09/08/2014
17:18:42
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Le Régime de Diambée Reste Ferme Face au Boycott International

Dans un climat de tensions internationales croissantes, le régime militaire du Diambée, dirigé par le général Moussa Diango, a réagi avec défi face à l’appel au boycott généralisé lancé par plusieurs nations, dont la République d'Eldoria, l'Empire de Karty et la République de Finejouri. Dans une déclaration officielle, le gouvernement a affirmé que ces tentatives de déstabilisation ne feraient que renforcer la détermination du peuple diambéen à défendre sa souveraineté et son intégrité.

Les autorités ont qualifié le boycott d'« acte désespéré » orchestré par des pays qui, selon elles, cherchent à nuire à la prospérité de Diambée. « L'Eldoria et ses alliés ne comprennent pas notre résilience. Chaque sanction qu'ils imposent nous renforce, chaque menace ne fait qu’aiguiser notre volonté de nous battre pour notre nation », a déclaré un porte-parole du gouvernement lors d'une conférence de presse.

Une RĂ©action Ă  la Manifestation

Dans un geste audacieux de défi, le régime a organisé une manifestation massive à Diambée, qui a attiré des milliers de citoyens prêts à afficher leur soutien indéfectible au gouvernement. Les autorités avaient préalablement annoncé que cette manifestation serait totalement autorisée et encadrée par les forces de sécurité, soulignant ainsi leur capacité à répondre aux critiques tout en maintenant l'ordre public. Les participants, brandissant des drapeaux nationaux et des pancartes colorées, ont scandé des slogans provocateurs tels que « Diambée, unie et forte ! » et « Eldoria, tu ne nous briseras pas ! ».

Les discours prononcés lors de cette manifestation étaient empreints d'une rhétorique patriotique, mêlant fierté nationale et condamnation des nations en faveur du boycott. Un orateur, représentant d'un mouvement nationaliste, a déclaré : « Nous ne plierons pas devant les puissances étrangères ! Diambée est notre terre, et nous la défendrons contre toute ingérence. » Les slogans comme « À bas les oppresseurs ! » et « Diambée est invincible ! » résonnaient dans les rues, soulignant la détermination du peuple à résister à ce qu'ils considèrent comme une agression extérieure.

Un Régime Renforcé par l'Adversité

Les analystes politiques locaux notent que le régime de Diambée, loin d'être affaibli par ces sanctions, pourrait en sortir renforcé. En effet, l’appel au boycott a été exploité par le gouvernement pour galvaniser le soutien populaire. Les autorités ont habilement orchestré une campagne médiatique, faisant appel à la fierté nationale et à l'unité face à l'adversité. De nombreux citoyens, qui avaient peut-être des doutes sur la gouvernance actuelle, se sont maintenant unis autour de la nécessité de défendre leur pays contre des influences extérieures.

Les leaders du régime ont également incité le peuple à considérer ces sanctions comme une forme de néocolonialisme, une tentative de contrôler les ressources et les richesses de Diambée sous couvert de préoccupations humanitaires. « Ils veulent se servir de notre terre, de nos richesses, tout en prétendant nous sauver ! » a martelé un autre intervenant lors de la manifestation. Ce discours populiste résonne profondément auprès d'une population qui a longtemps ressenti les effets de l'ingérence étrangère sur ses affaires internes.


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Flash Infos


Une tragédie s'est déroulée il y a deux heures lors d'un convoi humanitaire dans le port de Matoulou pour évacuer les musulman . Selon des témoins, un incident a éclaté lorsqu'un homme musulman a heurté un soldat diambédien, déclenchant une réaction en chaîne de violence qui a coûté la vie à de nombreuses personnes.

Les événements se sont produits alors que le convoi qui rentrer dans le bateau , chargé de vivres de fournitures et de populations musulman à deporte . D'après les premiers rapports, l'homme musulman , après avoir monter sur le bateau aurait percuté le militaire volontairement qui assure la sécurité des musulman , l'aurait insulté de genocidaire ou d’autres choses , provoquant une escalade rapide de la situation. Des groupes de partisans de l'individu se seraient alors rassemblés pour le soutenir, créant une atmosphère explosive certaine était même prêt en en découdre .

