Translavya : Une blague qui ne fait plus rire personne.
Alors que la question de la reconnaissance de la République Translavique ou de la Démocratie Communiste de Translavya se pose depuis la séparation du pays il y'a à peine quelques semaines, l’État de Rimaurie n'a pour le moment reconnu aucun des deux états et annonce ne pas en avoir l'intention dans l'immédiat et avant surement encore longtemps. Questionné sur cette neutralité, le Führer a déclaré ne pas voir l'utilité de reconnaître deux états fantoches au même titre qu'un état indépendant. Car si voir les états de l'Organisation des Nations DÉMOCRATIQUES imposer par la force leurs idées et leurs visions à un état tierce, aussi supérieures et meilleures qu'ils le disent ou non, prêtait à sourire, car si admirer le régime POPULAIRE Loduarien envahir un pays pour soumettre et massacrer son peuple nous faisait souffler du nez, voir le même schéma se répéter encore et encore inlassablement à quelque chose de lassant.
Car encore une fois, les états dits populaires et démocratiques semblent préférer imposer leur propre "gouvernement de transition" plutôt que de laisser le peuple le former de lui même, s'assurant ainsi que les petits malin qui voudraient, par exemple, au hasard, réunifier leur pays sous un régime farouchement indépendant ne le puisse pas. En établissant deux gouvernements au lieu de se mettre d'accord pour n'en former qu'un seul, les impérialistes de tout bords ont condamnés un peuple entier à la division et la haine sur le seul fond de leur égocentrisme personnel. Quelle excuse trouveront-il à cela ? La Translavya unie, dans toute son imperfection, n'a laissée place qu'à deux fantoches illégitimement nés de la guerre et de la haine entre deux empires. Deux choses que nous abhorrons, deux choses que nous détruirons.
Pour cela, il est impossible pour l’État de Rimaurie de se montrer concilient avec un symbole de la barbarie impérialiste et de la lutte idéologique. Et si nous rêvons encore d'une Translavya réunifiée, nous ne nous faisons pas de faux espoirs. Le peuple Translavique n'est plus, la Translavya est morte.
