique le Dr. Malik Dioponé, épidémiologiste.
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Effondrement en Côte d'Assad (partie 4)
Le Chancelier de Droite démissionne.

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Le Chancelier de gauche est-il le prochain ?

Hier soir, le Chancelier Lahis Isaac, a annoncé sa démission dans un discours aussi sombre que direct. Face à une Côte d’Assad au bord du gouffre, il a reconnu avec une honnêteté glaçante : "Nous avons échoué."

Lahis Isaac n’a pas cherché à se justifier ou à rejeter la faute ailleurs. Au contraire, il a appelé cela un échec collectif : celui de son gouvernement, incapable de protéger ses citoyens et de maintenir la dignité du pays. "Je vous demande pardon", a-t-il lâché, s’adressant aux familles qui souffrent et qui vivent désormais dans la crainte.

Il a exprimé son espoir de voir une nouvelle génération de dirigeants émerger, capable de faire renaître la Côte d’Assad. "Il nous faut du renouveau, il nous faut de la force", a-t-il insisté, tout en implorant la population de garder espoir.

Pour Lahis Isaac, la page se tourne, mais c’est avec amertume qu’il quitte le pouvoir. "Que Dieu protège la Côte d'Assad", a-t-il conclu. Le pays, quant à lui, attend avec anxiété de voir qui pourra redresser cette nation en plein chaos.
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Le Roi veut-il suicidé la Côte d'Assad ?
Pourquoi devrions-nous nous impliquer dans une guerre qui n'est même pas la nôtre ?

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Sa majesté le Roi, Ibrahim VI



La Côte d'Assad est secouée par une nouvelle décision royale qui divise profondément la population. Alors que le pays est en pleine crise sanitaire, le Roi décide de fourrer son nez ailleurs, sur un autre continent. Ne devrait-il pas se préoccuper de son pays ? Lors d’un discours adressé à la nation, le souverain a tenté de rassurer les citoyens en affirmant que des aides d'autres pays allaient permettre de contrôler la pandémie qui ravage le pays. Mais le pire est l'utilisation des ressources publiques pour cette intervention militaire. Les hôpitaux assadiens sont débordés, manquant de lits et de médicaments pour traiter les nombreux cas de contamination au virus Ezdola. La population s'attendait à voir ces fonds utilisés pour renforcer le système de santé, qui peine à faire face à l'ampleur de la crise sanitaire.

Dans toute la capitale, l'une des plus grandes émeutes que le pays ait connues est en direct. Selon certaines sources, l'armée sera bientôt présente car la situation est incontrôlable. La situation en Côte d'Assad reste critique avec une guerre qui n'est pas la bienvenue. Ne pourrait-on pas faire la paix ? Pourquoi le malheur s'abat-il sur Assad ?
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