Les militaires, présent pour assurer la sécurité du convoi de l’ONG eldorienne , ont tenté de maîtriser la situation, mais la tension a rapidement dégénéré. Selon des témoins, le soldat, a ouvert le feu, suivi par plusieurs de ses collègues. "C'était un chaos total. Des coups de feu ont retenti, et tout le monde a commencé à fuir", a déclaré un résident qui a été témoin de l'incident.

Les premières informations indiquent 101 mort et 145 blessé , principalement des musulmans présents sur les lieux, ont été touchées par les balles, mais d’après un témoignage d’une musulman des bénévoles de l’ONG aurait été touché et fait 7 eldorien mort et 10 blessé .

Les autorités militaires ont rapidement mis en place un cordon de sécurité autour de la zone et ont évacué les blessés vers des établissements médicaux. "Nous déplorons cette perte de vies humaines et faisons tout notre possible pour sécuriser le convoi ", a déclaré un porte-parole des forces armées.

La violence de cet incident soulève de vives inquiétudes quant à la sécurité des opérations humanitaires . Alors que les organisations non gouvernementales s'efforcent d'apporter une assistance vitale à une population déjà éprouvée, cet événement souligne les risques auxquels elles sont confrontées alors qu’ils restent plus que 50 00 0 musulman a évacué d’après les ONG présentes .

Alors que le Diambée se remet lentement des cicatrices de la violence, cet incident tragique rappelle à tous que des efforts concertés sont nécessaires pour construire un avenir pacifique.

Le régime militaire a condamné l’actes du militaire qui a tiré , ils ont aussi condamné l’ONG Eldorienne pour leur manque d’efficacité


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Assassinat du chef suprême d'Antegrad : Une tragédie qui soulève des questions

La Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad est en deuil après la perte tragique de son chef suprême, Venos Feros, retrouvé mort hier après-midi. À l'âge de 51 ans, Feros a été victime d'un empoisonnement au cyanure, selon les résultats préliminaires de l'autopsie.

Les autorités d'Antegrad mènent actuellement une enquête sur cet assassinat, mais les détails restent flous. Pour le moment, le Régime Militaire du Diambée, tout en observant la situation avec attention, ne dispose pas d'informations supplémentaires sur les circonstances précises de cet assassinat, ni sur les mesures exactes qui seront prises par le gouvernement d'Antegrad à l'issue de l'enquête.


Nous continuerons à informer les spectateurs dès que de nouvelles informations seront disponibles.


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Reportage sur la préparation militaire et les entraînements intensifs des soldats du régime

Il y a quelques jours, dans la soirée , un reportage a été diffusé sur la chaîne Numéro 1 d’information du Diambée, plus grande et plus prolifique source d'informations pour les citoyens du Diambée


[Extrait de reportage]


La guerre. Nous la redoutons tous, et pourtant elle n'est jamais très loin. Des conflits qui finissent par se dissiper après une intimidation efficace, à de véritables luttes sanglantes entre groupes idéologiques ou d'intérêts ; la guerre prend bien des formes, mais elle ne répond qu'à une seule loi : la loi du plus fort. Cela, tous les pays du monde l'ont compris. Ce pourquoi certaines nations s'entourent d'alliés précieux, d'autres se militarisent, préparent leurs troupes et leur peuple, et cela à dessein de défendre leurs intérêts.

Alors que chaque citoyen Diambédiens travaille dur pour développer la nation, les forces armées risquent leur vie pour garantir jusqu'à son existence. Et de fait, nul n'est dupe au point de penser que le conflit peut être désamorcé par la diplomatie

Dans ce sens, un entraînement physique et martial rigoureux, ainsi qu'une discipline sportive intense, dans un soucis de défendre les frontières, s'imposent non plus comme un perfectionnisme, mais comme un devoir : "La guerre ne doit pas simplement être gagnée, elle doit résulter en l'annihilation de l'ennemi".

A propos de cette rigueur militaire implacable, le commandant Mazadou Gadoua a déclaré :

"Tous les jours, les soldats s'entraînent avec la hargne d'un pays à étendre. Réveil à 6 heures du matin pour tous, sans aucune forme d'exception. Petit déjeuner léger pour garder de la mobilité et de la souplesse. Puis, l'entraînement commence. La formation est divisée en deux parties, qui se succèdent avec les jours qui passent. Jour 1, c'est entraînement du corps, avec footing, corde à sauter et course pour l'endurance. Ensuite, c'est déjeuner complet et revigorant. On continue avec des exercices pour la force musculaire, toujours avec du poids de corps : pompes, tractions, crunchs, la totale. A la fin de la journée, c'est dîner complet avec l'accent mis sur l'apport en protéines. Jour 2, c'est entraînement aux armes et préparation au champ de bataille. Les soldats doivent tirer sur des cibles, qui s'éloignent chaque jour un peu plus, pour améliorer la précision de leur tir. On refait les mêmes exercices avec toutes les armes que nous mettons à leur disposition. Puis, c'est entraînement à l'artillerie. Chaque soldat doit pouvoir piloter les véhicules blindés et les chars d'assauts. Ensuite, c'est parcours d'obstacle, pour garder les sens éveillés et apprendre à maitriser l'environnement dans les situations les plus anxiogènes. Enfin, on a le lancer de grenade. Les soldats sont censés connaître la puissance et la portée des explosifs. Une erreur de précision à la guerre et c'est la catastrophe : il faut maitriser les grenades. Les repas changent au jour 2, pour privilégier la Vitamine B qui est nécessaire au bon fonctionnement du cerveau. Les soldats ont besoin d'un esprit sain dans un corps sain. Evidemment, ces entraînements se répètent continuellement. Pendant que l'esprit se repose, le corps s'entraîne, et vice-versa. On n'a pas de temps à perdre à l'armée."


Cette discipline et cette rigueur à toute épreuve sont évidemment le fruit d'une volonté puissante de protéger les intérêts de la nation, voire de la faire dominer sur le plan international. Les soldats sont bien informés de la situation géopolitique, et savent parfaitement que la place du Diambée au sein des grandes puissances de ce monde repose sur leurs épaules. Il n'est donc pas surprenant qu'en interviewant un soldat de l'armée de terre, nous soyons témoins de son ardeur implacable et de son amour inébranlable pour le Diambée.

Nous n'allons rien laisser au hasard. Nous avons confiance en nos capacités, mais nous ne resterons pas les bras croisés à attendre. Je m'engage personnellement à massacrer tous les soldats qui sont contre les le Diambée qui voudraient traverser la frontière, et à suivre les ordres de mes supérieurs, même si cela veut dire avancer jusqu'à la mort, dans le froid et la faim, pour faire imploser l'ennemi de l'intérieur, et en finir une bonne fois pour toute avec cette fausse menace. Pour le regime !


Le reportage a enregistré un record d'audience, avec environ 24 millions de téléspectateurs ponctuels, présents pour écouter leurs protecteurs, pour s'informer des enjeux géopolitique dans lesquels le Diambée est embarquée, et pour comprendre toute la bravoure dont font preuve les militaires. Depuis la diffusion du reportage, on constate qu'un sentiment encore plus nationaliste s'est installé au sein des citoyens, et écumer les réseaux sociaux pour s'unir contre un ennemi commun.

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Présentation de
la lutte diambédienne
Sport, tradition et industrie




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Véritable sport aux Diambée, aussi populaire que le volley, la lutte diambéenne – « mbaapat » ou « laamb » selon si elle est sans ou avec frappes – est l’un des sport traditionnel avec le basket et le Foot par excellence du Diambée, marqueur social, culturel et ethnique mais également rassembleur, et aujourd’hui également une véritable industrie du divertissement.

A l’origine, la lutte était pratiquée après une bonne récolte ou une bonne pêche, pour fêter un évènement ou faisait partie des rituels initiatiques. Les jeunes hommes s’affrontaient pour démontrer leur force et leur courage, souvent sous les yeux des anciens, et le vainqueur remportait un bœuf ou un sac de riz. Aujourd’hui, avec des écuries qui entraînent leurs « champions » et grâce à des investissements importants, la lutte s’est professionnalisée, parfois à outrance pour certains. Préparation physique et mystique, millions de Tangara en jeux, stades remplis chaque week-end, matchs diffusés à la télévision, tournoi hebdomadaire dans les villages et les quartiers : la lutte est partout. Les champions, dont le « Roi des arènes » sont de véritables stars dans le pays, notamment pour la jeunesse des quartiers populaires qui arbore des T-shirts à l’effigie de leur lutteur favori ou taguent des graffitis les représentant.


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Des jeunes s'entraînant à la lutte à Maforo, banlieue de Faya.


Au-delà du sport, la lutte est un marqueur social et ethnique, mais également une chance et perçue comme un ascenseur social et économique pour de nombreux jeunes diambéens. Sur les plages du pays, dans chaque village, dans chaque quartier populaire, des dizaines de jeunes s’entraînent avec le rêve de devenir un jour « Roi des arènes » et apporter la richesse à leur famille et communauté. Des écoles de lutte professionnalisent les meilleurs d’entre-eux, principalement dans la capitale aujourd’hui. Pendant longtemps, être lutteur n’était pas considéré comme un véritable travail et ne rapportait pas d’argent, simplement quelques bêtes au mieux. Mais désormais c’est l’un des sports les plus payant du pays, bien que seuls quelques privilégiés remportent les millions de Tangara en jeu.

La lutte diambéenne, appelée « mbaapat », diffère des autres formes de lutte par ses règles spécifiques. Elle se déroule dans un cercle variant de 25 à 30 mètres délimité par des sacs de sable, sur un terrain de terre ou de sable. Le combat dure deux fois dix minutes, avec des prolongations possibles. Les lutteurs (« mbeur » ou « mbeurkatt ») combattent à mains nues, sans protection, habillés seulement d’un pagne (« nguimb ») et de quelques grigris, et tentent de faire chuter leur adversaire. Le combat s’arrête lorsque l’un des combattants se retrouve au sol (sur les fesses, le ventre, le dos, allongé sur le côté, avec ses quatre appuis au sol, si la tête touche le sol) ou qu’il est expulsé du cercle. Les arbitres (au nombre de trois) peuvent également attribuer la victoire à l’un des lutteurs si son adversaire n’est plus dans les conditions physiques de se battre. La lutte diambéenne avec frappe, appelée « laamb », intègre également la boxe, ainsi les lutteurs peuvent donner des coups (seulement avec les mains, pas dans les parties intimes). Les lutteurs professionnels pratiquent les deux variantes, n’effectuant que quelques dizaines de combats de laamb dans leur carrière (à l’image des boxeurs).


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Femmes pratiquant le « ndawrabine », dansent traditionnelles, pendant un combat.


Au-delà de la compétition, ce sport très apprécié est un véritable moment de fête imprégnée de significations symboliques et mystiques. Les combats et tournois sont ainsi accompagnés de chants, danses, percussions et rites mystiques. Les lutteurs ont une préparation physique mais également mystique, et sont accompagnés de leur marabout, chargé de les protéger contre les mauvais sorts et les génies. Dans leurs préparations, certains lutteurs sont même interdits d’aller dans certains quartiers pour éviter d’être marabouté par l’adversaire. C’est d’ailleurs pour cette raison que les lutteurs portent souvent un nom d’emprunt, afin de protéger leur âme des marabouts et pour prévenir les mauvais sorts que ces derniers pourraient leur lancer s’ils connaissaient leur vrai nom. Avant le combat, les lutteurs effectuent le « baccou », des chants vantant ses prouesses pour intimider l’adversaire et séduire le public, tout en dansant. Puis le « ndawrabine » est effectué par les écuries des lutteurs : les femmes en tenues traditionnelles chantent et dansent avec leur foulard au son des griots durant toute la durée du combat. Ces chants et dansent ont pour fonction d’encourager mais également protéger les lutteurs contre les mauvais sorts.

Cette dimension culturelle et mystique fait de chaque combat un spectacle unique, et bien que le combat ne dure que quelques minutes, l’avant match peut durer plusieurs heures. La laamb reste aujourd’hui encore un symbole puissant de l’identité et de la fierté diambéenne, et est un moment privilégié de rassemblement, du village à la nation toute entière. Ce mysticisme reflète également la société diambéenne et la présence toujours importante de l’animisme et des religions traditionnelles, aujourd’hui fondues dans les pratiques musulmane ou chrétienne. Les lutteurs représentent au travers de leurs exploits et victoires leur village, leur communauté, voir une ethnie entière. Ainsi, ils sont porteurs de grandes attentes et seuls les plus courageux ne s’écroulent pas sous la pression populaire. Avec la professionnalisation, c’est rajouté à cette pression sociale et populaire la pression médiatique et financière : les champions sont devenus de véritables produits marketing, et chaque combat génère des millions de Tangara en revenus publicitaires grâce à la télédiffusion, billets vendus et paris misés.

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